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Architecture logicielle
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(03/12/2007 17:49:52)
Accenture craint la stagnation des projets SOA... pour mieux vendre BEA
Dans leur grande majorité, les promesses des architectures orientées services (SOA) ne se sont pas encore concrétisées. La faute reposant en partie sur le fossé qui existe entre directions métier et directions informatiques. Voilà, en résumé, les propos tenus par Donald Rippert, directeur technique d'Accenture, lors d'un séminaire chez BEA à l'occasion de l'ouverture du « Accenture Innovation Center for BEA ». Ce centre d'innovation, sis au siège de l'éditeur, a justement pour but d'aider les entreprises à combler ce fossé. Et cela doit être fait dans les 18 mois, a prévenu Donald Rippert, pour que les SOA ne connaissent pas le destin éphémère du hula hoop. Alfred Chuang, le PDG de BEA, a souligné de son côté avoir recherché cette association avec Accenture, car « de toute évidence, personne n'a conduit autant de changements technologiques qu'Accenture ». Le CTO d'Accenture fonde son analyse sur une vision de l'implémentation des SOA en quatre phases : commencer par écrire les interfaces à l'aide de XML, puis exposer l'existant sous forme de services Web, ensuite connecter ces services avec un ESB (Enterprise service bus), et enfin recourir au langage BPEL (Business process execution language for Web services) afin de pouvoir modifier le comportement d'une application sans entrer dans le code. Et pour Donald Rippert, les projets SOA sont aujourd'hui coincés à la phase deux. Difficile de contredire Donald Rippert quand il explique que les retours d'expérience en SOA ne sont pas encore légion, ou que toutes les promesses n'ont pas été tenues. Néanmoins, on pourra objecter que sa vision est extrêmement réductrice : des SOA sans XML, services Web ou ESB peuvent exister ; de même, baser systématiquement un projet SOA sur l'existant n'est pas forcément une bonne idée. Comme le préconisait le directeur du conseil d'Orchestra Networks lors de notre SOA Forum, il vaut mieux partir sur un projet avec l'idée de tout refondre à terme, car la valeur d'une SOA dépend de la valeur de l'existant informatique - si on se base dessus. Or, soulignait l'organisateur du symposium architectes de Capgemini il y a quelques jours, construire un système à partir des transactions existantes est un non-sens qui risque de mener les projets dans une impasse. (...)
(30/11/2007 12:35:33)Microsoft prévoit une bêta de Silverlight 2.0 pour début 2008
Microsoft publiera une version bêta de la version 2.0 de Silverlight au premier trimestre 2008, selon le blog de Scott Guthrie, développeur chez l'éditeur de Redmond. Il s'agira bien d'une version 2.0 et non 1.1 comme l'avait laissé entendre Microsoft. Selon Scott Guthrie, «au regard du nombre de fonctionnalités supplémentaires, nous avons réalisé que le baptiser 1.x ne reflétait pas sa vraie nature ». Et pour cause. Silverlight 2.0 embarquera un sous-ensemble du framework .Net, permettant ainsi à la communauté des développeurs Microsoft d'utiliser Visual Studio pour programmer des application Internet riches (Rich Internet Application - RIA) multi-plateformes et multi-navigateurs. En outre, cette mise à jour majeure devrait également donner accès à davantage de fonctions de WPF (Windows Presentation Framework - la couche de présentation de Vista). Scott Guthrie publie une liste détaillée des fonctionnalités de Silverlight 2.0. (...)
(29/11/2007 17:02:16)Capgemini ouvre son symposium aux autres architectes
Capgemini a tenu hier et aujourd'hui son douzième symposium d'architecture. C'est la troisième année que la conférence s'ouvre à des partenaires, et la première fois que du public est invité à y participer. C'est aussi la troisième année que le Symposium a pour thème les SOA (architectures orientées services), « une tendance de fond ». Les deux jours ont donc abordé les SOA sous différents angles, « en privilégiant les retours d'expérience », précise Hyacinthe Choury, 'architecte leader' de Capgemini et auteur du programme. Lui-même a présenté la façon dont Capgemini est intervenu et intervient encore pour le compte du PMU. D'abord afin de refondre l'architecture du système de prise de paris sur Internet, pour lui permettre de monter en charge. « Le PMU a réalisé un chiffre d'affaires de 7,6 MdE en 2005, sur lequel Internet représentait moins de 10%, mais consommait 70% des ressources », indique Hyacinthe Choury. Les chiffres plus récents du PMU indiquent pour leur part un CA de 8,1 MdE, et « avec 329,6 millions d'euros, les paris sur Internet ont représenté 4,1% des sommes jouées ». Quoi qu'il en soit, sachant que le canal Internet croît de 30% par an, « il devenait urgent, crucial, de s'en occuper ». Le programme mainframe a été analysé et réécrit au besoin selon des préceptes orientés services, « ce qui a permis de diviser par deux les ressources ». L'autre objectif pour le PMU était de rendre l'architecture capable de supporter de futures évolutions liées aux changements réglementaires - l'ouverture du monopole à la concurrence. Capgemini a défini une structure de BPM (gestion des processus métier), remplaçant ainsi des programmes par un socle de gestion des flux, soutenu par un bus de services, l'ESB de Tibco. Premier bénéfice, les services exposés ainsi peuvent être utilisés par des partenaires extérieurs. Second bénéfice, « cela permet de gagner énormément en maintenance », argumente Hyacinthe Choury, puisqu'il ne peut plus y avoir d'erreur de programmation : le seul code généré l'est au sein de Tibco, le développeur n'intervient que sur le paramétrage. Les SOA coûtent cher, dit-on souvent, à juste titre. Mais la maintenance représente la majeure part du budget informatique des entreprises, il y a donc de l'argent à prendre de ce côté. C'est exactement ce qu'a fait Capgemini avec le PMU, explique l'architecte de la SSII. « Les dépenses de mise en oeuvre ont été financées par les économies en maintenance, c'était un engagement contractuel. » (...)
(22/11/2007 17:44:58)Une initiative pour standardiser l'échange des données personnelles par les réseaux sociaux
Bonne idée que celle de définir un standard de description des données personnelles pour faciliter leur dissémination dans les réseaux sociaux qui font florès sur la Toile. C'est en tout cas celle d'un petit groupe d'Australiens qui propose de fédérer plusieurs normes ou spécifications aussi diverses qu'OpenID, gestion d'identités open source, et rss, et d'y ajouter des microformats descriptifs de l'identité de chacun comme APML (Attention profiling mark-up language). A l'heure où l'usage à vocation mercantile des informations personnelles diffusées dans des réseaux sociaux comme FaceBook fait débat, il est aussi utile de rappeler qu'il faudra un jour ou l'autre normaliser et encadrer ces pratiques. Notons que cette initiative, qui en est à la version 0.1 de l'aveu même de ses promoteurs, est concurrencée par d'autres microformats comme hCard et XFN XHTML Friend Network). (...)
(22/11/2007 15:25:25)Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle
Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)
(21/11/2007 17:48:02)PHP Forum : le créateur du langage livre ses astuces de sécurité et de performances
Environ deux cents personnes ont bravé les grèves des transports parisiens pour venir écouter Rasmus Lerdorf, créateur du langage PHP, qui assurait l'ouverture du PHP Forum ce matin. Rasmus Lerdorf a consacré une bonne partie de son intervention à sensibiliser les développeurs présents à deux éléments critiques d'un serveur Web écrit en PHP : les performances et la sécurité. Et même d'autant plus critiques que, selon Nexen Services, PHP fait maintenant tourner les tiers des sites Web dans le monde. Rasmus Lerdorf a enchaîné les 'trucs', dont certains très pervers (« really nasty », en VO), pouvant être utilisés pour pirater du code PHP, et les astuces pour y faire face. Côté performances, il estime qu'il y a certes un travail d'optimisation à effectuer, mais que celui-ci se situe surtout (à 80%) du côté de Javascript, généralement utilisé pour l'interface cliente d'un serveur PHP. Répondant à nos questions en privé à l'issue de son intervention, Rasmus Lerdorf a encore expliqué que les performances étaient tributaires de l'utilisation ou non d'un framework. De fait, les cadres applicatifs censés améliorer la productivité des développeurs et assurer un déploiement optimisé sont légion. Or, pour lui, les frameworks n'améliorent vraiment la productivité que de ceux qui les ont conçus, car ils les connaissent très bien. « Et si vous avez des problèmes de performance, il est difficile d'en sortir. » Le mieux serait encore de bien identifier son besoin, et de personnaliser un framework, voire de se créer son propre framework bien spécifique. Des frameworks ou davantage de contraintes dans le langage lui-même pourraient aider à améliorer la sécurité des applications PHP. Mais Rasmus Lerdorf estime qu'il s'agit plus d'un problème d'éducation et de sensibilisation des développeurs. « Rien n'est jamais complètement sûr, dit-il, il faut vraiment que les développeurs comprennent bien les problèmes de sécurité. Peut-être est-ce notre faute, nous n'avons pas suffisamment éduqué le marché. » Adobe souligne sa complémentarité avec PHP Le PHP Forum fermera ses portes demain soir, après plusieurs interventions d'utilisateurs, dont celle de Facebook, et des ateliers techniques. Adobe, principal sponsor de la manifestation, tient également plusieurs sessions, afin de démontrer la complémentarité de PHP et de Flex, l'environnement de développement d'interfaces graphiques basées sur Flash. Les performances constituent là encore un enjeu majeur, car depuis la version 9 du Flash Player, la plateforme d'exécution d'Adobe utilise une nouvelle version de sa machine virtuelle (donnée à Mozilla, sous le nom de code Tamarin), qui minimise les temps d'exécution du Javascript sur le client (le langage d'Adobe est un proche parent, Actionscript). En outre, Flex permet d'échanger des données structurées et typées sous forme binaire, compressée, ce qui, d'une part, allège les échanges avec le serveur, optimisant la bande passante, et d'autre part offre des possibilités de manipulation des données sur le client bien plus avancées. Conscient de s'adresser à un public très à cheval sur les règles de l'Open Source, Michaël Chaize, avant-vente chez Adobe France, a souligné que si l'atelier Flex Builder est payant (250 euros), le kit de développement est gratuit, et passera même sous licence Open Source début 2008. Quant aux serveurs Flex, payants, ils ne sont a priori pas utiles à la majorité des projets : « Aujourd'hui, 95% des applications Flex dans le monde ne rapportent rien à Adobe - hormis des coups de fil au support... » (...)
(21/11/2007 11:48:59)Deux projets pour faciliter l'échange entre OpenSolaris et Windows
Sun vient d'initier deux projets autour de son Unix libre, OpenSolaris. Ces projets, respectivement CIFS (Common Internet File Systems) server et CIFS client, ont pour but de faciliter l'échange de fichiers entre les systèmes tournant sous OpenSolaris et ceux tournant sous l'une des versions de Windows. Le tout pour gagner des parts de marché dans les environnements hétérogènes. Il s'agit d'une véritable révolution pour Sun qui va donc intégrer CIFS au coeur du noyau d'OpenSolaris pour que les ordinateurs tournant sous cet OS apparaissent comme des clients CIFS (Windows ou Mac OS) pour le reste du réseau. Ces changements seront intégrés à Indiana, la version d'OpenSolaris attendue pour la première moitié de 2008, mais ils ne devraient pas être incorporés à la version commerciale avant l'année suivante. (...)
(21/11/2007 09:04:01)BEA ouvrira la virtualisation pour toutes les applications en 2008
C'est avec quelques mois de retard sur sa feuille de route que BEA va lancer sa console d'administration pour les environnements virtualisés avec WebLogic, son serveur d'applications Java. WebLogic Liquid Operations Control Center « permet de voir au coeur de la machine virtuelle », résume Martin Percival, évangéliste technique de BEA pour l'Europe. L'éditeur de middleware propose en effet depuis peu une version remaniée de son serveur d'applications et de sa machine virtuelle Java, Jrockit, capable de tourner directement au-dessus d'ESX Server, la couche de virtualisation de VMWare. D'après Martin Percival, la possibilité de faire tourner plusieurs instances de WebLogic sur un même serveur et sans système d'exploitation optimise la consommation des ressources ; il cite ainsi des clients qui sont parvenus à doubler leur capacité avec les mêmes serveurs. Pour l'heure LiquidVM, cette édition spéciale de la machine virtuelle, ne sert qu'à faire tourner WebLogic. Mais rien n'empêche a priori de l'utiliser pour d'autres applications Java. Cette généralisation devrait intervenir en 2008 : « Nous ouvrirons la plateforme pour permettre aux gens de l'utiliser avec leurs propres logiciels. » De même, BEA considère l'offre de VMWare comme dominante, mais l'éditeur pourrait étudier la possibilité de tourner sur d'autres hyperviseurs, « s'il y a des opportunités commerciales ». (...)
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