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Architecture logicielle
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(18/12/2007 11:49:09)
Amazon lance la bêta de sa base de données SimpleDB
Amazon confirme son arrivée dans le domaine des services applicatifs. Après son offre de stockage S3 et son Web Service de calcul EC2, le géant de la vente en ligne se lance dans la base de données. Si Amazon n'entend pas concurrencer les leaders du marché tels qu'Oracle, IBM ou Microsoft, il n'en prévoit pas moins d'offrir une alternative à tous les utilisateurs du Web qui ont besoin d'espace pour stocker et traiter des informations structurées dans une base de données relationnelle. Baptisée SimpleDB, cette base, encore en version bêta, offrira des services limités en termes d'espace de stockage et de traitements. Elle s'adresse en priorité aux développeurs qui ont besoin d'aller au delà du simple stockage de fichiers. Avec SimpleDB, ils pourront effectuer des recherches et des requêtes sur leurs informations sans perdre de temps en gestion et administration d'une base de données relationnelle. Calquée sur les offres précédentes, SimpleDB est commercialisé à la durée et à la volumétrie : 1,50 dollar par Go et par mois, une somme à laquelle il faudra ajouter 14 cents par heure de traitement machine (pour l'exécution des requêtes) et entre 10 à 18 cents par Go transféré. Comme pour son service de stockage en ligne, pourtant localisé en Europe depuis peu après pression des développeurs qui ne voulaient pas que leurs données soient transférées sur des serveurs américains, Amazon n'a pas établi de tarif en euros. Quoique ciblée et limitée en fonctions, SimpleDB s'inscrit en complément des offres déjà existantes chez Amazon et elle est surtout la preuve d'une réelle ambition du géant de la vente ligne sur le marché des environnements hébergés. (...)
(17/12/2007 18:12:23)La méthode publique Praxeme fête ses un an avec des cas d'utilisation
L'association Praxeme Institute a tenu vendredi dernier sa première assemblée générale, suivie d'une séance ouverte au public qui a permis de se faire une idée de l'état d'avancement de cette méthode publique pour architecturer les systèmes d'information. Comme le souligne souvent l'auteur de la méthode, Dominique Vauquier, Praxeme est sous licence Creative Commons afin que le plus d'entreprises possible l'utilisent. A écouter les membres de l'association, les premiers résultats en termes de diffusion sont encourageants : Praxeme est partie de travaux chez Sagem, a été mise au point à la SMABTP, et a aussi été mise en oeuvre à des degrés divers chez Calyon, à la Caisse d'allocations familiales et au sein de l'Armée de Terre. Des prestataires sont également intervenus pour parler de Praxeme dans le cadre du projet SOA (architecture orientée services) du répartiteur pharmaceutique OCP Celesio et de celui d'EdF à la Doaat. De son côté, Dominique Vauquier a quitté Unilog pour travailler sur l'architecture d'Axa. Dominique Vauquier, Pierre Bonnet (directeur du conseil d'Orchestra Networks) et Jean-Michel Detavernier (DSI adjoint de la SMABTP) ont par ailleurs profité de l'occasion pour dédicacer leur ouvrage commun, « Le système d'information durable », chez Hermès Science Publications. Le livre expose précisément les objectifs de la méthode, et sa mise en application au sein de la SMABTP. (...)
(14/12/2007 16:54:53)Marc Fleury rejoint une start-up spécialisée dans les RIA
Marc Fleury refait surface dans le monde des RIA. Le fondateur de Jboss, racheté par Red Hat en 2006 pour 350 M$, revient dans l'industrie IT en tant que consultant pour la start-up Appcelerator qui fournit un kit de développent pour les applications Internet riches (RIA - Rich Internet Applications). Marc Fleury a dirigé la division Jboss pendant la transition avant de quitter la société en début d'année. Des désaccords entre les dirigeants étant à la source de son départ. Marc Fleury espère donner davantage de visibilité à Appcelerator dans le monde en plein bouillonnement des RIA. « Flex [la technologie Flash d'Adobe, ndlr] reste en bonne position, mais le fait que le marché soit rempli de compétiteurs et qu'aucun leader ne se soit clairement affirmé est aussi une indication qu'il reste des opportunités sur le marché », déclare-t-il. (...)
(13/12/2007 11:43:33)Adobe met son connecteur de données en Open Source
Sous le nom de BlazeDS, Adobe met en Open Source une version bêta de ses technologies d'échange de messages inclus aux LiveCycle Data Services ES. Cette suite d'outils, désormais sous licence LGPL (Lesser General Public Licence), sert à améliorer le transfert de données et les performances générales des applications Internet riches (qui ne nécessitent pas de rafraîchissement de pages de la part de l'utilisateur). La version complète de LiveCycle Data Services restera disponible à la vente, et Adobe proposera un support - payant - pour l'utilisation de BlazeDS. Ce support ne sera pas disponible avant 2008 et aucun tarif n'est pour l'instant disponible. (...)
(12/12/2007 11:35:10)Friendster ouvre à son tour sa plateforme aux développeurs
Après Facebook et LinkedIn, c'est au tour du réseau social Friendster d'ouvrir sa plateforme aux développeurs. Et dès l'annonce, 180 applications différentes sont disponibles, issues entre autre de la version bêta du Friendster's Developer Program lancée le 25 octobre dernier. Comme son concurrent plus orienté vers les professionnels, LinkedIn, Friendster fait officiellement partie de l'initiative OpenSocial lancée par Google. Et comme lui, il assure que sa plateforme sera compatible avec les applications au format OpenSocial quand celui-ci sera « complet et sécurisé ». (...)
(11/12/2007 16:23:00)Paris On Rails lève le voile sur Ruby On Rails 2.0
Un pas vers la maturité. A l'occasion de Paris on Rails, conférence dédiée au langage Ruby on Rails, David Heinemeier Hansson, son créateur, a présenté les évolutions de la version 2.0 du framework. « Dans la version 2.0, nous avons mis l'accent sur le design d'applications basées sur REST », a-t-il déclaré. Les développeurs de cette mouture ont en effet choisi de s'appuyer sur REST (Representational State Transfer) plutôt que SOAP pour véhiculer les messages dans les applications Web. Si cette version semble installer le cadre applicatif dans la continuité, comme l'indique Richard Piacentini, fondateur de Nuxos une SARL hexagonale, organisatrice de l'événement, à nos confrères d'IDG News Service, Ruby on Rails 2.0 marque également une rupture avec le passé, abandonnant certaines fonctions embarquées depuis les premières versions. Et c'est un bienfait, analyse David Heinemeier Hansson, qui déclare sans ambages : « Nous voulions nous débarrasser de ces mauvaises lignes de codes historiques ». Certaines de ces fonctions seront désormais disponibles sous forme de plug-in. « Installez les et votre application continuera de fonctionner », dit-il. Au-delà des considérations techniques, Ruby On Rails a reçu le soutien de grands noms du secteur. Sun, d'abord, qui a récemment embauché l'équipe de JRuby, une implémentation de Ruby pour les machines virtuelles Java. Puis Microsoft qui, quant à lui, a recruté les développeurs de RubyRLR, une passerelle entre Ruby et le framework .Net. Autant de supports qui aident à la propagation du framework. Pénurie de développeurs Si Ruby semble prendre son envol, il apparaît qu'il reste toutefois en retrait en termes de popularité par rapport à PHP, son grand concurrent. Alors que le PHP Forum de Paris a accueilli plus de 500 développeurs, Paris On Rails, pour sa deuxième édition, recense quelque 240 chefs de projet et développeurs. Soit moitié moins. Si « la France est historiquement un des pays où PHP est le plus populaire », commente Richard Piacentini, il ressort toutefois que Ruby souffre d'une pénurie de développeurs. Ce qui ne devrait pas durer, assure David Heinemeier Hansson, et reste un des prochains défis que devra affronter le framework. (...)
(07/12/2007 14:40:38)Les développeurs réclament des informations sur IE8
Il semble que les relations entre l'équipe en charge du développement de la prochaine version d'Internet Explorer et les développeurs ne se s'arrangent pas. Il suffit en effet de consulter le blog consacré à IE pour prendre la mesure du problème. Le cahier de doléances est lourd : non respect des standards, promesses d'évolution non tenues et surtout manque de proximité entre Microsoft et la communauté des développeurs. Molly Holzschlag, célèbre blogueuse américaine, a eu l'occasion de s'entretenir sur le sujet avec Bill Gates. Interrogée par notre confère Gregg Keizer de Computerworld, elle n'apporte pas vraiment de réponse au silence prolongé de l'équipe qui travaille sur IE8, dirigée par Dean Hachamovitch. Bill Gates aurait en effet répondu : « Je vais me renseigner auprès de Dean sur ce qui se passe réellement. » Ce n'est qu'après cette conversation que les premières informations sur IE 8 sont apparues sur le blog consacré au navigateur. Coïncidence ou remontage de bretelles du responsable IE8 par Bill Gates ? Toujours est-il que les quelques informations lâchées n'ont pas suffit à enterrer la hache de guerre entre les développeurs et l'équipe de Dean Hachamovitch. Jeudi dernier, pas moins de 250 commentaires peu flatteurs étaient laissés par les développeurs sur le blog en réponse aux annonces succinctes faites sur IE 8, la plupart des commentaires faisant état du manque de transparence et de collaboration de Microsoft dans cette affaire. Gageons qu'il faudra plus qu'un communiqué de presse et quelques annonces pour réparer la relation entre les développeurs et Microsoft, l'enjeu étant de taille : les développeurs portent en partie le succès d'un navigateur en concevant les extensions et les applications. Il est donc tout naturel de leur offrir un minimum de visibilité sur les évolutions afin de leur laisser le temps de s'adapter et c'est précisément ce qu'ils demandent. (...)
(05/12/2007 12:21:39)PDF 1.7 devient une norme ISO
Le format PDF dans sa version 1.7 vient d'être approuvé par l'ISO (International Standards Organisation), devenant ainsi une norme internationale. Avec seulement une voix contre sur les 14 pays ayant pris part au vote, PDF 1.7 sera dorénavant référencé en tant que norme ISO 32000, écrit en substance Jim King, architecte PDF chez Adobe sur son blog. L'Australie, la Bulgarie, la Chine, le Japon, la Pologne, l'Afrique du Sud, l'Espagne, la Suède et l'Ukraine ont voté pour, sans commentaire. La Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l'Allemagne et la Suisse ont voté pour, avec commentaire. La Russie, de son côté, s'est abstenue. Seule la France s'est exprimée par la négative, avec commentaire. Après avoir annoncé en janvier, ses intentions de faire de PDF un standard, Adobe avait soumis le format auprès du comité technique de l'ISO en juillet. Notons que les sous-groupes PDF/Archive et PDF/Exchange, sont déjà des normes ISO. Désormais, PDF 1.7 servira de norme commune pour unifier les sous-groupes. La ratification de PDF signifie notamment qu'Adobe lâche du lest dans le contrôle des futures évolutions de son format, au profit d'un développement plus communautaire dans lequel il gardera, au même titre que les autres parties, un regard. « L'enjeu est désormais de rassembler les personnes autour de la prochaine mouture du standard. Beaucoup de gens sont demandeurs de standards, mais cela nécessite un engagement conséquent en termes de ressources », conclut Jim King. (...)
(04/12/2007 15:54:58)Polémique autour de l'attitude de Sun vis-à-vis d'OpenDS
Le torchon brûle entre la direction de Sun Microsystems et l'un de ses ex-salariés, également un des co-responsables du projet libre OpenDS qui porte sur la réécriture en Java de Sun Directory Server, l'actuel serveur d'annuaire LDAP de Sun. Dans une lettre ouverte, Neil Wilson, un des cofondateurs et un des quatre administrateurs originels du projet, dénonce l'attitude de Sun. Selon lui, Sun, qui a licencié pour raisons économiques les quatre administrateurs du projet OpenDS, les a menacés de les priver d'indemnités de licenciement s'ils n'abandonnaient pas le contrôle du projet OpenDS au profit de salariés de Sun. Le projet OpenDS, qui était à cheval entre le Texas et Grenoble, où se trouvait déjà la majorité de ses développeurs, vient d'être entièrement consolidé au sein du Directory Server engineering group à l'antenne grenobloise des Sun Labs. Dans cette antenne, une quarantaine de développeurs travaille sur les annuaires LDAP depuis 1996. Désormais libéré de tout lien contractuel avec Sun, Neil Wilson raconte ces pressions. Selon lui, elles expliquent pourquoi il a totalement disparu du projet. L'affaire peut paraître anecdotique, mais Neil Wilson était tout de même l'architecte du projet et avait écrit de sa main 50% du code existant. Son retrait brutal risque de ralentir la maturation d'OpenDS. Par ailleurs, dans le milieu très "politique" de l'Open Source, la façon dont est présenté le comportement de Sun l'expose à des critiques acerbes. La polémique, qui semble s'envenimer à la lecture des échanges entre Neil Wilson et Simon Phipps, Chief Open Source Officer chez Sun, attire les concurrents. C'est ainsi que des participants au projet OpenLDAP prennent la défense de Neil Wilson. Sun accusé de dévoyer l'esprit de l'Open Source ? Neil Wilson pousse les feux dans ce sens. Toute proportion gardée, cela rappelle les cris d'orfraie qui avaient été entendus lors de la signature de l'accord entre Microsoft et Novell, éditeur de Suse et traite à la cause... (...)
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