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Architecture logicielle
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(27/08/2007 17:01:18)
L'Inde ne supportera pas Open XML à l'ISO
A quelques encablures du vote final de l'ISO - prévu le 2 septembre - pour la normalisation d'Open XML, les organismes nationaux rendent leurs verdicts. Après les Etats-Unis, qui ont approuvé la standardisation, l'Inde la rejette de son côté. Le comité technique formé par le Bureau indien des standards (BSI - Bureau of Indian Standards), organisme qui siège à l'ISO, a émis plusieurs objections techniques sur le format, comme des problèmes de compatibilité complète avec le format concurrent OpenDocument (ODF). « Des problèmes techniques auxquels Microsoft ne pouvait pas répondre pour le moment », a déclaré D.B Phatak, professeur à l'Indian Institute of Technology et membre du comité technique. « Nous désapprouvons unanimement [la standardisation] d'Open XML après commentaire. Nous ferons de même lors du vote à l'ISO », a déclaré Nita Verma, directeur du comité technique à Forbes. Parmi les membres du comité, seuls Infosys - partenaire Microsoft - et CSI - une autre SSII indienne - auraient soutenu le format de Microsoft. (...)
(27/08/2007 12:04:02)Open XML défectueux dès la conception
Développeur indépendant, Stéphane Rodriguez démontre en treize points et autant de petits cas pratiques pourquoi le format Open XML sponsorisé par Microsoft est défectueux et ne sera jamais un standard. Des feuilles Excel gorgées de messages d'erreurs à la moindre modification à l'absence d'une quelconque argumentation ECMA 376, l'argumentation est solide. A condition de ne pas oublier que ce développeur indépendant de tout parti, organisation ou association pro- ou anti-Microsoft, vend lui même un tableur concurrent d'Excel - xlsgen - et compatible avec toutes les versions d'Office. Rappelons que vendredi 24 août, l'organisme de normalisation américain approuvait - dans un second vote - majoritairement la normalisation d'Open XML auprès de l'ISO. (...)
(24/08/2007 18:32:49)Les Etats-Unis disent oui à OpenXML
L'ISO a déjà reconnu un format de document bureautique modifiable de la famille XML, OpenDocument, notamment utilisé par OpenOffice, StarOffice et Google Apps. Mais, depuis des mois, Microsoft tente d'obtenir le même label pour son propre format bureautique XML, Office OpenXML, le format actuellement implémenté uniquement dans Microsoft Office 2007.
Dans un premier temps, Microsoft n'a pas obtenu le soutien de l'organisme de normalisation américain. Mais un second vote vient de lui être favorable grâce au changement d'avis de GS1, de Lexmark, de Nist et du ministère de la Défense américain.
Le plus surprenant est le revirement du ministère de la Défense américain qui, outre ses réserves en matière de sécurité sur la structure d'OpenXML, format qui peut comporter des données binaires potentiellement suspectes, s'offusquait, lors du premier vote, de l'intégration au standard OpenXML de plages de compatibilité avec les anciens formats bureautiques Microsoft (qui n'étaient pas « libérés » pour autant) et enfin de la possibilité d'intégrer à OpenXML des sous-formats propriétaires.
Ce revirement sur le sol américain pourrait influer la définition de la position de la France lors de deux réunions à l'AFNOR, les 28 et 29 août 2007.
Sur le même sujet
Microsoft perd un point dans sa quête du standard ISO pour Open XML.
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Ingres lance son offre décisionnelle basée sur Icebreaker
Ingres vient de lancer son offre décisionnelle Icebreaker BI Appliance. L'originalité de la solution réside dans le regroupement d'une base de données (Ingres 2006), d'un système d'exploitation (Rpath Linux) et de la suite décisionnelle en Open Source de JasperSoft (outils de reporting, fonctions d'analyse multidimensionnelle et tableaux de bord). La forte intégration entre ces trois composantes amène Ingres à qualifier son offre « d'appliance », même si celle-ci n'inclut pas de matériel (le mot appliance s'utilise habituellement pour désigner des solutions associant matériel et logiciel, et exclusivement destinées à une application bien spécifique). L'éditeur étudie néanmoins la possibilité de fournir Icebreaker BI avec un serveur, si ses clients le réclament. Il a déjà réalisé des tests avec IBM, HP, Dell et Sun. D'autres appliances décisionnelles, incluant cette fois le matériel, ont déjà été lancées depuis le début de l'année. IBM, par exemple, s'est associé avec Business Objects pour proposer une offre de ce type. De son côté, Cognos a proposé Cognos Now, une solution de tableaux de bord commercialisée à la fois sous la forme d'un package matériel/logiciel et en mode hébergé, comme un service en ligne (modèle SaaS, software as a service). 45 000 $ par an pour un ou deux processeurs Ingres propose sa solution Icebreaker BI Appliance d'Ingres à 45 000 $ par an pour un ou deux processeurs, dans une configuration pouvant gérer jusqu'à 2 To de données, ce qui conviendra à des PME, ainsi qu'aux départements de plus grandes entreprises. Les logiciels sont livrés en version anglaise mais les utilisateurs hexagonaux pourront obtenir un support en français. L'assistance de premier et deuxième niveau est assurée par Ingres. Jaspersoft prendra en charge les questions plus complexes sur le décisionnel. (...)
(23/08/2007 09:05:06)Le marché du SaaS progresse de 21 pour cent en 2007
En 2007, le marché mondial des applications d'entreprise fournies « comme un service » (SaaS, software as a service) va progresser de 21% par rapport à 2006, atteignant 5,1 Md$, selon les estimations de Gartner. Un chiffre d'affaires que le cabinet d'études voit plus que doubler d'ici à 2011, à 11,5 Md$. Rappelons que le modèle SaaS consiste à exploiter en ligne, sur abonnement, des logiciels hébergés par des prestataires spécialisés ou par les éditeurs eux-mêmes (Salesforce, Google, Microsoft, Business Objects ou encore, en France, Cegid et e-paye, parmi d'autres, proposent des logiciels sur ce mode). Gartner précise que ses estimations portent uniquement sur les logiciels applicatifs (progiciels de gestion, bureautique, outils de conférence Web...) et n'incluent pas les logiciels d'infrastructure (outils de développement, d'intégration de données ou d'administration informatique). Une adoption très variable selon les domaines Le cabinet d'études note que l'adoption du modèle SaaS varie largement d'un secteur applicatif à l'autre. En tête, on trouve les conférences Web, avec 70% de logiciels hébergés hors de l'entreprise, puis le e-learning (formation reposant sur des outils informatiques), où le taux d'adoption atteint 60%. En revanche, le recours au modèle SaaS reste anecdotique (1%) pour les applications de gestion de contenus d'entreprise (ECM, enterprise content management). Sharon Mertz, directeur de recherche chez Gartner, rappelle que le modèle convient particulièrement aux équipes géographiquement réparties et qu'il permet aux entreprises de ne pas prendre en charge l'administration de l'applicatif (mise à jour des versions et sauvegardes, par exemple). Les grands éditeurs redéveloppent pour le modèle SaaS Gartner note que les offres SaaS sont en progression dans des domaines comme la gestion des risques, le suivi des ventes et du service et l'optimisation des achats, en raison de leur facilité de déploiement, d'accès et d'utilisation. Sharon Mertz souligne aussi les efforts réalisés en ce moment par les grands éditeurs de logiciels pour modifier l'architecture de leurs applications afin que celles-ci puissent être proposées comme un service (NDLR : Microsoft, par exemple, a redéveloppé dans ce but son application de gestion de la relation client Dynamics CRM ; avec la future offre A1S, l'éditeur SAP prépare lui-aussi des processus de gestion accessibles en ligne). L'analyste de Gartner voit les clients de ces éditeurs investir dans les offres SaaS pour simplifier leurs procédures les plus complexes, mais elle estime aussi que cela leur permettra de tester le modèle en vue de l'adopter pour d'autres catégories d'applications. Pour elle, le modèle SaaS constitue notamment une bonne solution pour les PME. (...)
(22/08/2007 17:41:53)Flash supporte enfin H264/MPEG-4
Dans sa version 9, le lecteur Flash d'Adobe supportera H264. Egalement connu sous l'appellation MPEG4 Part 10, ce codec permet à Flash de lire des vidéos en haute définition. Supporté depuis 2003 par le lecteur QuickTime d'Apple, H264 fait l'unanimité tant chez ceux à la recherche d'une qualité HD (HD-DVD et Blu Ray) que parmi ceux désireux de transmettre de la vidéo malgré une étroite bande passante (vidéo sur mobile). Moviestar, nom de code de Flash 9, laisse entendre qu'Adobe compte bien jouer un rôle dans la vidéo en ligne. Il est possible de télécharger Flash 9 en bêta pour Windows, Mac OS et Linux. La version définitive arrive l'an prochain. (...)
(22/08/2007 09:14:38)Les SOA déçoivent avant même d'exister
Encore une étude qui minore le succès affiché des architectures orientées services (SOA). Après avoir interrogé une centaine de sociétés américaines, les cabinets Nucleus Research et Knowledge Storm constatent que moins d'une entreprise sur deux a adopté une démarche SOA et que les projets SOA pêchent par leur manque d'ampleur. Alors qu'ils devraient viser l'ensemble du système d'information pour être efficaces, les développements SOA n'adressent qu'un seul ou quelques projets. Plus grave encore, les retours sur investissement des projets SOA déçoivent. Pour Nucleus, les handicaps à surmonter sont multiples. Ils peuvent être d'ordre culturel (la réutilisation du code n'a pas la cote) mais aussi provenir d'un manque de formation ou de difficultés techniques sous-estimées comme le coût pour déployer des annuaires indispensables à l'efficacité d'une architecture orientée service. (...)
(21/08/2007 17:18:35)Trackvia, nouvel acteur des bases de données Web 2.0
Trackvia, petit éditeur américain installé dans le Colorado, vient tout juste de lancer officiellement sa base de données accessible en ligne et vendue par abonnement mensuel. Pourtant, il compte déjà 1 000 utilisateurs payants. Les fonctionnalités du produit le classent naturellement dans la catégorie des outils voués au Web 2.0 : la facilité avec laquelle la base Trackvia peut récupérer des informations issues de formulaires Web, notamment, ou bien sa capacité à gérer une liste de contacts, à faire des tris, des e-mailings ou encore à simplifier la collaboration entre utilisateurs. Ajouté à cela, Trackvia semble disposer d'un moteur de recherche plutôt rapide. Une douzaine d'autres logiciels l'ont déjà précédé sur le créneau des bases de données Web 2.0, parmi lesquelles Matt McAdams, fondateur et PDG de Trackvia, reconnaît comme concurrents potentiels des produits comme WebOffice de WebEx, QuickBase d'Intuit ou encore DabbleDB. Mais le PDG tâche de se différencier, notamment en résistant à la tentation de rejoindre des réseaux sociaux comme Facebook sur lesquels on peut exploiter des applications en ligne. Il confie que l'éloignement géographique de sa société par rapport à la Silicon Valley aide son équipe à rester « intellectuellement humble » et proche de ses clients. La société s'est créée en 2005 avec l'objectif de développer une base de données qui remplacerait avantageusement le recours au tableur (Excel généralement), un outil toujours utilisé, souvent de façon peu appropriée, dans nombre de petites et moyennes entreprises, tout autant qu'au sein de groupes de travail de plus grosses structures. "Quatre-vingts pour cent de nos utilisateurs viennent d'Excel et vingt pour cent du tableau mural", se vante Matt McAdams. Les quatorze premiers jours d'utilisation de la base sont gratuits. Le prix est ensuite de 9,95 dollars par utilisateur et par mois. (...)
(20/08/2007 18:02:14)Microsoft propose Windows Live ID Web à tous
Microsoft met à disposition Windows Live ID Web Authentication 1.0, un SDK (Software Development Kit) pour l'implantation d'un service d'identification sur des sites Web. Ce SDK permet de développer une interface pour aller se faire référencer sur le service Windows Live ID, énième tentative d'imposer Passport, système d'identification maison. L'importance stratégique de l'identification unique, d'une part, et la nécessité d'instaurer un climat de confiance propre à faciliter le e-commerce, d'autre part, explique l'entêtement de Microsoft à re-proposer sans cesse Passport, technologie connue aussi sous les noms d'Infocard et de CardSpace. Les mêmes raisons poussent évidemment les concurrents de Microsoft à freiner autant que faire se peut l'adoption de Passport. Et IBM de proposer Higgins, Novell de pousser Bandit tandis que tout le monde s'essaye à rallier le plus grand nombre d'adhérents à ses "alliances" destinées à imposer un SSO sur les systèmes d'information des entreprises. On peut citer la Liberty Alliance (Sun), la Ws-Foundation et l'Identity Governance Framework (IGF). Dans la perspective d'imposer une solution unique de signature unique, Microsoft prend la peine de proposer son SDK tant sous des langages maisons comme ASP.NET, que sous Java, Perl, PHP, Python et Ruby. L'application développée est, bien sûr, portable sur Ws XP, Vista, Linux et MacOS. (...)
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