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Architecture logicielle
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(31/05/2007 15:20:43)
Le premier Google Web Toolkit communautaire est disponible
Google a mis en ligne la version 1.4 RC de GWT (Google Web Toolkit), sa boîte à outils Open Source pour développer des applications de type Ajax en Java. Il s'agit, explique le responsable du projet Bruce Johnson sur son blog, de la première version du GWT réalisée grâce aux contributions de la communauté de ses utilisateurs. GWT est en effet passé sous licence Apache en décembre dernier, afin de mobiliser les développeurs Open Source. Il semble que la stratégie ait fonctionné : Google a annoncé avoir dépassé la barre du million de téléchargements. La version 1.4 RC de GWT est une « release candidate », elle préfigure donc ce que sera la 1.4 définitive. Au menu, figurent notamment des améliorations de performances sensibles. D'après Bruce Johnson, recompiler son code avec cette version du GWT permettrait de réduire sa taille de 10 à 20%. Le lancement a été optimisé, les modules démarrant plus rapidement de 33%. Bruce Johnson insiste aussi sur une fonction « qu'il faut voir pour croire », dite « ImageBundle », capable de créer une image composite à partir de plusieurs images, consolidant ainsi les requêtes HTTP en une seule. Sur le même sujet : - La boîte à outils Ajax de Google passe sous licence Apache - Entretien avec Didier Girard, de retour de Javapolis (...)
(31/05/2007 13:01:19)Google Gears rend disponibles hors ligne les applications en ligne
Google a réservé une belle surprise à ses invités pour sa première journée développeurs mondiale, en Australie : l'annonce de Google Gears, une technologie Open Source pour rendre les applications en ligne exploitables hors ligne. Actuellement en bêta, Google Gears se présente sous la forme d'un plug-in pour navigateurs de 700 Ko environ, contenant une mini-base de données relationnelle permettant de stocker en local des données téléchargées. Ainsi, Google a livré une version modifiée de son Reader, le lecteur de flux RSS, capable d'exploiter cette technologie : en ligne, Google Reader charge les flux auquel l'utilisateur est abonné, et ce dernier pourra lire les informations une fois déconnecté. Le plug-in se charge de détecter les connexions/déconnexions, et d'effectuer les synchronisations nécessaires. Il améliore également, explique Google, les performances du Javascript. Aujourd'hui, seuls Firefox et Internet Explorer sont concernés (respectivement à partir des versions 1.5 et 6.0), mais Opera et Safari seront aussi supportés. Côté système d'exploitation, Google Gears vise aussi bien Windows que Linux et Mac. La compatibilité sera assurée avec Apollo d'Adobe Eric Schmidt, le patron de Google, a déclaré dans un communiqué qu'il s'agissait de débloquer « une limitation clé du navigateur de façon à en faire une plateforme plus solide pour le déploiement de tout type d'application et à permettre d'améliorer l'expérience utilisateur ». Les applications bureautiques de Google bénéficieront bien sûr de ces capacités hors ligne, ce qui devrait les rendre plus compétitives face aux suites bureautiques classiques. Google Gears constitue aussi une menace sérieuse pour les autres projets visant à rendre plus floue la frontière entre applications desktop et applications Web. On pense notamment à Apollo, le projet d'Adobe. Toutefois, ce dernier est partenaire de Google (de même qu'Opera et Mozilla), et s'appliquera à respecter les mêmes API (interfaces de programmation) de façon à assurer un minimum de compatibilité. La prochaine bêta d'Apollo embarquera d'ailleurs aussi une mini-base de données. Comme l'explique Ryan Stewart, évangéliste RIA (applications Internet riches) chez Adobe, sur son blog, « cela devrait signifier que les développeurs pourront assez facilement naviguer entre Apollo et Gears selon que l'un ou l'autre conviendra mieux aux différents types d'applications ». (...)
(30/05/2007 18:10:39)Wygwam lance le projet Open Source OpenXML4J autour du format OpenXML
Reconnu dans la communauté .NET et Open Source, Wygwam est fortement impliqué dès son origine dans le format de document Open XML (norme ECMA 376-ISO DIS 29500). La société lilloise et belge lance aujourd'hui le premier projet Open Source autour de ce format à l'intention des développeurs Java. OpenXML4J est une API permettant de manipuler dans ses applications l'ensemble des documents supportant l'Open Packaging Convention, à savoir les documents Word, Excel, PowerPoint (dans leur format Office 2007) et le tout récent format XPS. L'objectif est de promouvoir l'interopérabilité du format Open XML en termes de technologies et de plateformes. Selon la feuille de route du projet, la première brique implémentée est celle de l'Open Packaging Convention Part 1 : structure et socle fondamental de tout document Open XML et XPS. OpenXML4J est distribué sous licence BSD/Apache v2. Le projet possède un site web officiel : http://www.openxml4j.org/ (...)
(30/05/2007 18:09:59)Blueprint accélère le cycle de vie des exigences
Basé à Toronto, l'éditeur Sofea s'est renommé Blueprint Systems pour le lancement américain d'un ensemble d'applications de gestion des exigences. Pour ce faire, Blueprint se délimite un nouveau marché émergent, le Requirements Lifecycle Acceleration (RLA) dont il est évidement le précurseur et le leader. L'éditeur annonce le lancement de Blueprint Requirements Center 2007, une solution basé sur les rôles pour la RLA qui inclut la définition des exigences, la simulation d'application, la validation des exigences. La solution supporte la collaboration pour les équipes sur des projets distribués ou globaux. Blueprint Requirements Center 2007 est disponible en trois versions intégrées : Analyst, Developer et Tester. Blueprint Requirements Center Analyst permet à l'analyste fonctionnel de mieux communiquer avec le client, les équipes de développement et de test. Il lui permet de définir les fonctionnalités de l'application, de simuler les processus de bout en bout et de packager le contexte métier en une plateforme de référence. Blueprint Requirements Center Developer, destiné aux développeurs et aux architectes, permet de référencer les modèles d'exigences métier, d'exécuter des simulations riches, et d'exporter des rapports et des artéfacts vers ses outils de développement. Blueprint Requirements Center Tester fait le lien entre les définitions des exigences et l'assurance qualité. Il génère automatiquement 100% des cas d'utilisation pour fournir 100% de couverture des exigences. Blueprint Requirements Center 2007 est disponible. L'éditeur envisage de sortir une extension gratuite, Blueprint Reader, facilitant la collaboration, en juillet de cette année. (...)
(30/05/2007 18:09:19)Compuware s'apprête à lancer une gamme de produits ALM
Selon notre confrère Computerworld, Compuware est sur le point de dévoiler une gamme d'outils de gestion du cycle de vie des applications (Application Lifecycle Managment, ALM) autour d'un outil de gestion des exigences. Cette nouvelle gamme de produits, Compuware Optimal, a été créée pour s'assurer que les exigences métier sont toutes en phase avec les processus de développement. L'outil de gestion des exigences, Optimal Delivery Manager, fournit un ensemble de tableaux de bord permettant de mesurer la manière dont les différentes activités, telles que la gestion du projet et l'assurance qualité, sont réalisées par rapport à une liste des exigences créée au début du projet. Les produits Compuware DevPartner, OptimalJ, Optimal Trace et QACenter seront intégrés dans les tableaux de bord d'Optimal Delivery Manager. « L'idée est de donner une visibilité de bout en bout du cycle de vie de tous les projets à travers une organisation de la livraison d'applications », commente Mike Burba, directeur marketing des solutions de gestion des livraisons d'applications chez Compuware. « Nous poussons maintenant automatiquement les métriques de chacun de ces outils dans un tableau de bord intégré. Cela signifie que les métriques sur ces tableaux de bord utilisent les exigences métier comme unité de mesure ». Optimal Delivery Manager sera annoncé la semaine prochaine pour une disponibilité le 15 juin. (...)
(30/05/2007 11:02:07)BEA ajoute le traitement d'événements complexes à son offre de serveurs Java
La famille de logiciels serveurs Java Weblogic s'enrichira cet été d'un serveur de traitement automatisé des événements (technologie EDA : event driven architecture). WebLogic Event Server est, selon BEA, le premier logiciel conçu pour le traitement d'événements complexes (CEP, complex event processing) écrit en Java. « Auparavant, confie Martin Percival, évangéliste technique senior chez BEA, il fallait des logiciels écrits en C ou C++, afin de garantir un niveau de performances suffisant. » En recourant à ses technologies temps réel, BEA assure pouvoir gérer 50 000 événements par seconde, et appliquer des règles complexes à 10 000 événements par seconde. A titre d'exemple, un logiciel de CEP spécialisé comme celui de Streambase peut gérer, selon son éditeur, 500 000 messages par seconde et par processeur. Ces outils sont particulièrement utilisés dans la finance ou la logistique, où il faut automatiser le traitement d'un nombre considérable d'événements : ordres de Bourse, lecture d'étiquettes RFID, etc. La Deutsche Bank fait par exemple partie des bêta-testeurs de Weblogic Event Server. Un pas vers le système nerveux automatique Le produit de BEA n'est donc pas aussi rapide que les outils spécialisés existants, néanmoins Martin Percival pense que Weblogic Event Server devrait séduire les clients habituels de ce type de solution. D'une part parce qu'il s'agit d'un marché de niche occupé essentiellement, jusqu'à présent, par de petits acteurs (Progress, en rachetant Apama, Tibco et Oracle ont récemment investi le marché), et que BEA peut jouer sur son image de pérennité. D'autre part, parce que le fait d'être en Java « apporte plus de flexibilité », explique Martin Percival, pour une entreprise dont le reste de l'infrastructure reposerait sur du Java. Dans son communiqué, BEA indique par ailleurs que Weblogic Event Server représente une évolution vers une « event-driven SOA », ou architecture orientée services guidée par les événements. De la même manière qu'Oracle avait présenté son offre en s'appuyant sur une analyse de Gartner, qui voyait dans le couple SOA et EDA la version 2 des SOA. Martin Percival pense aussi que cette annonce constitue un pas vers la fameuse colonne vertébrale automatisée - ou système nerveux - du SI dont les analystes commencent à parler, mais ne va pas aussi loin que Gartner. « Je crois que l'EDA trouve particulièrement bien sa place dans les SOA, mais vous pouvez très bien avoir l'un sans l'autre. » Le produit est disponible aujourd'hui en bêta. Les tarifs n'ont pas encore été fixés. (...)
(29/05/2007 12:31:13)Microsoft annule le PDC 2007, son rendez-vous pour développeurs
Microsoft a décidé d'annuler le PDC 2007 (Professional Developer Conference), son grand raout annuel tourné vers les développeurs professionnels, qui aurait dû se tenir en octobre à Los Angeles. L'éditeur invoque des problèmes de décalage entre la sortie de certains de ses produits et le calendrier de la conférence. Traditionnellement, le PDC donne l'occasion aux développeurs de découvrir en avant-première les plateformes et les infrastructures futures de Microsoft. En 2005, l'éditeur de Redmond y avait notamment dévoilé la suite Expression, un mois avant sa sortie officielle. Ainsi, selon Microsoft, l'édition 2007 du PDC arriverait bien trop en retard, après l'annonce de l'essentiel de ses produits. "Comme le PDC est un événement résolument pour les développeurs [...], nous essayons de l'aligner avec les plateformes clés. D'ici cet automne, toutefois, les technologies à venir, Windows Server 2003, SQL Server "Katmai", Visual Studio "Orcas", et Silverlight seront déjà entre les mains des développeurs et proches de leur lancement [...]", s'est expliqué Microsoft, sur un blog MSDN. Dans le même post, Microsoft parle d'une reprogrammation de la manifestation. Tout en confirmant le calendrier d'autres événements orientés développeurs dans l'année, comme le TechEd à Barcelone (du 5 au 9 novembre 2007). (...)
(22/05/2007 17:54:01)L'offre d'administration de HP pour les SOA en ordre de marche
Un mois après la clôture définitive du rachat de Mercury, HP a totalement repris à son compte la stratégie BTO (Business technology optimization). Et le prouve, en annonçant sa déclinaison pour les architectures orientées services (SOA) : un ensemble d'outils et de services destinés à évaluer son degré de maturité, à accompagner la définition des besoins, à effectuer les tests et enfin à superviser la production. En résumé, le concept de BTO vise à améliorer l'efficacité des directions informatiques au service des directions métiers. Il se décline en 9 « centres d'excellence » mis au point par Mercury, qui visent l'un à garantir les performances, l'autre la gestion de projet, etc. L'offre HP pour les SOA s'appuie sur ses outils déjà existants, adaptés spécifiquement pour les SOA : HP reprend d'ailleurs les « centres d'excellence » en leur ajoutant le suffixe « for SOA ». Ce faisant, HP fait la jonction avec les outils Systinet - un ancien partenaire qui avait été racheté par Mercury - dont le référentiel sert à gérer le cycle de vie des services Web, et avec SOA Manager, son outil de gestion des services Web hérité du rachat de Talking Blocks en 2003. Pour l'évaluation de son degré de maturité face aux SOA, HP a ouvert au public un questionnaire en ligne. Des données ont déjà été fournies par IDC, ce qui donne la possibilité de se comparer à d'autres entreprises de son secteur ou de sa taille. Le 6e éditeur de logiciels, avec un CA de 2,4 Md$ L'annonce, effectuée hier, a été relayée aujourd'hui à Paris lors des premières « assises du BTO » organisées par HP France, qui ont rassemblé quelque 500 personnes, clients et partenaires. A la suite des acquisitions de Peregrine et de Mercury, HP tient à faire savoir qu'il est devenu un acteur qui compte dans le logiciel, et plus seulement à cause de son offre de supervision Openview. « Ce n'est pas une lubie, HP est un éditeur à part entière, a insisté Christophe Bouchardeau, le patron de la division Software de HP France. Nous étions moins de 20 personnes il y a deux ans, nous sommes 110 aujourd'hui. [...] Et nous avons une croissance organique de plus de 30%. » Un peu plus tôt lors de cette journée, Michel Isnard, vice-président Europe du sud, avait lui aussi tenu à rappeler quelques chiffres, indiquant que HP est « le sixième éditeur de logiciels dans le monde », avec un chiffre d'affaires de 2,4 Md$. Environ la moitié du CA serait réalisée en Europe, où HP dispose de plusieurs centres de compétence. Luc Vogeleer, responsable du centre de compétences SOA de Sophia-Antipolis, racontait ainsi en privé qu'il accueille régulièrement des équipes souhaitant démontrer à leur DSI le bien-fondé d'une architecture orientée services. (...)
(22/05/2007 17:00:25)Salesforce promet des architectures orientées services en ligne
Salesforce s'intéresse aux SOA (architectures orientées services). Le champion des applications en ligne de gestion de la relation client vient (GRC) d'annoncer Salesforce SOA, censé permettre la création d'applications composites depuis des offres hébergées (Saas, software as a service). Certes, Apex, l'environnement de développement promis par Salesforce, ne sera pas disponible en-dehors d'une version bêta avant décembre prochain. Mais, d'ici là, on pourra donc imaginer tous les avantages à développer des Services Web pour évoluer vers cette architecture orientée services intégrant des applications en ligne. Si le projet Salesforce SOA, encore dans les limbes, a le mérite de présenter une approche élégante pour l'intégration entre les vieux applicatifs et les offres de Salesforce, il est difficile de voir ce qu'il y a de vraiment nouveau dans cette annonce ; Salesforce a déjà quasiment tout dit sur Apex. René Bonvanie, vice-président marketing senior et responsable de l'offre AppExchange, explique que « la nouvelle technologie est la possibilité pour Apex d'appeler et de coordonner des services Web ». On serait donc en face d'un outil de mash-up géant (le mash-up consistant dans le mélange de services hétérogènes). Un accord avec Skype, et bientôt un avec Google ? Par ailleurs, la semaine dernière, SalesForce avait annoncé l'intégration du logiciel de VoIP Skype, via sa plateforme AppExchange, à ses applicatifs de GRC. SalesForce, qui revendique 575 applications pour sa plateforme AppExchange, précise qu'elles peuvent toutes intégrer Skype. Enfin, le Wall Street, dont les sources sont toujours de premier ordre, annonce des négociations entre Salesforce et Google. L'éditeur pourrait ajouter à son offre une partie des Google Apps, cette suite en ligne gratuite d'outils de productivité individuelle que Google propose aussi à des entreprises et, désormais à des partenaires. Commercialisés de pair avec les services de GRC de SalesForce, des outils comme la messagerie gmail constitueraient un ensemble applicatif intéressant face aux offres de Microsoft. (...)
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