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Architecture logicielle

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(10/05/2007 17:35:16)
JavaOne : Intel va porter Java sur l'Itanium
La conférence JavaOne de San Francisco est toujours aussi riche en annonces de toutes sortes. Cette fois, c'est Intel qui affirme qu'il va permettre à Java de tourner sur l'Itanium, le processeur 64 bits développé conjointement avec HP, IBM, Bull et Sun. Sun qui affirme - du moins officiellement - ne plus vouloir utiliser cette puce au passé plutôt chaotique. Jonathan Schwartz, son PDG, avait même été assez critique à son sujet. L'accord signé en janvier avec le fondeur ne prévoit d'ailleurs que la livraison de processeurs Xeon. Cela n'empêche pas Intel de vouloir persévérer. « Ils comprennent qu'Itanium est important pour nous. Cela fait partie de nos relations », a ainsi affirmé Renee James, vice-président et directeur général d'Intel, à propos de Sun. « Nous avons annoncé vouloir nous appuyer sur Xeon lorsque nous avons entamé des discussions avec Intel et c'est ce que nous faisons actuellement », insiste de son côté Bob Brewin, responsable technique logiciel de Sun. Ce dernier reconnaît toutefois discuter avec le fondeur à propos du fameux processeur 64 bits. Quoi qu'il en soit, la migration sur Java Virtual Machine est planifiée pour l'année prochaine. Rappelons que la JVM WebLogic JRockit de BEA est déjà optimisée pour fonctionner avec l'Itanium. Que l'Itanium apparaisse ou non au catalogue Sun, les deux entreprises poursuivront leur collaboration dans Java. « Dès que nous avons commencé à travailler ensemble, nous avons amélioré de 20% les performances de Java », affirme ainsi Renee James. Le jeu d'instructions développé par Intel aurait servi de levier à cette optimisation. Actuellement, les deux entreprises s'attachent à doper Java sur l'ensemble des processeurs multicoeur d'Intel. (...)
(10/05/2007 17:30:27)Rencontre le 14 mai avec Andi Gutmans sur le thème « PHP pour l'entreprise »
Le nom d'Andi Gutmans a dépassé les murs de la communauté Open Source et c'est en tant que co-architecte historique du PHP, co-fondateur de Zend Technologies et initiateur/coordinateur du projet collaboratif Zend Framework, qu'il sera le roi d'une soirée le 14 mai. Celle-ci marque la rencontre du monde de l'entreprise (de nombreux décideurs seront présents) avec celui de la communauté traditionnelle des développeurs PHP. Ouverte à tous, elle est co-organisée par l'Afup (Association française des utilisateurs de PHP), Anaska (formations Open Source) et Zend Technologies (produits et services associés au développement, au déploiement et à la gestion d'applications PHP pour l'entreprise). Le thème « PHP pour l'entreprise » sera abordé lors de ce rendez-vous, avec, au cours de la première partie, une analyse des enjeux stratégiques et la ligne d'évolution directrice du Zend Framework pour le monde de l'entreprise par Andi Gutmans. Il fera aussi le point sur l'état de PHP et les tendances émergentes pour la création d'applications web nouvelle génération, adaptées aux besoins des entreprises. Enfin, il présentera une nouvelle communauté francophone, lancée et animée par des acteurs français. Lors de la deuxième partie du rendez-vous, plusieurs thèmes seront traités par différents acteurs de la sphère PHP, comme le bridge PHP/Java (pour bénéficier de la complémentarité des deux technologies), le cadre applicatif Zend Framework MVC et le lancement de la campagne de certification PHP pour 2007-2008. (...)
(10/05/2007 15:59:47)JavaOne : Java et Netbeans parés pour le temps réel
Sun a présenté à sa conférence JavaOne 2007 à San Francisco les extensions temps réel pour sa plateforme Java et son atelier de développement Netbeans. Java Real-Time System 2.0 (Java RTS) est la première implémentation réalisée par Sun de la spécification JSR 1 définie par le JCP (Java Community Process) en juillet dernier. Java RTS permet de déterminer à l'avance les temps de réponse des instructions du programme ; il s'agit donc bien de temps réel au sens industriel, aussi appelé déterminisme. Le module pour Netbeans permet quant à lui de développer au sein de l'atelier sur tout poste client sans avoir à installer Java RTS, et de déployer sur un serveur équipé de Java RTS. (...)
(09/05/2007 17:34:35)JavaOne : JavaFX, le langage de script qui fait entrer Java dans l'ère des RIA
JavaFX Script est un nouveau langage de script s'appuyant sur l'environnement d'exécution Java (JRE). Il s'exécute sur toutes les plateformes supportant JavaSE, dont les mobiles (avec la plateforme JavaFX Mobile). Il est issu du projet F3 (Form Follows Function), initié par Chris Olivier au sein de Sun. C'est un langage de script déclaratif et statiquement typé qui utilise les bibliothèques Java2D Swing pour construire des interfaces riches et interactives. Il bénéficie des avantages du modèle de programmation Java : la structuration du code, fonctionnalités de réutilisation et d'encapsulation telles que les packages, les classes, l'héritage, les units de compilation séparée et de déploiement. Sun prévoit de placer le code de JavaFX Script en Open Source, sans toutefois définir encore la gouvernance, la licence et le modèle communautaire. Mais les outils ne sont pas encore prêts et aucune feuille de route n'est dévoilée. Pour l'heure, Le projet OpenJFX a été créé pour partager les versions préliminaires du langage et fédérer son développement. A l'évidence, cette nouvelle plate-forme RIA se pose en concurrence d'Apollo/Flex d'Adobe et de Silverlight de Microsoft. Sun préfère y voir une alternative à AJAX, basé sur JavaScript dont le nom n'a d'ailleurs rien à voir avec Java. Mais là où l'environnement d'exécution de Flash pèse 2 Mo, celui de Silverlight 4 Mo, et où AJAX n'a besoin de rien d'autre qu'un navigateur, JavaFX Script aura besoin du JRE qui pèse dans les 16 Mo. Sur le même sujet : - MIX 2007 : Ray Ozzie place Silverlight au centre de sa stratégie logiciel/service - Adobe libère Flex pour mieux contrer Microsoft (...)
(09/05/2007 14:36:47)JavaOne : Sun fait définitivement le choix de GPLv2
Sun a profité de la JavaOne Conference, qui se tient actuellement à San Francisco, pour annoncer que la quasi totalité de son code source était à présent disponible sous Open Source, à travers la licence GNU GPLv2. Selon Rich Sands, marketing manager OpenJDK community chez Sun, la société souhaite désormais s'appuyer sur la communauté Open Source pour endiguer l'anarchie actuelle. Il semble en effet que la désinvolture qui prévalait jusqu'à ce jour envers GPLv2 se soit soldée par ce que Rich Sands appelle un « encombrement » du code source. Sans vouloir pour autant détailler quelles étaient les quelque 6,5 millions de lignes de code « encombrées », ce dernier a précisé que la question se posait tout particulièrement pour Java 2-D, notamment pour tout ce qui touche à la fonte et au tramage graphiques. Des solutions alternatives sont bien disponibles sur Open Source, toutefois elles ne supportent pas actuellement les interfaces de programmation de Java 2-D. Dans un premier temps Sun va fournir un Java Development Kit à base de plug-ins pouvant être utilisés avec l'ensemble du code source disponible sur GPLv2. Pour le futur, le groupe envisage de travailler avec la communauté Open Source pour réécrire l'ensemble des codes surchargés avant de les mettre à disposition. En mai 2006, le PDG, Jonathan Schwartz, et Rich Green, alors tout nouveau vice-président en charge des logiciels, avaient fait part de leur volonté de mettre gratuitement à disposition l'ensemble des sources Java de Sun. Afin d'éviter toute perte de contrôle, le fournisseur décidait en novembre de mettre son kit de développement à l'abri sous sa propre licence de développement et de distribution (Common Development and Distribution License). Aujourd'hui, Sun fait clairement le choix de GPLv2. Il espère ainsi convaincre les développeurs Linux d'intégrer Java à leurs OS. (...)
(07/05/2007 16:20:53)Micro Focus avale son rival Acucorp sur le marché Cobol
La concentration dans le secteur du logiciel touche aussi le monde Cobol : Micro Focus, dopé par ses bons résultats, vient d'annoncer l'acquisition d'Acucorp, pour 40,7 M$. Acucorp édite plusieurs logiciels pour les développeurs Cobol, notamment un atelier de développement graphique permettant de créer des applications Web, une machine virtuelle pour déployer du Cobol « sur plus de 600 environnements », et plusieurs outils d'accès aux données. Micro Focus propose déjà des outils comparables et ne cache pas, dans sa lettre d'intention, qu'il lui faudra procéder à une restructuration (l'éditeur annonce une charge de 8 M$ pour son prochain exercice fiscal). Micro Focus semble donc plus intéressé par les 4000 clients revendiqués par Acucorp. Le communiqué de Micro Focus dit en effet que « l'acquisition procure à Micro Focus l'opportunité d'étendre son rayon d'action au marché des petites et moyennes entreprises ». Sachant que Micro Focus s'enorgueillit de son côté de compter parmi ses clients 70 des grands comptes 'Global 100'. Micro Focus a terminé l'année, le 30 avril, sur un chiffre d'affaires d'environ 170 M$ (contre 143,7 M$ en 2006) - en comptant les revenus de Hal Knowledge Solutions, éditeur d'une solution de gestion du portefeuille applicatif, acquis en novembre dernier pour 3,5 M$. Au 31 décembre dernier, les actifs d'Acucorp étaient estimés 13,1 M$. (...)
(07/05/2007 15:11:31)JavaOne : Javascript et JRuby en vedette de Netbeans 6.0
Alors que les portes de JavaOne ouvriront demain à San Francisco, des dirigeants de Sun ont laissé entendre que le public de la conférence devrait avoir accès à une pré-version de Netbeans 6.0. La prochaine version de l'atelier de développement Open Source de Sun fera une place plus large aux langages de script. Centré jusqu'à présent sur le développement Java et C++, Netbeans offrira un support de Javascript plus complet qu'auparavant, et accueillera en son sein JRuby, implémentation Java du langage de script Ruby (capable, donc, de s'exécuter sur la machine virtuelle Java). « Il y a du Javascript partout, explique Gregg Sporar, évangéliste technique de Sun pour le projet Netbeans. Nous voulons faire de Javascript un citoyen de première classe au sein de l'environnement de développement. » Sun espère que les développeurs utiliseront ainsi Netbeans à la fois pour développer des structures robustes en Java et des interactions Web avec des langages de script. La sortie de Netbeans 6.0 est prévue pour la fin de l'année. (...)
(07/05/2007 11:17:10)Le projet Mono pourrait porter Microsoft Silverlight sur Linux
Silverlight pourrait bien venir sur Linux par le biais du projet Mono. Cette implémentation Open Source de .Net sur Linux initiée par Miguel de Icaza, aujourd'hui vice-président de Novell, a prévu d'effectuer le portage, sans toutefois établir de calendrier précis. « C'est une extension naturelle de ce que nous faisons », explique Miguel de Icaza. Silverlight est la technologie créée par Microsoft pour porter l'interface graphique de Vista, WPF (Windows Presentation Foundation), sur d'autres plateformes, par le biais de plug-in dans les navigateurs. Le but de Miguel de Icaza est de développer un moteur graphique, en se basant sur les spécifications données par Microsoft, afin de pouvoir consommer du contenu Silverlight sur Linux. « Nous espérons pouvoir démontrer un prototype d'ici à la fin de l'année », indique Miguel de Icaza. Qui souligne que les échéances dépendront aussi de celles de Microsoft. Seul point noir à l'horizon : Silverlight nécessite l'utilisation d'un codec vidéo, VC-1, dont le projet Mono devra obtenir une licence commerciale. (...)
(04/05/2007 16:58:08)Services Web : Microsoft et IBM soumettent WS-Federation à l'Oasis
Polémique autour des standards de gestion d'identité. Microsoft et IBM ont décidé de soumettre à l'Oasis, WS-Federation, leur propre norme définissant le partage des identités entre services Web. Une initiative qui vient empiéter sur les terres de SAML, autre standard de fédération des identités déjà approuvé par l'Oasis, et surtout rejeté par Microsoft en 2005. L'Oasis (Organization for the advancement of structured information standards) a ainsi annoncé la création d'un comité technique qui guidera les spécifications WS-Federation 1.1 vers la standardisation. Développé en 2002 par Microsoft et IBM, WS-Federation repose sur d'autres aprotocoles WS-*, notamment le standard WS-Trust et WS-Transfer, non normalisé pour l'heure. C'est notamment sur ce dernier point qu'ont jailli les critiques. Pour certains, WS-Federation repose sur des protocoles qui ne sont pas des standards. Rappelons que SAML 2.0 a, quant à lui, été ratifié en 2005 et est notamment supporté par la Liberty Alliance. Ce qui, pour certains, représente un gage de maturité évident. "Dans cette perspective, il apparaît qu'il en résulterait une duplication malheureuse des fonctionnalités de SAML, avec en plus pour l'utilisateur, la complexité et les coûts à assumer", commente un supporter de SAML dans un document remis à l'Oasis. De son côté, un porte-parole de l'Oasis a déclaré à nos confrères d'IDG News Service qu'il existait de nombreux exemples de chevauchement de standards dans les services Web. Et de citer UDDI (Universal description, discovery and Intergration), en doublon avec Electronic Business XML, deux annuaires concurrents de services Web. Reste à déterminer, si toutefois WS-Federation était approuvé par l'Oasis, quel standard choisir. Pour Marc Goodner, responsable Microsoft qui siègera au sein du comité technique, un des avantages du protocole Microsoft est justement qu'il appartient à la famille WS-*, mais également qu'il repose sur WS-Trust. Et ajoute que le comité ne se penchera pas sur ce problème de doublon. En janvier 2007, la Liberty Alliance et Microsoft ont décidé de rendre intéropérables leurs normes respectives - ID-WSF pour le premier, WS-Federation pour le second- gérant la gestion des identités. Les deux sociétés estimant finalement que ces deux normes étaient complémentaires. (...)
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