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Architecture logicielle
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(18/04/2007 17:13:12)
3,5 millions de développeurs Ajax
Dans une étude récemment publiée par le cabinet Evans Data « AJAX Development Survey », il apparaît que le nombre de développeurs ayant adopté Ajax a progressé de 50% en un an pour atteindre 3,5 millions. Cette étude, menée auprès de 385 développeurs utilisant ou évaluant Ajax, explore les patterns d'adoption, caractérise les applications créées avec Ajax et identifie les frameworks et les outils utilisés. Les extraits de cette étude de 200 pages que l'on peut consulter sur le site d'Evans Data concernent les frameworks primaires, les mash-ups initiés par les utilisateurs et les principales barrières d'adoption d'Ajax. Concernant les frameworks, il apparaît que les développeurs utilisent un nombre très varié d'outils. Avec 44%, Apache Struts est le framework le plus utilisé. Près d'un quart des développeurs (23%) utilisent Zend Framework, un framework pour construire des applications Web en PHP, reflétant ainsi la forte croissance de ce langage de script. Parmi les autres frameworks utilisés, on peut noter Spring (21%), Apache Cocoon (20%), Rails (16%). Ce dernier, un framework Open Source, montre également l'émergence du langage Ruby. Le framework Mono, une implémentation de la plate-forme .NET sur Linux, attire 12% des développeurs. Lorsqu'on questionne les entreprises sur les plus grands obstacles à l'adoption d'Ajax, elles sont en général d'accord sur le manque de formation et de compétences en technique de programmation. Pour plus de la moitié (58%), c'est le problème de la compatibilité des navigateurs. L'étude d'Evans Data suggère qu'il y aura une croissance continue de l'utilisation d'AJAX dans l'année qui vient. (...)
(17/04/2007 16:34:19)Oracle lance AIA, son offre d'applications composites
Oracle s'est officiellement lancé sur la voie des applications composites. L'éditeur a annoncé AIA (Application integration architecture) à la conférence utilisateurs Collaborate '07, à Las Vegas. Le principe d'AIA est de fournir des processus prêts à l'emploi sous forme de packs, s'appuyant à la fois sur l'offre progicielle d'Oracle et sur son middleware Fusion. C'est donc très proche de ce que SAP propose depuis longtemps avec ses xApps (ou Cross Apps) : relier divers modules fonctionnels, à l'aide notamment d'un outil de gestion des processus métier (BPM) et d'un bus de services (ESB) afin de construire des applications dites composites, collant davantage aux besoins des clients. « Cela a la même ambition, confirme Lionel Dubreuil, responsable marketing techno pour les applications chez Oracle France. Sauf que pour nous, les applications composites peuvent s'appuyer sur notre offre, celle de nos partenaires mais aussi sur toutes les applications que nous avons rachetées. » Lionel Dubreuil explique par ailleurs qu'AIA s'inscrit dans la stratégie d'évolution des produits qu'Oracle avait déjà annoncée. De fait, avec toutes ces technologies à intégrer (Oracle a procédé à plus de 20 Md$ d'acquisitions en un peu plus de deux ans), seule l'option SOA (architecture orientée services) est valable : exposer des fonctionnalités en tant que services, et orchestrer ces derniers à l'aide d'un outil de BPM. L'effort d'intégration qu'Oracle doit réaliser se situant alors au niveau de la définition des objets métier des applications. A partir du moment où les différentes applications partagent un vocabulaire XML, il est possible de recourir à un référentiel commun et d'assembler les services reposant sur ces objets. Oracle souligne que les clients comme les partenaires peuvent ainsi réaliser leurs propres applications composites, tout reposant sur des standards. De même, le recours à XML permet de mettre à jour les applications tout en conservant la personnalisation des objets métier. Dans sa présentation aux Etats-Unis, Oracle a même employé la notion de « sustainable integration » (intégration durable). Oracle veut faire d'AIA une opportunité pour les partenaires Un pack AIA fournit les outils nécessaires à la réalisation et à la personnalisation de l'intégration d'un processus métier. Une licence AIA comprend notamment l'outil Aris pour la modélisation des processus métier, et un droit d'utilisation de la SOA Suite. Néanmoins, rares seront les clients qui n'ont aucun élément middleware en interne. « Un client qui aurait déjà fait un choix tiers pourra utiliser son produit, mais ne bénéficiera pas du côté 'prêt à l'emploi', commente Lionel Bubreuil. Nous avons déjà des clients qui utilisent notre offre BPEL [le moteur d'exécution des processus métier, NDLR] avec un autre ESB. » Il est cependant légitime de penser qu'il sera plus simple d'utiliser le moteur BPEL d'Oracle avec un ESB tiers, plutôt que l'inverse. Les packs AIA pourront aussi être utilisés pour se connecter à des services fournis par des applications non-Oracle. Un appel du pied d'Oracle envers les éditeurs et SSII, appelées à constituer, comme pour SAP, un écosystème. « Les partenaires pourront développer leurs propres objets, venant en complément de l'offre Oracle ou s'y substituant, explique Lionel Dubreuil. Par exemple pour intégrer du Salesforce à la place de Siebel OnDemand ou du back-office SAP à la place du nôtre. » Les deux premiers packs livrés sont justement des processus reliant le progiciel E-Business Suite d'Oracle à son offre de gestion de la relation client Siebel CRM. Les suivants viendront entre autres compléter l'intégration de Siebel avec ses offres de facturation et de gestion de la distribution, mais aussi avec des modules de l'offre JDEdwards EnterpriseOne. (...)
(17/04/2007 14:46:10)IDF : Intel modernise ses outils de développement pour le multi-coeur
Intel adapte ses outils de développement à la programmation pour processeurs multi-coeurs. Le constructeur inaugure quatre outils : Intel Thread Checker (pour Windows et Linux) détecte les erreurs dans le codage du parallélisme, Intel Thread Profiler (pour Windows) indique, quant à lui, combien de oeurs sont effectivement utilisés par le processus en cours et Intel VTune Performance Analyzer (pour Windows et Linux) permet d'accélérer les performances d'un logiciel. Enfin, Intel Threading Building blocks (pour Windows, MacOS X et Linux) est une librairie en C++ qui permet aux développeurs d'écrire une seule fois une application sans se préoccuper du processeur qui la fera tourner. Avec les éléments de cette librairie, l'application s'adaptera automatiquement aux nombres de coeurs disponibles. Ces logiciels prennent en compte les derniers processeurs commercialisés par Intel (Core 2 Extreme QX6800 et Core 2 Quad 6600) ainsi que les systèmes d'exploitation les plus récents : Windows Vista, mais aussi Novell Suse Linux Enterprise Server, Red Hat Enterprise Linux et Fedora Core. (...)
(16/04/2007 16:47:23)Avec Silverlight, Microsoft exporte son interface WPF
Microsoft inaugure aujourd'hui lundi 16 avril Silverlight, le nom de baptême définitif de WPF/E (pour Everywhere). Considéré par certains comme un concurrent du lecteur Flash, son rôle est de permettre la lecture d'applications WPF (Windows Presentation Foundation) dans un navigateur Internet. WPF, WCF (Windows Communication Foundation) et WWF (Windows Workflow Foundation) forment les couches fonctionnelles au coeur de la nouvelle architecture de Vista. WPF gère, quant à elle, la partie graphique et interface. Le framework restait jusqu'alors indissociable de l'environnement Vista. Silverlight décloisonne WPF de Vista pour le porter sur l'ensemble des plateformes, et ce par le biais du navigateur. Il peut restituer les applications écrites en XAML, langage d'interface de Vista - supporté par la suite Expression de l'éditeur-, ainsi que les XPS, formats vectoriels. A l'image du lecteur Flash d'Adobe, Silverlight a été développé sous la forme de plug-in et reste ainsi compatible avec les trois navigateurs les plus courants (Internet Explorer, Firefox et Safari), indépendamment de la plateforme utilisée (Mac ou PC). "Ce n'est pas juste un plug-in, commente Jean-Christophe Cimetière, responsable marketing de la division plateforme, mais la continuité de la plateforme .Net." Silverlight devrait notamment exploiter la puissance de la plateforme Microsoft sur le segment de la vidéo, très en vogue sur le Web. Et faire la différence sur sa qualité en proposant de la haute définition, révèle Jean-Christophe Cimetière. Les détails techniques ne seront dévoilés qu'à l'occasion de la présentation de la bêta lors de la conférence MIX 2007 la semaine prochaine. Silverlight ne supportera pas la 3D, confie déjà toutefois Jean-Christophe Cimetière. (...)
(13/04/2007 17:36:10)Services Web : l'Oasis approuve la version 2 de BPEL
BPEL 2.0 est officiellement un standard. L'Oasis a approuvé hier la version deux de ce Business Process Execution Language, langage d'exécution des processus métier, qui décrit la façon dont les processus métiers peuvent être transcrits sous forme de services Web et interagir. Surtout, BPEL décrit la façon dont les exceptions - lorsque tout ne se déroule pas correctement dans l'enchaînement des processus - doivent être gérées. La norme a été initiée en 2002 par Microsoft et IBM. Aujourd'hui, ce sont 37 éditeurs, dont Adobe, Oracle et Sun, qui soutiennent les spécifications. Elles étaient pour l'heure en version 1.1, mais la plupart des éditeurs proposaient déjà des produits supportant la version 2 de la norme dans leurs offres BPM (Business process management) ou SOA (Architectures orientées services). (...)
(12/04/2007 12:33:39)L'Oasis fait un pas de plus vers la standardisation des spécifications SOA
L'Oasis (Organisation for the advancement of structured informations standards) a en effet annoncé mercredi 11 avril la création d'un groupe de travail baptisé Open Composite Services Architecture Member Section (Open CSA), dont le but sera de promouvoir les développements et l'adoption des spécifications liées à la SOA, SCA et SDO. Et surtout, de coordonner les travaux de standardisation. Le 22 mars, l'Osoa (Open SOA Collaboration), un groupement de 18 éditeurs spécialisés SOA (tels que BEA, IBM, Oracle, SAP et Iona) a décidé de soumettre ces deux spécifications auprès de l'Oasis. SCA (Service component architecture) doit établir un modèle de référence pour la création et l'intégration de services dans une architecture SOA. SDO (Service data object), de son côté, définit un moyen d'exploiter de façon homogène des données de sources hétérogènes. Dans un communiqué, l'Oasis explique que l'Open CSA Member Section supervisera plusieurs comités techniques et devrait notamment "permettre aux spécifications SCA et SDO de recevoir des contributions d'une plus large communauté de développeurs, d'intégrateurs et d'utilisateurs internationaux". (...)
(11/04/2007 17:58:58)Bisbille entre Apache et Sun autour de la licence du Java Compatibility Kit
Dans une lettre ouverte adressée à Jonathan Schwartz, le PDG de Sun, la fondation Apache accuse le constructeur d'apposer une licence trop restrictive au Java Compatibility Kit (JCK), limitant ainsi le champ d'application d'Hamony, projet Open Source d'implémentation de Java SE de la fondation. Le JCK est indispensable à Harmony pour évaluer sa compatibilité avec les spécifications Java SE définies par Sun. "La licence que Sun offre pour le JCK impose des restrictions en termes de propriété intellectuelle qui en limitent le panel d'usage à nos utilisateurs", affirme Geir Magnusson, vice-président du projet Harmony et auteur de la lettre. "Ces restrictions sont totalement inacceptables pour nous. [Elles] sont contraires aux termes du Java Specification Participation Agreement (JSPA) auquel Sun est lié.", ajoute-t-il. Le JSPA représente l'ensemble des règles de gouvernance qui régissent le JCP (Java Community Process - qui coordonne les évolutions du langage Java). Et Geir Magnusson d'enfoncer le clou : la licence du JCK de Sun protègerait ainsi les propres intérêts commerciaux de Sun autour de Java, et ce au détriment des logiciels ouverts d'Apache. Magnusson explique avoir sollicité Sun pour l'obtention d'une licence depuis août 2006. En vain. Il conclut en demandant à Sun de lui fournir une licence en conformité avec la JSPA sous 30 jours. Ou de s'expliquer en public. (...)
(11/04/2007 16:23:24)Iona reprend les développeurs d'ActiveMQ et ServiceMix
Iona a mis la main sur LogicBlaze, un petit éditeur privé spécialisé dans les outils Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Les développeurs de LogicBlaze sont parmi les principaux contributeurs aux projets Apache ActiveMQ (un bus de messages) et ServiceMix (un bus de services, ou ESB). La plateforme de LogicBlaze, Fuse, ne survivra peut-être pas telle quelle à l'absorption par Iona. Larry Alston, vice-président d'Iona, explique que l'éditeur fera en sorte d'assurer une continuité pour la vingtaine de clients de LogicBlaze, mais qu'il est probable que les produits seront dispatchés dans les solutions d'Iona. « Et s'il s'avère qu'il s'agit d'un produit que nous pensons ne pas pouvoir supporter à long terme, nous ne le ferons pas. » L'acquisition est en effet davantage liée aux compétences internes de LogicBlaze qu'à son portefeuille produit ou client. Iona utilise des éléments de Fuse, et pourra ainsi accroître son expertise technique. Au début du mois dernier, Iona avait racheté une autre société privée, C24, pour ses capacités de gestion de données, qui viendront compléter son middleware Artix. (...)
(10/04/2007 18:02:40)La Linux Standard Base automatise les tests pour toutes les distributions
Il n'y a pas un mais des Linux. Un vrai casse-tête pour la certification des applications, du moins jusqu'à aujourd'hui : la Linux Standard Base (LSB) se préoccupe désormais d'automatiser les tests pour toutes les distributions. C'est le Free Standard Group qui a lancé en 2001 la Linux Standard Base, un ensemble de règles à suivre (quelles bibliothèques utiliser, comment organiser les fichiers, la gestion de l'impression et des différentes extensions, etc.) afin de s'assurer que toutes les distributions Linux resteraient compatibles entre elles. Dans cette mise à jour de la LSB, la Linux Foundation, consortium issu du Free Standard Group et de l'Open Source Development Labs, a inclus des outils de tests automatiques : le LSB Distribution Toolkit. Une version 'light' pour les développeurs indépendants Le but est de permettre aux développeurs de créer des applications pour Linux et de les certifier en une fois pour toutes les distributions qui suivent la LSB (Red Hat, Suse, Debian, Ubuntu, Mandriva, Xandros, etc.), au lieu de passer le test pour chaque distribution une à une. « Pour qu'un standard soit efficace, il doit avoir une infrastructure de test puissante et utilisable », explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation. Ces outils ne sont qu'une première étape d'un projet plus important visant à offrir aux développeurs une infrastructure de test et de développement en ligne. La Linux Foundation propose également une version moins lourde, dite LSB Application Testkit, pour permettre aux développeurs indépendants de vérifier si leur application est compatible avec les standards LSB. A charge pour eux par la suite d'entrer dans l'ensemble du processus de certification. (...)
(10/04/2007 16:33:35)Microsoft planifie l'arrêt de FoxPro malgré la pétition
Même si son support devrait continuer jusqu'en 2015, FoxPro devrait voir son évolution stopper dès cette année. La base de données de Microsoft bénéficiera d'une dernière mise à jour cet été, un Service Pack 2 pour Visual FoxPro 9, Microsoft jugeant les investissements disproportionnés par rapport à ce que rapporte le produit (sachant qu'une licence de FoxPro permet aux développeurs de l'intégrer dans un nombre illimité de logiciels). Après l'annonce de l'arrêt des développements le mois dernier, une pétition a débuté, sous forme d'un Wiki initié par deux développeurs espagnols, et a recueilli plus de 2400 signatures. Beaucoup de développeurs aiment en effet la simplicité de cette base. Jay Roxe, qui dirige les développements de Visual Studio, explique que « pour que Microsoft continue à faire évoluer FoxPro, nous devrions créer un environnement de développement 64 bit, ce qui impliquerait une réécriture quasi-complète du coeur du produit ». Du coup, FoxPro pourrait bien être donné à la communauté, sur CodePlex, le site d'hébergement de projets Open Source de Microsoft. Pour mémoire, FoxPro a été créé en 1984 par l'éditeur Fox Software, qui voulait concurrencer dBase II. Il avait été racheté par Microsoft en 1992, l'éditeur cherchant à s'implanter rapidement sur le marché des bases de données. La première version graphique, FoxPro 3.0, date de 1995. (...)
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