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(26/04/2007 16:16:44)

Adobe libère Flex pour mieux contrer Microsoft

Un nouveau round s'engage pour la domination des interfaces riches sur Internet (RIA) : Adobe invite les développeurs à s'emparer de Flex, sa technologie de créations de RIA. Une semaine après son accord avec Salesforce, l'éditeur a présenté un programme de mise en Open Source du SDK, le kit de développement, de Flex, dans l'espoir de créer une communauté active d'utilisateurs et de voir émerger de nouveaux projets. Le SDK sera placé sous licence MPL (rédigée par la fondation Mozilla), mais restera disponible sous licence commerciale. L'annonce est faite à quelques jours de l'ouverture de Mix'07, la convention organisée par Microsoft à Las Vegas (du 30 avril au 2 mai) consacrée aux nouvelles technologies d'interface. Microsoft y fera probablement plusieurs annonces - dont l'une pourrait justement concerner l'Open Source, croit savoir Frédéric Cavazza, consultant indépendant spécialisé dans les interfaces et les usages du Web 2.0 -, et effectuera des démonstrations de Silverlight, sa propre technologie d'interfaces riches pour Internet. Silverlight est l'extension, sous forme de plug-in pour navigateurs, de sa technologie d'interface pour Vista, WPF (Windows Presentation Foundation). Souvent qualifié de « Flash-killer », Silverlight permet en effet de diffuser du contenu multimédia sur différentes plateformes, à l'instar de ce que permet Flash.

Le Builder et Flex Data Services restent sous licence commerciale


Adobe essaie de son côté d'aller au-delà du multimédia en le combinant avec des possibilités de manipulation de données. C'est l'enjeu de Flex, qui offre la possibilité de bâtir des interfaces pour des applications transactionnelles sur le Web qui ne se différencient guère, dans leur ergonomie, des applications desktops. « Du Flash en plus musclé pour les entreprises », résume Frédéric Cavazza. De l'avis de Didier Girard, directeur technique de Sfeir et spécialiste des RIA, « Flex est une bonne technologie qui permet de faire des choses qui seraient difficiles à faire en Ajax », la combinaison de HTML et de Javascript très en vogue en ce moment pour rafraîchir les interfaces Web. En revanche, dit-il, « j'ai l'impression qu'Adobe n'a fait que la moitié du chemin, et ils ne peuvent pas ne pas aller au bout du processus ». De fait, si la machine virtuelle Actionscript (le langage utilisé pour Flash et Flex) est déjà sous licence Open Source (le projet Tamarin, confié à Mozilla), le module pour la manipulation et l'accès aux données Flex Data Services et l'atelier Flex Builder resteront uniquement sous licence commerciale, indique Jeff Whatcott, vice-président marketing produits d'Adobe. Qui assure qu'on peut très bien concevoir des applications Flex sans le Builder, avec un atelier de développement classique ou un simple éditeur de texte. « A tort ou à raison, quand tout n'est pas libéré, les gens sont perplexes, pas à l'aise, précise Didier Girard. La technologie GWT de Google n'a vraiment décollé que quand l'ensemble a été mis en Open Source. »

« Une opération de drague évidente envers la communauté des développeurs Mozilla »


Les différents éléments du SDK devraient être libérés et placés dans une structure ad hoc permettant le reporting de bugs et la soumission d'innovations vers la fin de l'année, précise Jeff Whatcott. La balle sera alors dans le camp des développeurs Open Source. Et plus particulièrement la communauté Mozilla, estime Frédéric Cavazza : « Nous sommes face à une opération de drague évidente, non pas envers Mozilla mais envers la communauté des développeurs Mozilla, un peu comme Ségolène Royal drague non pas François Bayrou mais ses électeurs. Adobe leur fait confiance pour faire évoluer Flex, ce qui lui permet de concentrer ses propres forces sur ses autres batailles avec Microsoft, sur les outils de développement [alors que Microsoft vient de sortir Expression, NDLR], les lecteurs vidéos et les RDA [Rich desktop applications, NDLR]. » A la différence des RIA, les RDA ne s'appuient pas sur un navigateur, ils fournissent une interface complète. Adobe travaille ainsi sur Apollo, déjà retenu par SAP pour son interface Muse. « Et c'est sur Apollo qu'Adobe se focalise », estime Frédéric Cavazza. (...)

(26/04/2007 12:35:23)

MySQL s'associe à DB2 sur les System i d'IBM

IBM s'est déplacé à la conférence utilisateurs de MySQL en Californie pour annoncer un accord à la fois technologique et commercial avec l'éditeur de la base de données Open Source. Les deux acteurs prévoient de porter la base MySQL sur la plateforme i5/OS des minis d'IBM (anciennement appelés iSeries ou encore avant AS/400), en se servant de la base de données intégrée aux System i, DB2. Etant donné la structure modulaire de MySQL, la base peut s'appuyer sur plusieurs moteurs de stockage (on se souvient qu'Oracle a racheté l'éditeur d'un des moteurs les plus utilisés par MySQL, InnoDB). IBM a adhéré au programme MySQL Certified Storage Engine à cette fin. Pour IBM, il s'agit d'une ouverture importante pour sa plateforme, sachant que MySQL gagne du terrain, mais sur Linux et Windows. MySQL gagne de son côté une importante filière de distribution, principalement du côté des PME, puisqu'IBM revendra les offres de support et de service de MySQL. Un gain appréciable pour MySQL dans sa quête de clients payants. Marten Mickos, CEO de MySQL, a en effet expliqué lors de cette conférence utilisateurs que sa société avait un client payant pour 1000 utilisateurs non-payants. Un ratio à améliorer en vue de l'introduction en Bourse souhaitée de plus en plus fort par MySQL. (...)

(25/04/2007 08:58:14)

Un packaging unifié pour l'offre SOA de Red Hat

Dans la foulée du rachat des actifs de Metamatrix (voir ci-dessous), Red Hat a annoncé le lancement d'un nouveau packaging pour les offres de sa division middleware JBoss. L'éditeur explique vouloir passer d'un modèle « à la carte » (en français dans le texte) à une offre de type solution pour les SOA (architectures orientées services) intégrant plusieurs produits : le serveur d'applications Java JBoss AS, le gestionnaire de persistance des objets Hibernate et le cadre applicatif Seam destiné à simplifier le développement. Le tout dans un téléchargement unique, avec des mises à jour unifiées délivrées automatiquement et des modèles de paiement par souscription élaborés pour l'occasion : un abonnement standard d'un an, avec un support téléphonique aux heures ouvrables et un contrat de niveau de service (SLA) de 4 heures, pour 4 500 dollars, ou bien un abonnement premium, avec un support 24x7 et un SLA d'une heure, pour 6 750 dollars. Les deux sont valables pour des serveurs au maximum quadri-processeurs. Pour les versions jusqu'à 32 CPU, les négociations tarifaires se font en direct. Red Hat a déjà décliné son offre pour les portails (avec des tarifs standard et premium de respectivement 9 000 et 13 550 dollars), et devrait le faire prochainement pour la gestion des processus métier. JBoss.org devient le laboratoire à idées Ce nouveau packaging de l'offre Entreprise s'accompagne d'un autre changement : JBoss.org devient en quelque sorte le laboratoire à idées où seront testées les innovations avant un transfert vers l'offre professionnelle. Sur le même modèle utilisé par Red Hat pour sa distribution Linux Entreprise et l'offre pour la communauté, Fedora. (...)

(24/04/2007 17:54:33)

Red Hat oriente l'offre JBoss vers les SOA avec Metamatrix

Red Hat a conclu un accord pour racheter les actifs de Metamatrix, éditeur d'une solution d'intégration et de gestion des données. L'offre Metamatrix sera immédiatement injectée dans la plateforme middleware de Red Hat, dont une version remaniée, JBoss Enterprise Application Platform, sera annoncée ce soir. Avant une évolution en profondeur, JBoss Enterprise SOA Platform, annoncée pour la fin de l'année. Metamatrix se classe régulièrement dans les tableaux des offres d'EII (Enterprise information integration) et de MDM (Master data management) réalisés par la presse ou les analystes. Le but des logiciels du premier segment est de fournir une vue unifiée des données en temps réel. Les logiciels du second segment servent de référentiel, en apportant une couche sémantique, afin que toutes les applications fassent bien référence aux mêmes données. Dans tous les cas, il s'agit de couches essentielles pour une offre SOA (architectures orientées services), qui doit intégrer processus, services et données. Metamatrix était partenaire de SAP qui complétait ainsi son middleware Netweaver, avant que l'éditeur allemand ne rachète Callixa fin 2005. (...)

(24/04/2007 15:31:43)

Bientôt la première bêta du prochain Visual Studio

Orcas, la prochaine version de Visual Studio, devrait être disponible en bêta d'ici quelques jours. Soma Somasegar, vice-président de Microsoft responsable de la division développeurs, l'a confirmé à nos confrères de Computerworld.com. Des membres de l'équipe ont même laissé entendre dans leurs blogs que l'atelier de développement de Microsoft pourrait sortir avant la fin de l'année en version finale. Un enthousiasme tempéré par Soma Somasegar, qui indique qu'une seconde bêta devrait voir le jour avant la fin de l'année, mais que pour ce qui est de la version finale, « ma philosophie est de livrer le produit quand il est prêt ». La particularité d'Orcas, explique Soma Somasegar, sera d'offrir un modèle de programmation unique, quelque soit l'environnement de l'utilisateur : Web, Longhorn, Office 2007... « Ainsi, le développeur n'aura à apprendre qu'un modèle de programmation. » Orcas sera livré avec la version 3.5 du framework .Net (le cadre d'exécution des applications développées avec Visual Studio depuis la version .Net), mais pourra générer des applications directement compatibles avec toutes les versions du framework. Microsoft compte également mettre l'argument du modèle de programmation unique en avant pour inciter les designers, clients habituels d'Adobe, à essayer Silverlight et Expression, ses nouveaux outils de création d'interfaces graphiques. La compatibilité avec Visual Studio - qui compte des millions d'utilisateurs - pourrait contrebalancer l'aversion naturelle de certains designers pour tout ce qui vient de chez Microsoft, espère Soma Somasegar. (...)

(20/04/2007 17:44:20)

Sun intègre officiellement Java à Ubuntu

Pour Sun, l'Open Source ne se limite pas à OpenSolaris. La société avait promis en novembre dernier de mettre à la disposition des développeurs Open Source son serveur d'application GlassFish et son logiciel Java Platform Standard Edition JDK 6.0. C'est chose faite depuis jeudi (19 avril) avec la sortie d'Ubuntu 7.04. En effet, la distribution Linux de Canonical est la première à intégrer ces outils de développement Java. L'accord entre Sun et Canonical va même plus loin. Ubuntu intègre également l'environnement de développement NetBeans et Java DB, lui même basé sur la base de données Open Source Derby. Ian Murdock, responsable opérationnel de Sun Microsystems et fondateur de Debian, veut ainsi étendre encore l'usage de Java : « Notre but est de rendre la technologie Java plus accessible aux développeurs.» Matt Shuttleworth, fondateur d'Ubuntu et PDG de Canonical, espère, quant à lui, que « ces paquets Java vont se répandre dans Debian et les autres distributions. » Remplaçant ainsi les logiciels développés par ses concurrents pour intégrer Java à Linux, tel JBoss chez Red Hat. En aidant ainsi Ubuntu, Sun plante lui-aussi une épine dans le pied de Red Hat, dont la distribution est le Linux le plus largement répandu dans le monde des serveurs, où il fait de l'ombre aux Unix traditionnels... comme Solaris. (...)

(20/04/2007 11:17:40)

Intégration de données : code Java et mode ELT pour Talend Open Studio v.2

Talend annonce la version 2.0 d'Open Studio, sa solution ETL en Open Source utilisée pour l'intégration de données opérationnelle et pour les projets d'analyse décisionnelle (ETL, extract, transform and load : extraction, transformation et chargement de données). Parmi les apports majeurs du produit, la partie Designer (basée sur Eclipse) génère maintenant des tâches de transformation de données en code Java, en plus de la génération de code Perl déjà disponible. « Java est l'un des langages les plus déployés, nous devions donc apporter une réponse aux directions des systèmes d'information ayant fait ce choix», justifie Bertrand Diard, fondateur de Talend, avec Fabrice Bonan. Autre nouveauté importante, la possibilité d'utiliser conjointement les modes ETL et ELT. La première approche (extract, transform, load) est la plus classique et la plus courante. « Le mode ETL est naturellement utilisé dans des environnements très hétérogènes », explique Yves de Montcheuil, directeur marketing de Talend (ancien directeur marketing produit de Sunopsis). « En revanche, l'utilisation du mode ELT (extract, load, transform) peut être plus judicieuse en environnement homogène.» Si la plupart des fournisseurs ont privilégié l'un ou l'autre mode, Talend considère qu'ils sont complémentaires. « On pourra désormais les utiliser successivement dans un même processus, selon que l'un ou l'autre est plus pertinent dans le contexte », précise Bertrand Diard. Enfin, la puissance d'un ETL reposant principalement sur sa connectivité, en particulier pour l'intégration de données opérationnelle, la version 2.0 d'Open Studio a enrichi le nombre de ses connecteurs. Il y en avait 40 dans la précédente version, tous proposés en Perl. Avec la v.2.0, on en trouve maintenant une centaine, disponibles à la fois en Perl et en Java. « Nous capitalisons sur ce qui existe déjà dans la communauté Open Source », indique Bertrand Diard, faisant référence aux 35 000 connecteurs Perl existants. L'éditeur a notamment ajouté des connecteurs pour SugarCRM et Salesforce.com (deux applications de gestion de la relation client - GRC, la première proposée en Open Source), un autre pour les annuaires LDAP, ainsi que des connecteurs natifs pour les bases de donnée DB2, Ingres, PostgresSQL et Oracle (en plus des connecteurs SQL Server et MySQL déjà disponibles). A noter également que les fonctions ETL de Talend peuvent être exposées comme un service Web pour être utilisées, par exemple, dans un processus de BPM (business process management). Et, qu'à l'inverse, Open Studio peut lui-même « consommer » des services Web. (...)

(18/04/2007 17:14:12)

Les outils du Web sémantique arrivent

Alors que l'on commence à peine à digérer les concepts du Web 2.0, certains annoncent déjà le Web 3.0. Les éditeurs d'outils de programmation TopQuadrant et Franz ont annoncé lors de la conférence Web 2.0 Expo 2007 un environnement de développement et une base de données pour le Web sémantique. Le Web sémantique désigne un ensemble de technologies visant à rendre le contenu des ressources du Web accessible et utilisable par les programmes et agents logiciels, grâce à un système de métadonnées formelles, utilisant notamment la famille de langages développés par le W3C, selon la définition de Wikipédia. La technologie sémantique aide les ordinateurs à être un peu moins idiots. Pour les entreprises et les grandes organisations, elle peut être fort utile quand il y a une grande quantité de données à fusionner, ou dans des applications de recherche de données. Généralement considérée comme un sous-ensemble des technologies Web nouvelle génération du Web 3.0, le Web sémantique n'avait jusqu'à présent aucune réelle existence, principalement parce qu'aucun outil n'existait pour accomplir la tâche. S'il existe des projets Open Source tels que protégé ou SWOOP, ce sont des outils que les entreprises n'ont pas envie d'utiliser. La combinaison de TopQuadrant TopBraid Composer et de Franz AllegoGraph 64-bit RDFStore propose une approche adaptée aux entreprises. TopBraid Composer est une plate-forme pour développer des ontologies Web sémantique et des applications sémantiques. AllegroGraph 64-bit RDFStore est un entrepôt triple persistant massivement scalable capable d'effectuer les trois tâches importantes d'un triple entrepôt : charger, stocke et rechercher des données efficacement. La combinaison TopQuadrant/Franz fournit un environnement de développement graphique basé sur Eclipse qui permet de concevoir des applications Web sémantique et une base de données conçue pour monter en charge avec des quantités massives de données RDF (Resource Description Framework, modèles conceptuels de description de données). Si l'on est encore loin du Web sémantique tel qu'imaginé par le W3C il y a plus de dix ans, les outils pour construire le Web sémantique de demain sont maintenant là. (...)

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