Flux RSS

Architecture logicielle

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2077 documents trouvés, affichage des résultats 341 à 350.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/02/2011 09:55:19)

Logiciels d'entreprise : 5 tendances clefs pour les années à venir

Dans les prochaines années, le Gartner a identifié cinq tendances clefs affectant le marché des logiciels d'entreprise.

La mondialisation : Gartner prédit la consolidation des fournisseurs au cours des prochaines années. Durant cette période de perturbation, les marchés des logiciels très fragmentés deviendront plus structurés et marqués par une réduction importante des fournisseurs. Même si pour les fournisseurs concurrents au niveau mondial, les exigences de localisation - y compris les langues, les cultures et les lois - doivent être prises en charge.

La mise en oeuvre : La manière dont les entreprises se procurent et fournissent les logiciels est remise en question avec le cloud computing, Plate-forme en tant que service (PaaS) et Software en tant que service (SaaS), couplé avec l'accès généralisé et mobile. La demande de solutions de cloud computing se poursuivra au cours des prochaines années.

La modernisation
: Les entreprises continuent de migrer vers les logiciels Open Source et la SOA puisque les anciennes applications et les anciens systèmes deviennent plus coûteux à améliorer et à entretenir. Alignés avec la tendance à la modernisation, l'automatisation des affaires d'entreprises et la rationalisation des opérations continuent de gagner du terrain. Les entreprises s'attendent à investir de façon significative en 2011 pour mettre à jour tous les systèmes et logiciels, allant des outils de productivité personnelle, de construction-exécution-gestion des logiciels, aux applications axées sur l'utilisateur. La virtualisation est un facteur clé de la modernisation.

La socialisation
: L'utilisation des médias et des réseaux sociaux continue de s'intensifier. Cette tendance inclut la personnalisation, la collaboration et le contenu dans le cadre d'activités définies par l'utilisateur, Gartner prévoit que les communications coordonnées et la collaboration verra son adoption croitre en 2012.

La verticalisation
: Cette tendance implique un cycle d'applications logicielles horizontales de plus en plus personnalisées. En déployant de nouvelles technologies logicielles, il est fréquent pour des fournisseurs de fournir une technologie initialement généralisée qui, au fil du temps, peut donner lieu à plus de fonctions spécifiques dans l'industrie et les entreprises.

(...)

(02/02/2011 10:16:30)

Lotusphere 2011 : En attendant Next, les labs IBM se penchent sur le futur

Une plus grande intégration des réseaux sociaux au sein des outils collaboratifs et une migration vers le cloud, tels sont les messages d'IBM lors de sa conférence Lotusphere, qui se déroule à Orlando (du 30 janvier au 3 février 2011). Au-delà de ces annonces, les évolutions ou les prospectives sont restées discrètes. Alistair Rennie, General Manager de Lotus Software et Collaboration Solution d'IBM, a laissé entrevoir lors de la session inaugurale ce que pourraient être les prochains outils. Ils seront accolés du qualificatif Next, Sametimes, Notes, etc . Chacun devra bénéficier de l'intégration de connections avec les réseaux sociaux ou d'informations issues d'applications métiers comme SAP ou SugarCRM. Le même dirigeant s'est risqué à un soupçon de futurisme en indiquant « pourquoi ne pas intégrer de la sémantique et de l'analytics au sein de nos solutions. Cela sera très important dans l'avenir ». Sur la futur « cloudisation » des différentes offres, elles seront orientées vers plus de personnalisation, explique Betthan Cregg, directrice de Lotus Online Collaboration : « l'interaction avec le serveur applicatif domino aboutira à la personnalisation du service Lotus Live Notes », mais d'ajouter « il ne s'agit pas de créer un LotusLive Store, mais de donner accès à un catalogue à la demande ».

Du côté des Labs


Pour trouver les orientations d'IBM sur l'avenir des outils collaboratifs, il faut se tourner vers les travaux des Labs où plusieurs initiatives sont à souligner. Ainsi, la problématique de la recherche de l'information pertinente au sein du volume des données à disposition est un des défis relevés en partie par des programmes comme Icarius. Ce dernier est une solution de récupération d'informations contextuelles depuis plusieurs sources, disque dur, documents en ligne ou d'autres flux de messages. Le traitement analytique s'invite dans la prochaine génération du calendrier en agrégeant plusieurs informations circulant au sein de l'entreprise et d'autres sources de données. Ainsi, la tenue d'un salon peut intéresser plusieurs personnes au sein de la société. Il s'agit de proposer et d'intégrer tous les participants à cet évènement avec du contenu, des liens, la liste des exposants, etc.

Le web sémantique est aussi une autre piste de réflexion pour trouver la bonne information dans le magma de flux issus des réseaux sociaux comme Twitter par exemple. La reconnaissance du visage peut-être également une autre réponse pour trouver et dialoguer avec la bonne personne au sein des grandes entreprises ou organisations.  Toujours au sein des entreprises, le projet Steer a comme objectif de tracer le comportement de l'utilisateur au sein de son intranet, pour lui proposer du contenu sur mesure. Enfin, le dernier axe est clairement la mobilité et la portabilité des outils de collaboration sur les terminaux mobiles, smartphones et tablettes. Des démonstrations ont été faites sur des applications, comme Morning Report, un tableau de bord qui agrège des contenus issus de Lotus, Cognos et d'autres sources.

IBM a donc un réservoir d'idées en attendant l'adoption des réseaux sociaux dans les outils collaboratifs. Philipe Laboureix, directeur marketing pour IBM Software en France, soulignait que « les entreprises sont intéressées et réfléchissent à accompagner les évolutions de leurs salariés qui demandent l'accès aux réseaux sociaux et d'aller chercher l'information au-delà du firewall de l'entreprise. »

(...)

(01/02/2011 17:47:51)

Amazon va proposer la base d'Oracle comme un service dans son cloud

La base de données d'Oracle sera disponible dès le deuxième trimestre au sein d'Amazon RDS (Relational Database Service), le service proposé par Amazon Web Services permettant de configurer, dimensionner et exploiter une base de données dans le cloud. Cette annonce, que vient de faire tout juste de faire l'opérateur du cloud public EC2, semble répondre au projet de Salesforce.com, annoncé début décembre, de livrer un service de base de données facturé à l'usage, dénommé Database.com, et reposant lui aussi sur le produit d'Oracle.

A l'instar des autres offres d'infrastructure proposées dans son cloud, le futur service reposant sur Oracle sera facturé par Amazon sur la base d'une tarification horaire, qui n'impliquera aucun contrat à long terme.

MySQL déjà disponible sur AWS

Amazon offre déjà un service de base de données relationnelle s'appuyant sur le produit Open Source MySQL. Avec l'ajout de l'offre Oracle, l'opérateur affirme que les utilisateurs disposeront des mêmes bénéfices de réduction des tâches d'administration de la base et d'évolutivité du stockage associé et des ressources informatiques.

Le tarif horaire n'a pas encore été dévoilé. Il dépendra de l'édition de la base Oracle et de la taille de l'instance utilisée, a simplement indiqué Amazon. L'opérateur va proposer par ailleurs des instances de bases réservées, dans lesquelles les clients paieront une redevance unique pour exploiter l'instance à un prix réduit par rapport au prix normal. Nul doute que le coût du service sera examiné de près. De son côté, Salesforce.com a prévu une version de démarrage gratuite de Database.com, qui sera ensuite facturée en fonction du nombre d'enregistrements, de transactions et d'utilisateurs, et de services d'entreprise optionnels tels que la gestion d'identité, l'authentification et autres fonctions de sécurité.

Cette annonce vient renforcer le partenariat existant entre Oracle et Amazon, ce dernier ayant déjà permis à des utilisateurs d'exploiter des outils middleware, des applications et la base d'Oracle sur son cloud AWS. (...)

(01/02/2011 15:40:28)

EMC fournit une version gratuite de Greenplum aux développeurs

Le logiciel, qui est disponible au téléchargement sur le site web de l'entreprise, élimine la barrière du coût d'accès à ces technologies. Il donne aux développeurs la capacité de travailler sur les futurs outils, selon un communiqué. La Greenplum Community Edition comprend l'outil MPP (traitement massivement parallèle) pour les bases de données, Madlib, une bibliothèque Open Source d'algorithmes d'analyse et un outil de modélisation de données appelé Alpine Miner. Les développeurs qui utiliseront cette édition pourront construire un environnement d'analyse de données leur permettant de visualiser, de modifier et d'améliorer les fichiers de démonstrations proposés », a indiqué EMC. Ils peuvent également participer à différents  forums communautaires sur le sujet.

Le logiciel est uniquement destiné à la recherche, au développement et aux tests. Cela implique l'achat de licences en cas d'utilisation commerciale. « Ce projet donne aux développeurs la capacité de programmer en utilisant les outils les plus populaires. ils disposent d'un lieu pour contribuer à l'extension de la brique Open Source », a précisé Luc Lonergan, CTO et vice-président de la division Data Products d'EMC.

Fédérer autour de son projet


Cette mise à disposition peut également être considérée comme une étape nécessaire étant donné la position Greenplum dans un marché où la concurrence est de plus en plus agressive. On y retrouve à la fois des startups comme Aster Data, des acteurs historiques comme Teradata et ceux qui attaquent ce marché avec le développement de leur propre plateforme, tels qu'Oracle avec Exadata et SAP avec HANA. Toutes ces entreprises ont besoin de développer des communautés actives autour de leurs technologies et la délivrance des versions gratuites du logiciel est un moyen naturel à cette fin.

Chaque fournisseur de datawarehouse positionne leur produit comme une brique unifiée pour la recherche analytique avancée, a commenté James Kobielus, analyste chez Forrester Research. « Le simple fait d'avoir la capacité de gérer d'énormes volumes de données n'est pas un facteur de différenciation. Le véritable avantage concurrentiel réside dans la capillarité des outils d'analyses mis à disposition par les fournisseurs d'entreposage de données et la création d'un écosystème de partenaires. » À cette fin, Greenplum a besoin de construire une communauté forte afin de susciter l'intérêt des éditeurs de logiciels, conclut James Koebelius.

(...)

(31/01/2011 10:48:20)

Les apps mobiles auront leur salon à Paris

La première édition d'Apps Gen' vise à réunir les professionnels, les développeurs et le grand public autour de ces petits logiciels qui font fureur sur les smartphones (iPhone, Google Android, Nokia, etc.) et les tablettes (iPad, Galaxy Tab, Archos...). Seront notamment présents parmi les exposants, des studios spécialisés, des éditeurs d'outils de développement, des centres de formation pour développeurs, etc. Un village start-up accueillera également les petites structures ou les particuliers qui souhaitent créer leur propre application pour mobiles.

Le cabinet Gartner estime qu'environ 8,2 milliards de téléchargements ont été effectués dans le monde en 2010 sur les plateformes d'applications pour terminaux mobiles comme l'App Store d'Apple, l'Android Market de Google ou l'App World de Rim. Ce chiffre devrait atteindre les 17,7 milliards en 2011, selon Gartner.

Ce salon se tiendra les 18 et 19 mai 2011 au centre des expositions de la Porte de Versailles (Paris 15e), sur une surface de 3.500 m².

(...)

(26/01/2011 17:02:10)

Les développeurs d'applis mettent les bouchées doubles sur les tablettes Android

Pour Scott Schwarzhoff, vice-président du marketing de Appcelerator, « la question que se posent la plupart des développeurs aujourd'hui, c'est : « Après l'iPhone, vers quel système dois-je me diriger ? Android ou celui de l'iPad ? » Et ils répondent que, « pour celui qui vise une part croissante du marché, alors c'est sur Android » qu'il doit miser. « En effet, les développeurs pensent que les tablettes sous Android vont avoir un impact considérable sur l'informatique grand public. » La ruée vers Android pour remporter la manne attendue contribuera à consolider la position des deux rivaux de tête que sont Google et Apple, et à marginaliser un peu plus les autres systèmes d'exploitation en les plaçant dans une position dont ils auront peut-être du mal à se sortir, indique l'enquête.

Android, la carte à jouer pour 2011

Le sondage, mené il y a deux semaines par Appcelerator et le cabinet de recherche IDC, a été effectué auprès de plus de 2 200 développeurs utilisant la cross plate-forme de compilation Titanium d'Appcelerator pour créer des applications mobiles intégrant du JavaScript, du HTML et du CSS. Parmi les personnes interrogées, 92% se disent «très intéressées» par le développement d'applications pour l'iPhone, et 87% répondent la même chose pour les smartphones Android, soit 5% de plus que lors du dernier sondage réalisé il y a trois mois. Mais c'est la réponse concernant le développement d'applications pour les tablettes sous Android qui a attiré l'attention du vice-président d'Appcelerator. « Les tablettes sous Android prennent 12 points, » a-t-il déclaré, «  74% des développeurs se disant très intéressés par la plate-forme. » Comparativement, l'iPad d'Apple ne gagne que 3 points à 87%. « La croissance rapide des tablettes sous Android montrée par l'enquête résulte largement des nombreuses annonces de lancement de tablettes tournant sous le système de Google faites au dernier Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas par plusieurs fabricants, offrant ainsi une belle perspective à l'OS de Google pour 2011, » estime Scott Schwarzhoff. « On surveillera sans doute sa progression pendant toute cette année, » a-t-il ajouté. « L'iPad va continuer sur sa lancée, peu importe ce qu'apportera l'iPad 2. Mais Android va faire figure de carte majeure à jouer. »

Le prix des tablettes, facteur essentiel

Comme l'explique Scott Schwarzhoff, « désormais, les développeurs doivent parier sur une plate-forme bien avant qu'elle ne devienne populaire, ou ils risquent de se retrouver sur le bord de la route, devancés par les nombreux concurrents. » Cela signifie aussi que l'enquête réalisée par Appcelerator rend compte de l'opinion actuelle des programmeurs en ce qui concerne le potentiel des appareils sous Android. Leurs réponses permettent aussi de désigner l'élément essentiel qui, selon eux, devrait contribuer au succès des tablettes sous Android : le prix. « Nous avions le sentiment que le facteur déterminant serait l'arrivée de Honeycomb, » a déclaré le responsable d'Appcelerator, se référant à la prochaine version du système d'exploitation Android spécialement développé pour les tablettes. « Non seulement ce n'est pas l'élément essentiel, mais il arrive même en quatrième position. La vraie découverte, surprenante, a été de voir que le prix était le motif principal. » Avec autant de tablettes Android - 85 annoncées au CES au début du mois selon le décompte fait par Scott Schwarzhoff - dont la une commercialisation est prévue cette année, le prix va créer un effet levier et une compétitivité que certains voudront mettre à profit. Et les développeurs sont convaincus que cela se traduira pour eux par une augmentation des parts de marché.

Illustration principale : Tablette Xoom de Motorola animée par Google Android 3.0 Honeycomb

[[page]]

«  Compte tenu du nombre élevé d'appareils qui doivent arriver sur le marché, le prix va devenir un facteur très important,» a déclaré Scott Schwarzhoff. « Les développeurs pensent qu'il pourrait y avoir des tablettes à moins de 200 dollars, voire même à moins de 100 dollars et ils y voient une opportunité majeure, parce que n'importe quel développeur regarde en priorité le volume des ventes potentielles, » ajoute-t-il. Mais le prix des tablettes sous Android - répertorié comme un élément « vaporeux » par le chef des opérations d'Apple dans sa liste des rivaux de l'iPad - n'a pas encore été révélé, laissant les développeurs à leurs suppositions. Scott Schwarzhoff a reconnu que la situation était fluide. « Pendant la période des Fêtes, on a constaté une nouvelle dynamique sur les prix des tablettes que nous ne comprenons pas bien encore. »

Les plates-formes de vente, autre élément en faveur d'Android

Les développeurs ont également un oeil sur les ardoises Android en raison du succès des smartphones sous Android. Ils pensent en effet qu'ils peuvent utiliser ce qu'ils ont appris en créant des applications pour les téléphones mobiles tournant sous l'OS de Google, pour réaliser des programmes pour les tablettes. « Si vous avez du succès avec les applications mobiles, que ce soit pour des téléphones tournant sous Android ou pour l'iPhone, alors le vent vous pousse dans le bon sens quand il s'agit des tablettes, » a remarqué Scott Schwarzhoff. Un autre facteur qui justifierait pour les développeurs l'investissement dans le système Honeycomb, c'est le succès de l'Android Market, et l'annonce récente de l'ouverture prochaine d'un Android App Store chez Amazon. Plus de 8 développeurs sur 10 se sont dits très intéressés de distribuer leurs applications via l'e-market de Google, et 37% ont dit qu'ils étaient tout aussi impatients d'essayer Amazon lors de son lancement, prévu plus tard cette année. « Les plateformes de vente sont un élément extrêmement déterminant dans les décisions des développeurs,» a ajouté Scott Schwarzhoff, lequel fait valoir que l'arrivée d'Amazon représente effectivement un avantage, et non une menace pour Google. « C'est plutôt un autre concurrent pour Apple, » a-t-il déclaré.

OS mobiles : hors de Google et Apple, point de salut ?

L'attention portée à Android, et l'intérêt constant de développer des applications pour l'iOS d'Apple tournant sur l'iPhone et l'iPad, signifie aussi que d'autres systèmes d'exploitation pourraient facilement en pâtir, comme le révèle le sondage. Même si, selon Scott Schwarzhoff, Windows Phone 7 reste dans une «position raisonnablement bonne, par rapport aux attentes», 36% des développeurs interrogés indiquant qu'ils étaient très intéressés par la création d'applications pour la plate-forme mobile de Microsoft, il prévient que Windows et BlackBerry de Research in Motion pourrait se retrouver très minoritaires. Selon lui, on peut rapidement arriver au point où, si l'orientation du marché s'accélère, Microsoft et BlackBerry, pourraient se retrouver marginalisés. « Sauf à rattraper Android et Apple, l'écart se creuse de plus en plus. Les riches deviennent plus riches et les pauvres deviennent plus pauvres. Voilà à quoi ressemble la dynamique actuelle. »

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >