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Architecture logicielle
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(12/11/2010 12:37:19)
Support de MySQL : Oracle défend sa politique de prix et dissipe un malentendu
Certes, Oracle a relevé le prix du contrat de base pour le support de MySQL. Mais les clients vont en avoir pour leur argent, assure l'éditeur américain. Davantage, en tout cas, qu'ils n'en recevaient de Sun Microsystems, précédent propriétaire de la base de données Open Source. C'est ce qu'affirme Oracle dans un billet de blog officiel publié cette semaine.
Le 1er novembre, Oracle a émis une liste de prix sur laquelle on découvrait que le tarif le plus bas pour accéder aux services de support de MySQL était désormais fixé à 2 000 dollars par serveur par an. Or, avant que Sun ne soit racheté, le support de base ne démarrait qu'à 599 dollars par serveur et par an. Ce contrat de service « n'incluait que les accès aux correctifs et aux mises à jour, ainsi que la possibilité d'appeler pendant les heures de bureau, fait valoir Monica Kumar, responsable marketing produit senior pour Oracle. Il ne permettait de résoudre que deux incidents par an. C'était un support très très limité, insiste-t-elle sur le billet de blog en ajoutant que, de toute façon, cette option n'était pas très populaire.
Alors qu'avec l'option à 2 000 dollars, actuellement proposée dans le cadre du contrat Standard Edition, le client dispose d'une offre illimitée, avec un support qui fait le tour du cadran et qui inclut l'outil Workbench [avec lequel un DBA ou un développeur pourra modéliser, générer et gérer des bases de données]. « Soit un niveau de services beaucoup plus élevé et davantage de fonctionnalités », souligne Monica Kumar.
Oracle propose également un contrat Enterprise Edition à 5 000 dollars par serveur et par an.
Ne pas confondre la Community Edition et la Classic
Par ailleurs, une autre offre, MySQL Cluster Carrier Grade Edition, est maintenant disponible par abonnement pour la première fois, à 10 000 dollars par serveur et par an. Dans tous les cas, les clients reçoivent un meilleur service et plus de fonctions que par le passé, insiste la responsable produit d'Oracle.
Toutefois, Monica Kumar n'insiste pas sur le fait que ces différents tarifs ne s'appliquent qu'aux serveurs équipés de un à quatre sockets. L'éditeur explique ce qu'il définit comme un socket : un connecteur qui reçoit un processeur (ou un module multi-processeurs) qui contient un ou plusieurs coeurs. Or, dès qu'un serveur contient cinq sockets ou plus, le prix d'abonnement aux différents contrats de support est doublé. On peut le vérifier sur la liste tarifaire.
La responsable produit revient aussi sur la confusion qui a pu se diffuser autour de la présence ou non du moteur de stockage InnoDB dans la version gratuite de la base de données, MySQL Community Edition. Cette dernière est toujours disponible sous la licence Open Source GPL. Elle inclut tous les moteurs de stockage existants (c'est-à-dire InnoDB, MyISAM, Memory, Archive, etc.), a expliqué Monica Kumar dans un précédent billet. La Community Edition comprend aussi les connecteurs disponibles (ODBC, JDBC, .Net, etc.) et toutes les fonctionnalités (réplication, partitionnement). Il n'y a aucun changement sur ce terrain-là.
En revanche, le produit MySQL Classic Edition, qui s'adresse aux éditeurs indépendants qui souhaitent embarquer la base de données dans les solutions qu'ils développent, a troqué son moteur pour MyISAM. Il ne faut pas confondre la Community Edition et la Classic Edition, met en garde Monica Kumar.
Illustration : Capture d'écran de MySQL Monitor + extrait de la liste de prix des contrats de support de MySQL (crédit photo : D.R.)
Talend s'offre Sopera et un tour de table à 34 millions de dollars
Sopera a commencé comme un projet interne pour la logistique au sein de la Deutsche Post, pour évoluer vers la création d'une société. Elle dispose maintenant de près de 60 clients, dont l'organisme postal lui-même, a déclaré Yves de Montcheuil, vice-président marketing de Talend.
SOA, qui a disparu comme mot à la mode ces dernières années, se réfère à une approche de conception des systèmes où les applications sont composées de « services » différentes et parfois en mode partagé. L'objectif est d'assurer une meilleure interopérabilité, ainsi qu'une réutilisation de code. Sopera, basée à Bonn, en Allemagne, offre un ESB pour l'orchestration de ces services, ainsi que des outils de développement SOA, ainsi que de gestion et de surveillance. Toutefois, « SOA est un terme largement utilisé qui peut signifier beaucoup de choses et rien en même temps » souligne Yves de Montcheuil. Talend, qui est basé à Suresnes considère que Sopera s'inscrit dans une convergence croissante entre l'intégration des données et celle des marchés d'applications, en particulier les sociétés de IT qui élaborent des infrastructures de cloud privés ou public » a déclaré le PDG de Talend, Bertrand Diard.
La société fournira une feuille de route pour l'intégration des produits Sopera d'ici un mois. Les salariés seront gardés et Talend devrait même embaucher pour renforcer les ventes et services de Sopera.
Un financement à hauteur de 34 millions de dollars
Si cette opération donne à Talend une meilleure place dans les technologies middleware, des incertitudes ont été soulevées par le fait que l'éditeur pouvait être acquis ? Pour répondre à cette interrogation, Talend, a également annoncé aujourd'hui, qu'elle venait de boucler un plan de financement de 34 millions de dollars apporté par le fonds d'investissement Silver Lake Sumeru.
« En outre, de nombreux responsables informatiques envisagent la conception de leurs architectures avec le meilleur des technologies et non pas depuis une plate-forme toute en un comme le propose Oracle ou IBM » précise Yves de Montcheuil.
Néanmoins, Ronald Schmelzer, directeur associé du cabinet d'analystes ZapThink recommande à Talend de minimiser les liens entre Sopera et SOA dans le sens classique du terme. « SOA peut être là, mais de manière invisible » conclut-il.
PHP Forum 2010, une édition sous le signe de la maturité
Pendant 2 jours, la communauté des développeurs, mais aussi des enseignants et quelques étudiants sont venus à la Cité des Sciences à la Villette pour écouter, dialoguer, échanger autour du PHP. L'AFUP en charge de l'organisation de la 10ème édition du PHP Forum avait orienté ce millésime autour du 15ème anniversaire du langage et sur le fait qu'il avait atteint de la maturité. Pour Nicolas Silberman, actuelprésident de l'AFUP « depuis quelques années, PHP s'est transformé en une plateforme sur laquelle s'intègre un écosystème, allant des sites de e-commerce ou des fournisseurs de CMS ». Histoire de marquer le coup et en forme de clin d'oeil, les participants ont pu se faire photographier auprès de l'éléphant gonflable de 2m de haut, symbole de PHP.
Des invités de prestige
Une autre personne parle de cette maturité, l'invité d'honneur, Rasmus Lerdorf, fondateur en 1994 du langage PHP, en estimant « qu'aujourd'hui PHP est stable et qu'il se diffuse par l'intermédiaire de prestataires comme Drupal ou Wordpress dans la gestion de contenu. Il est très présent sur le web en étant devenu un socle essentiel ». Actuellement en version 5.3, PHP 5.4 devrait arriver l'année prochaine. Pour Rasmus Lerdorf, « il s'agira plus d'améliorer les performances ou d'optimiser certaines fonctionnalités, que d'en procurer de nouvelles ». Interrogé sur la position de PHP dans la bataille entre services web et applications téléchargeables, le fondateur s'est voulu pragmatique « les deux co-existeront, mais ils auront toujours besoin de transmettre des requêtes sur le serveur. Ils utiliseront alors probablement du PHP ». Concernant, les évolutions des langages sur Internet, notamment avec l'intégration d'HTML5, Rasmus Lerdorf reste plus sceptique « certains éléments constituent des avancées importantes comme Canvas ou CSS3, mais cela prendra du temps et il faut être vigilant sur les questions de sécurité ».
Concernant l'écosystème de PHP, on notera la présence de SkySQL, cette alternative à MySQL de Sun qui est maintenant propriété d'Oracle. Kaj Arnö, ancien responsable de l'activité chez Sun est en charge de cette aventure sur le plan marketing et technique. « Nous démarrons notre activité en espérant concurrencer MySQL, mais aussi le faire évoluer ». Pour cela, SkySQL va s'appuyer sur le fork, Maria DB, proposé par Monty Program, société créée par Michael Widenius, fondateur de MySQL. La gestion des bases de données est un élément essentiel pour les développeurs. Souvent associés, PHP et MySQL pourraient évoluer vers l'alternative que représente SkySQL. Ce dernier vante ses progrès dans l'amélioration des performances dans la gestion des bases de données, ainsi que dans sa facilité d'utilisation.
Au final, le millésime 2010 est un succès. L'AFUP envisage de changer de lieu pour l'édition 2011, des travaux étant prévus l'année prochaine à la Cité des Sciences.
(...)(09/11/2010 16:39:31)iOS 4.2 : La mise à jour « pro » de l'iPad arriverait vendredi
Les possesseurs d'iPhone ou d'iPod Touch, qui attendent depuis (trop) longtemps cette mise à jour pour l'iPad sont à bout de patience : leur expérience, passer de l'iPhone 4 à l'iPad, a été des plus frustrantes. C'était comme passer de Windows 7 à un vieux système sous Windows XP... On s'emploie à utiliser les fonctionnalités et les outils qui font que le système le plus récent est aussi le plus efficace et le plus productif. Sauf qu'au final, ces fonctions font défaut sur la plate-forme de référence. Cette attente, jugée intolérable par certains, touche à sa fin... ou presque.
Alors, quels sont ces apports d'iOS 4.2 qui vont faire de l'iPad un outil de travail plus efficace ?
La fonction « Dossiers »
Avec près de 300 000 applications disponibles - dont plus de 40 000 dédiées à l'iPad - il faut peu de temps pour encombrer sa tablette avec une faune d'icônes chaotiques. Plus on ajoute d'outils utiles à l'iPad, plus il est difficile de les trouver. La fonction « Dossiers » va permettre à l'utilisateur de créer des groupes d'applications selon une logique qui les rende plus faciles à repérer et à utiliser.
Le multitâche
Sur l'écran d'un iPhone, le multitâche a certes quelques avantages. Mais sur l'écran d'un iPad, plus grand, il va permettre d'améliorer grandement la productivité, surtout si on envisage d'utiliser la tablette tactile en remplacement d'un ordinateur portable ou d'un netbook pour en faire sa plate-forme mobile. L'absence du multitâche a jusqu'ici limité l'efficacité de la tablette d'Apple. Les utilisateurs vont être en mesure de basculer entre la consultation de sa messagerie, une recherche d'informations sur Internet, la consultation de données sur la page d'un tableur et la rédaction d'un rapport, sans avoir à repartir de zéro à chaque fois qu'ils passent de l'un à l'autre.
La messagerie
La boîte de réception unifiée d'iOS 4.2 apporte un environnement beaucoup plus efficace aux utilisateurs qui disposent de plusieurs comptes e-mail. Plutôt que de devoir manuellement basculer entre les comptes, les utilisateurs peuvent voir tous leurs messages mails dans une fenêtre unique. iOS 4.2 peut également regrouper les emails par fil de discussion pour faciliter le suivi de la chronologie des échanges effectués par mail.
Le support pour l'entreprise
De nombreuses entreprises ont déjà adopté l'iPad. Mais beaucoup d'autres sont encore réticentes au motif que l'iPad ne dispose pas des éléments essentiels. iOS 4.2 introduit de nouvelles fonctionnalités de sécurité, des outils de gestion des périphériques, et une meilleure capacité d'intégration. Elles devraient aider les administrateurs informatiques dans les opérations de maintenance et de sécurité pour inclure la tablette d'Apple dans un réseau professionnel.
Le support international
Plus qu'aucune autre langue, l'anglais est utilisé par défaut dans de nombreux pays. C'est aussi la langue dominante sur Internet. Mais d'autres langues - en particulier le chinois et l'espagnol - gagnent rapidement du terrain. iOS 4.2 ajoute une variété de claviers internationaux et de dictionnaires optionnels pour faire de la tablette un outil qui peut être utilisé dans le monde entier par des professionnels non anglophones.
Alors, que ce soit pour demain ou pour un peu plus tard, la mise à jour - tant attendue - 4.2 de l'iOS d'Apple, va améliorer les performances de l'iPad en environnement de travail. Elle en fait aussi un concurrent plus coriace à affronter pour l'avalanche de tablettes rivales qui dévalent sur le marché.
Crédit photo : D.R.
(...)(08/11/2010 12:20:28)
Oracle envisage des Java Virtual Machine gratuites et Premium
Selon le site Internet The Register, lors de la QCon, une conférence de développeurs qui s'est déroulée à San Fransisco du 1er au 5 novembre, plusieurs tweets ont été émis, après la présentation d'Adam Messinger, vice-président en charge des outils de développement chez Oracle. Ce dernier aurait indiqué qu'il était dans les plans de la firme de Redwood de fournir une édition « premium » du JDK en plus de celui Open Source. Il semble que les deux versions seront basées sur la convergence JRockit VM et de la JVM Hotspot de Sun Microsystems. Ce rassemblement des JVM s'inscrira dans le cadre du projet OpenJDK. Cette fusion entre les deux solutions de VM Java a été annoncée depuis quelques temps par Oracle. Par contre, la coexistence d'une formule gratuite et d'une payante est une information nouvelle.
Le dirigeant s'est par contre bien gardé de donner une date et des prix pour cette version premium. Il a seulement assuré à ceux qui utiliseront la solution gratuite « de grandes performances ». La partie premium devrait s'intégrer plus facilement dans le middleware des solutions d'Oracle. Les développeurs restent dubitatifs sur l'avènement d'une double version des machines virtuelles Java. Ils soupçonnent le spécialiste de la base de données de vouloir augmenter ses revenus, comme il vient de le faire en augmentant sensiblement le support et la maintenance de MySQL. A suivre
Louvre Hôtels enrichit ses bases de données décisionnelles
Louvre Hôtels dispose de plusieurs bases de données localisées dans un datawarehouse à Francfort, chacun étant destiné à un usage en décisionnel (contrôle de gestion, GRC, etc.). Environ 150 collaborateurs interrogent ces datamarts chaque jour, essentiellement à partir du siège situé à Paris La Défense. L'alimentation de ces bases ne se faisait pas de manière assez réactive pour satisfaire ces utilisateurs.
Nabil Elmernikh, responsable décisionnel, a alors pris l'initiative de télécharger la version Open Source de l'outil d'intégration de Talend (Talend Open Studio). Cette version lui a permis de monter sans bourse délier un démonstrateur de nouvelles procédures d'alimentation du datawarehouse. L'outil s'est en effet révélé simple à prendre en main et à déployer. En particulier, Talend permet de paralléliser les tâches sur de multiples serveurs. Malgré cela, les anciens scripts SQL ont pu être réimportés sans difficulté. Les nouveaux scripts sont directement développés dans l'outil de Talend qui assure une gestion des erreurs.
Une fois passé en production, et pour bénéficier des fonctions avancées de monitoring, d'automatisation des développements et de planification, Louvre Hôtels a choisi d'évoluer vers Talend Integration Suite, la version commerciale de l'outil. Malgré tout, quelques développements en Java ont été nécessaires pour couvrir certains besoins complémentaires. L'intégration et les développements ont été réalisés avec l'aide de l'intégrateur Manapps.
Le coût du projet n'a pas été communiqué.
La version 7 du CMS Open Source Drupal bientôt finalisée
Evolution majeure du système de gestion de contenus web Drupal, la version 7 du logiciel pourrait atteindre le statut de « release candidate » cette semaine. C'est la dernière étape avant la disponibilité générale du produit. Apparemment, il reste encore quatre bugs critiques à corriger, concernant l'accès du logiciel aux utilisateurs ayant une déficience visuelle, l'interface, ainsi qu'un risque potentiel de sécurité. « Nous cherchons à livrer la release candidate la semaine prochaine, peut-être même dès ce vendredi [5 novembre] », a déclaré Dries Buytaert, créateur du produit et directeur technique d'Acquia, dans une interview donnée sur la conférence PHP ZendCon 2010, à Santa Clara.
Comparée à Drupal 6, la version 7 est plus facile à utiliser et s'adapte mieux aux grands sites qui atteignent 30 à 40 millions de pages vues par mois. En revanche, la mise à jour pourrait s'exécuter plus lentement qu'avec la v.6 si elle est déployée sur un seul serveur. Parmi ses utilisateurs, le système Drupal compte une chaîne de magasins spécialisés comme Best Buy, mais aussi la Maison Blanche, donne en exemple Dries Buytaert.
Version définitive dans deux mois
Il y a eu pas moins de sept versions alpha de Drupal 7 et deux bêtas, la première d'entre elles livrée le 7 octobre dernier. On espère que la version définitive arrivera d'ici deux mois. Il pourrait toutefois y avoir plusieurs releases candidates.
Drupal a été écrit en PHP, même si l'expérience de Dries Buytaert repose plutôt sur le développement Java. « J'ai eu recours à PHP car, à ce moment-là, je voulais apprendre ce langage, mais aussi parce que je pense que Drupal a du succès en raison de PHP qui est tellement accessible. » La barrière à l'entrée pour les développeurs n'est pas trop élevée par rapport à Java, selon lui.
En juillet, Dries Buytaert a accordé une interview à nos confrères d'Infoworld à l'occasion de laquelle il a détaillé les avancées prévues dans Drupal 7.
Construire une communauté prend du temps
Le fondateur du CMS Open Source a par ailleurs énuméré les secrets de l'innovation apportée par une communauté. Il n'existe pas de formule rapide : construire une communauté prend du temps. Il faut s'attendre à des problèmes de croissance, comme lorsque le site web de Drupal a subi une interruption de serveur en 2005. Il convient de bâtir une architecture capable d'évoluer et autoriser les gens à collaborer. Il est nécessaire de fournir les bons outils, tels que forums, mailing lists et wikis. Indispensable, aussi, de construire un écosystème commercial au-delà de celui du réseau des développeurs. Enfin, le « leadership » est plus important que la gestion : il faut laisser ceux qui participent libres de faire ce qu'ils veulent.
8,5 millions de dollars de plus pour Acquia
Sur son site, Dries Buytaert vient par ailleurs d'annoncer que la société Acquia a réalisé ces jours-ci un troisième tour de table qui lui a permis de lever 8,5 millions. Sur trois tours, la start-up aura ainsi levé 23,5 millions de dollars. L'an dernier, son activité a crû de 300%, explique le directeur technique, et son effectif est passé de 30 à 70 personnes à temps plein. La plateforme en ligne Drupal Gardens, sur laquelle le logiciel est accessible sous la forme d'un service, comptabilise déjà 25 000 sites. Pour Dries Buytaert, le logiciel Drupal animerait à ce jour plus de 1% du web.
Illustration : Dries Buytaert, créateur de Drupal et co-fondateur d'Acquia (crédit photo : http://buytaert.net/) (...)
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