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Architecture logicielle

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(17/08/2010 18:09:48)

Embarcadero aborde le cloud avec des outils pour PHP et Windows

L'éditeur Embarcadero va livrer des mises à jour de ses outils de développement pour Windows et PHP livrés au sein de sa suite RAD Studio XE qui doit être officiellement annoncée le 1er septembre. Parmi les apports figurent des versions de Delphi pour bâtir des applications Windows en Object Pascal. On y trouve Delphi Prism pour la construction de code managé basé sur .Net, ainsi que C++ Builder pour créer des applications en C++. Enfin, RadPHP XE y succède à l'outil Delphi pour PHP. Rappelons que ces produits ont été acquis par Embarcadero avec le rachat, en 2008, de CodeGear, l'entité qui éditait les logiciels de développement de Borland.

Tous les produits de la suite portent maintenant l'extension XE, le X signifiant qu'ils sont multi-plateformes et fonctionnent sur des bases de données hétérogènes, et le E rappelant le nom de l'éditeur, explique Mike Rozlog, responsable produits pour les solutions RAD Studio.

Les capacités liées au cloud présentes dans Delphi et C++ Builder serviront à développer des applications accédant aux services de stockage de la plateforme Windows Azure de Microsoft. Les développeurs pourront aussi déployer des applications sur le cloud EC2 (Elastic Compute Cloud) d'Amazon.

RadPHP XE plus rapide que Delphi for PHP

Par ailleurs, Embarcadero cherche à concurrencer Zend Studio avec RadPHP XE. Selon Mike Rozlog, l'analyseur de code intégré pour le débuggage, doté de fonctions drag-and-drop, donne un avantage au produit. « Nous avons maintenant pour PHP les mêmes fonctions drag-and-drop qu'avec Delphi, C++ Builder et Delphi Prism, ce qui accélère sensiblement le développement ». Le nouvel outil surpasse Delphi for PHP par sa rapidité et ses outils de débuggage, insiste Mike Rozlog, et, toujours selon lui, le produit appréhende mieux JavaScript et Ajax. « Les développeurs pourront s'en servir pour concevoir des applications Facebook », suggère-t-il.

Les produits XE supportent la technologie ToolCloud pour la gestion centralisée des licences. Avec les mises à jour XE de Delphi et C++ Builder, les développeurs peuvent bâtir des versions serveurs basées sur Windows opérant avec des protocoles comme Rest. Ils passeront par le framework DataSnap pour construire des applications multi-niveaux.

Les produits se complètent d'outils de test, d'évaluation des performances, d'automatisation et de gestion de la qualité. Les différents logiciels de la suite peuvent être achetés séparément ou ensemble.

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(17/08/2010 16:00:32)

La fin proche d'OpenSolaris stimule les projets dérivés

Même si Oracle n'a plus l'intention de supporter OpenSolaris, tout espoir n'est pas perdu. C'est ce que pense le fondateur d'un récent projet dérivé de Solaris, lancé le 3 août (http://www.illumos.org/). Illumos est issu d'OS/Net qui réunit le coeur et les composants réseaux du système d'exploitation Solaris. Il a émergé alors que les spéculations allaient bon train sur l'avenir de la version Open Source de l'OS de Sun, passé dans le giron d'Oracle.

Vendredi dernier, un mémo adressé à la mailing list d'OpenSolaris a révélé que le repreneur de Sun prévoyait de concentrer ses efforts sur la déclinaison commerciale de l'OS. En lieu et place de la mouture Open Source, une version développeur du système d'exploitation est prévue, Solaris 11 Express, qui s'accompagnera d'outils pour faciliter la migration des utilisateurs d'OpenSolaris.

Quoique regrettable, la décision d'Oracle n'est pas catastrophique, considère pour sa part Garrette D'Amore, le fondateur du projet Illumos. Le but original consistait à suivre d'aussi près que possible le code d'Oracle afin de parvenir à une relation de collaboration plus étroite, a-t-il expliqué hier dans une interview. « Tel était mon souhait ». Mais le mémo indique qu'Oracle ne croit pas qu'il y ait un quelconque intérêt à ce type de collaboration, poursuit cet ancien ingénieur chez Sun, contributeur de premier plan à OpenSolaris. Ceci sous-tend qu'Illumos devra peut-être devenir bien plus qu'un fork complet du code de base de Solaris. « Nous allons être contraint d'évoluer et, par conséquent, le code divergera ».

Quelques contributeurs connus pour Illumos

Le projet aura besoin de s'appuyer sur une société pour rencontrer le succès. Pour l'instant, il a reçu le support de différentes entreprises parmi lesquelles l'employeur de Garrette D'Amore, le fournisseur de solutions de stockage Nexenta Systems.

Dans un billet de blog, vendredi dernier 13 août, le fondateur du projet dérivé a laissé entendre que quelques noms très « surprenants » s'étaient déjà engagés, de façon privée, à soutenir cette initiative. « Il s'agit de contributeurs connus, des personnes qui ont participé au code de Solaris par des apports très importants, et sur les parties les plus ambitieuses et les plus sensibles de l'OS ».

Tout bien considéré, Illumos semble parti sur de très bonnes bases, a-t-il estimé hier. « S'ils veulent une relation basée sur la concurrence plutôt que sur la collaboration... En fait, je pense que nous nous trouvons dans de bonnes conditions en dépit des ressources économiques importantes dont dispose Oracle. »
La société de Larry Ellison n'a pas encore commenté ces propos.

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(13/08/2010 12:23:57)

Oracle poursuit Google pour l'utilisation de Java sur Android

Oracle a annoncé jeudi avoir porté plainte contre Google, accusant le système d'exploitation mobile Android de violer des brevets et copyrights liés à Java. « En développant Android, Google a volontairement et directement enfreint la propriété intellectuelle de Java détenue par Oracle », indique Karen Tillman, porte-parole de l'éditeur de bases de données.

Lorsque Google a développé Android, il a inclus une technologie compatible avec Java, appelée Dalvik. Or, cette dernière a été créée comme une version « clean room » de Java, c'est-à-dire que la firme de Mountain View l'a programmée en partant de rien et sans utiliser de technologie Sun, affirme Ken Dulaney, analyste chez Gartner. « Vous ne pouvez pas juste prendre une application Java issue d'un environnement Sun, dans lequel elle est licenciée, et la faire tourner sous Android. Il faut d'abord la compiler avec Dalvik ». Pour Oracle, Dalvik est un concurrent de Java et viole de nombreux brevets. Il est probable que la motivation d'une telle plainte provienne du succès de l'OS mobile sur le marché du smartphone. « Ils possèdent Sun et maintenant ils veulent récupérer les royalties sur le langage », déclare Ken Dulaney. Google aurait d'ailleurs embauché certains des ingénieurs Java de chez Sun, d'où la motivation d'Oracle à bloquer ces infractions et évidemment à toucher des dommages et intérêts.

Une plainte un peu faible

Ken Dulaney estime que l'affaire sera difficile à prouver pour la société de Larry Ellison, et que la bataille juridique pourrait tendre à s'éterniser. Surtout si l'on se réfère au récent jugement SPSS contre WPS qui risquerait de faire jurisprudence dans le domaine : « le copyright des programmes informatiques ne protège pas les langages de la copie ».

Illustration : Ken Dulaney, analyste chez Gartner (crédit Photo : D.R.)

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(09/08/2010 16:58:56)

VMforce vise au-delà de Salesforce

Annoncé en avril, le projet VMforce, qui associe VMware et Salesforce.com, se voulait être le « premier cloud d'entreprise pour les développeurs Java ». Même si la technologie ne sera dévoilée que cet automne, via une preview dédiée aux développeurs, Rod Johnson, responsable de la division SpringSource, rachetée par VMware l'an dernier, a laissé filtrer quelques informations sur les usages potentiels durant une interview.

« Les killers applications sur cette plateforme seront celles qui utiliseront des données Salesforce. Elles amélioreront la solution tout en interagissant avec sur les mêmes serveurs sur lesquelles elles ont été développées, et cela donnera des performances impressionnantes » affirme-t-il. « Mais VMforce sera aussi capable de faire tourner des applications Java d'entreprise. Vous pourrez programmer n'importe quelle application sur la plateforme et bénéficier de l'expérience de Salesforce ». En somme, les développeurs pourront à terme créer leurs programmes avec SpringSource et les déposer sur le cloud VMforce, qui intègrera nativement les plateformes mobiles et les outils de collaboration.

Des nuages et des langages

Il ajoute d'ailleurs qu'il a fallu, lors de la conception de ce cloud basé sur la technologie de virtualisation vSphere, mettre en place une interface suffisamment familière pour les développeurs Java et de rendre leurs logiciels compatibles avec le modèle de données Salesforce. Tandis que les clouds du type IaaS (infrastructure-as-a-service) tels que l'EC2 d'Amazon obligent les clients à administrer leurs propres serveurs virtuels, la solution PaaS (platform-as-a-service) comme VMforce rendent ces tâches inutiles. Tout ce qu'il reste à faire aux utilisateurs, c'est coder.

Malgré cela, chaque modèle de cloud a ses avantages. En IaaS, même s'il faut gérer plus de paramètres, tous les modèles de programmation sont soutenus. Avec du PaaS, les applications sont certes plus rapides à mettre en place, mais disposent d'une moindre portabilité, nécessitant d'être conçues selon le langage supporté par le fournisseur. « Notre but a toujours été d'optimiser la portabilité avec Spring, et nous essayons de faire en sorte que les applications Java puissent fonctionner sur différents clouds, hyperviseurs ou même sur les serveurs n'ayant pas été virtualisés », précise Rod Johnson.

Google App Engine : entre concurrence et partenariat

A l'heure actuelle, les principaux acteurs du cloud de type PaaS sont Windows Azure, Google App Engine et Salesforce. Le fondateur de Spring considère à ce propos que Google App Engine est entouré de trop de restrictions concernant ce qu'il est possible de faire avec les applications Java, ce que VMforce devrait selon lui grandement étendre pour coïncider avec les besoins des entreprises. Malgré ces critiques, VMware et Google se sont associés pour que les applications Java créées avec Spring tournent sur le cloud de Google, qui supporte à la fois Java et Python.

Il conclut enfin sur la relative indépendance de SpringSource par rapport à VMware malgré le rachat. « Nous contrôlons en grande partie notre propre destinée, et je suis moi-même très impliqué dans la stratégie globale de VMware ».

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(30/07/2010 16:34:02)

Ne confondez pas SOA et Cloud explique le Gartner

Selon David Mitchell Smith, vice-président de Gartner Research, les entreprises proposant une architecture orientée services (SOA) pour aider à la gestion des services informatiques ne devraient pas imaginer qu'elles seront automatiquement prêtes pour le cloud computing. S'exprimant sur le thème « Quelle réalité pour le cloud ; les SOA, constitutions et logiciels du futur » lors du sommet annuel que Gartner consacre au SOA, celui-ci a expliqué que le problème venait du terme «service» utilisé à la fois pour le cloud et pour le SOA. "Un même mot avec des significations différentes," selon lui. "Dans le monde du SOA nous parlons de services en faisant référence aux logiciels, aux composants actifs et aux objets (éléments techniques), mais dans le monde réel, quand on parle de service, on pense résultats», a-t-il déclaré.

Payer pour des résultats ou pour une technologie ?

Celui-ci a poursuivi son intervention en déclarant : « Les gens vont dire : nous faisons du SOA donc nous sommes prêts pour le cloud. Mais la différence est énorme. Avec le cloud, vous payez pour des résultats, pas pour la technologie. Dans le cloud, l'offre relève de la relation entre le fournisseur de service et le consommateur, et pas entre le prestataire de technologique et le consommateur. « Il a insisté sur le fait que les DSI ne devaient pas imaginer que SOA et cloud étaient équivalents». Cependant, le vice-président de Gartner a reconnu que les deux concepts étaient liés : «le fait de disposer du SOA représente une bonne base pour le cloud». Pour mieux illustrer l'orientation que devait prendre selon lui l'industrie du logiciel, il a déclaré : « Dans le football américain, il faut lancer la balle d'un côté et la rattraper de l'autre. Il est donc important d'être là où l'on pense que la balle va atterrir,» a-t-il dit. «Les questions qui se posent aujourd'hui autour du cloud et du SOA relèvent de la même logique. Si l'on prévoit en fonction des hypothèses actuelles et que l'on veut planifier l'avenir, alors on a besoin de savoir ce que l'avenir sera, et ce n'est pas une mince affaire."

Bien définir le cloud pour mieux l'utiliser

Dans son discours tenu à Sidney, David M. Smith a estimé que l'industrie IT était très conditionnée par la mode. « Nous voulons savoir où nous allons et nous sommes en haut d'une falaise qui s'appelle le cloud. Tout le monde dit vouloir y aller, sans comprendre nécessairement ce que cela signifie,» a-t-il déclaré. «Le cloud computing est sans doute le terme actuel le plus surfait, et il n'est pas bien défini. La moitié du problème consiste déjà à expliquer ce que c'est, et ce n'est ni une technologie ni une architecture, mais une application de l'informatique qui permet par exemple d'offrir à ses clients des services utilisant les technologies de l'Internet. » Selon lui, les gens pourraient penser que le terme cloud computing dit la même chose autrement, mais "c'est plus que cela ». «Le cloud est une question de confiance et si vous n'avez pas confiance dans votre prestataire, mieux vaut ne pas se lancer. À ce titre, le SOA est aussi différent du cloud,» a-t-il ajouté. « La combinaison du cloud, du SOA et d'événements appelant à la participation des individus conduit à des innovations. C'est le cas des tâches collaboratives, des échanges basés sur des événements et des services multi-tenant mais les individus restent au coeur de cette innovation. »

Pourquoi aller vers le SaaS ?

Le vice-président de Gartner a également posé la question des pratiques logicielles et s'est interrogé sur leur pertinence pour l'entreprise. Il a notamment estimé qu'il fallait faire évoluer les mentalités pour transformer l'achat de logiciel en achat de service. « Les gens ne veulent pas vraiment acheter du logiciel. Ils veulent acheter un service qui permet d'obtenir quelque chose, » a-t-il commenté. « Le cloud et les réalités auxquelles doivent faire face les entreprises sont axés davantage sur les résultats, et les investissements doivent représenter de la valeur, et non des coûts. L'avenir du logiciel est loin d'être assuré. Celui-ci n'est pas mort, mais on peut dire qu'il n'est pas en bonne forme. Pas suffisamment en tout cas pour servir de business model à long terme. Ce sont les résultats qui comptent, pas la technologie. »

Illustration : David Mitchell Smith, vice-président de Gartner Research, crédit D.R.

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(30/07/2010 11:29:41)

A l'occasion de l'OSCON, le créateur de Drupal a annoncé la version 7 du CMS

Quand sortira Drupal 7 ?

Dries Buytaert : On ne sait pas encore, mais il ne nous reste plus que 44 bugs critiques à corriger. J'espère que la bêta sortira début août. Quant à la version finale, je pense qu'elle devrait arriver pour septembre ou octobre.



En avril, vous aviez annoncé que cette version serait plus lente que Drupal 6. Pourquoi ?

DB : Nous y avons ajouté beaucoup de fonctionnalités. Vous avez le coeur de Drupal, qui est la plateforme de base, et vous avez des modules complémentaires qui sont eux développés par des membres de la communauté. Nous avons introduits 70 de ces modules dans le coeur du programme, qui s'est donc quelque peu alourdi. Cela a eu pour conséquence de rendre effectivement Drupal un peu plus lent. Le but était de simplifier son utilisation.



Que font ces modules ?

DB : Un des plus populaires s'appelle CCK, pour Content Construction Kit. Il autorise les utilisateurs à personnaliser les types de contenus via leur navigateur. Par exemple, si vous voulez faire un forum, vous pouvez créer une typologie correspondante. Autre élément important, plus Drupal se développe, plus il a de sites importants qui l'adoptent. Nous avons du coup été en mesure de faire quelques changements au niveau de l'architecture pour améliorer l'évolutivité. Par contre, en échange de cette capacité à pouvoir mettre Drupal à l'échelle de grands sites Internet déployés sur différentes machines, la performance sur un serveur unique s'est vue quelque peu amoindrie. Nous nous sommes dits que cet équilibrage en valait malgré tout la peine.

Drupal 7 devrait recoder les API et intégrer une interface repensée pour les utilisateurs non-avancés. 

Lire la suite de l'entretien

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(27/07/2010 12:14:29)

Google Apps renforce sa sécurité pour conquérir le gouvernement américain

Google a dévoilé une version de ses Apps spécialement conçue pour répondre aux besoins de sécurité des agences gouvernementales américaines. Cette mouture spéciale comprendra Gmail, Talk, Groups, Calendar, Docs, Sites, Video et Postini, et coûtera le même prix que la Premier Edition, à savoir 50 $ par utilisateur et par an. Les données seront stockées exclusivement aux Etats-Unis, et les serveurs qui seront dédiés à cette offre se trouveront séparés de ceux utilisés par les clients non-gouvernementaux.

Le service répond aux impératifs de sécurisation des données tels qu'ils sont présentés dans le Federal Information Security Act, et peut donc être utilisé par les agences concernées par l'acte en question. La version est déjà disponible, et la firme de Mountain View a d'ores et déjà présenté certains de ses clients. Par exemple, Berkeley Labs, qui fait partie du Département de l'Energie, a commencé à utiliser Google Apps plus tôt dans l'année. Plus de 4000 employés et 1000 partenaires de recherche utilisent Docs et Sites pour collaborer, et ils sont au total 4000 à avoir adopté Gmail. Le comté de Larimer, dans le Colorado, s'est lui aussi mis à cette version des Apps.

Un service aussi proposé par Microsoft

Cette année, Microsoft a lui aussi présenté une suite de services sur le cloud à destination des fonctionnaires. Ceux-ci sont hébergés dans des infrastructures spéciales, dont l'accès physique est contrôlé via des systèmes biométriques, et dont les employés sont rigoureusement évalués et vérifiés. Ces services sont alignés sur certaines certifications de sécurité du gouvernement.

L'annonce de Google fait suite à des rapports indiquant que l'entreprise a dépassé la date d'implémentation de ses Apps au sein des services de la ville de Los Angeles. Le délai serait justement dû à quelques inquiétudes concernant la sécurité de l'offre.

Crédit Photo : D.R.

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(27/07/2010 10:48:14)

Riverbed virtualise son appliance d'optimisation pour des environnements difficiles

Pour Christian Lorentz, directeur marketing produit pour Riverbed « plusieurs clients nous ont demandé de l'optimisation dans des environnements particuliers comme les plateformes pétrolières, des chantiers temporaires ou des datacenters qui manquent de place ». Fort de constat, le spécialiste de l'optimisation vient de présenter Virtual Steelhead, une version logicielle de l'appliance physique existante. « Cette dernière n'est pas soumise à des contraintes comme les chocs, l'humidité, la pression, à la différence ».

Le responsable indique qu'il s'agit d' « une version complémentaire à l'appliance physique pour des besoins très précis ».  La tarification entre les deux solutions (2885 dollars pour le logiciel et 3400 dollars pour l'appliance) n'est pas très différente pour éviter un effet de substitution. Christian Lorentz indique tout de même que l'avantage de la solution logicielle réside dans la très grande facilité d'évolutivité en fonction des besoins.

Riverbed a annoncé que Virtual Steelhead serait dans un premier temps disponible sur la plateforme vSPhere de VMware, mais des travaux sont en cours, sans d'agenda précis, sur d'autres solutions de virtualisation. Testé auprès de plusieurs clients et dans différents environnements (dont un datacenter virtualisé à 100%), le produit sera disponible à la fin août.

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