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Architecture logicielle

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(18/06/2010 12:58:47)

Marché du test : le géant Cognizant rachète Galileo Performance

Spécialisée dans les services d'optimisation du système d'information et notamment sur les tests techniques et fonctionnels, la société de conseil Galileo Performance vient de se faire racheter par la SSII américaine Cognizant. Installée à Issy-les-Moulineaux et dirigée par Abel Guerrini, elle compte dans ce domaine une trentaine de spécialistes expérimentés qui vont renforcer l'offre de services de Cognizant sur le marché français.

Par cette acquisition, l'équipe de Galileo Performance rejoint les rangs d'un poids lourd du test qui rassemble déjà sur ces activités quelque 10 000 collaborateurs à l'échelle internationale (sur un effectif total de 85 500 personnes répartis sur cinquante centres dans quatorze pays). Cognizant a démarré ses activités en 1994, en tant que division de l'Américain Dun & Bradstreet, en se développant d'emblée en Inde, où la société possède aujourd'hui neuf implantations (à Bangalore, Chennai -photo ci-dessus, Coimbatore, Kerala, Calcutta, Mumbai, Pune, Hyderabad et Gurgaon).

Sumithra Gomatam, vice-président senior et responsable international de l'entité Test de la SSII américaine, rappelle que les architectures virtualisées ont amené les acteurs de l'assurance qualité et du test à se transformer. Il souligne dans un communiqué qu'il leur faut devenir « des partenaires à part entière sur l'ensemble du cycle de vie, en collaboration avec des utilisateurs professionnels, des développeurs et d'autres intervenants dans et hors de l'entreprise cliente ».
L'offre de Cognizant couvre le test de processus métier, de performance et de continuité d'activité et se décline dans de nombreux domaines (conformité réglementaire, SOA, test Agile, etc.).

Illustration : implantation de Cognizant à Chennai, en Inde (crédit photo : Cognizant).

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(18/06/2010 10:15:50)

Avec VectorWise, Ingres affûte sa base pour les gros volumes

En s'appuyant sur un projet de recherche mené par l'Institut néerlandais CWI de recherche en informatique, l'éditeur de logiciels en Open Source Ingres vient de lancer une base de données spécifiquement conçue pour traiter les très gros volumes. C'est la préoccupation désormais commune de tous les spécialistes de la gestion de données, bloqués par les capacités des SGBD relationnels lorsqu'il s'agit d'analyser un nombre toujours croissant d'informations.

La technologie mise au point par VectorWise (émanation du CWI) est basée sur un moteur de requête qui tire parti des dernières générations de mémoires et de processeurs. Celui-ci est combiné à un stockage en colonnes, mode d'organisation désormais plébiscité pour optimiser les performances de traitement sur plusieurs téraoctets de données. Des performances atteintes sans qu'il soit nécessaire de mettre en place un système massivement parallèle à la configuration complexe, assure VectorWise. Les premiers benchmarks ont été fait sur une plateforme équipée de processeurs Xeon 5500 (Nehalem).

La base de données Ingres VectorWise peut être téléchargée gratuitement pour test.

Ingres VectorWise
Cliquer ici pour agrandir l'image

En savoir plus :


Livre blanc sur Ingres/VectorWise

- Télécharger Ingres/vectorWise

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(17/06/2010 16:58:43)

Akamai se renforce dans le mobile avec Velocitude

Cette acquisition est considérée comme stratégique pour Akamai avec le développement de l'Internet mobile. Les techonologies de Velocitude vont être intégré dans les solutions d'Akamai pour aider à la délivrance de contenu vidéo ou de fonctionnalité de e-commerce auprès des smartphones.

En dépit du développement de l'internet mobile, l'expérience utilisateur, notamment de la vidéo sur un navigateur web est déceptive (absence de fluidité, pixellisation des images, etc). Cela oblige les fournisseurs de contenus à adapter ou à redimensionner les films ou les images pour les mobiles. Cet effort a un coût et les solutions de Velocitude peuvent automatiser cette migration du contenu vers les plateformes mobiles. Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé.

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(17/06/2010 14:20:27)

Plus de HTML5 dans la dernière bêta d'Opera

« Le battage autour du HTML5 va croissant, mais le nouveau standard joue également sur la promesse de changer la manière dont le web est utilisé. Cette étape importante vise à transformer le navigateur et le web en plate-forme pour faire tourner des applications, » selon Jan Standal, vice-président des produits bureautiques chez Opera. La mise en oeuvre du HTML5 est donc en cours chez l'éditeur. Ainsi, la version 10.6 d'Opera a étendu les capacités vidéo du navigateur en ajoutant le format de fichier open source WebM, annoncé par Google le mois dernier. Selon le site web du projet, Mozilla, Opera, Adobe et plus de 40 autres vendeurs ont choisi de supporter ce  standard. « Le WebM à l'air très prometteur, » a déclaré Jan Standal. « Opera a également ajouté AppCache, l'un des éléments qui permettra d'exécuter des applications web hors ligne, » selon le responsable d'Opera. « Quant à AppCache, il permettra au navigateur de stocker plus de données, ce qui, en retour, accélèrera l'accès aux pages Web ».

En plus de ces améliorations HTML 5, Opera a également intégré une API de géolocalisation, en cours d'élaboration par le W3C, plus Web Workers, développé par le Web Hypertext Application Technology Working Group (WHATWG). « L'API de géolocalisation du W3C fournit aux développeurs une méthode unique pour rendre les applications web capables de travailler avec des services de localisation. L'API peut être utilisée pour identifier le lieu où se trouve l'utilisateur ou fournir des résultats plus pertinents en recherche locale par exemple, » a indiqué Jan Standal. « Web Workers permettra au navigateur de réaliser des tâches qui sollicitent le processeur de manière plus intensive, comme la manipulation d'images et les jeux, sans ralentir les performances globales, » a-t-il précisé.

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Les principaux navigateurs sont en train d'adopter le HTML5 et d'autres standards, tous façonnant la prochaine génération de l'Internet. « L'essentiel n'est pas d'être le premier, mais, si tous les vendeurs travaillent avec ce format, ce sont les utilisateurs finaux qui en bénéficieront, » a encore déclaré Jan Standal.

Si Apple, Microsoft, Mozilla, Opera et Google veulent tous collaborer à la mise en oeuvre du HTML5, il existe encore un certain nombre de controverses quant au respect des formats. Récemment, Apple s'est attiré les foudres d'experts Internet pour avoir mis en ligne une démonstration HTML5 qui fonctionne uniquement avec son navigateur Safari. En attendant la version définitive qui sera disponible dans les prochaines semaines, il est possible de télécharger la version bêta 10,6 (pour Mac OS X, Windows et Linux) sur le site d'Opéra.

 

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(15/06/2010 19:19:50)

La version 2.7 du langage Python bientôt disponible

La version 2.7, dernière évolution de la génération 2.x du langage Python, populaire parmi les développeurs web, approche de la disponibilité générale. Ses équipes de développement ont sorti le 5 juin dernier une 'release candidate' et on attend la version définitive pour le 3 juillet prochain.

« 2.7 représente la dernière de la série 2.x, en ce qui concerne l'équipe de développement tout du moins, a confié Steve Holden, président de la fondation Python Software, à nos confrères d'Infoworld. Nous prévoyons une longue période de support de 'fin de vie' du produit, probablement au moins cinq ans, mais en tout cas, bien au-delà de la période normale de deux ans ».

Il existe déjà une série 3.x du langage, incompatible avec la série 2.x. La version 2.7 comprend notamment plusieurs fonctionnalités de la 3.x.

Illustration : site web Python.org

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(15/06/2010 17:51:07)

«L'effort de recherche de SAP est très important comparé aux ratios habituels»

Basé en France, à Levallois Perret, Hervé Couturier est directement rattaché au directeur technique de la société, Vishal Sikka (basé à Palo Alto), sous la responsabilité de Jim Hagemann Snabe, le co-PDG qui supervise le développement des produits.

LeMondeInformatique.fr : Depuis l'automne 2008, vous pilotez les équipes de développeurs travaillant sur le portefeuille d'applications Business Objects et sur la plateforme d'intégration SAP NetWeaver. Qu'est-ce qui va changer avec vos nouvelles attributions ?

Hervé Couturier, vice-président exécutif Technology group de SAP : Exception faite des couches basses de NetWeaver, plus précisément de la partie serveur d'applications que je ne superviserai plus, le périmètre de mes attributions est maintenu. Les équipes de développement de Business Objects et des autres couches de NetWeaver restent sous ma responsabilité. Mais j'ai récupéré en plus la partie recherche qui rassemble à peu près 450 personnes. C'est un effectif très important quand on le compare aux ratios habituels. Chez Business Objects, nous avions trois personnes dans ce domaine pour un effectif total de plus de 6 000 personnes. Là, nous sommes 450 alors que SAP compte 48 000 collaborateurs. Il s'agit donc d'un très gros effort de recherche.

Malgré cette prise de fonction sur la recherche, vous restez donc dans l'opérationnel ?

J'ai une position assez unique car je crois que c'est la première fois que l'on a quelqu'un qui est, en même temps, responsable de la recherche et de la livraison de logiciels. WebIntelligence, Explorer, Crystal Reports... sont des produits que je dois livrer pour le portefeuille d'applications décisionnelles, mais également Composition Environment, ou encore Process Integration, sur NetWeaver. Et je couvre en plus, maintenant, la partie recherche. J'ai donc vraiment un pied dans les deux mondes.

Avant sa restructuration en février dernier, SAP s'était vu reprocher de ne pas suffisamment innover. Depuis, l'innovation est devenu l'un des mots d'ordre des deux co-dirigeants, Jim Hagemann Snabe et Bill McDermott. Considérez-vous effectivement que la société péchait dans ce domaine ?

Je crois que c'est une des raisons, effectivement, pour lesquelles on m'a demandé de reprendre ce job. Parce qu'en toute humilité, je crois qu'avec les équipes que je pilote, nous avons eu tout de même de bons résultats dans la mise à disposition de nouveaux produits sur le marché. Au cours de deux dernières années, après l'acquisition par SAP, nous avons sorti BI OnDemand, BI sur mobile, Explorer et StreamWork, ce dernier ayant été livré en disponibilité générale en mai. Soit, en deux ans, dans le domaine des outils décisionnels et de collaboration, quatre nouveaux produits qui génèrent du revenu.

Lire la suite de cette interview dans la rubrique Entretien

Illustration : Hervé Couturier, vice-président exécutif Technology group de SAP (Crédit photo : SAP)

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(14/06/2010 17:12:39)

Y- a-t-il encore un avenir pour Windows Mobile 7 ?

L'approche discrète a peut-être été motivée pour éviter les comparaisons avec la conférence annuelle mondiale des développeurs d'Apple, la WWDC, où le PDG Steve Jobs a montré l'iPhone 4 exécutant iOS4 et ses nouvelles fonctionnalités, dont le multitâche, qui fait justement défaut à Windows Phone 7. Sur cette dernière plate-forme, il sera seulement possible de forcer certaines applications à travailler simultanément. Et encore seulement avec les éditeurs sélectionnés par Microsoft. Aussi, les mobiles équipés du système d'exploitation radicalement refondu ne devraient pas arriver sur le marché avant la « période des vacances » 2010, une date très vague sur laquelle l'éditeur de Redmond ne s'est pas montré plus disert.

Pour consulter l'intégralité de ce sujet, rendez-vous dans notre rubrique Dossiers (...)

(14/06/2010 12:48:22)

L'IGN ouvre un concours destiné aux développeurs

L'Institut géographique national (IGN) lance, le 18 juin, Géoportail 2010, un jeu concours à destination des développeurs. Objectif visé par la compétition : présenter des projets d'applications cartographiques innovants réalisés à partir des services en ligne de l'Institut, et notamment de l'API, l'interface de programmation du Géoportail. Les participants - professionnels mais également amateurs - auront jusqu'au 24 septembre pour présenter leurs créations. Ces dernières seront soumises à l'appréciation d'un jury de professionnels, constitué de représentants de la communauté des développeurs et de la direction de l'IGN.

Récompenser les projets non développés

Le concours comprend six catégories, parmi lesquelles figurent « Application mobile » (qui concerne les solutions optimisées pour les terminaux mobiles). «Application professionnelle » (qui vise les solutions destinées aux professionnels, quel que soit leur secteur d'activité), ou encore «Application nature », (pour les produits ayant une dimension environnementale). En outre, «Projet d'application », récompensera les bonnes idées même non développées, le jury ayant décidé de se baser sur le descriptif fourni lors de l'inscription et, s'il y a lieu, sur l'outil développé.

Les candidatures, soumises à l'appréciation des membres du jury, seront étudiées selon les critères suivants : le caractère innovant de la création, l'utilité du service, la fluidité de l'application, l'esthétique du site. Chacun de ces critères sera noté de 0 à 5, et chaque application se verra attribuer une note allant de 0 à 20. Les gagnants du premier prix, mention de la meilleure application, toutes catégories confondues, recevront 3 000 €.

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