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(19/04/2010 16:04:13)

Talend intègre son MDM dans sa suite et lève huit millions de dollars

Il y a trois mois, Talend lançait son offre de gestion des données de références (MDM, master data management) en affichant son ambition de démocratiser l'accès à ces outils avec une proposition technologique plus abordable que celles des autres acteurs du marché. Il ne lui aura pas fallu beaucoup de temps pour l'insérer dans son offre existante. L'éditeur français de solutions Open Source vient de livrer la version 4.0 de sa plateforme de gestion des données qui englobe désormais son ETL (solution d'extraction, de transformation et de chargement), ses outils de gestion de la qualité des données et, donc, sa toute récente offre de MDM.  Ces trois solutions peuvent toujours être acquises séparément ; en revanche, pour qui souhaite en combiner l'utilisation, les produits bénéficient d'une « forte intégration et d'une interface commune », souligne Fabrice Bonan, co-fondateur et directeur général (COO) de Talend. Il rappelle que la technologie d'Amalto, dont les actifs ont été acquis en 2009 pour construire l'offre de MDM, « avait une philosophie très proche de celle de Talend, basée sur le langage Java et sur Eclipse, notamment pour les interfaces, ou encore GWT. Les standards que nous utilisons sont très cohérents avec ceux d'Amalto. »

Analyse d'impact et lignage de données pour la 4.0

Avec la version 4.0 de sa plateforme, l'éditeur a ajouté des fonctions importantes « qui prennent leur ampleur dans le cadre d'une suite : l'analyse d'impact des modifications et le data lineage [lignage des données qui permet à l'inverse de remonter à la source] ». Talend 4.0 propose pour l'ensemble des trois produits un studio unique de développement reposant sur Eclipse, ainsi qu'un référentiel commun de métadonnées pour la gestion de la documentation, le partage des métadonnées applicatives, des règles métiers et des règles de transformation et de validation. La suite dispose aussi d'un environnement de déploiement unifié avec un modèle d'exécution distribué, une console de contrôle et un reporting en temps réel sur l'exécution.

Talend 4.0 est disponible dans ses versions communautaire et commerciale. Sur son site, on peut télécharger librement Talend Open Studio (ETL), Talend Open Profiler et Talend MDM Community Edition.[[page]]Depuis son lancement, en janvier, l'éditeur a enregistré plus de 4 000 téléchargements de son offre de MDM. Au nombre des tout premiers utilisateurs ayant testé la solution avant sa sortie, le groupe Bolloré est passé en production dans trente pays. « Cela nous a permis de valider fonctionnellement l'offre ; c'était l'objectif du programme 'early adopter' », explique Fabrice Bonan. La version commerciale, disponible depuis peu, a reçu un bon accueil. « Il y a eu un 'upsale' relativement immédiat entre notre offre d'intégration de données et le produit de MDM », assure le dirigeant.

Le 4e tour de table réunit 8 millions de dollars

Talend vient par ailleurs d'annoncer un nouveau tour de table d'un montant de 8 millions de dollars (le précédent remonte à janvier 2009). Celui-ci voit les investisseurs historiques -Allianz Private Equity, Galileo Partners et Balderton Capital- remettre des capitaux dans la société, au prorata de ce qu'ils avaient respectivement apporté. Rappelons que Bernard Liautaud, fondateur de l'éditeur Business Objects (racheté par SAP), et associé de Balderton, est entré l'an dernier au conseil d'administration de Talend.
« L'objectif de l'opération, c'est d'être rentable cette année, confie Fabrice Bonan. Entre 2008 et 2009, nous avons réalisé 120% de progression et nous prévoyons la même évolution cette année. Nous pensons avoir constitué une suite middleware complète que nous allons pousser sur le marché. »

L'éditeur français gère désormais sept bureaux. Trois sont situés en Europe (Londres, Paris, Nuremberg) et trois aux Etats-Unis. A ceux de San Francisco et Los Angeles, vient de s'ajouter celui de New-York, ouvert le mois dernier, plutôt pour s'adresser aux secteurs public et financier. Le septième bureau est installé à Pékin. Récemment, Talend a recruté Steve Sarsfield comme responsable produit pour l'offre « data quality ». Il occupait auparavant des fonctions similaires chez Trillium Software, l'un des spécialistes de la qualité et de la gouvernance des données.

(...)

(19/04/2010 10:54:39)

Le PMU optimise la maîtrise des coûts

Le PMU a placé ses coûts informatiques sous le microscope. Le groupe français de paris hippiques a témoigné lors d'une conférence de son usage de la méthode de contrôle des coûts ABC/ABM (Activity Based Costing/Activity Based Management) depuis 2008. La modélisation de la gestion du budget mise en oeuvre permet effectivement d'optimiser les coûts, selon Carole Gallès, responsable du contrôle de gestion de la DOSI.

Pour le PMU, la gestion du système d'information est centrale. Carole Gallès précise à ce titre que « le système informatique du PMU est souvent comparé à celui d'une société de Bourse car il fonctionne en permanence. » Plus de 1000 paris sont enregistrés chaque seconde. « En plus nous avons une forte contrainte sur la rapidité des règlements » ajoute-t-elle. Le véritable enjeu est donc de développer l'informatique tout en restant conforme aux budgets de l'entreprise.

Concrètement, la mise en oeuvre a été réalisée via l'outil Activity-Based Management de l'éditeur SAS. La responsable précise qu'avant d'opter pour cette méthodologie, lorsqu'elle présentait ses rapports à la DOSI, les éléments comptables n'étaient pas totalement compréhensibles pour ses interlocuteurs. Autre avantage, on dispose d'une totale transparence sur l'ensemble des coûts engagés ainsi que leur hiérarchisation. La modélisation aura toutefois été longue à mettre en place, reconnaît-elle.

[[page]]

Joachim Treyer, consultant pour le cabinet Cost House et membre du groupe de travail du CIGREF sur la maîtrise des coûts, précise que le modèle s'appuie sur une méthode ABC (Activity Best Costing - contrôle des coûts établi par activités) en plus d'un référentiel métier. Les paramètres clés sont les coûts des services mis à disposition par la DSI, leur transparence ainsi que leur justification vis-à-vis de leurs utilisateurs.

Le discours de la méthode

Le modèle permet d'établir un tableau de bord opérationnel et donne une vision globale de chaque activité. Plus précisément, il détermine un lien de causalité entre les dépenses et les services fournis afin d'avoir une meilleure connaissance des coûts par activité, par processus et par service. Joachim Treyer souligne quatre processus majeurs : la bureautique, les services, les projets techniques et les projets métiers, chacun décliné en de multiples activités. A partir de ces données le modèle dégage une valeur d'usage qui tient compte de la relation coûts-risque. Par ailleurs, l'analyste distingue « trois marches de la performance : la mesure des coûts, leur optimisation ainsi que la pérennisation du projet ».

Il estime que pour optimiser les coûts, l'entreprise peut agir soit sur les achats soit sur les services. Il adopte donc une vision efficacité-achats/efficacité-activité en confrontant le compte de résultat avec les coûts décaissés. Par cette méthode, la DSI et le contrôle de gestion travaillent ensemble pour affecter les ressources disponibles aux activités et pour ventiler ces dernières avec les services. Le modèle prend en compte les données passées pour estimer les prévisions futures. « Aujourd'hui, 13 managers opérationnels utilisent la solution » indique Carole Gallès. Le déploiement est prévu pour l'ensemble du groupe.

(...)

(16/04/2010 09:24:32)

Bacardi-Martini optimise l'administration de ses équipements nomades

Bacardi-Martini emploie 480 collaborateurs en France dont 120 commerciaux mobiles dotés d'ordinateurs portables. Début 2008, le groupe comptait équiper ses commerciaux d'une nouvelle solution de gestion de la relation client et souhaitait en profiter pour mieux administrer son parc et sécuriser la diffusion de documents commerciaux. La DSI a cherché un outil capable de réaliser une véritable gestion de parc avec inventaire matériel et logiciel, d'automatiser les mises à jour, transfert des données, etc. tout en limitant au maximum les interventions physiques sur les postes, avec toutes les complications pratiques que cela induit.

La solution MediaContact de Telelogos avait été déjà choisie deux ans auparavant pour administrer un parc d'ordinateurs portables des commerciaux d'une co-entreprise filiale de Bacardi-Martini. La DSI de ce spécialiste des spiritueux, satisfaite de l'expérience, a choisi la même solution pour la maison mère. Elle permet notamment de synchroniser les documents commerciaux, pousser les mises à jour de logiciels, planifier des tâches de sécurité (sauvegardes...), forcer le cryptage de certains flux... et suivre le bon déroulement des opérations afin, le cas échéant, d'intervenir sur les machines.

Les interventions de la maintenance ont été drastiquement réduites tout en accroissant le niveau de service.

Le coût de la solution n'a pas été dévoilée. (...)

(14/04/2010 15:48:59)

MySQL selon Oracle : un soupçon de libre et une dose de commercial

« MySQL dispose de plusieurs propriétés, qu'Oracle n'a pas » souligne Edward Screven dans une interview à Infoworld avant son discours lors de la conférence O'Reilly MySQL et d'ajouter « c'est petit, facile à installer et accessible pour les développeurs ». La base de données en open source donne à Oracle l'accès à un segment de marché non adressé par ses produits. « Il est important pour nous que MySQL soit un succès commercial. Et cela passera par des investissements de notre part » explique Edward Screven. Le dirigeant rappelle que des efforts ont déjà été réalisés pour améliorer les performances du système, avec l'intégration des équipes MySQL et InnoDB (moteur de stockage). Cette action a permis une augmentation de 35% des performances des bases de données MySQL fonctionnant avec 100 connexions simultanées. Les évolutions à venir porteront sur l'amélioration de cette vitesse en se reposant sur une granularité plus fine des requêtes de recherches et la réduction des conflits d'accès. « Une partie du problème, qui existait entre InnoDB et MySQL, était la mauvaise coordination des dates de sortie des produits. Cela rendait très difficile le déploiement des dernières évolutions au sein des versions finales » analyse Edward Screven.

Il a également indiqué que ce renforcement de la performance, ainsi que d'autres évolutions seraient disponibles à la fois pour la communauté des développeurs, mais surtout à des fins commerciales. Néanmoins, certaines fonctionnalités, comme la sauvegarde à chaud ou la surveillance, ne se trouveront que dans l'édition entreprise. Même si des initiatives sur les moteurs de stockages ont été réalisées par la communauté MySQL à travers des outils comme MariaDB et Drizzle, l'architecte en chef réaffirme que les efforts d'Oracle sur MySQL seront orientés vers ses clients.

Il n'est pas sûr que ces propos aient levé les doutes auprès de la communauté MySQL.

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(13/04/2010 16:59:16)

SpringSource s'offre un système d'échange entre applications

SpringSource, l'éditeur d'outils Java racheté en août 2008 par VMware, vient d'annoncer l'acquisition de Rabbit Technologies. Ce dernier a développé RabbitMQ, une solution d'échange de messages entre systèmes hétérogènes, applications, bases de données, plateformes de stockage... C'est donc une pierre de plus qui s'ajoute à l'offre de cloud computing que construit VMware. Il s'agit toutefois d'une petite opération financière puisque la société Rabbit, basée à Londres et créée en 2007, ne compte que dix salariés.

L'objectif de VMware consiste à fournir la technologie de virtualisation sous-jacente aux offres de PaaS (platform-as-a-service). Sur le marché du cloud, ces plateformes en ligne proposent des outils pour bâtir des applications que, par la suite, elles pourront aussi héberger. Dans cette stratégie, SpringSource apporte ses outils de développement Java, tandis que l'offre de messagerie RabbitMQ, qui repose sur le standard AMQP (Advanced Message Queuing Protocol), permettra aux applications ainsi mises au point d'interopérer et de ne pas rester enfermées dans un système propriétaire.

Une prochaine annonce avec Salesforce.com

Les systèmes d'échange de messages ont toujours constitué un élément clé de l'infrastructure applicative des entreprises. Rod Johnson (photo ci-dessus), directeur général de SpringSource, souligne toutefois que le cloud requiert des solutions de messagerie interapplicative différentes. L'offre de Rabbit permet aux développeurs de créer des applications complexes en découplant les composants, l'échange de données s'effectuant ensuite entre ces composants, sans nécessité d'en connaître le statut, la disponibilité ou la mise en oeuvre. Rabbit Technologies avait déjà noué des partenariats avec VMware, mais aussi avec Microsoft, Novell et plusieurs autres fournisseurs.

L'annonce de ce rachat par SpringSource vient faire écho aux informations distillées par Salesforce.com au sujet d'un partenariat que la société de Marc Benioff prévoit de dévoiler le 27 avril, conjointement avec VMware.

Illustration : Rod Johnson, directeur général de SpringSource, filiale de VMware


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(13/04/2010 12:06:34)

Adobe lance Flash Catalyst CS5 (MAJ)

« Adobe s'est engagé à mener une politique innovante en matière d'Internet en fournissant aux concepteurs et aux développeurs les meilleurs outils possibles, » a déclaré John Loiacono, vice-président senior et directeur général du département Creative Solutions chez Adobe. « En associant les runtimes Flash à la puissance des outils Flash intégrés à Creative Suite 5, les concepteurs et les développeurs peuvent collaborer plus efficacement, afin de réduire le temps de réalisation des applications web et de contenus interactifs disponibles sur les postes fixes, mais également sur les appareils mobiles».

L'apport de Flash Catalyst se situe principalement au niveau des composants utilisés pour créer des contenus interactifs de type boutons, barres de défilement, curseurs, champs de texte, cases à cocher, qui permettent aux visiteurs d'une page web d'interagir avec un produit ou un service. Ces éléments utilisent des concepts de pages et d'états, à l'image des projets de mise en page traditionnels ou de design Internet. De plus, l'interface et l'environnement de Catalyst s'apparentent à ceux de Photoshop, d'Illustrator, de Flash Pro, ou de Fireworks. Le logiciel transforme aussi des créations issues de ces différentes solutions, en contenus fonctionnels ou en interfaces utilisateur. Ils serviront de base aux concepteurs pour ajouter du contenu Flash et des applications destinées aux sites Internet. In fine, les projets peuvent être enregistrés au format SWF ou AIR, pour être lus sur l'ordinateur ou en ligne, avec le prochain player Flash 10.1.

Flash Builder 4 conçues pour les RIA


L'autre nouveauté de Creative Suite 5 s'appelle Flash Builder 4 Standard (anciennement Flex Builder). Conçu pour aider les développeurs à créer des Applications Internet riches (RIA), cet outil de développement, basé sur Eclipse, facilite le codage, le débogage et la conception visuelle d'interfaces utilisateur. Ce logiciel apporte également une meilleure coordination des travaux entre concepteurs et développeurs utilisant Catalyst pour construire des applications intégrant des interactions spécifiques. Cela donne aux premiers un contrôle accru sur les aspects créatifs d'un projet, tout en permettant aux seconds de se concentrer sur le coeur de l'application.[[page]]Très utilisés par les concepteurs pour la création d'objets multimédias interactifs, d'animations et autres contenus riches, Flash Professional CS5 offre une manière différente de travailler avec le cadre Texte, apportant des fonctions typographiques professionnelles et un traitement avancé du multilinguisme, en prenant en charge plus de 30 langues. L'autre innovation réside dans la présence  d'un panneau de codes pré-construits, les Snippets, que les créateurs peuvent utiliser directement dans les projets, pour ajouter des fonctions dans la navigation, comme des actions, des animations, des éléments audio et vidéo.

Créer des contenus web pour les terminaux mobiles

Avec Flash Professional CS5, les auteurs peuvent créer, tester et diffuser du contenu web sur de nombreuses plates-formes et d'appareils mobiles de type smartphones, tablettes tactiles, netbooks, SmartBooks et autres produits électroniques grand public. Ces contenus, destinés à s'afficher dans les navigateurs internet, seront compatibles avec la version 10.1 du player Flash ou avec applications autonomes tournant sous AIR 2.  Flash CS5 permet aussi d'accéder aux outils d'analyse Internet Omniture SiteCatalyst et Omniture Test & Target soit directement à partir du programme, soit via la plate-forme de services en ligne Adobe CS Live. L'application comprend également l'outil Packager pour iPhone capable de compiler le code ActionScript en code natif pour iPhone qui devait permettre aux développeurs Flash de créer des applications pour l'iPhone et l'iPad d'Apple, et d'autres appareils mobiles à venir. Mais le nouveau contrat de licence développeur iPhone 4.0, diffusé le 8 avril, interdit les applications qui n'ont pas été créé en C, C++ et Objective- C. Néanmoins, Adobe a déclaré qu'il continuerait à développer le Packager pour l'OS de l'iPhone et qu'il l'intègrerait à Flash CS5.

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