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Architecture logicielle
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(11/03/2010 13:02:02)
Brevets abusifs : Jonathan Schwartz, ex-PDG de Sun, se lâche sur son blog
En 2003, après que Jonathan Schwartz eut dévoilé un prototype de Linux pour le poste de travail, Steve Jobs - PDG d'Apple - appela son bureau afin d'indiquer que les effets graphiques de ce bureau "piétinaient la propriété intellectuelle d'Apple" et il menaçait de poursuivre devant les tribunaux s'il envisageait de le commercialiser. La réponse de Jonathan Schwartz fut simple, indique-t-il "Steve, je regardais votre dernière présentation, et Keynote paraît identique à Concurrence, possédez-vous cette propriété intellectuelle ?" Concurrence était un outil de présentation créé par Lighthouse Design, une société à laquelle Jonathan Schwartz avait participé, et que Sun avait acquis en 1996. Steve Jobs, toujours selon Jonathan Schwartz, avait utilisé Concurrence durant des années et alors qu'Apple créait son propre outil de présentation, la source de leur inspiration était évidente. Beaucoup de technologies croisées "Et au final, j'ai vérifié, MacOS est maintenant bâti sur Unix. Je crois que Sun possède quelques brevets sur les systèmes d'exploitation, aussi." Steve n'a rien répondu, indique Jonathan Schwartz. Ce dernier finit par abandonner ce projet de nouveau bureau, mais la menace de procès de Steve Jobs n'y était pour rien. "Les rodomontades et les menaces sont monnaie courante dans les entreprises de technologie" relève Jonathan Schwartz. Il ajoute que l'expérience avec Steve Jobs fut un bon entraînement pour l'entretien qui suivit quelque temps plus tard, avec Bill Gates et Steve Ballmer de Microsoft. Bill Gates avait attaqué bille en tête en déclarant que les brevets des produits de bureautique de Microsoft se retrouvaient dans OpenOffice (le produit de bureautique de Sun, livré en Open Source). A la différence de Steve Jobs, Bill Gates proposa à Sun de payer les licences correspondantes. [[page]] "Mais nous avions prévu le coup. Microsoft n'est pas lui-même étranger à l'imitation de produits qui ont du succès, puis à s'appuyer sur la puissance de son réseau de distribution afin d'éliminer la concurrence. Leur inspiration est souvent évidente" ajoute Jonathan Schwartz. Et de citer Bing, ou la plateforme de développement .Net, à comparer à J2EE. L'argument porta, car Bill Gates n'était pas chaud pour payer des licences sur les brevets J2EE évoqués par Jonathan Schwartz. La réunion tourna court. Jonathan Schwartz reconnaît la valeur des brevets, mais pour lui, utiliser ses brevets dans le domaine du logiciel, est un acte de désespéré, qui mise sur les tribunaux plutôt que sur la loi du marché. SElon lui, poursuivre un concurrent devant la justice rend celui-ci plus pertinent, au lieu de l'inverse. Racheter une société pour en attaquer une autre Il se souvient de l'un des procès les plus graves faits à Sun. Cela venait de Kodak. "Kodak avait acheté un brevet d'un fabricant défunt de PC - Wang - dans le seul but de faire un procès à Sun à propos d'une technologie ésotérique, Java Remote Method Invocation" se souvient-il. Or, Kodak n'avait qu'une faible activité dans le numérique. Sun ne pouvait donc pas répliquer sur des brevets violés par Kodak. Sun aurait pu aussi procéder en achetant une société dont les brevets seraient violés par Kodak, mais cela aurait été prohibitifs. Au bout du compte, l'affaire fut jugée devant un jury de Rochester, New York, un endroit connu pour héberger le siège social de ... Eastman Kodak. Le jury local finalement condamna Sun à payer 100 millions de dollars à Kodak. Et Jonathan Scwartz de conclure "Voilà des choses que je ne pouvais pas dire en tant que PDG de Sun. " (...)
(08/03/2010 16:34:16)Apple divise par 5 l'accès au programme développeurs pour Mac OS X
Apple vient de baisser sensiblement le coût d'accès à son programme développeurs sur Mac OS X, permettant de bénéficier d'un ensemble de ressources techniques et du support du constructeur. Désormais baptisé Mac Developer Program, par analogie avec l'iPhone Developer Program, ce service est proposé à 99 dollars par an, alors qu'il fallait jusqu'à présent débourser près de 500 dollars pour adhérer au programme Apple Developer Connection (ADC) Select et près de 3 500 dollars pour accéder au niveau ADC Premier. La société de Steve Jobs explique que sa décision a justement été motivée par le succès de l'iPhone Developer Program, déjà tarifé à 99 dollars l'an et avec l'objectif de susciter la création d'applications convenant à la fois à Mac OS X et iPhone OS. Pas de réductions sur les achats de matériel Les développeurs ayant souscrit au programme ADC conservent l'ensemble de leurs ressources jusqu'à l'échéance de leur adhésion. Au-delà, toutefois, ils ne pourront pas le renouveler et devront souscrire à la nouvelle formule, perdant de fait certains avantages, comme les réductions sur l'achat de matériels et un recours plus fréquent au support. A l'inverse, ceux qui n'ont adhéré à ADC qu'à partir du 1er février 2010 peuvent contacter Apple pour un remboursement. Le nouveau programme, auquel on adhère toujours à titre personnel (à partir de 18 ans) ou pour le compte d'une entreprise, donne droit aux pré-versions de Mac OS X, aux documentations techniques et à deux supports d'incidents pour l'année. Il inclut également l'accès aux forums développeurs et à des vidéos techniques commentées par des ingénieurs d'Apple. En complément, des services de support additionnels peuvent être acquis (deux pour 99 dollars et cinq pour 249 dollars). A noter qu'il existe toujours un accès gratuit à l'environnement de développement intégré Xcode 3, ainsi qu'à plusieurs autres outils (Dashcode, Instruments, Interface Builder, iPhone simulator...) pour pouvoir commencer à développer pour les environnements iPhone OS et Mac OS X. (...)
(04/03/2010 16:54:19)Avec NaturalOne, Software AG livre un IDE basé sur Eclipse
L'éditeur Software AG fait évoluer son univers de développement avec des outils basés sur Eclipse, en espérant attirer au-delà de son cercle de fidèles. Il lorgne en particulier du côté des spécialistes de Java. Son environnement intégré NaturalOne doit faciliter la modernisation les applications existantes conçues avec Natural, un langage que l'éditeur allemand a mis sur le marché il y a 35 ans maintenant. Ces outils s'adressent aussi aux familiers de Cobol. Le nouvel IDE peut être utilisé pour développer des applications qui tourneront sur mainframes ou sur des plateformes Unix, Linux et Windows. NaturalOne, en conjonction avec des bases de données Adabas, DB2 et Oracle, notamment. Il servira aussi à générer des services Web à partir d'objets Natural, pour les exploiter dans des environnements orientés services. Enfin, il permet de construire des interfaces utilisateurs web riches, en utilisant la technologie Ajax. L'éditeur allemand dispose d'une base installée importante sous Natural, principalement en Europe, en particulier dans les services financiers, l'administration et les compagnies aériennes. Les développeurs Natural expérimentés devraient gagner 30% dans la mise à disposition des applications, assure Software AG, en promettant aussi des temps de maintenance divisés par deux. L'IDE comprend un environnement d'exécution local pour le test d'application. Ces nouveaux outils peuvent être téléchargés pour une évaluation gratuite. La version commerciale revient à 3270 euros pour un utilisateur nommé (la maintenance s'élève à 20% du prix de la licence). (...)
(04/03/2010 09:21:51)EMC, Intel et VMware s'associent pour garantir la sécurité des clouds privés
L'objectif de cette alliance est d'établir « un socle commun de confiance pour déployer des environnements clouds», avec des caractéristiques physiques et des politiques de sécurité communes, explique Sam Curry, directeur technique de la division RSA Security d'EMC. Les plates-formes clouds privés rassemblent habituellement des applications sur la même base hardware, mais Sam Curry pointe que certains types de données ne peuvent pas être mélangées à d'autres en raison de règlementations gouvernementales ou d'obligations corporatives (Bale II par exemple). Ce partenariat ne se traduira pas dans les faits par un produit mais plutôt dans la démonstration que les technologies des deux sociétés* peuvent être combinées pour renforcer la sécurité dans les clouds. Ces travaux pourront ensuite être utilisés par les fournisseurs de services pour aider leurs clients à construire des clouds privés derrière leur pare-feu ou un cloud dédié rassemblant des services hébergés chez un tiers. «Nous croyons que, dans un futur très proche, un grand nombre d'entreprises et d'administrations utiliseront des services fournis par des clouds. Et ces dernières pousseront leurs prestataires à renforcer la sécurité des couches matérielles et à améliorer l'efficacité des hyperviseurs » poursuit Sam Curry. Ce dernier précise encore que les fournisseurs de clouds devront garantir une plus grande visibilité quant à la sécurité de leurs plates-formes matérielles en produisant automatiquement des rapports normalisés sur la configuration de l'infrastructure physique et virtuelle, et fournir ainsi la preuve que cette infrastructure est conforme aux politiques de sécurité et de protection des données. Combinaison de technologies La démonstration des deux sociétés* reposait sur la combinaison des technologies d'authentification des processeurs Intel, des ressources proposées par VMware pour la collecte des données relative à l'infrastructure physique et virtuelle et enfin des informations issues de la plate-forme RSA, qui identifie les menaces potentielles à la sécurité et la conformité. Ces informations sont ensuite passées à la moulinette des outils de conformité d'Archer Technologies, une société récemment acquise par EMC. Archer Technologies propose toute une suite d'outils qui évalue les risques, met en place des règles, surveille leur application, rapporte les incidents, réalise des audits... L'un des avantages de cette approche est d'affiner le contrôle de l'application de politiques différenciées dans les clouds privés. Savoir précisément sur quel serveur physique s'exécute une machine virtuelle, quels locataires ou entités commerciales cohabitent et partagent leurs ressources. Sam Curry conclut en indiquant que des fournisseurs tiers proposeront des services fondés sur cette première démonstration dans les six prochains mois. *Comme RSA, Archer et VMware sont détenues par EMC, cette collaboration comprend seulement deux entreprises indépendantes, EMC et Intel. (...)
(01/03/2010 12:59:53)SOA : IDS Scheer dope les revenus de Software AG
Dans deux semaines, l'Allemand Software AG (2e éditeur outre-Rhin derrière SAP) réunira ses clients français à Paris, le 16 mars prochain, pour sa conférence utilisateurs annuelle, Business Innovation Forum. Avec le rachat de son compatriote IDS Scheer, en août 2009, il possède désormais Aris, plateforme d'analyse et d'optimisation des processus métiers. Celle-ci vient s'ajouter à sa solution de gouvernance SOA (CentraSite) et aux logiciels de BPM, de BAM et d'intégration qu'il a acquis en 2007 avec l'Américain webMethods. « Si jusque-là, nous nous placions davantage au niveau de l'exécution, avec IDS Scheer, notre objectif est de nous situer en amont du projet et de nous rapprocher du métier », souligne Frédéric Fuchs, directeur France et Italie de Software AG, en rappelant que sa société cible les grandes entreprises qui exploitent plusieurs ERP, notamment à la suite de fusions ou d'acquisitions. De gros projets sur l'offre webMethods au 4e trimestre Sur l'exercice fiscal 2009, la contribution d'IDS Scheer a déjà permis à Software AG de stabiliser, ou presque, le niveau de ses ventes de licences par rapport à l'an dernier, à 270 millions d'euros (272 M€ en 2008). Alors que sur ses deux autres activités, webMethods et ETS, seuls les revenus de maintenance ont augmenté (+16% au total sur l'ensemble de l'exercice). ETS, Enterprise transaction systems, couvre l'offre historique, la base de données Adabas et l'environnement de développement Natural. En 2009, l'activité traditionnelle autour des mainframes a décrû. En revanche, au quatrième trimestre, l'éditeur a signé plusieurs gros projets sur l'offre webMethods, notamment avec DHL et la Standard Chartered Bank de Singapour. Lors de la présentation des résultats, le PDG Karl-Heinz Streibich a indiqué que le nombre de contrats de plus de 100 000 euros portant sur webMethods avaient grimpé au 4e trimestre, de même que leur valeur moyenne. Néanmoins, ce sont les services professionnels, au premier plan chez IDS Scheer (avec un effectif de 2 000 consultants), qui ont tiré la progression de Software AG en 2009. Ils lui ont permis d'afficher une hausse de 18% sur son chiffre d'affaires global, à 847,4 millions d'euros. Le fournisseur d'Aris réalise 75% de ses revenus avec les services et 25% avec les produits. Alors que chez Software AG, la proportion est exactement inverse. « Nous avons clairement une stratégie 'éditeur', rappelle Frédéric Fuchs, le DG France et Italie. Nous laissons nos partenaires prendre les projets. C'est un élément différentiateur vis-à-vis de nos concurrents Oracle et IBM qui, eux, les prennent ». Enfin, en 2009, le résultat d'exploitation de l'exercice a augmenté de 21% à 218,2 millions d'euros, ce qui correspond à une marge opérationnelle de 25,8% (25% en 2008). Le bénéfice net atteint 140,8 M€ (+22%). Au 31 décembre, la société comptait 6 013 salariés dans le monde. En 2010, Software AG table sur une belle progression de son chiffre d'affaires : entre +25 et +30%, avec une hausse de 10 à 15% sur les produits et de 8 à 12% sur le bénéfice net. Pour y parvenir, l'éditeur compte en partie sur l'offre Aris, encore peu implantée aux Etats-Unis. A l'inverse, l'offre SOA de webMethods sera poussée vers les clients d'IDS Scheer, avec l'aide des partenaires. Des projets démarrent désormais avec la gouvernance SOA En France, parmi les chantiers importants signés en 2009, Frédéric Fuchs cite la refonte du système d'information de la CNAV sur quatre ans pour permettre le calcul de la retraite avant 50 ans (un projet qui requiert d'intégrer les données de sociétés liées à ce calcul). La filiale française a gagné des clients tels que Malakoff Mederic, groupe paritaire de protection sociale, le Ministère de l'Education et le Ministère de l'Agriculture. Pour Software AG et ses offres de SOA (architectures orientées services), le secteur social et l'administration restent parmi les plus porteurs en 2010, avec les compagnies d'assurance et la finance, en raison notamment du rapprochement entre banques, explique Frédéric Fuchs. « Il y aura des besoins de services réutilisables ». [[page]] Sur ce terrain, le directeur général évoque aussi la modernisation des applications sur mainframe qu'il faut rendre « plus agiles ». Il rappelle que Software AG figure parmi les chefs de file de la gouvernance SOA avec CentraSite, « tant sur la partie repository, où l'on conserve l'ensemble des services, que sur la partie orchestration. Nous avons une solution de gouvernance complète dans laquelle nous avons intégré nos deux solutions, celle de Software AG et celle de webMethods ». Une offre indépendante des plateformes, souligne-t-il. « Dans ce domaine, notre plus grand client au niveau mondial est France Télécom. Poussés par la concurrence, les opérateurs télécoms ont été les premiers à avoir besoin d'agilité. Maintenant, ce sont les compagnies d'assurance. » Le dirigeant confirme par ailleurs qu'il y a aujourd'hui des entreprises qui démarrent par la gouvernance SOA. « Auparavant, elles commençaient avec l'ESB (Entreprise service bus), montaient vers le BPM, puis le BAM, pour s'apercevoir ensuite qu'il fallait gouverner ces services. Désormais, on nous pose d'emblée des questions sur la gouvernance ; c'est nouveau. Les DSI savent qu'elles en ont absolument besoin. Beaucoup de choses sont actuellement poussées par les métiers. D'où l'importance, avec la gouvernance, de partir vers le haut, les métiers et les besoins, pour que chacun ne réinvente pas dans son silo », pointe Frédéric Fuchs. Il précise qu'il ne s'agit pas forcément de chantiers de grande envergure. « Il peut y avoir des projets bien définis sur des processus, par exemple sur la gestion de la chaîne logistique ». Le 16 mars prochain, sur sa conférence utilisateurs, outre ses clients EDF et RCI Banque qui viendront témoigner de leur utilisation des outils webMethods, Software AG a invité Michel Serres pour parler des enjeux des nouvelles technologies face aux bouleversements de la société, et des impacts sur l'évolution de l'homme. Ce n'est pas la première fois que le philosophe se déplace pour un rendez-vous IT. En juillet 2008, notamment, il avait ouvert la première édition de l'Université des SI (USI 2008), organisée par Octo Technology. (...)
(24/02/2010 10:14:56)Le marché du cloud computing en Europe a crû de 20% en 2009
Les offres de type « cloud computing » vont fortement croître dans les années à venir, confirme l'étude réalisée par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) pour le compte de la Commission Européenne. En 2009, malgré la crise, le marché a ainsi atteint 4 milliards en Europe avec une croissance de 20% et une part de 1,5% dans le marché des logiciels et service. D'ici 2015, cette part devrait passer à 13%. Cette croissance sera dopée par la crise. En effet, le recours aux infrastructures et logiciels mutualisés et vendus sous forme de services évite de devoir investir lourdement au départ d'un nouveau projet. De plus, la mutualisation permet une baisse du coût total. Cependant, à court terme, ce sont les créations de clouds privés qui soutiendront la croissance de ce marché. Selon PAC, « avec le Cloud Computing, une partie de l'informatique va progressivement se transformer en une industrie « lourde » basée sur des centres de production fortement automatisés. » (...)
(22/02/2010 16:53:16)Oracle développera une machine virtuelle Java unique
Le rapprochement entre Oracle et Sun se concrétisera notamment dans la réunion des machines virtuelles Java des deux sociétés, mais également par la mise en place d'une JVM (Java Virtual Machine) unique d'ici 18 mois à 2 ans, a précisé lors d'une webcast Mark Reinhold, ancien collaborateur de Sun désormais ingénieur en chef d'Oracle. Ce dernier explique que « cette intégration est délicate, dans le cadre d'un plan à long terme, car nous ne pouvons pas arrêter l'une des deux solutions sans créer un tremblement de terre et causer des défaillances sur les systèmes de nos clients ». Les développements sur chacun des environnements vont donc continuer sur le court-terme avant de subir une phase d'harmonisation. Chacune des machines dispose d'atouts particuliers, souligne l'ancien collaborateur de Sun désormais chez Oracle : « il y a quelque chose au sein de JRockit, qui nous a rendu jaloux depuis des années, la mission de contrôle. Par contre le code de HotSpot, notamment le compilateur de serveur, est plus sophistiqué ». Lors de ce Webcast, Mark Reinhold a dévoilé les évolutions du kit de développement Java 7, qui devrait servir aux prochaines éditions standards de Java : modularité, capacités multilingues, plus de productivité sur les nouvelles plateformes et adaptation aux terminaux mobiles. (...)
(22/02/2010 12:16:13)HP améliore sa solution Agile Accelerator
Ces améliorations concernent la planification des ressources, qui concourt à établir une meilleure répartition du temps et des ressources dans les projets logiciels. «Il est extrêmement important de ne pas perdre de temps à décider qui va faire quoi, et de faire en sorte qu'il n'y ait pas de latence dans le processus » a déclaré Mark Sarbiewski, directeur de produits senior des solutions et logiciels HP. L'Agile Accelerator d'HP chapeaute le Centre de qualité HP, lequel établit les modalités, réalise les tests et analyse les échecs en matière de gestion, de même qu'il régit l'exécution des tests et des rapports selon un référentiel unique. «Tous les 7 à 10 ans, la technologie fait un bond en avant » déclaré le responsable produit et d'ajouter « l'informatique doit apporter aux entreprises, le bon logiciel, avec les fonctionnalités dont elles ont besoin, au bon moment ». Dans son audit, il a observé les comportements. D'un côté, les responsables des achats se plaignent du temps nécessaire pour obtenir les nouveaux logiciels suivant les évolutions dans leur domaine d'activité et du bénéfice tiré des investissements en la matière. De l'autre, les spécialistes de l'IT constatent un nombre excessif de validation des processus, ralentissant le déploiement de solutions pour l'entreprise. Une étude récente menée auprès de 1300 professionnels de l'informatique par le cabinet Forrester Research a montré que 35 % des personnes interrogées se sont plus ou moins engagés dans une sorte de développement agile. Dave West, analyste senior chez Forrester Research, a déclaré « la méthode Agile est une réalité. Elle continue à gagner du terrain dans les entreprises ». L'étude a révélé que 64 % ont utilisé ce mode de développement pour faire les corrections de mi-parcours, en raison des nombreuses inconnues que les développeurs rencontrent au long des processus. Mais alors que Agile gagne en popularité, 35 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent avoir utilisé un mélange de méthodes de développement, combinant « agile » et d'autres moyens. Timothy Perry, directeur de la technologie du département « retraite et protection sociale » chez Genworth Financial, client de l'Agile Accelerator de HP et de son centre de qualité, a déclaré que « quand il s'agit de réaliser des logiciels, la société a un pool de développement composé d'équipes différentes qui ont des habitudes différentes. Certaines utilisent la méthodologie Agile et d'autres non ». Selon lui, « les dirigeants de Genworth Financial ne s'intéressent pas tellement à la méthodologie employée, mais uniquement à la livraison des logiciels dont ils ont besoin. Ils ne se soucient pas de la date. Ils veulent accélérer le développement et attendent toujours une qualité élevée», a déclaré Perry. Selon lui, la technologie Agile de HP permet de donner une certaine cohérence à tous les niveaux, sur la manière dont le logiciel est construit et déployé. Elle permet d'estimer et de répartir l'effort, et de maintenir une bonne traçabilité des progrès et des demandes des développeurs, mais également de tester les résultats. (...)
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