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Architecture logicielle

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(19/02/2010 15:35:25)

CEP: Streambase veut susciter l'échange de composants

L'éditeur américain Streambase, spécialisé sur les solutions de CEP (complexe event processing, traitement des événements complexes), vient d'ouvrir pour ses clients, développeurs et partenaires un espace d'échange de composants fonctionnels à réutiliser et de partage d'idées. SBX, Streambase Component Exchange, propose pour l'instant une vingtaine de composants librement téléchargeables par l'écosystème de l'éditeur qui regroupe une centaine de clients et plusieurs centaines de développeurs. On y trouve, par exemple, des algorithmes mathématiques ou de calcul financier, un adaptateur pour récupérer les flux Twitter ou encore un composant d'intégration avec le langage de développement Python.

Les entreprises utilisent les logiciels de CEP pour analyser au fil de l'eau les flux de données traités dans leur système d'information afin d'y détecter des séquences ou des corrélations qui pourraient nécessiter le déclenchement de certaines actions. Ces solutions sont notamment utilisées pour des applications de détections d'opportunités commerciales ou de fraudes. A terme, évoquent les dirigeants de Streambase, il serait aussi possible que ses partenaires et développeurs puissent mettre en vente des composants sur SBX. Le modèle de licence de l'éditeur ne prévoit pas le support ni la certification des composants élaborés à partir de ses logiciels, même lorsque ceux-ci ont été mis au point par ses propres collaborateurs ou partenaires. En revanche, le code peut être rediffusé, modifié et réutilisé sous certaines conditions.

Interrogé par nos confrères d'IDG NS, Curt Monash, du cabinet Monash Research, estime que cet espace d'échange est une idée intéressante, mais il se demande toutefois si son impact ne pourrait pas se trouver limité, en particulier parmi les utilisateurs du secteur financier ou de la détection de fraude, peu tentés par l'idée de partager leurs algorithmes clés. StreamBase est l'un des derniers éditeurs indépendants spécialisés sur les logiciels de CEP après le rachat, au début du mois, de l'éditeur Aleri par Sybase. (...)

(19/02/2010 11:49:00)

CodePlex accueille son premier projet Open Source externe à Microsoft

Créé en septembre dernier par Microsoft, avec l'ambition d'accroître la participation des éditeurs à des développements Open Source, la fondation CodePlex vient d'accepter son premier projet 'non-Microsoft'. Baptisé MVC Contrib, celui-ci a été soumis par Eric Hexter et Jeffrey Palermo de la société Headspring Systems. Il vise à faciliter le travail des développeurs qui veulent tester des éléments d'interface utilisateur s'appuyant sur ASP.Net MVC. Indépendant de l'éditeur de Redmond, quoiqu'il soit tout de même l'un de ses partenaires Gold, Headspring Systems a été fondée en 2001 à Austin (Texas). La société s'appuie sur les méthodes agiles pour réaliser les développements spécifiques que lui demandent ses clients. Elle précise sur son site que ses équipes sont exclusivement basées à Austin et qu'elle ne recourt pas au développement offshore. (...)

(18/02/2010 16:09:14)

Modernisation des applications mainframe : Metrixware rachète Scort

L'éditeur français Metrixware, spécialisé sur les solutions de gouvernance IT et de gestion du portefeuille applicatif, vient de racheter l'éditeur Scort et ses outils d'intégration des applications mainframe dans les architectures SOA, J2EE et .Net. Ensemble, les deux sociétés franciliennes réunissent une centaine de collaborateurs et tablent sur un chiffre d'affaires prévisionnel de 8 M€ en 2010. Les logiciels de Scort (Mainframe Integrator, Presentation Server, Enterprise Studio) permettent notamment de récupérer les logiques métiers des applications mainframe pour les exposer sous forme de services. Ils vont venir renforcer la solution System Code de Metrixware. Celle-ci apporte aux projets de modernisation du patrimoine applicatif des outils de cartographie, de tableaux de bord applicatifs et de diagnostic de la qualité des applications. Metrixware et Scort recensent leurs principaux clients dans les secteurs de la banque/assurance (AGF, Axa, Allianz, Banque de France, BNP Paribas, Generali...) et de la distribution d'énergie (EDF, Gaz de France, GasNatural). Scort, qui compte parmi ses utilisateurs la compagnie aérienne Iberia, a ouvert une filiale en Espagne. (...)

(18/02/2010 15:58:42)

Un SDK 3.2 sans surprises pour l'iPad

Pour aider les développeurs à porter leurs applications, le SDk 3.2 d'Apple comprend un émulateur d'iPad et des extensions spécifiques pour la tablette. « Le kit est très similaire à celui de l'iPhone, sauf qu'il permet aux développeurs de créer des applications pour iPad en tirant parti de la plus grande surface d'affichage de la tablette. En dehors de ça, il n'y a vraiment rien d'exceptionnel, et aucune nouvelle fonctionnalité, » a déclaré Brandan Greenwood, directeur de clientèle chez Amadeus Consulting. Michael Mayo, le développeur de Rackspace, le fournisseur de services cloud pour l'iPad, a également qualifié le SDK comme «une simple mise à jour du SDK de l'iPhone. » Aucune surprise sauf la taille écran Dans l'ensemble, les développeurs d'application pour iPhone qui se sont penchés d'un peu plus près sur la structure des logiciels de l'iPad y trouvent une ressemblance frappante avec celle des applications pour iPhone, si ce n'est en effet cet élément supplémentaire qui permet de profiter de la taille de l'écran de l'iPad. «Finalement, j'ai été surpris de ne pas être surpris, » explique Christopher Allen, auteur de «L'iPhone en action » et l'un des fondateurs de la iPhoneWebDev, la communauté des développeurs pour iPhone. «Si vous savez comment développer sur iPhone, le développement sur iPad est très facile, parce que très similaire, » a t-il ajouté. Tous les développeurs sont également mobilisés à chercher comment mettre à profit l'écran de l'iPad dans les applications. « La taille de la surface tactile apporte de nombreuses possibilités, » souligne Christopher Allen. Et même si ça n'est pas indispensable, Michael Mayo pense qu'il va réécrire son application pour l'iPad, parce qu'il veut ajouter plus de fonctionnalités. « L'écran de l'iPhone n'est pas assez grand pour afficher tous les services cloud de Rackspace dans son ensemble, mais avec l'iPad, ça devient possible, » a t-il expliqué. «Le plus dur, c'est de réaménager l'application,» indique Michael Mayo, étape pendant laquelle le développeur doit estimer comment va se comporter le logiciel dans son nouveau contexte et comment elle va être perçue par l'utilisateur. 150.000 applications iPhone émulées [[page]] 150.000 applications iPhone émulées Comme le rappelle Brandan Greenwood, «à peine sorti, l'iPad peut profiter des 150.000 applications en téléchargement sur l'App Store. Ce n'était pas le cas lors de la sortie de l'iPhone. Il y avait peu d'applications et les utilisateurs prenaient leur temps avant de les télécharger.» En effet, la plupart des applications développées pour l'iPhone peuvent déjà être exécutées telles quelles sur l'iPad et de nombreux développeurs ont confirmé que leurs logiciels pour iPhone pouvaient tourner en émulation sur iPad. C'est d'autant plus possible que la tablette d'Apple dispose d'une fonction d'agrandissement virtuelle 2X qui permet de faire tourner les applications de l'iPhone à 200 pour cent de leur taille originale de manière à occuper tout l'écran, faute de quoi elles s'afficheraient à la même taille que sur un iPhone. Binary only Dans le communiqué annonçant la mise à jour du SDK, Apple indique que les développeurs web peuvent créer des applications binary only pour iPad et iPhone. Cela permet aux développeurs de partir du même code pour accéder ensuite aux différentes fonctionnalités de l'iPhone et de l'iPad - c'est le cas de l'interface utilisateur par exemple - sans avoir à coder séparément pour chaque appareil. « En fait, c'est une technique assez ancienne pour Apple, » fait remarquer Brandan Greenwood. «Apple exploite cette méthode depuis un certain temps. Il l'a utilisé au départ pour permettre aux applications [Motorola 680x0] et PowerPC de cohabiter, puis aux applications PowerPC et Intel x86 32 bits, et y recourt encore pour les applications Intel 32 et 64 bits. » Un plus tard dans année, Allen subodore une mise à niveau en 4.0 de l'OS de l'iPad et de l'iPhone. « Probablement en juin, au moment de la World Wide Developers Conference d'Apple, » à l'occasion de laquelle Apple annonce habituellement les nouveaux iPhones. « Il y a des signes. Et puis Apple publie toujours une révision annuelle importante », dit-il. (...)

(15/02/2010 14:23:21)

Petit déjeuner LeMondeInformatique/CIO : Mieux gérer le patrimoine applicatif pour bien migrer vers Windows 7

La bonne conduite des projets de migration vers Microsoft Windows 7 est un enjeu majeur pour de nombreuses directions informatiques. Ce petit déjeuner permettra de détailler des expériences concrètes de migration et de présenter les outils et solutions qui sécurisent la gestion de ce type de projets. Au-delà du système d'exploitation, les interventions permettront de préciser les processus d'anticipation qui garantissent l'optimisation de l'ensemble du système d'information et qui portent sur la gestion du cycle de vie de l'ensemble du capital applicatif de l'entreprise. Pour vous inscrire cliquez sur ce lien : petit déjeuner dédié au processus de migration vers Microsoft Windows 7 et à la gestion du cycle de vie des applications (...)

(10/02/2010 17:21:56)

Colt enrichit son offre cloud computing

Depuis juillet 2009, Colt, opérateur de réseau et de services télécoms a développé une plateforme de services cloud computing. Cette offre se décline en plusieurs briques, la première, baptisée Colt Managed Workspace est de type Saas (Software as a Service) avec l'accès à distance de fonctions applicatives reposant sur Sharepoint, Office, Visio, Project, Messaging ou Blackberry. La deuxième brique s'oriente vers le mode PaaS (Plateform as a Service), sous le nom Colt Cloud Infrastructures Services. Elle permet de disposer de serveurs dédiés, virtuels ou mutualisés et de capacités de stockage, s'adaptant aux besoins évolutifs des applications métiers. Enfin, la dernière brique qui vient d'être dévoilée, s'adresse aux besoins de Grid Computing des entreprises. Pour cela, Colt a noué un partenariat avec Tibco et plus exactement la solution DataSynapse (rachetée par Tibco pour 28 millions de dollars à la fin de l'année 2009). Cette dernière propose des outils de réservation et d'allocation dynamique des ressources matérielles et logicielles en environnement distribué. Au sein de cette dernière brique, on distingue en fait trois offres : - le Managed Grid Services qui est une solution d'infrastructure souple et dédiée, spécialement conçue pour les applications haute performance. - l'In Life Management Applications permet aux équipes informatiques de gérer un plus large éventail d'applications métiers et de définir des indicateurs spécifiques pour dimensionner dynamiquement leur infrastructure IT. - le Grid Extension-IaaS (Infrastructure as a Service) facilite l'extension en toute sécurité les capacités de plateformes existantes au sein d'entreprises, en permettant leur rattachement à un pool de ressources Colt à la demande. Pour Béatrice Rollet, directrice marketing de la division Colt Managed Services chez Colt France « les offres avec Tibco nous permettent de répondre à nos clients pour qui les problématiques transactionnelles, demandant une grande puissance de calcul dans un environnement de haute qualité de service, sont essentielles » et d'ajouter « les secteurs financiers et énergétiques sont très en pointe sur ces sujets, mais également les secteurs des services (jeux en ligne, grande distribution) ou des médias, à travers le passage au numérique ». (...)

(10/02/2010 13:55:25)

TechDays 2010 : 40 000 utilisateurs pour Microsoft Online Services

Fabrice Alessi : Neuf mois après l'arrivée de l'offre Microsoft Online Services en France, quel est le bilan commercial de ce lancement ? Gwenaël Fourré : Nous revendiquons déjà plus de 200 clients entreprises. Cela représente environ 40 000 utilisateurs, soit un peu plus de 3% des 1,2 million de personnes qui ont accès dans le monde à tout ou partie des applications que renferme Microsoft Online Services. Pour mémoire, il s'agit du serveur de messagerie Exchange, du portail collaboratif Sharepoint, de la solution de conférence web Live Meeting, et du service de messagerie instantanée professionnel Office Communication Online. A ce stade, nous sommes satisfaits des premiers résultats que nous avons obtenus. Je ne peux pas parler ouvertement des objectifs que nous nous sommes fixés pour la France mais ils sont colossaux. FA: Le réseau de distribution de Microsoft réagit-il positivement à l'arrivée d'Online Services ? GF: Plus de 280 revendeurs ont signé en ligne le contrat qui leur permet de commercialiser Online Services. Nous leur demandons également de passer une petite certification sur le web. Pour être honnête, elle reste pour le moment succincte. Mais d'ici la fin de l'année, nous lancerons une certification technique digne de ce nom pour nous assurer que les revendeurs maîtrisent bien les problématiques de migration. Parmi la population de revendeurs qui nous a rejoint, on trouve des profils très hétérogènes. Il y a d'un côté de grands partenaires tels que HP, Atos, Cap Gemini, et des petits revendeurs. Ces derniers voient dans l'offre Online Services la possibilité de proposer une alternative aux opérateurs qui développent de plus en plus d'offres packagées incluant leur services d'accès voix / données et des applications en mode hébergé telles que la messagerie. [Ndlr : Au moment de la rédaction de cet article, nous avons reçu un communiqué de presse annonçant que Microsoft avait conclu un accord avec Orange Business Services...]. Pour le moment, les partenaires qui ont concrétisé des projets sont principalement ceux qui faisaient déjà partie du réseau de distribution de Microsoft. Depuis trois mois, pour convaincre un nombre plus important de revendeurs de signer un contrat Microsoft Online Services Reseller Agreement, nous leur offrons gratuitement pendant un an l'accès à nos applications hébergées pour leur propre besoin jusqu'à 250 utilisateurs. Cela a le mérite de les familiariser avec l'offre et les inciter à être des revendeurs actifs puisque s'ils réalisent deux ventes, ils bénéficient de nouveau du service gratuitement pour l'année suivante et ainsi de suite. S'ils ne réalisent pas ces deux ventes, ils sont facturés 50% du prix public*. FA: L'offre Microsoft Online Services disponible en France va-t-elle être élargie ? GF : D'ici la fin de l'année nous allons mettre deux nouvelles applications sur le marché français. Il s'agit notamment de CRM Online, une version de Dynamics CRM portée en ligne, déjà disponible aux Etats-Unis. Elle nous mettra clairement en concurrence frontale avec Salesforce. Dans le même temps, nous lancerons System Center Online, une application de gestion de poste de travail qui s'adresse non plus à l'utilisateurs final mais aux administrateurs. (...)

(09/02/2010 12:22:16)

Gouvernance SOA : Oracle rachète le spécialiste AmberPoint

Voilà déjà plusieurs mois que les analystes, Gartner en particulier, prévoyaient le rachat de l'éditeur AmberPoint, l'un des premiers à s'être spécialisé sur les solutions de gouvernance SOA (architecture orientée service). C'est Oracle qui se décide. La société de Larry Ellison, qui vient par ailleurs d'engager le processus d'intégration de Sun, a décidé d'ajouter à son offre Fusion Middleware, déjà bien fournie, l'offre de cette société californienne dirigée par John Hubinger et créée en 2001. Ce ne sont pas les premiers produits de gouvernance SOA qu'elle acquiert. En septembre 2008, Oracle avait mis la main sur ClearApp et ses solutions conçues pour gérer les performances des applications composites dans les architectures orientées services.

Les logiciels d'AmberPoint, présentés par leur acquéreur comme « très complémentaires » aux solutions dont il dispose déjà, vont donc s'ajouter au catalogue composé de la SOA Suite, de SOA Governance et d'Oracle Enterprise Manager. Elles permettront d'augmenter encore le contrôle et la gestion des performances des applications sensibles. Le rachat de la société devrait être effectif à la fin de ce premier semestre. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. (...)

(08/02/2010 17:57:27)

Un outil pour créer des processus métiers sur Force.com

Salesforce.com ajoute à sa plateforme de développement dans le cloud (Force.com) un outil graphique de conception et de déploiement de processus métiers. Issu du récent rachat de la société britannique Informavores, Visual Process Manager se compose de quatre éléments. L'interface Process Designer, du type de celle que l'on utilise pour construire des organigrammes par glisser-déposer d'objets, permettra d'élaborer différents types de processus métiers : script d'appel d'un client pour le télévendeur, suivi d'une réclamation client, procédure de recouvrement d'une facture, gestion des contrats, etc. Process Simulator sera utilisé pour simuler les processus avant leur déploiement, afin de repérer et rectifier les conflits entre les actions. Real-time Process Engine est le moteur d'exécution. Enfin, Process Wizard Builder servira à développer des systèmes d'assistance pour guider l'utilisateur lors de l'exécution des processus. Ces derniers peuvent aussi être déroulés sur un site Web ouvert au public. L'outil est déjà disponible, au prix de 50 dollars par utilisateur et par mois pour les utilisateurs des éditions Enterprise et Unlimited de Salesforce.com. Sur Force.com, les développeurs disposent déjà du langage Apex et de l'environnement de conception d'interface utilisateurs, Visualforce. Avec la mise à disposition de Visual Process Manager, Salesforce cherche à accroître le nombre de personnes susceptibles de développer sur sa plateforme, estime China Martens, analyste du cabinet 451 Group. Selon elle, en se focalisant sur le langage Apex et sur des modèles de développement plus sophistiqués, lors du lancement de Force.com, l'éditeur n'a pas attiré une audience aussi large que ce qu'il espérait. « Les utilisateurs plus enclins à utiliser des outils de type 'pointer-cliquer' ne les ont pas vraiment rejoints ». (...)

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