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(18/03/2010 16:49:14)

Un cloud public pour le développement chez IBM

Pour les départements informatiques, développer et tester sur une plate-forme « élastique » dans une infrastructure de cloud constitue une bonne manière d'optimiser leurs développements. En outre, l'utilisation d'une plate-forme cloud peut les aider à travailler plus rapidement, car les ressources peuvent être fournies à la demande, sans les blocages inhérents à la réservation préalable de temps et d'espace sur les systèmes internes, expliquent les promoteurs de cette solution. Big Blue a aussi publié une liste de partenaires pour son cloud : RightScale et Kaavo, qui proposent des programmes de supervision des clouds; Navajo Systems spécialisé dans la sécurité; AppFirst qui apporte des logiciels d'optimisation de la performance ; enfin Aviarc, Corent et Wavemaker qui fournissent des outils de développement. Le cloud public dédié au développement d'IBM exploitera également la technologie de virtualisation de Red Hat et supporte les systèmes Red Hat Enterprise Linux, Novell SUSE Linux et Java. Cette plate-forme sera disponible au deuxième trimestre de l'année aux États-Unis et au Canada, et dans le reste du monde par la suite. Parmi les concurrents de cette infrastructure, citons Amazon Web Services et Rackspace, qui ont, tous deux, établi des partenariats similaires. IBM pourrait toutefois avoir un avantage concurrentiel sur ces fournisseurs, étant donné sa longue expérience dans les entreprises et l'utilisation répandue de ses outils de développement Rational. IBM a d'ailleurs récemment annoncé la disponibilité de sa plateforme Rational Software Delivery Services v1.0 pour le cloud computing. (...)

(18/03/2010 09:42:09)

la centrale nationale de Système-U repense ses processus métiers critiques (MAJ)

Quatrième distributeur alimentaire et généraliste français, Système U est une union de coopératives de commerçants indépendants, organisée avec une centrale nationale et quatre centrales régionales.
Sa structure historiquement très décentralisée et la culture orale aboutissaient à une fragilité des processus métier, sans oublier des difficultés de langage commun au sein de l'ensemble de la centrale nationale. Il arrivait encore que certains processus ne soient pas documentés ou ne soient connus que de trop peu de personnes.
La Centrale Nationale a décidé en 2008 de lancer le projet Atlas, un chantier de modélisation de ses processus métier en attendant de pouvoir ensuite les optimiser. Elle désirait ainsi sécuriser ses processus métier critiques ayant un impact sur sa viabilité opérationnelle, mettre en place un langage unique dans une culture des process et disposer des bases nécessaires à l'optimisation des processus.
Après appel d'offre, la centrale nationale a choisi d'utiliser Corporate Modeler de l'éditeur Casewise. Le produit a été choisi parce qu'il est facile à utiliser, accessible par le web, au reporting simple à comprendre et, enfin, parce que les modifications portées à un endroit se propagent aisément dans tous les processus.
Les bases du projet ont été mises en place en 2008. En 2009, les processus métiers ont été modélisés en se basant sur des interviews des opérationnels. 150 processus ont été modélisés et décrits avec une accessibilité en 4 niveaux successifs de la globalité au détail opérationnel. L'outil de recherche d'incohérences et de mises en cohérence a été, à ce moment, très apprécié.
En 2010, la centrale nationale va publier les processus critiques tout en construisant l'Intranet afin d'améliorer la publication des informations internes. Enfin, à partir de 2011, il y aura un bilan de ce qui a été fait.
Quelques difficultés ont bien sûr été rencontrées au cours du projet...
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Quelques difficultés ont bien sûr été rencontrées au cours du projet. La première a été de rendre des processus détaillés lisibles sur une seule page. De plus, les règles fixées pour la description des processus se sont révélées parfois trop rigides dès lors que l'outil et les méthodes étaient maîtrisés.
Cependant, la direction de l'organisation a été très satisfaite de pouvoir enfin décrire les processus critiques de l'entreprise, cette description entrainant une réelle satisfaction des utilisateurs métier. Les schémas ainsi établis permettront à certains services de former plus aisément les nouveaux salariés et, par exemple, la DRH bénéficie d'éléments complémentaires sur les contenus des métiers.
Plusieurs facteurs clés de succès ont été identifiés : le fort sponsoring de la direction générale, les nécessaires relais au sein des directions métier, et, enfin, la définition des règles de modélisation précises sans s'interdire de les modifier si cela se révèle utile.

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(17/03/2010 12:29:38)

Mix 2010 : Internet Explorer 9, OData et Dallas version 2

Les développeurs vont avoir du travail avec l'ensemble des annonces du géant de Redmond lors de la conférence Mix 2010. Ils devront tout d'abord se concentrer sur la plateforme préliminaire d'Internet Explorer 9. Et les évolutions sont nombreuses. En premier lieu, le navigateur bénéficiera d'une refonte complète de son moteur d'exécution en javascript (connu sous le nom de code « chakra »). L'objectif est d'améliorer l'intégration des standards de l'Internet et notamment du langage HTML 5 (encore en instance de normalisation au sein du W3C) au sein du navigateur. Il assurera une meilleure prise en charge du CSS3, du SVG et l'adoption des codecs AAC et H.264 pour l'audio et la vidéo. Il ne sera donc plus nécessaire d'ajouter des modules additionnels ou des activeX pour regarder une vidéo dans une page web. L'interopérabilité s'étend également au hardware. Microsoft souhaite tirer parti à la fois des capacités des processeurs multicoeurs, mais aussi des ressources graphiques des ordinateurs de dernière génération, pour exécuter plus facilement des vidéos en haute définition par exemple. C'est Direct 2D qui prendra en charge les questions graphiques, cela entraîne une limitation de IE9 à Windows Vista et Seven et pas XP. [[page]] Lors de la conférence de présentation, Microsoft a joué une certaine transparence en soumettant sa plateforme aux outils de benchmark communément utilisés pour tester les performances des navigateurs. Il revendique un score de 55 sur 100 sous Acid 3, alors que ses concurrents Chrome de Google ou Firefox de Mozilla atteignent le score maximal. Aucune date n'a été révélée sur la sortie définitive du prochain navigateur, mais les responsables souhaitent aller vite pour combler le retard pris face à la concurrence. Pour ceux qui s'intéressent à la question, Microsoft a mis en ligne un site de test à cette adresse http://ie.microsoft.com/testdrive/ Deux projets pour unifier et monétiser les sources de données Parallèlement à l'annonce d'IE9, Microsoft a également présenté deux évolutions dans le domaine des bases de données. La première est la mise à disposition d'un SDK pour le protocole OData (Open Data) qui repose sur le HTML et Atom, permettant d'élaborer des applications faisant appel à des bases de données codées dans des langages variés, comme PHP, .Net. Sur le lien http://www.odata.org/developers/odata-sdk. On notera que devrait les bibliothèques de développement pour Windows Mobile 7 et le langage spécifique à l'iphone (Objective C) seront prochainement disponible. L'autre annonce concerne l'évolution du projet « Dallas » qui travaille avec la plateforme cloud Azure. Ce projet doit permettre la création d'une place de marché pour les développeurs, qui souhaitent utiliser des applications dans plusieurs sources de données privées ou publiques et de les unifier dans un même endroit, avec le concours du kit de développement OData, cité ci-dessus. L'objectif de la deuxième version de Dallas est donc de monétiser le travail et les apports des développeurs dans la création de nouvelles applications. Les partenaires qui mettent à disposition leur API sont nombreux, Associated Press, Navteq, etc. (...)

(17/03/2010 09:30:46)

Gestion de la relation client : Pegasystems rachète Chordiant

L'Américain Pegasystems, spécialisé dans les outils de gestion des processus métier appliqué à la relation client (CRM), rachète son compatriote Chordiant, fournisseur de solutions et services de CRM. Celui-ci se voit offrir 5 dollars par action ce qui le valorise à 161,5 millions de dollars. En décembre dernier, le Californien Chordiant (la société est basée à Cupertino) avait déjà reçu une offre de rachat, d'un montant de 105,1 millions de dollars, émanant de CDC Software (qui édite notamment le logiciel de CRM Pivotal, ainsi que l'ERP Ross Enterprise). L'opération n'a pas abouti, l'offre ayant été refusée par les actionnaires. Les solutions de Chordiant permettent aux entreprises qui gèrent un important portefeuille de clients d'interagir avec chacun de façon personnalisée et « intelligente », en temps réel, au travers de l'ensemble des canaux de contacts, en particulier le centre d'appels. L'agent ou l'opérateur est guidé dans sa conversation avec le client en tenant compte des précédentes interactions, mais aussi des réactions de son interlocuteur, de ses réponses et, même, de son humeur.



Des solutions verticales dans la santé et l'assurance


Pour Ray Wang, analyste d'Altimeter, le rachat opéré par Pegasystems est pertinent puisque Chordiant vend des produits centrés sur les processus de CRM. Il souligne par ailleurs que les éditeurs ont tous les deux développé et mis l'accent sur des solutions verticales, notamment dans les secteurs de la santé et de l'assurance. « La gestion de la relation client n'obéit pas à des processus figés comme la finance. Il faut s'adapter aux besoins des interlocuteurs, rappelle l'analyste. Cela implique de déployer des processus complexes, reposant sur des règles, en particulier dans l'assurance. Si le client va au-delà de ce qui est prévu, comment faut-il réagir, que doit-on lui répondre ? » Les deux éditeurs ont déjà des comptes en commun, tels que Citibank, précise Alan Trefler, PDG de Pegasystems. Chez ce client, Chordiant est utilisé par le service client qui reçoit les appels entrants et les logiciels de Pegasystems servent à gérer les processus métier appliqués aux réclamations liées aux cartes de crédit. Pegasystems est l'un des derniers acteurs indépendants du BPM après le rachat de Savvion par Progress Software et de Lombardi par IBM. Photo : Chordiant (...)

(16/03/2010 11:43:27)

Mix10 : Les quatre priorités de Microsoft pour Windows Phone 7

Reste que le dernier rapport de Comscore montre que les parts de marché de l'actuel Windows Mobile continuent de chuter de manière spectaculaire. Ainsi, sur les 42,7 millions d'utilisateurs de smartphone aux États-Unis, le nombre de ceux qui tournent sous Windows Mobile a chuté de 4 points, passant de 19,7% en octobre 2009 à 15,7% en janvier 2010, Research in Motion demeure, pour sa part, le principal fournisseur de systèmes d'exploitation pour smartphone aux États-Unis : avec 43% de personnes utilisant son logiciel pour BlackBerry, le système de RIM a gagné encore 1,7% au cours de cette même période. Quant à Apple, il détient la 2e place, à 25,1% pour l'iPhone, mais avec un taux de croissance beaucoup plus lent de seulement 0,3%. Compte tenu de ces chiffres, Microsoft doit donc impérativement prouver sa capacité à refondre l'environnement de développement qu'elle va mettre autour de son système mobile, comme elle l'a fait dans le cas de l'interface utilisateur de Windows Phone 7. Voici donc, sur la base des sessions prévues au Mix10 pour Windows Phone et des explications des responsables de Microsoft France, les priorités et les défis à relever. 1. La plate-forme Windows Phone 7 dans les starting-blocks Quatre séances du Mix10 sont consacrées à décortiquer les éléments techniques de Windows Phone 7, et plus précisément le noyau sous-jacent Windows Embedded CE 6.0 R3 sur lequel repose l'interface utilisateur de Windows Phone. Malgré la nouvelle interface utilisateur entièrement remodelée, les développeurs continueront à s'appuyer sur les outils et les technologies habituels de Microsoft pour écrire les applications qui exploitent l'interface, y compris. NET, Silverlight, Microsoft Expression Blend 3, et XNA Game Studio pour le développement de jeux. Windows Phone 7 intègre un nouveau modèle d'application, de nouveaux modèles d'entrée (y compris le multi-touch), des API pour accéder aux fonctionnalités du téléphone et des applications, et de nouveaux services web. Lors d'un point presse téléphonique, Thomas Serval, directeur de la division plate-forme et écosystème de Microsoft France, a précisé que l'éditeur poursuivait sa stratégie 3 écrans / un nuage avec la mise à disposition gratuite de Visual Studio Express 2010 pour aider les développeurs à concevoir des applications pour la plate-forme Windows mobile 7. Extraction Blend aidera également les programmeurs à créer des interfaces utilisateurs. Enfin, un plug-in permettra également d'intégrer du code .Net dans Visual Studio Express. Une machine virtuelle Windows Phone 7 est également à disposition des développeurs pour concevoir et tester plus rapidement leurs logiciels. Reste que ces annonces sur les outils et les technologies Microsoft posent aussi la question de savoir à quel point la plate-forme Windows Phone 7 sera ouverte à des outils et des technologies extérieures. Sébastien Berten, président de Backelite, qui a envoyé son directeur technique suivre les sessions du Mix10 à Las Vegas, rapporte que les développeurs ont fait un bon accueil aux annonces de Microsoft (voir encadré). « Le monde de l'entreprise et même les particuliers cherchent à maximiser leur temps. Et les annonces de Windows Phone 7 vont dans ce sens. » Seul bémol, et de taille pour une nouvelle plate-forme, « Windows Mobile 7 ne sait pas faire fonctionner des applications de manière concurrente » précise Thomas Serval. Pour être plus clair, le multitâche n'est pas à l'ordre du jour alors qu'il est déjà supporté par Android OS et qu'Apple le proposera en juin avec l'arrivée d'iPhone OS 4.0. « Des exceptions seront toutefois possibles » explique Thomas Serval « mais elles ne concerneront que des applications premium qui seront intégrées à nos hubs ». [[page]] 2. Silverlight illumine le chemin de la mobilité Silverlight fait référence à la technologie et aux outils de Microsoft pour construire des applications très performantes, riches et interactives pour le Web. Il est conçu comme un environnement de développement principal pour Windows Phone, et au moins six sessions de la conférence y sont consacrées (d'autres sessions sont consacrées à Silverlight 4 RC, dévoilé en novembre en bêta et qui sera livré en version finale en juin 2010). Les développeurs d'applications mobiles en apprendront davantage sur les nouveaux modèles d'entrée, y compris le multi-touch et le clavier soft, et sur les API qui permettent l'utilisation d'applications comme le numéroteur téléphonique et la gestion des emails. Également au programme : les exigences de Silverlight en matière d'application vidéo, y compris le support pour la diffusion à grande échelle. Thomas Serval, nous a également expliqué que Silverlight allait devenir un premier choix pour développer des applications « rich média » pour Windows Phone. Lors de cette conférence, Microsoft a ainsi divulgué le nouveau modèle d'application et les services web de Windows Phone, qui permettront aux applications Silverlight de fonctionner sur mobile. Les développeurs doivent s'attendre à une plus grande intégration et interopérabilité avec les contenus Silverlight sur les ordinateurs Windows et via de nouveaux services Web qui seront proposés Microsoft et ses partenaires. Des applications en mode Saas pourront par exemple être déployées avec les mobiles Windows précise Nicolas Petit, directeur de la division mobilité de Microsoft France. Un mix sera opéré entre client léger et client riche pour répondre aux besoins applicatifs des marchés verticaux. Une plate-forme à relancer dans les entreprises Hier bien introduite dans les entreprises, la plate-forme Windows Mobile souffre aujourd'hui de la concurrence du smartphone d'Apple qui entre en phase de qualification dans de nombreux appels d'offres pour le renouvellement des parcs de Blackberry. Les mêmes personnes qui ont imposé les smartphones de Rim, il y a 5 ans, poussent aujourd'hui l'iPhone. On assiste ainsi à une profonde évolution avec le passage d'un terminal typé messagerie à un terminal web, beaucoup plus souple et tout autant sécurisé à l'usage. Comment Windows Phone résistera à cette vague alors que l'éditeur repart de zéro puisque les applications Windows Mobile 7 ne seront pas compatibles avec les terminaux 6.5 et que ces derniers ne pourront pas passer à la nouvelle version du système d'exploitation mobile ? [[page]] 3. Les jeux sur mobile et leur implication pour l'entreprise Comme dans le cas de sa nouvelle interface utilisateur, l'environnement de jeu de Windows Phone fait partie de la stratégie de « consumérisation » du système d'exploitation mobile de Microsoft. Cela implique de proposer à l'utilisateur une expérience mobile souple, balayant un large éventail de centres d'intérêts, de passions et de besoins. Plusieurs sessions et ateliers traitent de l'utilisation de XNA Game Studio 4 pour créer des jeux pour Windows Phone 7, et leur intégration à Xbox Live, l'environnement de jeu en ligne de Microsoft. Parmi les changements, le XNA est devenu ce que Microsoft appelle maintenant une plate-forme à « code géré », par référence au code qui s'exécute sous machine virtuelle Common Language Runtime. Selon Microsoft, le « code géré » permet aux développeurs de créer des applications plus rapidement, d'être plus productifs, et de se concentrer davantage sur des objectifs de design plus sophistiqués. Microsoft indique au passage que les jeux existants ne devront pas être entièrement réécrits pour fonctionner sur Windows Phone 7. De la même manière, un jeu d'abord écrit pour Windows Phone pourra être ensuite adapté pour la Xbox 360. Il est possible que ces deux capacités de développement de la plate-forme de jeux - code géré et adaptation des applications existantes - soient intégrées à l'approche globale pour la création d'applications Windows Phone. Les entreprises ne développeront pas des jeux mobiles au même titre que des applications d'entreprise. Mais le matériel et les logiciels nécessaires pour supporter à la fois des applications en local et en réseau (comme les jeux) très interactives, capables de faire du calcul intensif, de la haute définition et riches sur le plan des medias, servira à montrer les possibilités que peut apporter le nouvel OS aux smartphones. [[page]] 4. Un marché applicatif en "révolution " ? En dehors des écrous et des boulons nécessaires à la construction des applications, Microsoft va aussi rééquiper le catalogue en ligne de Windows Phone. L'entreprise affirme que la nouvelle approche de « Marketplace » va «révolutionner » la manière dont les applications Windows Phone 7, jeux compris, sont distribuées et «vendues ». Marketplace, en service depuis cet automne seulement à seulement 4000 applications, a enchainé les mises à jour et les améliorations. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder directement au site web pour y acheter et y télécharger des applications de téléphonie mobile. Certains des changements concernent l'amélioration de la navigation des utilisateurs, une meilleure promotion des nouvelles applications et la possibilité de télécharger de grosses applications sur la carte mémoire du téléphone. D'autres concernent la manière dont les développeurs peuvent proposer et mettre en ligne leurs applications, de façon à rationaliser et à réduire certains coûts de développement. Conscient de la faiblesse de son offre applicative, Nicolas Petit botte en touche en expliquant que Microsoft « veut sortir du débat unique sur combien d'applications. Sur Android, 99% des applications sont gratuites et beaucoup viennent simplement compléter une expérience. Pour notre part nous misons sur la qualité des services proposés par nos hubs où plusieurs applications sont disponibles en même temps. Le hub People (réseau social) vient par exemple avec Windows Live et Facebook. » Reste la non-compatibilité des applications déjà existantes (voir encadré) est un frein à l'adoption de Windows Phone 7 même si Microsoft semble décider à mettre les bouchées doubles pour rattraper son retard sur l'App Store (Apple), l'Android Market (Google), l'Ovi Store (Nokia) ou l'App World (Rim). (...)

(15/03/2010 18:10:04)

Mix10 : Microsoft implante des outils d'analyses web dans Silverlight.

Dévoilée par Microsoft lors du Mix10 , la conférence des designers et développeurs web de Las Vegas, cette fonction de Silverlight s'alignera sur les services payant proposées par Google Analytics, Yahoo ainsi que d'autres sociétés de softwares. « L'idée est de mener les mêmes analyses déjà possibles sur un sites web mais via notre application Silverlight » explique Michael Scherotter, porte-parole des développeurs de Microsoft. « L'important, c'est de comprendre comment les utilisateurs se servent de leurs applications ». En utilisant ce système, de multiples informations peuvent être fournis aux administrateurs comme, par exemple, des statistiques de lectures, de mises en pauses ou des problèmes de chargement d'une vidéo. Les webmasters pourront configurer leurs options d'analyses très simplement grâce à une interface visuelle leur permettant de sélectionner les parties des applications qu'ils souhaitent surveiller. « L'idée est de traquer des fonctionnalités sans avoir à écrire de code » explique Gabriel Torok, président de Preemptive une société spécialisée dans la mesure et la sécurité sur Internet impliquée dans le projet. Les applications Silverlight utilisées hors ligne ou hors d'un navigateur seront également prises en compte, via une post-synchronisations dès la prochaine connexion. Le Mix10 pourrait également faire l'objet d'autres annonces de la part de Microsoft, dont la version finale 4 de Silverlight qui apportera des options d'impression et de connexions webcam et micro. L'arrivée de Silverlight sur Windows phone 7 est également attendue. (...)

(15/03/2010 10:34:46)

Infotel marque le pas en 2009

Spécialiste de la gestion de bases de données, Infotel a publié, fin janvier, un chiffre d'affaires (CA) à peine positif, en croissance de 0,8% à 89,2 millions d'euros en 2009. Il publie maintenant d'autres chiffres concernant sa rentabilité. Le résultat opérationnel baisse de 22,5% avec 7 millions d'euros, représentant 7,8% du CA 2009. Le résultat net se monte à 5,2% en baisse de 22,9%. La société souligne que ses marges se sont redressées au second semestre, la marge opérationnelle passant de 4,4% du CA à 10,9% entre le 1er et le second semestre. Le taux de marge nette est passé, lui, de 3,4% à 8,2%. La société a maintenu en 2009 son plan d'investissement : nouveaux centres de services, nouvelles qualifications, recrutements (l'effectif est passé de 677 à 727 collaborateurs). (...)

(15/03/2010 10:55:44)

DataFlux réunit intégration, qualité des données et MDM

Alors que deux éditeurs de la gestion des données de référence (MDM) viennent d'être rachetés par Informatica et IBM, attestant de l'intérêt du marché pour le sujet, Dataflux vient de regrouper ses produits dans une solution unifiée. Celle-ci donne accès, au sein de la même interface utilisateur, à ses outils d'intégration, de mise en qualité des données et de MDM. Face à des offres concurrentes qui se construisent par rachats, l'éditeur américain fait valoir que sa plateforme DataFlux Data Management est entièrement issue de sa R&D. Il insiste surtout sur la capacité de sa solution à faire coopérer les utilisateurs métiers et les équipes informatiques. « C'est un outil de collaboration avant tout », pointe Marc Daverat, directeur France et Europe du Sud de DataFlux (photo ci-dessus), en rappelant que cette dimension existait déjà en partie sur l'offre Data Quality Integration. Différents degrés de maturité sur la gouvernance des données Gérer les données de référence consiste à rassembler de façon cohérente dans un référentiel les informations sur les produits, les clients, les fournisseurs (ou autres) utilisées dans les différents départements de l'entreprise. Pour en constituer une vue consolidée, il faut pouvoir créer et piloter transversalement les règles métiers qui les régissent. « L'IT n'a pas forcément la connaissance de ces règles ; ce sont les acteurs métiers qui l'apportent, rappelle Marc Daverat. De leur côté, les acteurs technologiques vérifient la cohérence des données. Les projets de gouvernance nécessitent une double direction avec une vraie maîtrise d'ouvrage et une maîtrise d'oeuvre, d'où la mise à disposition d'outils intégrés. Avec cette plateforme, nous répondons aux problématiques de nos clients qui doivent maîtriser leurs coûts, optimiser leurs processus et se conformer aux régulations de plus en plus fortes. » Le dirigeant rappelle néanmoins que les entreprises ont différents degrés de maturité sur la gouvernance de données. Il distingue quatre catégories : les indisciplinées (chez lesquels aucun processus de qualité n'est défini), les réactives (des règles existent, mais les problèmes sont résolus quand ils se présentent), les proactives et les gouvernées. En Europe, elles sont plutôt indisciplinées et réactives, estime Marc Daverat en précisant que « certains clients sont très en avance sur certains points et en retard sur d'autres ». [[page]] La plateforme unifiée DataFlux Data Management rassemble quatre produits. Les deux premiers permettent de concevoir les règles métiers à appliquer aux données (Data Management Studio), de les industrialiser et de les déployer transversalement dans l'entreprise (Data Management Server). Le troisième (Federation Server) fournit une vue intégrée sur des données stockées dans différents référentiels sans obliger à les agréger physiquement. Il propose des fonctions de recherche et facilite ainsi la compilation et les rapprochements entre les sources, ainsi que les corrections. Le quatrième produit (Connect) réunit des composants pour intégrer les régles de gestion de la qualité des données avec les applications de SAS, SAP et Oracle/Siebel. Des projets peuvent être concentrés sur une règle métier Une entreprise pourra choisir de mener un projet de MDM concentré sur l'une de ses règles métier susceptible de générer un retour sur investissement rapide. Il peut s'agir, donne en exemple Marc Daverat, de « s'assurer que l'ensemble des produits bruts, semi-finis ou finis rentrant dans la fabrication d'un produit ont un coût associé, et à jour. En cas de respect de cette règle, le risque de factures bloquées et d'achats bloqués est maîtrisé, explique-t-il. Ce qui améliore les liquidités de l'entreprise et la mise en production rapide dans le cas d'un nouveau produit ». Il estime qu'une entreprise peut gérer de bout en bout deux à trois règles métier en un an, en rappelant que ces projets peuvent générer des dizaines de millions de retour sur investissement. L'an dernier, l'éditeur a livré deux solutions complémentaires à son offre. L'une, DataFlux for Spend Analysis, pour identifier les problèmes d'approvisionnement à partir des données sur les fournisseurs (et disposer d'éléments pour renégocier les contrats, par exemple), l'autre DataFlux for Materials Data Improvement, pour organiser des informations descriptives et non standardisées sur les achats (pièces détachées, fournitures...). Dataflux compte 1 200 clients au niveau mondial et dit avoir réalisé une progression de 30% sur son chiffre d'affaires l'an dernier, mais sans en communiquer le montant (non cotée, sa maison mère, SAS, ne livre pas le détail de ses résultats financiers). (...)

(11/03/2010 14:58:22)

XenApp6 de Citrix étoffe son offre vers Apple

XenApp donne aux utilisateurs un accès à des programmes fonctionnant sur un serveur et transmet les applications vers le client sur plusieurs types de terminaux. Cette solution peut également être intégrée au sein de la plateforme de virtualisation de l'unité centrale, XenDekstop. « Les ordinateurs Mac et les smartphones équipés de l'OS Android ont été ajoutés à la liste des équipements compatibles avec le client Receiver de Citrix », souligne Magnus Toft, responsable produit et marketing de Citrix Nordic. Ce client a été lancé en mai 2009 et fait appel à plusieurs modules additionnels, concernant l'utilisation des applications en mode connecté ou déconnecté, la gestion des mots de passe et l'accélération du WAN. Récemment, Citrix a offert son client ICA (Independent Computing Architecture), protocole pour déployer les applications installées sur les serveurs, aux ordinateurs d'Apple. Ces derniers peuvent aussi utiliser Citrix Dazzle, un service de carrousel d'applications d'entreprise, contrôlé par le département IT de la société. « l'objectif est de donner aux entreprises les outils de gestion pour assurer la compatibilité des applications Windows aux utilisateurs de Mac » précise Magnus Toft. Une pleine compatibilité Windows Server Sur les autres fonctionnalités, la version 6 de XenApp intègre une nouvelle console de gestion Appcenter, qui transfère le management des applications depuis un point centralisé en utilisant un outil unique. Auparavant, les services informatiques étaient obligés de gérer plusieurs consoles pour maintenir leur environnement XenApp, incluant les interfaces Web et l'administration des licences. En supportant pleinement Windows Server 2008 R2 de Microsoft, l'installation initiale de la solution de Citrix et l'administration des profils en sont simplifiées. Les performances ont été améliorées avec la capacité de gestion de 10 000 utilisateurs simultanés au sein d'un seul datacenter. XenApp6 sera disponible en téléchargement le 24 mars prochain et les licences coûteront 350 dollars par utilisateurs (...)

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