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Architecture logicielle

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(09/11/2009 17:01:40)

Microsoft s'achète un pont entre le monde Java et Visual Studio TFS

L'outil de gestion du cycle de vie des applications (ALM, Application lifecycle management) de Microsoft vient d'un coup de prendre de l'ampleur. Visual Studio TFS (Team Foundation Server) pourra en effet, dès sa version 2010, attendue en mars prochain, gérer des objets créés par des développeurs Java dans Eclipse ou d'autres ateliers sur des environnements Unix, Linux, MacOS... Les entreprises qui voulaient auparavant pouvoir accéder à ce type de fonctionnalité devaient s'équiper d'un outil tiers, typiquement Teamprise, édité par une division de SourceGear. Microsoft a donc décidé de racheter cette division, dans un effort, indique l'éditeur, de simplifier le travail des entreprises confrontées à un monde hétérogène et des problèmes d'interopérabilité. De fait, tout l'intérêt des solutions d'ALM réside dans cette possibilité de constituer un référentiel central, pour l'ensemble des développeurs et autres acteurs des projets. Jeffrey Hammond, analyste de Forrester, applaudit ainsi à ce mouvement : « Ils auraient dû le faire il y a longtemps. » D'autant, souligne-t-il, que Team Foundation Server représente une alternative économique à des produits comme Rational Team Concert. Le chef produit de Teamprise Martin Woodward annonce lui-même la nouvelle sur son blog, expliquant que Microsoft lui a proposé de rester à son poste. Il continuera donc de gérer les développements à distance (en Irlande du Nord), et assure que son équipe reste également. (...)

(09/11/2009 15:37:53)

Avec l'analyseur de code Java XDepend, Octo devient aussi éditeur

Le cabinet d'architectes en SI Octo Technology propose son premier produit en tant qu'éditeur : XDepend, la version Java de NDepend. Réalisé en collaboration avec Patrick Smacchia, concepteur de NDepend, XDepend en reprend les grands traits : analyse du code, visualisation sous forme d'arborescence, possibilité d'effectuer des requêtes et d'inclure des règles de codage à vérifier. Le développement de XDepend a mobilisé « une équipe de 3 personnes pendant un an, autant dire que cela représente un investissement certain », raconte Marc-Antoine Garrigue, directeur de la R&D d'Octo. Toutefois, dit-il, il ne s'agit pas d'un virage stratégique. La décision d'adapter l'outil au monde Java et de le commercialiser résulte plutôt de « la volonté de le pérenniser ». L'outil était en effet utilisé en interne dans sa version pour le code .Net, et Octo estimait qu'il n'y avait pas d'équivalent dans le monde Java. Cela aurait pu également se faire sous forme de projet Open Source, mais « on n'a pas l'envergure d'IBM ou de Sun », souligne Marc-Antoine Garrigue. Le logiciel est donc commercialisé au même tarif que son grand frère NDepend (environ 300 euros pour une licence seule), et il commence déjà à trouver acquéreur. « Notamment en Inde, cela doit les aider à mieux coller avec ce qui leur est demandé. » (...)

(06/11/2009 14:14:44)

IBM livre des services en ligne de développement pour les clouds publics et privés

Clouds publics ou privés, pour le développement ou le déploiement, pour des applications à forte audience ou au contraire absolument pas critiques... le marché du cloud reste encore évanescent. IBM avance néanmoins comme beaucoup d'autres ses pions, cette fois sur le terrain du développement, avec l'annonce de la bêta de deux services en ligne : Rational Software Delivery Services for Cloud Computing et Smart Business Development and Test on the IBM Cloud. Le deuxième service est assez classique : une plateforme de stockage et d'exécution d'applications. Plus original, le premier service combine les outils de gestion du cycle de vie de la gamme Rational, ainsi bien sûr que l'ensemble de bonnes pratiques élaboré par l'éditeur, notamment en matière de méthodes agiles et de test. IBM explique que cela permet tout à la fois d'intégrer les différentes technologies utilisées en interne, et de bénéficier des avantages du cloud, comme la possibilité de monter en très peu de temps un environnement de développement et de test (bien plus rapidement que s'il fallait passer par les services internes de réservation de ressources). La plateforme Smart Business Development and Test on the IBM Cloud devrait être facturée classiquement, sur un modèle de paiement à l'usage. L'offre Rational pourrait être associée à des jetons d'utilisation, ce qui permettrait de déplacer ces jetons au fur et à mesure des projets en fonction des publics concernés (architectes, développeurs, intégrateurs, etc.). Les versions finalisées des deux services sont attendues pour le premier trimestre 2010. (...)

(05/11/2009 17:33:04)

Le torchon brûle entre Oracle et Bruxelles

Les rumeurs vont bon train depuis quelques heures à propos de l'avis que doit rendre la Commission Européenne sur le rachat de Sun par Oracle. Et pour les alimenter, les sources à la fois anonymes et proches du dossier s'expriment de plus en plus souvent. Il faut avouer que le sujet est d'importance. Bruxelles serait tout simplement en passe de s'opposer formellement à l'acquisition. C'est ce que croit savoir, par exemple, le quotidien économique américain The Financial Times qui cite une personne proche du dossier, et anonyme. Selon cette dernière, Oracle aurait refusé toute concession aux régulateurs européens, face aux inquiétudes de ceux-ci quant au rachat. La Commission refuse de commenter, mais des proches d'Oracle -anonymes- racontent que l'éditeur, lui, se prépare à un combat agressif, si Bruxelles mettait son veto au rachat. Les régulateurs du Vieux-Continent auraient néanmoins confirmé qu'en cas de refus, il leur faudrait prendre rapidement leur décision pour laisser suffisamment de temps à la procédure de se dérouler avant la date butoir du 19 janvier. En cas d'opposition européenne, les gants de boxe seront de sortie "Le jeu changerait du tout au tout si la Commission prenait cette direction," explique une personne familière de la façon de penser chez Oracle, qui insiste pour garder... l'anonymat. Et d'ajouter : "jusqu'ici, Oracle s'est retenu, et contrairement à ce que dit la Commission, il a donné, en grande quantité, des réponses à ses questions." Les régulateurs s'interrogent en particulier sur une éventuelle position hégémonique d'Oracle - qui récupérerait MySQL-, IBM et Microsoft dans le monde des bases de données. Selon ce même observateur, la frustration des autorités européennes est palpable. La Commission a été prévenue de l'accord début août, à un moment où nombre d'officiels sont en vacances. Seuls les moins expérimentés d'entre eux étaient aux manettes pour gérer la situation, réduisant les chances d'obtenir une réponse rapide et positive. « Si la Commission s'oppose au rachat, ce sera la guerre », confie cette personne. En référence à la gestion la plus controversée d'une fusion par les régulateurs européens, ces dernières années, elle ajoute que la tempête politique qui en résulterait s'apparenterait à l'affaire du « rachat d'Honeywell par General Electric, mais sous stéroïdes. Après un refus de la Commission en 2001, le président des Etats-Unis de l'époque, Georges Bush avait dû intervenir en personne. Même si avec Barack Obama désormais à la Maison Blanche, les choses ont changé drastiquement, le proche d'Oracle assure que les retombées politiques seraient encore plus graves. « Quand GE dialoguait avec la Commission, pas un emploi n'a été perdu chez Honeywell. Sun, lui, en a supprimé des milliers et pourrait tout simplement couler si le rachat ne se concrétise pas. » "Certains politiciens endurcis, y compris la porte-parole de la Maison Blanche, Nancy Pelosi son prêts à intervenir en faveur d'Oracle et de Sun, mais on leur aurait demandé d'attendre pour l'instant. Mais si la Commission décide émet une déclaration d'objections (SO, statement of objections) la semaine prochaine, on va sortir les gants- et il ne sera plus temps d'attendre." (...)

(05/11/2009 14:00:43)

PSA déploie la démarche qualité Open Source Squale

Parmi les leviers permettant de diminuer les coûts de développement, il en est un relativement peu utilisé : l'amélioration de la qualité. Le groupe PSA Peugeot-Citroën a décidé de s'en servir, en déployant à grande échelle la démarche et les outils du projet Squale. Financé notamment par le pôle System@tic et ses principaux contributeurs, la SSII Qualixo et Air France en tête, le projet Squale (pour Software QUALity Enhancement) vise à « assister les développeurs dans l'amélioration du code de leurs projets, aider les chefs de projet à atteindre les objectifs de qualité de leurs applications, et donner aux dirigeants des tableaux de bord leur permettant de superviser la santé globale de leur système d'information ». Squale propose à la fois des modèles, issus du savoir-faire des participants (SSII, grands comptes, mais aussi centres de recherche comme l'Inria), et des outils en Open Source (licence LGPL) pour afficher et interpréter les métriques. Au plus haut niveau, le portail de Squale peut ainsi évaluer 6 grands facteurs (qui seront illustrés par des notes et des pictogrammes empruntés à la météo) : « capacité fonctionnelle, architecture, évolutivité, maintenabilité, réutilisabilité, fiabilité ». Outre cette météo claire du projet en cours, le but, explique Fabrice Bellingard, de Qualixo, responsable du projet Squale, est de « proposer un plan d'action, avec les choses à corriger en priorité ». Thierry Bey, responsable entité Langages, Qualité et Processus de Développement de PSA Peugeot Citroën, explique dans un entretien exclusif avec LeMondeInformatique.fr, que la mise en oeuvre de Squale dans les projets pilotes a déjà permis une bien meilleure adhérence des développeurs aux bonnes pratiques et aux règles mises en place au sein de PSA. Et si le caractère Open Source de Squale en fait une solution peu onéreuse, il insiste surtout sur le caractère participatif de la démarche, qui résulte d'une réflexion menée avec plusieurs grands comptes. Ce qui représente une garantie par rapport à ses propres besoins, mais est aussi synonyme de crédibilité au sein de sa propre DSI. (...)

(05/11/2009 11:25:12)

Quelques progrès autour des widgets mobiles et d'IPv6 dans HTML 5

Le développement de HTML 5 se poursuit malgré un certain nombre d'obstacles comme l'absence de codec vidéo standard, selon un membre du W3C. Fort de fonctions vidéo, du support des applications offline ainsi que du format SVG (Scalable Vector Graphics), HTML 5 passera en phase 'recommandation' fin 2010. « Cette période durera deux ans avant que l'adoption de la norme soit validée, a expliqué Philippe Le Hégaret, responsable du domaine 'interactions » (en charge de l'interface utilisateurs) pour le W3C, lors d'une conférence de presse à Santa Clara. » Les membres de ce consortium ont également apporté des éléments concernant les efforts faits autour des widgets mobile et de l'adoption de IPv6. La fin possible de Flash et Silverlight HTML 5 figure « une nouvelle façon d'interagir avec les applications Web, et d'en tirer davantage, » continue Philippe Le Hégaret. Cette mouture du langage souffre toutefois de l'absence de codec vidéo. « Il s'agit de trouver un format vidéo libre de droits » estime Philippe Le Hégaret, aujourd'hui, nous n'avons pas une solution satisfaisante pour tout le monde. » MPEG4 et Ogg ont ainsi été écartés. Selon lui, la solution de repli pourrait être par exemple de recruter un développeur pour définir une page fonctionnant sur les navigateurs Safari et Firefox puis fournir deux formats vidéo. Les fonctions multimédia de HTML 5 inciteraient les développeurs à se passer de technologies propriétaires telles que Silverlight de Microsoft ou Flash de Adobe. Toutefois, il assure que ces technologies serviront de transition dans le développement technique du HTML 5. Des travaux sont également menés sur l'accessibilité, pour relier HTML 5 à la suite Wai-Aria (Web Accessibility Initiative - Accessible Rich Internet Applications) pour que des personnes handicapées puissent naviguer facilement. Philippe Le Hégaret a aussi fait les louanges de SVG, qui propose un langage de description des graphiques en deux dimensions et des applications graphiques, dans XML. « Avec l'arrivée du SVG, nous allons voir apparaître des applications Web bien plus jolies ». Mais l'incompatibilité de SVG avec Internet Explorer demeure le point noir alors que Microsoft a co-présidé le groupe de travail HTML et que plusieurs de ses employés participent au W3C. « On remarque toutefois que la firme de Redmond n'a pas dévoilé ses objectifs pour Internet Explorer 9, indique Philippe Le Hegaret, qui espère de bonnes surprises. » Le Directeur du W3C Tim Berners-Lee en personne a loué les efforts menés sur HTML 5. « Cette spécification est formidable. Mais il reste du travail en particulier pour permettre de travailler en toute sécurité. » IPv6 devrait décoller avec le haut débit mobile [[page]]David Rogers, directeur des relations extérieures pour OMTP (Open Mobile Terminal Platform), les efforts se poursuivent également pour faciliter le développement d'applications mobiles via l'initiative du W3C sur les widgets mobiles. Il a dévoilé un prototype de téléphone fonctionnant avec une plateforme de développement qui exploite ces widgets. Fourni par Vodaphone et construit par Samsung, le terminal tourne sous Limo OS (Linux). Enfin, en ce qui concerne l'adoption d'IPv6, Leslie Daigle, Chief Internet technology officer de l'Internet Society, a rappelé que les dernières adresses IPv4 seraient fournies aux FAI en février 2013. « IPv6 a été défini il y a dix ans, mais il n'y a pas eu suffisamment de déploiements, a-t-elle ajouté. Mais la plupart des FAI et des fournisseurs de contenu l'incluent dans leurs projets actuels. Et il est clair que le haut-débit mobile va devenir clé pour IPv6. » (...)

(04/11/2009 17:10:19)

Sybase ouvre sa base et son administration à l'iPhone

Sybase étend sa plateforme de gestion de terminaux mobiles Afaria et sa base de données à l'iPhone d'Apple. L'éditeur américain s'adapte à la mouture 3.1 d'iPhone OS pour donner aux directions informatiques l'accès à davantage de moyens de contrôle et de fonctions diverses sur le smartphone. Avec ses fonctions multimédia, l'iPhone a d'abord été prisé par le grand public, puis il a petit à petit gagné du terrain en entreprise. La solution Sybase Afaria 6.5, commercialisée mi-novembre, permet de disposer des mêmes fonctions d'administration que celles déjà déployées sur les plateformes Blackberry, Palm OS, Symbian, ou Windows Mobile. Des échanges sécurisés avec le parc de terminaux « La mise à jour 3.1 d'iPhone OS permet de verrouiller certains paramètres, sans que l'utilisateur puisse les modifier », explique Mark Jordan, chef de produit sénior pour Afaria. Désormais, les entreprises exploitant la console d'administration peuvent bloquer des applications, définir des mots de passe efficaces et verrouiller les paramètres Wifi et VPN (réseau privé virtuel). Les responsables informatiques peuvent désormais établir des connexions sécurisées avec leur parc de terminaux mobiles en utilisant un certificat. Les flottes nomades sont ainsi gérées à distance en fonction des services, des métiers ou d'autres critères. Parmi les fonctions supportées par Sybase, on trouve notamment l'authentification de l'appareil pour accéder à des répertoires de l'entreprise ou établir des rapports de conformité quant à l'utilisation qui est faire du terminal par l'employé. Synchronisation avec les SGBD du marché L'éditeur a également annoncé des outils de synchronisation pour son SGBD SQL entre l'iPhone et une base de données. En utilisant SQL Anywhere, les développeurs et les éditeurs de logiciels peuvent synchroniser les SGBD Sybase, mais aussi Oracle, SQL Server de Microsoft, DB2 d'IBM et MySQL (Open Source) avec des applications installées sur l'iPhone. De cette manière, les employés ne dépendent plus de leur connexion mobile pour mener à bien leurs tâches en situation nomade. Un programme de test en bêta est déjà disponible pour Anywhere sur iPhone. La filiale Sybase 365 a également dévoilé un système clé en main de gestion bancaire sur l'iPhone. Avec cette solution mobile, si les banques le permettent, leurs clients peuvent vérifier l'état de leur compte, transférer des fonds, communiquer de façon sécurisée avec des employés bancaires, dialoguer automatiquement avec la banque, etc. La plate-forme Sybase mBanking 365 iPhone est désormais disponible et est déjà déployée par le réseau bancaire BBVA Compass avec la solution BBVA Mobile Compass. (...)

(30/10/2009 17:44:06)

Oracle motivé pour Glassfish et mitigé sur NetBeans

Oracle a mis à jour la FAQ (Foire aux questions) qui concerne son probable rachat de Sun. L'éditeur fournit quelques informations, mais finalement peu de détails, sur ses projets concernant les technologies de Sun, en attendant de savoir si la Commission Européenne validera l'acquisition. Après avoir évoqué les serveurs, les processeurs et même MySQL, le géant des bases de données s'exprime cette fois sur le serveur d'application GlassFish, l'environnement de développement NetBeans, la suite bureautique OpenOffice, et quelques autres technologies. Oracle prévoit ainsi de "continuer à faire évoluer" GlassFish, qui est pourtant en concurrence avec son WebLogic (issu du rachat de BEA), de la même façon qu'il proposera un support actif à la communauté GlassFish. De plus, il compte « aligner les innovations et les composants d'infrastructures communs aux deux serveurs d'applications. » L'enthousiasme de l'éditeur envers NetBeans est beaucoup plus mitigé. Il explique simplement que cet environnement deviendra "une option Open Source supplémentaire » du catalogue middleware Fusion, qui comprend JDeveloper et Oracle Enterprise Pack for Eclipse. La gestion d'identité et l'architecture SOA (service oriented architecture) de Sun intégreront d'ailleurs aussi Fusion. La suite bureautique OpenOffice, de son côté, bénéficiera de nouveaux développements et sera supportée en tant que projet Open Source. Comme Sun, Oracle envisage "une option de licence commerciale classique" pour les clients qui désirent « une assurance, un support et des outils d'entreprise complémentaires ». Oracle compte aussi préserver la ligne de produits de virtualisation pour poste de travail de Sun, avec VDI, Sun Ray, Secure Global Desktop et VirtualBox. L'administration de système Ops Center est aussi considérée par Oracle comme "très complémentaire" de son Enterprise Manager. Les deux devraient « se combiner et permettre aux clients de disposer de l'environnement d'administration de systèmes et d'applications 'top-down', du matériel au logiciel, le plus complet du marché. » Cette foire aux questions qui ne vaut pas un engagement ferme d'Oracle vis à vis des développements futurs -même si elle précise quelques éléments d'évolution en particulier sur Glassfish et Netbeans- est loin de rassurer les observateurs. "J'espère avoir tort, mais j'ai bien peur que cela ne dure que jusqu'au premier trimestre où Oracle n'atteindra pas les prévisions financières," écrit ainsi un commentateur du blog Javalobby consacré à Java. "Il faudra des coupes, et à votre avis, par quoi commencera Oracle ? C'est comme cela que ça marche. Ils ne peuvent pas maintenir deux ou trois lignes de produits concurrentes (et j'imagine très bien les stratégies que fomentent actuellement les équipes de JDeveloper face à celle de NetBeans, les équipes Glassfish contre celles de Weblogic, etc)." (...)

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