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(28/10/2009 17:12:41)

A l'occasion de l'arrivée de Seven, Microsoft multiplie les initiatives vers l'Open Source

Seven à peine lancé, Microsoft a décidé de tendre la main à l'Open Source. Au risque sans doute de se faire mordre, mais la démarche n'est pas sans intérêt. L'éditeur entreprend une série de démarches en compagnie de deux entreprises du Libre, Tasktop et Soyatec. Objectif : doper l'interopérabilité entre ses produits - Seven, Azure, Silverlight, etc. - et les technologies de l'Open Source comme Eclipse et Java. "Cela fait partie de nos nombreux efforts pour rendre nos produits plus ouverts," commente Vijay Rajagopalan, architecte principal de la stratégie d'interopérabilité pour Microsoft. Avec le fournisseur de solutions Eclipse, Tasktop, Microsoft travaille ainsi à rendre Seven accessible aux développeurs utilisant l'IDE Eclipse. "Plus des trois quarts des téléchargements d'Eclipse correspondent à la distribution Windows, rappelle Mik Kersten, CEO de Tasktop. » Les deux éditeurs vont étendre leur support au développement et à l'exécution d'applications exploitant ces outils. Ils vont incorporer des fonctions de Windows 7 et de Windows Server 2008 R2 dans de prochaines mises à jour de l'IDE Eclipse. Un plug-in Open Source pour les applications PHP dans Azure Les développeurs disposeront ainsi de fonctions de Seven telles que les nouveaux menus contextuels de la barre des taches appelés 'Jump Lists', pour un accès à des fonctions spécifiques Eclipse. Le projet comprend aussi l'extension du Standard Widget Toolkit d'Eclipse pour intégrer l'intégration du widget de recherche, par exemple. Les améliorations apportées à Eclipse par Tasktop le seront sous licence publique Eclipse en 'early access' au premier trimestre 2010. La version accessible à tous est prévue avec la disponibilité de la technologie Eclipse Helios technology en juin 2010. Microsoft annonce aussi un plug-in Open Source appelé Windows Azure Tools for Eclipse, destiné à faciliter le développement en PHP d'applications Web pour sa plateforme de cloud. Disponible gratuitement au téléchargement, ce module comprend des outils d'écriture, de déboguage et de déploiement pour ces applications. Le SDK (Software development kit) de PHP pour Windows est intégré dans le projet Eclipse via le plug-in. Celui-ci comprend aussi un explorateur de stockage (storage explorer) pour Azure pour scanner les données contenues dans les tables, les blobs ou les queues Azure. Le SDK Windows Azure pour Java, par ailleurs, propose des outils et des méthodes de développement pour que les applications Web exploitent efficacement le stockage de données dans le cloud Azure. Stimuler l'intérêt de la communauté Java pour Azure [page]Soyatec, de son côté, a travaillé avec Microsoft aussi bien sur les outils Eclipse pour Windows Azure pour PHP que sur le SDK Windows Azure pour Java. Les deux éditeurs ont rendu disponible une version 1.0 des Eclipse Tools for Silverlight, un plug-in à exploiter Silverlight dans développement Eclipse. Il inclut le support du Macintosh et un guide d'interopérabilité des applications Silverlight avec les sites et services web Java (y compris REST, JSON, etc.). Une version 2 des Eclipse Tools for Silverlight, avec le support de Silverlight 3.0 et des fonctions pour les applications offline est prévue pour le printemps 2010. "Avec ce type de démarches, Microsoft cherche à atteindre l'"autre rive" - celle où se trouvent les développeurs Open Source. Reste à savoir combien de développeurs entreront dans le jeu de l'éditeur. Ses efforts sont louables, même si l'entreprise garde clairement ses propres intérêts en tête. Et après tout, on ne s'attend pas à ce qu'ils deviennent une association caritative. Mais il y a différentes façons d'interpréter leur démarche. On sait par exemple qu'ils cherchent à susciter davantage l'intérêt de la communauté Java vis à vis d'Azure. Et le géant ne cesse de rappeller qu'il n'est pas indispensable d'être un développeur .Net pour tirer avantage de son cloud. » (...)

(26/10/2009 16:25:33)

Salesforce.com et Adobe livrent un IDE pour créer des clients riches

A la toute récente conférence Max, Adobe avait souligné tout ce que Flash pouvait apporter aux applications professionnelles, en illustrant son propos d'exemples probants. L'éditeur vient maintenant de concrétiser avec Salesforce.com la mise au point d'un environnement de développement intégré (IDE, integrated development environment) permettant de construire des applications Internet 'riches' à exploiter à la fois sur un poste de travail et à partir d'un navigateur Internet. Sous le nom de Flash Builder for Force.com, cet environnement, basé sur Eclipse, apporte des fonctions d'animation, une centaine de composants d'interface utilisateur, et des capacités d'intégration avec le connecteur de données de LiveCycle (Data Services). Ces dernières seront utilisées par les développeurs pour synchroniser les données entre la plateforme en ligne Force.com et les données stockées dans les entreprises. Une version d'évaluation de l'IDE est déjà téléchargeable. La disponibilité générale est prévue pour le premier semestre 2010. Le prix de l'offre n'est pas encore finalisé, mais elle devrait être tarifée par utilisateur nommé. C'est Adobe qui fournira la maintenance de premier niveau. Travailler en mode déconnecté Les deux éditeurs prévoient trois catégories d'utilisation. Tout d'abord, certains clients de l'application de CRM (gestion de la relation client) de Salesforce.com utiliseront l'IDE pour améliorer l'interface des applications qu'ils utilisent. Dans d'autres entreprises, l'environnement servira à développer des applications entièrement nouvelles. Enfin, un troisième groupe utilisera la technologie pour apporter des capacités 'offline' à des applications existantes développées sur la plateforme Force.com, afin de pouvoir utiliser celles-ci en mode déconnectée. Le nouvel IDE n'est pas destiné à remplacer les actuels outils de développement fournis par Salesforce.com, a tenu à préciser Eric Stahl, directeur marketing produit de Salesforce.com. Ces outils seront toujours requis pour créer des objets personnalisés, développer des règles de workflow, etc. Par ailleurs, les développeurs peuvent aussi choisir d'embarquer des composants Flash dans les interfaces utilisateurs qu'ils ont déjà élaborées avec les outils VisualForce de Salesforce.com. Depuis plusieurs années, la société de Marc Benioff a mis le paquet pour présenter Force.com comme une plateforme complète de développement pour les applications d'entreprise. « Le partenariat avec Adobe ne change rien à cela », a affirmé Eric Stahl en rappelant que, sur le terrain, les projets s'appuyaient rarement sur un seul outil de développement. (...)

(23/10/2009 13:10:12)

Visual Studio 2010 bêta 2 apporte des outils aux projets Sharepoint

Microsoft propose depuis le 21 octobre de télécharger la bêta 2 de son environnement de développement Visual Studio 2010 et de sa plateforme .Net Framework 4 (les abonnés à MSDN ont eu la primeur, deux jours plus tôt). Le lancement effectif des produits est prévu pour le 22 mars prochain. De la même façon, l'éditeur propose aussi la bêta 2 d'Express, version gratuite de Visual Studio qui vise à familiariser les étudiants et développeurs débutants à ces outils avant de passer à une version payante du produit. L'environnement comporte des outils intégrés pour les applications sous Windows 7 et pour la plateforme de collaboration SharePoint 2010 (en bêta publique le mois prochain). Il permet notamment de construire un projet SharePoint avec les sites Web et applications associés puis de les déployer. Le .Net Framework 4, dont la taille du 'runtime' a été réduite de 80% (ce qui accélérera sensiblement l'installation et le lancement des applications), dispose lui aussi de fonctions spécifiques aux projets SharePoint. L'accent mis par Microsoft sur son offre de portail n'est pas surprenant au regard de l'expansion qu'a connu cette solution ces derniers mois. « SharePoint s'est répandu comme un feu de forêt, mais le développement des applications destinées à cette plateforme manquait d'outils spécifiques dans Visual Studio, considère Mike Gualtieri, senior analyste pour Forrester. Maintenant, les développeurs recourant à cet environnement peuvent effectivement cibler SharePoint. » Les abonnés à MSDN Premium pourront développer sur la plateforme de cloud Windows Azure La bêta 2 apporte aussi de nouveaux liens 'drag and drop' pour le client Silverlight et l'interface riche Windows Presentation Foundation, et des options supplémentaires de test pour contrôler la qualité du code. A noter que Microsoft a ramené à trois packages de base les versions de Visual Studio 2010 proposées. Lors du lancement, les abonnés au service MSDN (Microsoft Developer Network) accéderont à la version Professional pour 1 200 dollars, à la version Premium pour 2 300 dollars, et à la version Ultimate pour 12 000 dollars, environ. Cette dernière inclut l'ensemble des outils de gestion du cycle de vie des applications, ainsi que les outils de test et d'architecture. Premium n'en comprend qu'une partie. Microsoft cherche à encourager les abonnements à MSDN. Ceux-ci donnent désormais accès de façon illimitée à Visual Studio Team Foundation Server, ainsi qu'à la plateforme de cloud Windows Azure et à une quarantaine d'heures de formation en ligne par an. Les abonnés peuvent « développer, sans coût additionnel, des applications pour la plateforme cloud Windows Azure », a confirmé Dave Mendlen, responsable marketing senior chez Microsoft. Mike Gualtieri, de Forrester, reconnaît que « la mise à disposition d'heures pour accéder à Azure est intéressant. C'est une évidence, le cloud comuting va devenir une approche de déploiement de choix dans les prochaines années ». (...)

(22/10/2009 15:10:14)

L'UE sermonne Oracle pour son manque de coopération

L'Union Européenne vient de tancer Oracle pour son manque de coopération dans l'enquête concernant l'acquisition de Sun. Le Vieux-Continent a en effet réclamé cet été des compléments d'informations concernant entre autres le traitement qui sera réservé à MySQL, avant de se prononcer sur l'opération -l'absorption de Sun par Oracle entraineraît l'intégration de MySQL chez le géant du SGBD et génère des interrogations sur le respect de la concurrence sur ce marché- Oracle, de son côté, n'a de cesse de se plaindre de la lenteur des autorités européennes à approuver le rachat. Une lenteur qui générerait, selon le CEO d'Oracle, Larry Ellison, 100 M$ de pertes mensuelles à Sun, qui annonce 3000 suppressions de postes, en blamant indirectement la Commission. A l'occasion d'une rencontre mercredi à Bruxelles avec Safra Catz, présidente d'Oracle, la commissaire Neelie Kroes s'est livrée à une rapide mais ferme mise au point. Elle a diplomatiquement exprimé « son désappointement vis à vis d'Oracle qui, malgré des demandes renouvelées, n'a pas réussi à proposer de solution aux problèmes de concurrence identifiés par la Commission ou à produire la moindre preuve qu'il n'existe pas de problème de concurrence." Elle a ajouté qu'elle souhaitait aboutir à une décision finale rapide tout en soulignant "que la solution était entre les mains d'Oracle". Une façon, selon George Weiss, analyste au Gartner, de montrer que la Commission ne se laisserait pas impressionner. Un écosystème Sun entièrement paralysé Pour Andrew Butler, autre analyste du même cabinet, ce retard permanent "paralyse tout l'écosystème Sun". Selon lui, les employés, les partenaires et les clients souffrent en attendant que l'opération soit conclue et qu'Oracle publie une feuille de route qui "redonnera confiance au moins dans une partie du portfolio de Sun". Il reste que, comme le rappelle George Weiss, il sera difficile pour Oracle de présenter des preuves que le rachat n'aura pas d'impact sur la concurrence dans l'Open Source en particulier. Il pourrait proposer une analyse du marché des bases de données qui montrerait qu'il existe d'autres options que MySQL dans l'Open Source comme PostgreSQL ou Ingres. Puisqu'Oracle a assuré qu'il ne créerait de filiale pour MySQL, il pourrait aussi choisir de l'inclure dans sa division SGBD et tenter de convaincre la Commission qu'il n'interférera ni dans les développements de MySQL ni dans ceux de la communauté de la base Open Source, imagine George Weiss. "Il semble néanmoins que la Commission Européenne ne veuille pas que MySQL devienne une 'business unit' à part entière au sein d'Oracle », ajoute le consultant. Pour les analystes, si Oracle est surtout en concurrence avec DB2 d'IBM ou SQLServer de Microsoft, en haut de gamme, il va bel et bien devoir « préciser les lignes de démarcation vis à vis de MySQL », selon Andy Butler. L'inquiétude est palpable dans la communauté du Libre. Pour preuve, Richard Stallman, initiateur de GNU et chantre de l'Open Source, a envoyé cette semaine une missive à la Commission Européenne dans laquelle il explique que "si Oracle est autorisé à acheter MySQL, il limitera à coup sûr le développement des fonctions et des performances de la plateforme, entrainant un lourd préjudice pour ceux qui l'utilisent comme moteur de leurs applications." Le Gartner n'est pas du même avis qui rappelle que non seulement il existe d'autres bases Open Source sur le marché, mais aussi d'autres distributions MySQL, qui survivront malgré le rachat. Pour le Gartner, Oracle devrait positionner MySQL comme une option d'entrée de gamme, complémentaire à son offre. "Ils ont largement assez d'opportunités sur le marché haut de gamme pour leur base, comme ils le démontrent avec Exadata, ajoute George Weiss. Ils devraient prendre une journée ou deux pour réfléchir à la chose et ne surtout pas réagir avec impétuosité. La situation exige de réfléchir calmement pour donner la réponse la plus intelligente possible." (...)

(19/10/2009 14:39:49)

L'atelier IntelliJ Idea devient Open Source

Un des rares outils commerciaux ayant survécu au rouleau-compresseur Eclipse, l'atelier de développement IntelliJ Idea de Jetbrains, passe lui aussi sous licence Open Source (Apache 2.0). Du moins, dans une version de base, dite Community Edition, disponible dès la sortie de la version 9 du produit. Une version « Ultimate » continuera d'être diffusée sous licence commerciale. Toutefois, précise Jetbrains, la Community Edition comporte déjà les outils de productivité appréciés des développeurs, et supporte les langages Java, Groovy et XML. L'édition avancée, Ultimate, garde notamment les outils de débogage, d'analyse du code, et le support de SQL, PHP, Actionscript... Jetbrains explique vouloir ainsi supprimer le principal frein pour les développeurs, le prix. La licence coûtait environ 400 euros pour les entreprises, moitié moins pour les développeurs individuels. (...)

(15/10/2009 17:41:29)

OpenWorld 2009 : Larry Ellison annonce Fusion Applications pour 2010

Oracle prévoit de lancer l'année prochaine la suite de gestion intégrée Fusion Applications qui doit rassembler le meilleur des différentes technologies développées ou acquises par Oracle. L'offre sera disponible en ligne (en mode SaaS) et dans une version traditionnelle à installer en interne. C'est ce qu'a annoncé hier son PDG, Larry Ellison, au quatrième jour d'OpenWorld, la grande conférence que l'éditeur tient chaque année à San Francisco (11-15 octobre 2009). Aux utilisateurs des applications de gestion de la relation client Siebel, ou encore des ERP JD Edwards ou Oracle e-Business Suite, le patron d'Oracle a pris grand soin d'assurer que, comme promis il y a déjà trois ans, leurs applications respectives continueraient, quoi qu'il arrive, à évoluer... sur les dix ans à venir et au-delà. « Nous pouvons nous permettre, non seulement de maintenir les logiciels que vous exploitez aujourd'hui, mais aussi de bâtir ceux que vers lesquels vous pourriez vouloir évoluer demain. » Il y a quelques jours, Larry Ellison, avait de la même façon affirmé aux clients de Sun qu'il allait poursuivre les investissements dans les produits qu'ils avaient achetés. Pour donner du poids à sa parole, il avait sollicité à ses côtés le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, un autre 'showman' de sa trempe. Des fonctions de Business Intelligence embarquées La suite Fusion Applications est basée sur une architecture SOA reposant sur la couche Fusion Middleware. « Nous ne pensons pas que tous nos clients vont remplacer ce qu'ils ont aujourd'hui par Fusion, a reconnu Larry Ellison. Nous pensons qu'ils vont étendre ce qu'ils ont avec certains éléments de Fusion. C'est ainsi que Fusion sera déployé. » Les tout premiers éléments de Fusion avaient été dévoilés sur OpenWorld 2007. Conçus pour s'utiliser en ligne, ces premières briques étaient destinées à la gestion de la relation client (CRM). Les premiers modules de la suite Fusion Applications couvriraient la gestion financière, ainsi que la gestion du capital humain, des ventes, du marketing, de la chaîne logistique, des risques et de la conformité réglementaire, des projets et des achats. En revanche, le module de gestion de production arrivera plus tard. Hier, sur OpenWorld 2009, le patron d'Oracle a insisté sur l'intérêt de cette approche modulaire : « Vous assemblez les composants dans l'ordre où vous voulez les utiliser, de la façon la plus pertinente pour votre secteur d'activité. Nous avons travaillé de façon très très rapprochée avec les utilisateurs pour concevoir et tester Fusion Applications », a-t-il précisé. Ce qui, selon lui, a permis de déboucher sur une interface « de qualité supérieure ». Les fonctions décisionnelles embarquées sont un des autres bénéfices mis en avant sur la future suite de gestion. « Vous pouvez utiliser le système sans utiliser de Business Intelligence », n'a pas hésité à affirmer Larry Ellison à ce sujet. (...)

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