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Architecture logicielle
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(17/08/2009 12:00:26)
Novell affecte dix développeurs permanents à OpenSuse
La communauté openSUSE project, qui travaille à l'évolution de SUSE, la distribution Linux de Novell, se voit doter par ce dernier d'une équipe permanente de développeurs fortes de dix membres. Ils viennent renforcer une communauté estimée à 330 membres et 8600 utilisateurs. A titre de comparaison, Fedora, la communauté derrière Red Hat Enterprise Linux, compterait plus de 17 000 participants. Tant pour Novell que pour Red Hat, la notion de communauté est difficile à différencier de celle des entreprises qui profitent de leur développement. En effet, la plupart des membres de ces communautés sont aussi des salariés des éditeurs intéressés au premier chef. (...)
(14/08/2009 11:40:26)Premier pas de la bêta de la R2 de SQL Server 2008
Les premiers développeurs viennent de la recevoir, les autres bientôt. La R2 du SGBD SQL Server 2008, connu sous le nom de code "Kilimanjaro", avance pas à pas vers sa sortie, prévue au premier semestre de l'an prochain. Elle devrait être synchronisée avec celle d'Office 10, suite bureautique avec laquelle elle aura des liens techniques. Une de ses principales fonctions sera Report Builder 3.0, un module de décisionnel nettement amélioré. Il comportera en particulier la possibilité d'une géolocalisation des données. Report Builder 3.0 et une intégration plus poussée avec Office confirment que Microsoft prépare une offensive sur le thème de la démocratisation du décisionnel. Au niveau de l'administration, le déploiement multi-serveur sera facilité. Deux autres technologies devraient être intégrées d'ici au lancement de cette R2. Le "Project Gemini", qui permettra d'utiliser Excel pour analyser des données, et Madison, outil d'entrepôt de données, fruit du rachat de DATAllegro l'an dernier. (...)
(13/08/2009 11:30:21)Google : « App Engine rend l'offre Google Apps encore plus attractive »
Google avait créé l'événement en annonçant un serveur d'applications Java hébergé, gratuit, destiné à un usage professionnel. Quelques mois après, Mike Repass, chef produit Google App Engine, détaille dans une interview exclusive pour LeMondeInformatique.fr les motivations de ce projet et la raison des choix techniques effectués. Google avait d'abord sorti une version Python de son App Engine. La version Java n'a été réalisée qu'après que l'équipe eut gagné en maturité sur ce type d'offre, dans le but de séduire les entreprises. Pour Mike Repass, le but est d'inciter les entreprises à mixer les offres App Engine et Google Apps. Il y voit deux grands avantages : la possibilité de réaliser des développements à façon, pour implémenter des processus internes par exemple, en s'appuyant sur des services applicatifs déjà en place et sans se soucier de toute la partie hébergement ou dimensionnement des machines. Cela ouvre d'ailleurs des perspectives à des éditeurs qui souhaiteraient s'appuyer sur cette infrastructure (de type Paas, Platform as a service) pour proposer leurs propres services applicatifs en ligne, en mode Saas (Software as a service). Google n'a en revanche, pour l'instant du moins, pas envisagé de constituer un catalogue de solutions de ce type : l'App Store pour Google App Engine reste à inventer. Les explications de Mike Repass sont à lire ici. (...)
(10/08/2009 15:38:54)SAP pourrait racheter Tibco et ses solutions d'intégration
D'après le site d'information financière allemand Euro am Sonntag, l'éditeur d'applications de gestion SAP porte actuellement son attention sur Tibco et ses solutions d'intégration. Un projet de revente de ces middlewares par SAP aurait été évoqué fin 2008 et aurait évolué vers un projet d'acquisition de l'éditeur américain par le fournisseur allemand. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la rumeur. SAP possède déjà ses propres outils de middleware, développés au sein de sa plateforme technologique Netweaver. Néanmoins, ceux de Tibco lui permettraient d'élargir ses capacités d'intégration avec un plus grand nombre d'applications externes. Sur le terrain du middleware, Oracle, principal concurrent de SAP, a fait il y a un an et demi l'acquisition de BEA Software et de son offre WebLogic, pour la coquette somme de 8,5 Md$ (un montant supérieur aux 7,4 Md$ récemment que la société de Larry Ellison a récemment proposé pour Sun). SAP veut acheter SAF, éditeur de solutions logistiques Pour SAP, la dernière initiative de croissance externe remonte au 20 juillet et porte sur une offre faite au Suisse SAF, un éditeur de logiciels de planification logistique employant 90 personnes. Toujours selon Euro am Sonntag, SAP manifesterait également un intérêt pour Teradata et ses applications d'entrepôts de données (datawarehouses). En avril, les deux éditeurs ont déjà noué un partenariat pour constituer une offre commune. Dans ce domaine du décisionnel, le mois de juillet a été marqué par le rachat du spécialiste du datamining SPSS par IBM qui renforce ainsi l'offre de business intelligence qu'il s'est constitué avec Cognos. Fin juillet, SAP a présenté sur son deuxième trimestre fiscal un bénéfice net en légère progression (+4%), à 423 M€, en dépit d'un chiffre d'affaires en recul de 10% à 2,58 Md€ et de ventes de licences en baisse de 40% par rapport à l'an dernier. (...)
(04/08/2009 16:13:56)BlackBerry ouvre sa plateforme de téléchargements
Après son ouverture aux développeurs début mars, l'App World de BlackBerry fait enfin ses débuts officiels. Il faut toutefois disposer d'un modèle de BlackBerry avec écran tactile et de la version 4.2 du système d'exploitation du smartphone. Accessible depuis l'adresse fr.blackberry.com, App World permet de télécharger gratuitement ou d'acheter près de 1 000 applications (dont une dizaine en français) parmi lesquelles des jeux, des vidéos, des services Web et de géolocalisation, etc. Le tout à partir de 2,75 euros environ (pour les applications payantes) et uniquement via le système de paiement sécurisé PayPal. L'App World est partagé en 13 thèmes (loisirs, jeux, productivité, réseaux sociaux...) avec un moteur de recherche et la possibilité pour les utilisateurs de noter les applications et de les recommander. Un système de sauvegarde en ligne, baptisé My World, permet de conserver un historique des applications téléchargées afin de les réinstaller. Un droit d'entrée de 200 dollars pour les développeurs Après l'App Store d'Apple ou encore l'Ovi Store de Nokia, c'est donc au tour de RIM de se lancer dans la fidélisation des utilisateurs via un kiosque d'applications en ligne. Depuis quelques années, le fabricant canadien tend en effet à élargir son offre à un large public avec des appareils multimédias (Facebook, jeux, etc.) comme le BlackBerry Curve. Côté développeurs, RIM propose un jeu-concours, doté de 100 000 dollars de prix, allant jusqu'au 25 septembre 2009 afin d'encourager l'écriture d'applications pour sa plateforme. Suivant en cela les exemples de ses prédécesseurs, comme Microsoft qui a lancé son propre concours pour alimenter sa « marketplace » il y a quelques jours. Chaque développeur ou éditeur souhaitant diffuser son logiciel sur Blackberry App World doit payer un ticket d'entrée de 200 dollars, ce qui lui donne le droit de soumettre 10 applications. (...)
(28/07/2009 11:41:10)Microsoft ouvre sa « Marketplace » pour applications mobiles aux développeurs
Apple a montré la voie avec l'App Store, et Google lui a emboîté le pas avec l'Android Market. C'est désormais au tour de Microsoft d'ouvrir une plateforme permettant aux développeurs de déposer leurs applications pour Windows Mobile, afin de pouvoir les vendre directement aux utilisateurs finaux. Ce Windows Marketplace for Mobile avait été annoncé au salon Mobile World Congress, au moment du lancement de la version 6.5 du système d'exploitation pour téléphones mobiles de Microsoft. A l'époque, Microsoft expliquait que les développeurs devraient débourser 99$ pour s'inscrire, mais toucheraient ensuite 70% du prix de vente de leurs applications - un pourcentage identique à ce que proposent Google et Apple. 20 milliards d'applications pour mobiles téléchargées chaque année en 2014 Microsoft explique que chaque application devra être validée par ses soins avant d'être publiée, le processus de test devant prendre 10 jours ouvrés. L'éditeur, qui rappelle qu'il y a 30 millions d'appareils sous Windows Mobile en circulation, estime que le potentiel est énorme. Il cite le cabinet Juniper Research, qui évalue le taux de téléchargement d'applications pour mobiles à 20 milliards par an en 2014. Dans cette course à l'intermédiation entre développeurs et consommateurs, Apple a pris une certaine avance, puisque son App Store contient environ 65 000 logiciels et a dépassé le milliard d'applications téléchargées en avril dernier pour 45 millions d'utilisateurs. Pour se rattraper, Microsoft propose un concours, dit « the race to market challenge », doté de plusieurs prix dont des tables tactiles Surface et des outils promotionnels pour ses applications mobiles. Les vainqueurs seront ceux dont les applications auront été le plus téléchargées (pour les applications gratuites) et ceux dont les applications auront rapporté le plus d'argent entre le début du concours et la fin de l'année. Là encore, Microsoft n'est pas le premier à avoir eu l'idée du concours pour stimuler la créativité des développeurs. Dernièrement, c'est SFR qui récompensait les auteurs d'applications pour Android. (...)
(21/07/2009 17:02:21)Virtualisation : Microsoft fournit en GPL le code source de trois pilotes Linux pour Hyper-V
La reconnaissance de Linux par Microsoft, et partant son intégration avec Windows, a avancé d'un bon pas hier, avec la publication par Microsoft de 20 000 lignes de code sous licence GPL v2. Cette soumission de code à « la communauté du noyau Linux » inclut trois pilotes facilitant la virtualisation de Linux sur Hyper-V, le système de virtualisation de Windows Server 2008. Alfonso Castro, directeur de la stratégie d'interopérabilité chez Microsoft France, place ce mouvement dans la droite ligne des initiatives déjà engagées avec Novell ou la communauté PHP pour faciliter l'interopérabilité. En l'occurrence, précise-t-il, les entreprises y gagneront en termes de performances - puisque les systèmes Linux hôtes utiliseront des pilotes optimisés pour Windows Server - et d'administration - grâce à une console System Center unique pour les différents environnements virtualisés. Alfonso Castro espère d'ailleurs que la communauté Linux prendra acte de cette main tendue et qu'elle « réagira en développant des modules pour améliorer cette administration ». Si les équipes techniques de Microsoft n'en sont pas à leur premier geste de bonne volonté, cela passait surtout, jusqu'à présent, par la mise à disposition de protocoles sous des licences de type Community Promise, comme pour C#. Le choix de la GPL est tout nouveau, mais s'explique aisément : « On y était obligé dans la mesure où le noyau Linux est sous GPL v2 », indique Alfonso Castro. L'annonce a été faite au premier jour de la conférence Open Source organisée par O'Reilly, dont Microsoft est un des deux plus importants sponsors (avec Intel). C'est à l'occasion de ce même événement l'année dernière que la société dirigée par Steve Ballmer, connue pour ses prises de position très menaçantes envers le Libre, avait annoncé son intention de soutenir financièrement la communauté Apache. (...)
(20/07/2009 15:11:57)Hausses de 43% pour les packs d'optimisation Oracle
Les prix de la base de données Oracle connaissent une remarquable stabilité... depuis l'augmentation de juin dernier. En revanche, vouloir optimiser l'installation, la configuration et la maintenance va finir par revenir cher. L'éditeur a augmenté de près de 43% les tarifs de trois de ses principaux outils d'administration, le Diagnostics Pack, le Tuning Pack et le Configuration Management Pack, dont la licence passe de 2 511 euros par processeur à 3 588 euros. De fait, les éditeurs de SGBD commerciaux s'attachent aujourd'hui à montrer une valeur d'acquisition attractive, l'Open Source et la crise étant passés par là. Néanmoins, les plus grandes entreprises ont les moyens de payer, estiment les éditeurs, qui tentent ainsi de se rattraper avec des options d'administration indispensables pour de tels clients. Est-ce dû au succès de Google Maps et autres Microsoft Virtual Earth démultipliant le nombre d'applications liées à la géolocalisation, on note aussi, parmi les options, le record établi par le module Spatial, indispensable pour gérer au mieux les données géographiques dans Oracle : 52% de hausse, à 12 556 euros ! Les prix des autres SGBD Oracle (Berkeley DB, TimesTen et Rdb) restent stables. Hors bases de données, la comparaison de la liste de prix de ce mois avec celle de mai dernier montre aussi que certains outils connaissent une hausse moins importante, comme le Management Pack pour les SOA, qui augmente d'un peu plus de 30%. (...)
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