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Architecture logicielle

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(08/09/2009 13:08:10)

Microsoft affiche un optimisme prudent pour les lancements de Windows 7 et Office 2010

Microsoft n'avait (presque) aucune annonce à faire, mais quelque 120 journalistes se sont tout de même rendus à sa désormais traditionnelle conférence de presse de rentrée, hier, lundi 7 septembre. Il faut dire que ce rendez-vous de l'éditeur est devenu incontournable, tant il donne le pouls de l'année à venir : les sorties de produits Microsoft vont en effet rythmer le calendrier de toute l'industrie. Que ce soit du côté des offres purement professionnelles comme Windows 2008 Server R2, SQL Server 2010 ou Visual Studio 2010, ou des offres à la fois pour les entreprises et le grand public, comme Windows 7 ou Office 2010. Microsoft dégainera l'artillerie lourde le 6 octobre, avec la venue en France de Steve Ballmer pour le lancement de Windows Phone, la nouvelle dénomination des appareils mobiles sous Windows Mobile 6.5. L'éditeur, qui a beaucoup de retard à rattraper dans ce domaine, accompagnera son système d'une place de marché ouverte aux développeurs tiers, et d'un intéressant service, 'MyPhone', de synchronisation et de sauvegarde automatique en ligne des données du mobile. « Les problèmes de Vista sont aujourd'hui résolus » Néanmoins, le plus important pour Microsoft reste le lancement de Windows 7, disponible en version finale depuis quelques jours pour les entreprises, et qui sera officiellement commercialisé auprès du grand public le 22 octobre. Echaudé par l'échec commercial de Vista à ses débuts, Microsoft dit se montrer prudent, mais « très confiant ». Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, explique cet optimisme prudent de plusieurs façons. D'abord, les « problèmes de Vista au début par rapport au poids du système et à la compatibilité des applications » seraient « aujourd'hui résolus ». Il est vrai que « pour la première fois de son histoire », un système d'exploitation de Microsoft sera moins gourmand en ressources que son prédécesseur. Les machines ayant continué d'évoluer entre temps, les migrations ne devraient pas poser de souci en termes de performances. En revanche, Seven étant basé sur le même noyau que Vista, il ne faut pas s'attendre à des miracles : les matériels anciens utilisés avec XP et non supportés par Vista ne le seront pas non plus par Windows 7. D'après Marc Jalabert, cela concernerait seulement 5% des périphériques. Autre raison d'espérer pour Microsoft, « on a de bons signaux pour la mise à jour ». Les retours sur les versions bêta et RC sont très bons, le public s'est rué sur les précommandes à tarif réduit, et Marc Jalabert ne doute pas que les entreprises passeront directement de XP à Seven. Mais il se refuse à donner un objectif, arguant que « les migrations en entreprises prennent du temps ». Le système de mise à jour proposé aux entreprises devrait faciliter les choses, de même que le mode XP pour Windows 7, qui permet d'exécuter des applications conçues pour XP dans une machine virtuelle apparaissant comme une simple fenêtre sur l'écran. Pour le grand public, beaucoup d'efforts sont prévus en matière de tarification (un pack Famille proposera le système d'exploitation à 150 euros pour trois ordinateurs) et de pédagogie : 1400 journées d'animation seront organisées dans les magasins, et un « Windows Café » sera même ouvert dans Paris. Office 2010 complétée par une version en ligne, Office Web Apps [[page]] La question de la migration en entreprise se reposera au printemps 2010 avec la sortie de la nouvelle version d'Office. Qui s'accompagne enfin d'un système collaboratif, et sera complétée par une offre bureautique en ligne, Office Web Apps. Similaire, dans le concept, aux Google Apps, ces Office Web Apps, accessibles aux utilisateurs disposant d'un compte Live et d'un espace de stockage SkyDrive, reproduisent dans le navigateur l'interface à base de rubans apparue dans Office 2007. « On le fera mieux que Google » Brique de la stratégie Software plus Services (S+S) de Microsoft, Office Web Apps est bien positionné comme un complément et non comme un outil de remplacement d'Office. Aucun système n'est d'ailleurs prévu pour gérer un stockage en local en cas de déconnexion du Web, par exemple - quand bien même Microsoft dispose d'outils comme Mesh, pour synchroniser les données. Il reste donc un peu de chemin à parcourir, alors que Google dispose de Gears, et prépare son offre Wave. Cela n'entame pas l'optimisme de Marc Jalabert : « On y va, et on le fera mieux que Google. » Côté serveur, Microsoft insiste aussi sur le choix offert aux entreprises, avec d'un côté des logiciels à installer comme Windows Server 2008 R2 ou Exchange 2010, et de l'autre des offres en ligne commercialisées directement par Microsoft (comme Azure) ou vendues par ses partenaires, comme la messagerie hébergée. « Dans tous les cas, explique Marc Jalabert, l'important est le fait d'utiliser Exchange, pas la façon dont on y accède ». Un tout nouveau bâtiment de 35 000 m² pour les 1700 collaborateurs français de Microsoft En conclusion de ces présentations, Eric Boustouller, président de Microsoft France, a rappelé l'enracinement de Microsoft dans la société française et toutes les raisons qui le poussent à être optimiste. Après 25 ans de présence, Microsoft compte aujourd'hui 1 700 collaborateurs en France, épargnés par le plan de licenciement mis en place par l'éditeur au niveau mondial. Microsoft France, désigné meilleure filiale à l'issue du dernier exercice fiscal, vient d'ailleurs d'inaugurer ses tout nouveaux locaux en bord de Seine à Issy, 35 000 mètres carrés à proximité de HP France, Cisco France, Steria... La plus grosse ombre au tableau pour Microsoft pourrait être la performance de la division grand public et services en ligne. Après 1,33 Md$ perdus au niveau mondial en 2007/2008 dans les services en ligne, Microsoft y a englouti 2,2 Md$ l'année dernière. Fort de ses 27 millions d'utilisateurs de ses services Live, l'éditeur a confirmé qu'il n'entendait pas abandonner ses efforts dans ce domaine, comme le prouvent le lancement de Bing (dont la version française doit bientôt être finalisée) et l'accord conclu avec Yahoo. C'est, explique Olivier Marcheteau, responsable de la division pour la France, « une stratégie qui portera ses fruits ». (...)

(07/09/2009 16:52:52)

Réduction des coûts au programme de la R2 d'Oracle 11g

Oracle 11g R2, deuxième version majeure de la base de données du Californien, est désormais disponible sur OTN (Oracle Technology Network). Cette mouture arrive plus de deux ans après la première sortie de 11g en juillet 2007. L'éditeur rappelle que, durant tout ce temps, la nouvelle version a été mise au point par quelque 1 500 développeurs et a fait l'objet de près de 15 millions d'heures de test. Pour commencer, Oracle a fait évoluer l'option RAC (Real Application Clusters) du SGBD qui permet d'exécuter les applications sur des clusters, et surtout d'augmenter dynamiquement l'infrastructure disponible en fonction des besoins. Le système de réservation de ressources fonctionne à la manière du grid computing. Oracle annonce une amélioration de 40% des performances de RAC dans la version 2 de 11g. Enfin, parmi les nouveautés de la R2, on trouve aussi la déclinaison RAC One Node qui permet aux entreprises de bénéficier, pour des bases peu critiques, des fonctions de haute disponibilité de RAC sur un petit nombre de serveurs (voire sur un seul). Des coûts de stockage réduits 10 à 12 fois Désormais, la base Oracle dispose aussi d'une technologie permettant un stockage différencié suivant l'importance des données et de la fréquence d'accès à celles-ci. Les informations que l'entreprise va le plus souvent chercher sont enregistrées sur des supports rapides, alors que les données d'archive vont sur des disques plus lents et moins chers. Selon Andrew Mendelsohn, senior VP Oracle Database Server, cela permettrait de « réduire entre 10 et 12 fois le coût du stockage associé à la base de données ». A noter qu'Oracle 11g R2 a aussi optimisé la compression de données déjà présente dans la R1 pour réduire de 2 à 4 fois la taille initiale de la base. Pour répondre au besoin exprimé par de nombreux clients, l'environnement d'administration automatique du stockage (Automatic Storage Management, ASM) a été étendu aux fichiers gérés par le système de gestion des fichiers clusterisé de l'OS. Jusque-là, ASM était réservé aux seules informations stockées dans la base de données Oracle. Toujours pour optimiser les ressources et réduire les coûts, le trio ASM, RAC et Active Data Guard (qui décharge les bases de production, en cas de surplus d'activité, vers des bases de secours) équilibrera à la fois la charge de travail de production et la fonction de tolérance aux pannes entre les ressources serveurs et de stockage. Objectif : faire en sorte qu'un minimum d'éléments de l'infrastructure restent inactifs. A l'occasion de cette annonce, Andrew Mendelsohn a également rappelé que pour certains clusters, équipés d'un To de mémoire vive par exemple, dans lesquels une base complète peut être chargée, il sera possible de gérer les requêtes directement en mémoire (in memory parallel query). (...)

(04/09/2009 16:42:06)

Carnegie Mellon et l'OMG lancent un consortium pour la qualité logicielle

L'Institut de l'ingénierie logicielle de l'université de Carnegie Mellon (SEI) et l'OMG (Object management group) créent ensemble un consortium de la qualité logicielle. Les constats sur le sujet sont simples. D'une part, les logiciels sont de plus en plus complexes. Ils sont multi-tiers (multi-niveaux) et s'appuient sur plusieurs langages. D'autre part, le moindre problème sur un logiciel fait courir un risque important à des entreprises dont l'économie repose de plus en plus fortement sur leur système d'information. Le Consortium of IT Software Quality (CISQ) sera constitué de membres issus des 2 000 plus grands industriels de l'IT (classement Forbes Global 2000), d'intégrateurs, de SSII et d'éditeurs. Ils travailleront ensemble sur des standards de mesure de la qualité logicielle ainsi que sur la promotion d'un écosystème pour les déployer qui s'appuie sur les acteurs du secteur. La raison d'être principale du CISQ consiste à mettre au point ce standard de façon suffisamment détaillée pour permettre une mesure automatisée de la qualité, seule façon de le rendre viable économiquement pour les parties prenantes, selon les deux fondateurs. Un standard pour les applications multi-tiers, multi-langages Au total, le SEI et l'OMG ont identifié cinq objectifs essentiels pour leur projet. Le consortium devra répandre la bonne parole et convaincre l'industrie IT de l'importance que revêt la qualité logicielle. Les outils de mesure standards de la qualité et du risque devront être mis au point pour des applications multi-tiers et multi-langages. Des méthodes permettront d'utiliser aussi ces outils pour négocier l'achat et la maintenance d'applications. Des licences professionnelles donneront aux fournisseurs de services les moyens de garantir la qualité de leur production. Enfin, le consortium mettra en place un forum de discussion en ligne autour de toutes ces questions. Deux réunions inaugurales du consortium se tiendront le 6 octobre dans les locaux du SEI à Arlington, en Virginie, puis le 12 novembre à Francfort, en Allemagne. La première version provisoire du standard est prévue pour le 4e trimestre 2010. La vente de services conformes à la norme devrait démarrer début 2011. (...)

(03/09/2009 15:35:28)

Oracle-Sun : L'Europe ne rend pas d'avis et prolonge ses investigations sur MySQL

Oracle va devoir attendre encore plusieurs semaines avant de savoir s'il est autorisé à acheter Sun (pour un montant de 7,4 Md$). La Commission Européenne, qui devait donner un avis sur le sujet ce mois-ci, après un mois d'enquête préliminaire, a finalement décidé, aujourd'hui, jeudi 3 septembre, de prolonger son investigation. Dans un communiqué, elle explique qu'elle a constaté que «l'opération envisagée soulève des doutes sérieux quant à sa compatibilité avec le marché unique, en raison de problèmes de concurrence sur le marché des bases de données.» La commission cherche à savoir si « l'opération de concentration entrave ou non de manière significative le jeu d'une concurrence effective dans l'Espace économique européen (EEE) ou une partie substantielle de celui-ci. » Ni réduction du choix des consommateurs, ni hausse des prix Les inquiétudes de l'Europe concernent l'absorption par le leader mondial des bases de données, de MySQL, le SGBD libre racheté par Sun en janvier 2008. « La Commission se doit tout particulièrement de veiller à ce que ce rachat ne réduise pas le choix des consommateurs ou n'entraîne pas de hausses de prix, insiste Neelie Kroes, membre de la Commission, responsable de la concurrence, citée dans le communiqué officiel. Les bases de données sont une composante essentielle des systèmes informatiques des entreprises. Dans le contexte économique actuel, toutes les entreprises recherchent des solutions informatiques offrant un bon rapport qualité-prix et les systèmes reposant sur des logiciels ouverts apparaissent de plus en plus comme une alternative viable aux solutions «propriétaires». La Commission rappelle par ailleurs que le marché des bases de données est déjà particulièrement concentré puisqu'Oracle, IBM et Microsoft contrôlent près de 85% des parts de marché en valeur. Qui plus est, Oracle est le maître incontesté des bases propriétaires et pourrait mettre la main sur MySQL qui domine celui des SGBD libres. L'enquête préliminaire de la Commission a révélé que les deux logiciels sont en concurrence directe sur de nombreux segments de marché et que, de l'avis général, MySQL devrait exercer une pression concurrentielle plus forte à mesure qu'il s'améliore. Pour la Commission, par ailleurs, « le fait que MySQL soit une base de données ouverte pourrait ne pas éliminer totalement les risques d'effets anticoncurrentiels. » Elle compte donc en particulier vérifier l'opportunité, pour Oracle, de continuer à développer MySQL en tant que base de données ouverte. Avant de rendre un avis, les Etats-Unis avaient eux-aussi réclamé un délai, mais à cause d'interrogations autour de la propriété de Java. Ils ont finalement approuvé le rachat le 21août. La Commission Européenne dispose désormais d'un délai de 90 jours ouvrables pour prendre sa décision. Oracle pourrait donc devoir attendre jusqu'au 19 janvier 2010 pour savoir sur quel pied danser. (...)

(01/09/2009 11:39:36)

Tibco met la main sur DataSynapse, un des pionniers du grid

Tibco, spécialiste du middleware, met la main sur un des acteurs historiques du grid computing, DataSynapse pour 28 M$. Ce dernier propose des outils de réservation et d'allocation dynamique des ressources matérielles et logicielles en environnement distribué. Autant d'éléments indispensables aujourd'hui à qui souhaite, comme Tibco, se développer dans le cloud computing. Spécialiste, à l'origine, de la gestion d'infrastructures matérielles et systèmes distribuées avec GridServer, DataSynapse a glissé petit à petit vers la gestion distribuée de services applicatifs (DASM, Dynamic Application Service Management) avec FabricServer. Son Federator destiné à chapeauter l'ensemble est, quant à lui, en version bêta dans l'environnement EC2 d'Amazon. Début août, DataSynapse annonçait l'intégration de FabricServer à l'environnement VMware. De son côté, Tibco avait levé le voile fin juin sur son futur Silver, plateforme de déploiement dynamique d'application sur des clouds. Les synergies des deux offres parlent d'elles-mêmes. Mi-août, on évoquait la possibilité d'un rachat de Tibco par SAP. Ce dernier a depuis démenti. (...)

(31/08/2009 16:45:51)

Semestriels : Sopra limite la chute de son CA à moins de 1%

Sopra a présenté ce matin, 31 août, les résultats de son premier semestre 2009 qui laisse transparaître une bonne résistance à la situation de crise actuelle. Le chiffre d'affaires de la SSII française pour la période s'élève à 544,8 M€ contre 549,6 M€ pour le premier semestre 2008, soit une baisse de 0,9%. La diminution de - 4,3% du CA organique le situe au même niveauque l'ensemble des SSII françaises plutôt en difficulté sur la première moitié de l'année. Le résultat net de 10,8 M€ (contre 24,7 M€ l'an dernier) accuse une chute de près de 57%. Le résultat opérationnel courant de 26,5 M€ (-35%) assure néanmoins une marge opérationnelle courante de 4,9 % (contre 7,4 % en 2008). La crise est une des explications fournies par Sopra pour cette baisse de son CA. Pierre Pasquier, PDG de la SSII, explique néanmoins que ses clients ont différé, ou morcelé, certains projets sans les annuler pour autant. Des pays comme l'Espagne, particulièrement touchés par la crise, ont aussi affecté les ventes. Enfin, la société a tout simplement eu du mal à rester à la hauteur de ses très bons chiffres de l'an dernier. Des charges de personnel en hausse Les charges de personnel ont crû de 1,4%. Comme l'explique Pierre Pasquier, PDG de Sopra, la société a réduit de près d'un tiers le nombre de sous-traitants qu'elle emploie, mais elle a aussi recruté 300 personnes en début d'année et augmenté légèrement les salaires. « Nous avons par exemple eu recours à des stagiaires que nous hésitions à transformer en CDI, ajoute-t-il, et nous les avons finalement transformés. » En juin, Sopra comptait 12 750 employés. L'intégration de systèmes et solutions (ISS), qui représente près de deux tiers de l'activité de Sopra, a augmenté de 2,8% en France à 353,2 M€, alors qu'elle a plongé de 17,9% en Europe à 89,5 M€ (-14,3% en croissance organique). Axway, la filiale de Sopra éditeur de logiciels de transfert de données, a vu son CA grimper de 14,9% au total mais reculer de 14% en organique. Elle avait absorbé, en fin d'année dernière, le spécialiste du transfert de fichiers B2B, Tumbleweed. Les solutions applicatives, dont celles d'Axway, comptent pour 27% dans le CA de Sopra. Le conseil en management (12%) subit de son côté une forte baisse d'intérêt (-23,1% à 19 M€) qui conforte Sopra dans son idée de regrouper l'ensemble des activités de conseil (Orga Consultants et activité de business consulting). Les commandes du secteur public en forte croissance [[page]]Le secteur des services financiers représente 29% des ventes, devant l'industrie avec 18% (une dizaine de grands comptes dont EADS) et le secteur services/transports/énergie pour 18% également. « Progressivement, nous assistons aussi à une énorme poussée des prises de commandes du secteur public - aujourd'hui 16% du C.A., ajoute Pierre Pasquier, en particulier en France. » La SSII a signé cette année des contrats et en a renouvelé d'autres avec nombre de grands comptes comme EDF, BNP Paribas, HSBC, le Minefi pour le système d'information financière de l'Etat Chorus, le Ministère de la Défense ou encore EADS. En trois ans, le CA réalisé par Sopra pour EDF a triplé, tant en conseil, qu'en assistance à maîtrise d'ouvrage, formation, CRM, etc. L'industrialisation des back-offices bancaires est par ailleurs à l'origine de toute une série de grands projets complexes. (...)

(24/08/2009 15:32:35)

Mozilla organise une semaine solidaire autour du Web

La communauté Open Source Mozilla, à l'origine d'environnements tels que Firefox et Thunderbird, appelle les internautes à une semaine solidaire entre le 14 et le 21 septembre. Au travers de cette opération appelée « Mozilla à votre service », elle a décidé d'ouvrir le mode de fonctionnement du Libre à la société tout entière. Mozilla demande aux internautes, quel que soit leur niveau de technicité, de partager bénévolement et gratuitement avec d'autres leurs compétences sur le Web. Parmi les exemples donnés sur le site, on trouve la formation au Web des personnes âgées, l'installation d'un réseau sans fil dans une école et, même, le reconditionnement de matériel informatique pour une association. Pour expliquer sa démarche, Mozilla en explique l'esprit et l'objectif sur son site : « Mozilla pense que tout le monde devrait pouvoir accéder à Internet, savoir comment l'utiliser correctement et en avoir une expérience enrichissante. En tirant partie des compétences de notre communauté en ce qui concerne l'écriture, la conception, le développement et les nouvelles technologies, nous pensons que nous pouvons faire du Web un endroit meilleur pour tout le monde. » Un site par pays pour déposer sa promesse de projet Chaque pays dispose d'un site Web réservé à cette opération et d'un lieu pour déposer les promesses de projet. Pour participer, il suffit ainsi d'inscrire son projet ainsi que les heures que l'on compte y consacrer dans la « promessothèque ». Pour les internautes en mal d'imagination, Mozilla propose de consulter les missions de ceux qui participent déjà. Le principe est jusqu'au bout celui de l'Open Source. Mozilla compte ainsi sur les internautes pour utiliser leurs blogs, le micro-blogging ou les réseaux sociaux afin de relayer l'opération. Il propose des bannières pour communiquer sur les sites. Il s'appuie aussi sur les internautes pour traduire les instructions dans un maximum de langues différentes. (...)

(21/08/2009 17:54:59)

Depuis 2008, le rythme des évolutions s'est accéléré sur le noyau Linux

Dans son deuxième rapport sur le développement du noyau 2.6, la Linux Foundation établit un bilan très positif du dynamisme de son évolution. Sa conclusion est claire : "Le noyau de Linux est devenu une ressource commune développée à grande échelle par des entreprises qui se livrent une intense compétition dans d'autres domaines." Depuis 2005, plus de 5 000 développeurs, soit indépendants, soit travaillant pour des entreprises dont le nombre dépasse 500, ont participé à l'évolution de Linux. Le noyau a augmenté de 2,7 millions de lignes de code pour aboutir à une version 2.6.30 avec 11,6 millions de lignes et 17 090 fichiers. Depuis avril 2008, date de parution du premier rapport de la Linux Foundation, le nombre de développeurs a augmenté de 10% environ, tandis que le rythme des évolutions s'est accéléré. Depuis le printemps 2008, le nombre de lignes de code ajouté au noyau chaque jour a été multiplié par trois. C'est grâce à cet effort que le noyau de Linux a pu progresser dans des domaines clés comme la sécurité et la virtualisation. 1 150 développeurs pour le noyau 2.6.30 Malgré cette augmentation de la production, le rythme de parution des versions reste établi sur la fréquence d'une toutes les douze semaines. 1 150 développeurs ont contribué au développement du noyau 2.6.30 proprement dit, soutenus par 240 entreprises. Il y a quatre ans et demi (noyau 2.6.11), ils étaient moins de 400, soutenus par moins de soixante-dix entreprises. Il n'empêche que la contribution des trente premiers développeurs représente à elle seule 25% du code. Si l'emblématique Linus Torvald ne figure pas parmi eux, c'est qu'il joue un rôle important de coordination. Lorsque l'on s'intéresse aux entreprises qui participent, la liste surprend peu. Red Hat arrive en tête avec 12 % des changements, suivi par IBM (6,3 %), Novell (6,1 %), Intel (6%) et Oracle (6,1%). (...)

(21/08/2009 15:49:57)

Oracle lèvera le voile sur la version 2 de 11g en septembre

Oracle était jusqu'à présent resté plutôt discret sur la prochaine version de sa base de données, 11g Release 2. Son président Charles Phillips a simplement évoqué en mars dernier des améliorations du côté de sa technologie RAC (Real application clusters) qui permet de déployer une base de données unique sur un cluster. Il a aussi annoncé que la version 2 de 11g arriverait au deuxième semestre. L'éditeur californien devrait en dire davantage sous peu. Il a en effet programmé une session sur 11g R2 pour le 29 septembre prochain, à Bedford (Massachussetts), une semaine avant l'ouverture de sa grande conférence utilisateur annuelle Oracle Open World de San Francisco, qui se tient cette année du 11 au 15 octobre. Les utilisateurs de 10g pourraient être tentés par la 11g R2 La 11g R2 est entre les mains des bêta testeurs depuis quelques temps, mais en toute discrétion. Il semblerait qu'un certain nombre d'entre eux jugent cette version plus stable que la 11g lancée en juillet 2007, ce qui pourrait conduire les utilisateurs restés à la 10g à envisager cette fois une migration. C'est ce que laisse entendre Ian Abramson, président de l'IOUG (Independent Oracle users group), qui a participé au programme de bêta-test. Sur son blog, il rappelle la plaisanterie classique qui distingue l'administrateur de base de données (DBA) junior du DBA senior. Le plus jeune se précipite sur la première version du logiciel dès qu'elle arrive pour la mettre en production. Le second jette le CD à la corbeille et attend la version 2. En se basant sur ce qu'il a vu avec 11g R2, Ian Abramson pense qu'effectivement, le moment est peut-être venu d'envisager une adoption. (...)

(20/08/2009 15:35:05)

A peine acheté par VMware, SpringSource s'offre Cloud Foundry

Alors qu'il vient tout juste d'être acheté par VMware, le champion du framework Java, SpringSource, acquière de son côté Cloud Foundry. L'offre de PaaS (Platform-as-a-service) de ce dernier, qui porte le même nom que son éditeur, permet de concevoir, de déployer et d'administrer des applications Spring, Java ou Grails sur le cloud EC2 d'Amazon. Une version finale et payante est attendue pour début 2010. Cloud Foundry, qui repose sur le projet libre Cloud Tools, utilise les briques Apache, MySQL et les deux outils maison tc Server (Tomcat) et Hyperic de SpringSource. Cloud Foundry sera rapidement associé à vSphere, l'environnement de virtualisation que VMware voudrait voir devenir une infrastructure de cloud. Le portage sur Azure de Microsoft, voire le Sun Cloud, n'est pas non plus exclu. Les analystes saluent cette approche par les couches hautes du cloud computing. Selon Rod Johnson, PDG de SpringSource, Cloud Foundry met ce type de ressources à la portée des petites entreprises qui s'en trouvaient tenues à l'écart par manque de compétences internes en matière d'infrastructure. (...)

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