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(19/02/2009 12:55:51)
L'éditeur français Oslo Software reçoit 740 000 euros du réseau Finaréa
Créé en 2001, l'éditeur lyonnais Oslo Software vient d'obtenir un financement de 740 000 euros du réseau Finaréa pour renforcer ses équipes commerciales autour de sa solution Dreams (Dynamic resource allocation and management suite) et poursuivre son développement en France et à l'international. Sa technologie complète les outils de gestion de processus métiers (BPM) et de gestion des événements complexes (CEP) par l'allocation des ressources humaines ou matérielles à des tâches, de façon dynamique et en temps réel, en fonction des contraintes et de la prise en compte d'événements imprévus. Sa solution est en particulier mise en oeuvre par les industriels qui veulent améliorer leur qualité de service ou réduire le délai de mise sur le marché de leurs produits. Oslo Software a également développé des solutions adaptées à l'optimisation des processus dans les centres d'appels ou dans les services d'assistance aux utilisateurs. Réseau Finaréa, axé sur les petites enterprises Le réseau Finaréa met en relation des investisseurs avec les entrepreneurs de petites structures. Il a également vocation à accompagner les choix stratégiques des petites entreprises auquel il apporte ainsi un soutien financier. A son comité d'investissement figurent notamment Paul Henri Bénoit, chargé du financement des entreprises au Conseil régional d'Ile-de-France, et Marie-Claude Taillandier, responsable du crédit aux entreprises au sein d'Oséo. En septembre dernier, Oslo Software, co-fondé et dirigé par Emmanuel Gonon, avait déjà levé 2,7 M€ auprès de Script Capital, Capitalaira et NGI. Egalement directeur technique de la société, Emmanuel Gonon a été l'an dernier finaliste du prix du jeune dirigeant organisé par Ivy Executive Search, cabinet de recrutement de cadres exécutifs. (...)
(05/02/2009 13:05:13)Tibco veut accélérer le middleware avec un serveur spécialisé
Le circuit intégré spécifique est l'avenir du middleware, du moins à en croire Tibco. L'éditeur de RendezVous, bus de communication entre applications, lance en effet sa première solution matérielle, un serveur spécifique ('appliance') dont le rôle est d'augmenter les performances de sa messagerie interapplicative en remplaçant l'exécution des fonctions de RendezVous sur un serveur généraliste par du code exécuté directement par des puces programmées à cet effet. Le middleware doit filtrer et router de plus en plus de messages, explique en substance Tibco. Or le volume de messages échangés explose, notamment dans le secteur financier (où il faut surveiller des flux de données gigantesques) et partout où vient s'insérer de la RFID, cette technologie radio qui attribue à chaque objet un identifiant unique - ce qui génère autant de flux de données. Tibco s'est d'ailleurs fait l'apôtre des solutions de gestion des événements complexes, qui consistent à surveiller tous ces échanges de données pour faciliter la prise de décision et le déclenchement de processus métier. L'argument Green IT de Tibco : remplacer 10 serveurs par 1 appliance Gérer tous ces flux de données avec des solutions logicielles et des serveurs classiques finirait par devenir très consommateur de ressources et anti-écologique, avance Tibco, qui explique que son 'appliance' multiplie par 10 les capacités de traitement en terme de volume de messages interapplicatifs échangés. D'où l'argument très Green IT : un seul serveur spécialisé de Tibco peut remplacer 10 serveurs généralistes. Ce gain de performances s'explique par l'exploitation de deux techniques, des circuits intégrés spécialisés (Asic, application-specific integrated circuit) et des puces reprogrammables (FPGA, field-programmable gate array). Le Tibco Messaging Appliance P-7500 sera disponible en trois versions, suivant le nombre de ports souhaités et leur débit. L'emploi de serveurs spécialisés dans le middleware s'est développé depuis une dizaine d'années, d'abord à cause de l'apparition du verbeux langage XML, qui a eu tendance à peser sur les performances, puis à cause de l'accumulation des protocoles WS-* liés aux services Web. Sont ainsi apparues des passerelles chargées de filtrer les messages et même des fournisseurs spécialisés dans ce type de produit, comme Layer 7. (...)
(27/01/2009 15:45:04)Annuels Software AG : l'offre SOA webMethods tire la croissance
Pour Software AG, qui affiche un chiffre d'affaires 2008 en hausse de 16% à plus de 720 M€, les architectures orientées services sont loin d'être en déclin. Alors que l'avis de décès des SOA vient d'être prononcé par une analyste du Burton Group (suscitant moult commentaires indignés), l'analyse des résultats annuels de l'éditeur allemand montre en effet combien sa division intégration, webMethods, est devenue le relais de croissance escompté lors de l'acquisition de l'Américain. En avril 2007, Software AG présentait son offre amicale d'achat de webMethods, et dévoilait son ambition d'atteindre le milliard de dollars de chiffre d'affaires d'ici à 2011. Le CA de l'éditeur américain d'outils d'intégration (SOA et BPM) tournait alors autour des 200 M$. En 2008, le CA de la division webMethods a augmenté de près de 33%, pour atteindre 315,7 M€. Toutefois, en raison du contexte économique, Karl-Heinz Streibich, CEO de Software AG, se montre prudent sur les perspectives 2009 : il attend entre 4% et 10% de croissance pour sa division SOA cette année. webMethods représente 44% du chiffre d'affaires total L'offre traditionnelle de Software AG (la division ETS, qui regroupe Adabas et Natural), affiche une croissance bien plus modeste, de 5,7%, mais reste dominante dans le CA total : 404,9 M€ sur 720,6 M€, soit 56% des revenus globaux. L'éditeur indique avoir connu un certain succès au Brésil avec cette offre, qui expliquerait sa bonne tenue en 2008. Pour 2009, les perspectives de croissance sont stables pour la division ETS : entre 4 et 6%. Software AG, qui ne souhaite pas commenter ses résultats, explique simplement que l'établissement de la division webMethods est un gage de croissance à long terme pour la société. Il faut noter toutefois que l'offre est bien plus complexe à vendre que l'offre traditionnelle, qui bénéficie d'une importante base installée. Les 315,7 M€ de webMethods ont ainsi été réalisés au prix de 208,6 M€ de dépenses en ventes, marketing et frais de distribution. Alors que les 404,9 M€ de la division ETS n'ont coûté que 159,2 M€. (...)
(07/01/2009 09:28:29)IBM finalise l'acquisition d'Ilog
Entamée le 28 juillet dernier, l'acquisition pour environ 215 millions d'euros d'Ilog par IBM est enfin parachevée. Les gammes de produits de l'éditeur français rejoignent l'offre Websphere du géant américain, tandis que les technologies devraient venir améliorer plusieurs offres d'IBM : la gestion des règles métier (BRMS) pour l'offre de gestion des processus métier (BPM), les outils de visualisation pour les offres Tivoli et Lotus... Ilog compte environ 850 employés, et jusqu'à présent IBM - qui fait l'objet de rumeurs insistantes sur un important plan de licenciement - n'a guère donné de détail concret sur l'intégration. Sachant que les relations d'Ilog avec la presse doivent désormais passer par IBM, LeMondeInformatique.fr attend une réponse de la part de l'Américain. (...)
(02/01/2009 16:01:29)2008-2009 : bilan et perspectives
Netbooks qui relancent un marché de la micro morose, prise de conscience écologico-économique avec le Green IT, débuts du 'cloud' et affirmation du Saas, 2008 a encore été une année riche pour tous les décideurs du monde informatique. Une année pleine de conflits, aussi, au niveau économique (tarifs SAP, fusion-hésitation avortée entre Microsoft et Yahoo...) comme au niveau social, avec une avalanche de plans d'économies et de suppressions de postes. LeMondeInformatique.fr a fait le tri pour vous, et vous propose la synthèse de tout ce qu'il faut savoir pour aborder 2009 dans les meilleures conditions. Un dossier à imprimer et à conserver - avec tous nos voeux de bonheur et de réussite pour cette nouvelle année. (...)
(11/12/2008 17:07:58)SoaML, pour décrire les SOA avec UML
UML s'adapte aux SOA. SoaML, extension du langage de modélisation pour les architectures orientées services, devrait être validé d'ici un mois, a affirmé un représentant de l'OMG (Object Management Group), qui tient une conférence sur le sujet en ce moment à Santa Clara. Contrairement aux efforts de standardisation qui ont prévalu jusqu'ici dans l'orientation services, SoaML (Service oriented architecture Modeling Language) s'intéresse bien à l'architecture et non aux composants techniques sous-jacents. Le but de SoaML est en effet de fournir aux utilisateurs du langage UML (Unified modeling language) les moyens de modéliser une architecture orientée services - comprenant donc des notions de consommateurs et de fournisseurs de services, ainsi que la notion de contrats. Antoine Lonjon, directeur de la recherche de Mega International, participe au groupe de travail SoaML. Pour lui, « le passage de la notion de composant à celle de service implique des obligations réciproques entre le fournisseur et le consommateur, et il est indispensable de formaliser cela en amont des décisions techniques ». SoaML servira ainsi à spécifier un cahier des charges, à l'attention d'un sous-traitant, ou bien à formaliser une approche services dans le cadre d'une démarche MDA. En MDA (Model driven architecture), on modélise l'architecture d'une application, l'outil générant ensuite le code en fonction de la plateforme visée. A priori, SoaML devrait être compatible avec tous les outils manipulant de l'UML v2. Et il sera aussi en ligne, précise Antoine Lonjon, avec la prochaine version du langage de description de processus BPMN. Outre Mega International, l'initiative compte parmi ses premiers contributeurs IBM, HP, Fujitsu, Softeam, Capgemini... (...)
(03/12/2008 13:59:23)Adobe Max : SOA, BPM et CEP en toile de fond
Il est le seul évangéliste de son espèce chez Adobe, et court donc animer ici une session, là un cours, et, entre chaque, un entretien avec un analyste ou un journaliste. Malgré tout, Duane Nickull l'assure, les architectures orientées services (SOA) sont une priorité pour Adobe. Le maître ès standards de l'éditeur profite en effet de la conférence utilisateurs européenne, Adobe Max Milan, pour dispenser la bonne parole : Adobe a une stratégie d'orientation services depuis longtemps, et se dirige même vers une architecture orientée événements (EDA). Duane Nickull est, de fait, bien placé pour le savoir car Adobe a commencé à mettre en place cette stratégie en rachetant la société qu'il avait cofondée, Yellow Dragon, en 2003. Yellow Dragon éditait un annuaire de services, désormais au coeur de l'offre LiveCycle ES (Entreprise Suite), la suite d'outils permettant de concevoir des processus orientés documents. LiveCycle est par exemple utilisé pour automatiser l'envoi de formulaires PDF aux internautes, et pour assurer la circulation des PDF remplis au sein de l'entreprise (ainsi que d'autres types de fichiers, grâce aux 'portfolios PDF', des dossiers sauvegardés au format PDF). Ce que les analystes américains décrivent comme un « document-centric BPM (Business process management) », autrement dit une gestion de processus métier orientée documents. Mais le futur, souligne Duane Nickull, appartient aux architectures orientées événements (EDA). Ou, pour reprendre une expression qu'il a lui-même forgée, l'Idea (Intelligence Driven Enterprise Architecture). « Les managers se fichent de savoir ce qu'il y a derrière les interfaces, ils se fichent de savoir s'il y a du Flex, du Silverlight ou autre chose, ce qu'ils veulent, c'est pouvoir prendre des décisions rapidement. » Pour cela, rien de tel que le CEP (Complex event processing, traitement des événements complexes), qui surveille les flux d'informations, analyse l'occurrence de divers événements, opère des corrélations et en tire des conclusions. Cela ne veut pas dire qu'Adobe proposera dans un futur proche des solutions de ce type. Pour l'heure, l'éditeur préconise déjà l'utilisation des services LiveCycle pour réaliser des mash-up (combinaisons de services applicatifs en ligne). Et bataille pour faire reconnaître son rôle sur les marchés des SOA et du BPM. « C'est vrai que nous souffrons d'un problème de perception, reconnaît Duane Nickull. C'est bien pour ça que nous en parlons aux analystes et à la presse ! » (...)
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