Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 1301 à 1310.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(01/07/2011 09:36:42)

Air France Cargo explique les avantages de son réseau social d'entreprise

A l'occasion d'une présentation organisée à l'atelier BNP Paribas le jeudi 30 Juin, Stéphane Bourgault, directeur du service client Europe de Air France KLM Cargo a souligné les atouts du réseau social d'entreprise (RSE) tel qu'il peut le déployer dans son organisation. Air France KLM Cargo a débuté l'expérimentation en interne auprès des 350 vendeurs de cette filiale du groupe éponyme. L'objectif affiché était que les vendeurs puissent plus facilement diffuser et recevoir des informations en temps réel. « Au lieu d'envoyer plusieurs emails dans des langues différentes pour avoir des retours, le vendeur poste sa demande [sur le réseau social, ndlr] et tout le monde peut répondre » illustre Stéphane Bourgault.  Au lieu de préparer des emails spécifiques dans chacune des langues employées par les collaborateurs de l'entreprise, un seul 'post' est réalisé, en anglais en l'occurrence pour que tout le monde puisse comprendre et y répondre. 

Cette expérimentation a été un succès au sein du groupe, à tel point que les autres collaborateurs en relation avec les vendeurs de Air France KLM Cargo ont également souhaité disposer d'un réseau social d'entreprise. La solution implémentée progressivement est l'outil Chatter, proposé par Salesforce.com. Son usage est en train d'être étendu pour toutes les activités de la filiale.

Des échanges autorégulés

Interrogé sur la régulation des discussions, Stéphane Bourgault précise « nous avons choisi de laisser l'outil ouvert. Nous ne voulons pas brider l'utilisation de cet outil.» Air France KLM Cargo compte sur une auto régulation de la part des salariés de l'entreprise, « chaque personne qui voit un propos non-approprié doit le déclarer ».

Malgré une organisation commerciale de Air France KLM Cargo que Stéphane Bourgault décrit comme complexe, « les discussions sur le réseau social se sont structurées naturellement en fonction des sujets en cours, et naturellement les bonnes personnes se sont retrouvées dans les bons groupes de discussion. » Les salariés peuvent créer des groupes de discussion autour de sujets spécifiques. Par exemple, Air France KLM Cargo compte 60 escales dans le monde, Stéphane Bourgault a donc créé un groupe de discussion qui permet aux 60 responsables de ces escales d'échanger beaucoup plus simplement.

Est-ce qu'un tel outil n'engendre pas un sentiment de perte de pouvoir chez les managers? A ce sujet, Stéphane Bourgault, pense qu'il s'agit d' « un contrôle différent qui pousse l'entreprise à devenir plus matricielle. La manière de communiquer est également très différente ». Il n'a pas peur que l'information se diffuse au sein de l'entreprise, cette transparence est voulue, « on se bat contre la rétention d'information » conclut-il.

(...)

(01/07/2011 09:29:09)

SFR doit faire face à la grogne de ses distributeurs

SFR n'aime pas la publicité autour de ses démêlés judiciaires, surtout lorsqu'ils remettent en cause le contrat qui régit ses relations avec les Espace SFR. A la mi-mars 2011, l'opérateur a ainsi assigné Jacques Cheminard, un ex-dirigeant d'un de ses distributeurs exclusifs, ainsi que deux de ses avocats, Frédéric Michel et Marie-José Guedj, devant le TGI de Paris. Il reprochait à son ancien revendeur d'avoir envoyé le 4 février dernier un courriel à certains autres espaces SFR.

L'ex-partenaire y faisait valoir qu'un autre ancien Espace SFR avait été reconnu salarié (précisément « gérant de succursale ») de l'opérateur et non pas franchisé comme le stipulait le contrat qui liait les deux parties. Dans le même message, Jacques Cheminard expliquait à ses confrères qu'ils pouvaient se prévaloir des mêmes droits, leur communiquant au passage le numéro des deux avocats pour plus d'information. Une action qui constituait, selon l'opérateur, une pratique de démarchage juridique interdite par la loi et qui justifiait son action en justice contre les trois mis en cause. En outre, l'avocat Frédéric Michel pouvait être considéré comme doublement en faute puisqu'il avait lui-même envoyé le 3 mars un communiqué judiciaire dans lequel il commentait lui aussi la défaite de SFR.

Las pour l'opérateur, les juges l'ont débouté et ne l'ont pas suivi dans sa demande d'enjoindre les trois mis en cause à cesser tout acte de démarchage juridique sous astreinte de 10 000 € par infraction constatée. Ils n'ont pas plus accédé à sa requête de se voir communiquer la liste des destinataires des courriels incriminés sous quarante huit heures sous astreinte de 1000 € par jour de retard.

un statut salarié qui peut coûter cher à SFR


« Si SFR avait gagné et que j'avais eu à défendre un autre de ses partenaires, il aurait fallu que je prouve que celui-ci n'était pas devenu mon client suite à l'envoi de mon communiqué »,
explique Frédéric Michel. Pour SFR, l'avocat n'est pas un inconnu, loin s'en faut. Depuis plusieurs années, il défend une quinzaine d'espace SFR dans le but de les faire reconnaître comme salariés de l'opérateur. C'est lui qui a permis pour la première fois à un ancien dirigeant d'Espace SFR d'obtenir le statut de salarié avec le bon espoir d'obtenir prochainement une nouvelle victoire. De là à penser que l'opérateur ait voulu le museler, il n'y a qu'un pas.

D'autant que l'enjeu est gros pour SFR. Son réseau de distribution exclusif est aujourd'hui constitué d'environ 200 points de vente. Si, pour une raison ou une autre, il devait les dédommager en grand nombre selon les règles imposées par le statut de salarié, l'addition pourrait être très salée. Bien sûr, il y a peu de chance de que des partenaires encore actifs tentent de faire requalifier leur contrat au risque de se mettre à dos leur principale source de revenus. En revanche, il y a tout lieu de penser cela puisse être le cas pour des Espace SFR obligés de fermer boutique. 

Une concurrence plus nombreuse

Pour Frédéric Michel, ce risque existe : « La Poste s'est lancée dans la téléphonie mobile en s'appuyant exclusivement sur le réseau SFR cette année. En clair, cela signifie que les milliers d'agence de ce MVNO sont désormais concurrentes des Espace SFR. En outre, on sait déjà que Free va se lancer dans le mobile l'an prochain avec pour conséquence de faire perdre des parts de marché à SFR, Bouygues Telecom et à Orange ainsi qu'à leur réseaux de distribution. » On peut également citer le fait que le récent partenariat signé entre le Fnac et l'opérateur constitue lui aussi une menace de plus pour les Espaces SFR.

A priori, le coût financier qu'aurait à supporter SFR si son réseau disparaissait ou se réduisait substantiellement est une sécurité pour ses partenaires. Mais l'opérateur est loin de vouloir admettre que ses distributeurs exclusifs puissent être tous considérés comme des salariés. La preuve, suite au prononcé du jugement qui reconnaissait l'un de ses distributeurs comme salarié de SFR, Olivier Gaunet, le directeur commercial espace SFR et circuits de proximité envoyait un mail à ses partenaire dans lequel il leur indiquait contester l'interprétation du contrat qui le liait à ces distributeurs.

(...)

(30/06/2011 17:15:25)

Affaire Itanium : avec culot, Oracle dénonce un coup de pub de HP

« Un coup de pub ». C'est ainsi qu'Oracle qualifie le procès que lui fait HP pour avoir décidé d'arrêter le support de ses logiciels pour les processeurs Itanium d'Intel. Dans un document transmis hier au tribunal du comté de Santa Clara (Californie), la société de Larry Ellison détaille sa position. Il voit dans cette plainte un moyen de lui faire porter le chapeau pour les perturbations qui seront engendrées lorsque les serveurs HP à base d'Itanium arriveront inévitablement en fin de vie.

Oracle estime que HP s'est mis lui-même dans une position difficile, et a engagé à sa suite des milliers de clients, en s'accrochant, de façon assez isolée désormais, à une architecture de microprocesseur qui n'a pas d'avenir. « Cela fait des années qu'Intel veut arrêter la production de l'Itanium et HP le sait », peut-on lire dans le document transmis au tribunal. Selon lui, HP perpétue le mythe de l'Itanium bénéficiant d'une feuille de route sur dix ans et attaque Oracle pour avoir eu « l'audace de dire la vérité aux clients ». Il demande en outre à la cour de rejeter la requête de HP de ne pas communiquer les éléments du dossier. A l'inverse, il estime pour sa part que le contentieux doit être révélé au grand jour.

Il n'existe pas d'accord sur la base de données

Dans sa plainte, le constructeur californien considère que la décision d'Oracle d'arrêter le support d'Itanium contrevient  aux engagements pris entre les sociétés et fait partie d'un plan visant à pousser les clients de HP vers les propres serveurs d'Oracle. Le groupe de Redwood, au contraire, affirme qu'il n'existe aucun accord de ce type. Dans le document qu'il vient de transmettre à la cour, il indique que la principale allégation dans ce dossier -qui selon lui a été « vendu agressivement à la presse »- est que HP a un contrat avec Oracle garantissant que ce dernier développera de nouvelles versions de sa base de données (et apparemment de tout ce qu'il fait d'autre) pour les systèmes à base d'Itanium du constructeur. « Un contrat aussi important, s'il existait, aurait à l'évidence été sérieusement négocié et très documenté », souligne Oracle. Il ajoute que ce contrat comporterait dans ce cas des obligations de délais et de paiement et toutes les autres caractéristiques liés aux accords commerciaux tels qu'ils sont négociés en réalité. Or, poursuit-il, il n'y a pas d'accord pour porter la base d'Oracle sur Itanium.

Selon le point de vue d'Oracle, l'accord auquel HP se réfère correspondrait à la réaffirmation de la coopération entre les deux groupes après la résolution d'un procès engagé contre Mark Hurd, l'ex-PDG du constructeur, devenu depuis co-président d'Oracle. Dans le communiqué de presse publié à ce moment-là, les deux sociétés avait réaffirmé leur partenariat stratégique de longue date et leur engagement à fournir les meilleurs produits et solutions à leurs 140 000 clients communs. « HP ne peut pas sérieusement prétendre que cette déclaration de partenariat non contractuelle lui garantit de façon perpétuelle de nouvelles versions des logiciels d'Oracle. »

Un peu plus loin dans le document transmis à la cour, Oracle signale que dix jours après cette déclaration commune, HP a recruté, au poste de CEO, Léo Apotheker qui fut auparavant le PDG de SAP, principal concurrent de l'éditeur. Ce faisant, poursuivent les avocats du défendeur, le constructeur savait que cette embauche affecterait la notion de partenariat avec Oracle.

Une demande jugée déplacée, « explicitement rejetée »

Pendant le conflit impliquant Mark Hurd, HP avait demandé à Oracle de s'engager à supporter toutes les versions en cours de ses systèmes d'exploitation HP-UX tournant sur des serveurs à base d'Itanium, pour les versions les plus appropriées de sa base de données, de ses produits middleware et de ses applications. « Oracle avait explicitement rejeté la demande considérant qu'elle était vraiment déplacée dans ce contexte », précise encore l'éditeur.

Illustration : le document communiqué par Oracle au tribunal de Santa Clara / Larry Ellison, PDG d'Oracle (crédit : D.R.)[[page]]La demande de confidentialité de HP sur sa plainte, qui porte spécifiquement sur la réalité de l'accord avec Mark Hurd, évoque un McCarthyism d'une autre époque, considère Oracle. Ce dernier fait ici référence au sénateur Joseph McCarthy, célèbre pour les interrogatoires qu'il avait fait subir aux citoyens américains soupçonnés de sympathie pour le Parti Communiste. Pour l'éditeur, HP cherche à « protéger » des engagements qui n'existent pas.

Cela dit, il existe bien un accord sur Itanium, mais HP n'en fait nulle part mention, poursuit Oracle dans son document. Cet accord, initialement signé en 2006, porte sur la suite logicielle E-Business (l'ERP). Il fait apparaître un arrangement commercial dans lequel HP a payé plusieurs millions de dollars à Oracle... pour que ce dernier porte uniquement certaines de ses applications (et encore, pas toutes). Selon la firme de Redwood, il n'y est fait aucune mention du portage de la base de données ni d'autres produits vers HP-UX sur Itanium.

Larry Ellison s'était entretenu avec Intel

Un peu plus tôt cette année, Oracle s'est entretenu avec des responsables d'Intel au sujet de l'Itanium, à propos de sa machine Exadata qui tourne sur des processeurs Xeon. « L'incroyable performance de ce serveur a convaincu Larry Ellison que les systèmes à base de Xeon pouvaient faire tout ce que faisaient les serveurs à base d'Itanium ». Le PDG a alors indiqué à un dirigeant d'Intel (non cité) qu'Oracle sentait que le moment était venu de concentrer ses développements logiciels sur les systèmes Xeon et plus sur l'Itanium. La réponse fut que le changement auquel se préparait Oracle correspondait exactement à ce qu'il fallait faire et correspondait aux propres plans d'Intel.

Conséquemment, Larry Ellison en conclut que même si Intel n'avait pas annoncé formellement la fin de vie de l'Itanium, probablement parce que HP ne souhaitait pas qu'il le fasse, cette fin de vie devait probablement intervenir quelques années plus tard. « Dans le cas contraire, les responsables d'Intel auraient, pour le moins, avancé quelques arguments pour inciter Oracle à poursuivre son support », relatent encore les avocats d'Oracle dans le document adressé au tribunal de Santa Clara.

Intel réitère son engagement sur Itanium

Intel n'a pas prévu de laisser tomber l'Itanium prochainement, a indiqué hier un porte-parole d'Intel. « Nous n'avons pas modifié ce que nous avons dit en mars concernant notre engagement sur l'Itanium. Le travail se poursuit les processeurs Itanium pour plusieurs générations à venir, a-t-il précisé. Nous n'allons pas laisser leur conflit affecter la feuille de route de notre produit ».

Oracle indique encore dans son document que, contrairement à ce qu'a avancé HP, il n'a pas l'intention de lâcher ses clients utilisant l'Itanium. « Toutes les versions des logiciels Oracle pour la plateforme Itanium continueront à être supporter dans les années à venir ». A ce sujet, la société de Larry Ellison a déclaré « sans fondement » les allégations de HP selon lesquelles il aurait refusé à des clients Itanium de corriger des bugs sur les produits qu'ils utilisaient.

Contacté hier par nos confrères d'IDG News Service, HP n'avait pas encore réagi à cette communication au moment de la publication de cet article. (...)

(30/06/2011 16:04:46)

Sogeti recrute 900 informaticiens en région parisienne

Sogeti organise, le 7 juillet prochain, dans ses locaux d'Issy-Les-Moulineaux, une soirée nationale dédiée au recrutement. La filiale de Capgemini prévoit d'ouvrir 1 500 postes d'ici la fin de l'année, dont 900 situés en Ile-de-France. 60 % des offres seront réservées aux profils expérimentés, dont 20% d'experts, la part restante à des candidats juniors. Les profils recherchés sont variés : il s'agit de concepteurs et de développeurs NTIC, d'administrateurs et d'ingénieurs systèmes réseaux et sécurité, de chefs de projet, de consultants en système d'information et de compétences spécialisées dans l'assistance à la maîtrise d'ouvrage.

Une fois intégrés, les nouvelles recrues travailleront dans les secteurs  banque/finance/assurance, dans l'industrie et la distribution, dans l'électronique et la défense, dans  l'énergie, les télécoms et également les secteurs publics.

Au cours la soirée qui se déroulera de 18h30 à 22h, les postulants pourront échanger avec des experts de Sogeti en innovation technologique avant le face à face propre au speed recruiting.

(...)

(30/06/2011 15:46:43)

Les tarifs des appels mobiles en Europe en baisse

Le marché unique des appels mobiles se construit patiemment sur le plan tarifaire. Pour les appels émis, les prix passent de 39 à 35 cents/min à partir du 1er juillet, et de 15 à 11 cents/min pour les appels reçus. Il s'agit de prix de détail maximum, hors TVA. Quant aux données, le plafond des prix de gros des services de données en itinérance passera de 80 cents/Mo à 50 cents/Mo.

L'objectif présenté dans la stratégie numérique pour l'Europe est de tendre vers une différence nulle entre les tarifs nationaux et ceux en itinérance d'ici à 2015. Il y a quelques jours, l'association UFC-Que Choisir s'était émue de ces tarifs qu'elle juge encore excessifs.

(...)

(30/06/2011 09:46:10)

Micro-paiements par mobile : bientôt 2,5 milliards d'utilisateurs

Le nombre de mobinautes utilisant leur téléphone comme moyen de paiement pourrait passer de 1,8 milliards en 2011 à 2,5 milliards en 2015, soit une évolution de 40% selon le cabinet spécialiste en mobilité Juniper Research. C'est principalement en Asie que se développe ce type de comportement. Ainsi l'Extrême-Orient (avec en tête la Chine) est la région qui concentre le plus d'adeptes (environ 30% du total en 2015), tandis que l'Inde à elle-seule pourrait dépasser les 400 millions d'utilisateurs. Parmi les vecteurs de développement, Juniper cite notamment le marché émergeant des tickets électroniques dans les transports et le spectacle.

Si le paiement par mobile n'est pas encore démocratisé en France, l'implication d'importants acteurs comme Google, qui a présenté il y a un mois sa propre solution de portefeuille électronique "Google Wallet", pourrait faire évoluer la tendance.

Crédit photo : Google Wallet

(...)

(30/06/2011 09:29:10)

Odyssée tombe dans l'escarcelle de Solutions 30

Deuxième rachat en moins d'un mois, toujours à la barre du Tribunal de commerce, pour Solutions 30. Après MPS en début de mois, c'est Odyssée qui tombe dans son escarcelle. Odyssée a une longue histoire. Depuis 2009 c'était une filiale de Global Technologies. En 2002, Odyssée, créée en 1996, fut rachetée par Thales e-Transactions, filiale du groupe Thales. Elle réalisait à l'époque 8 millions d'euros de chiffre d'affaires avec plus de 80 personnes. Aujourd'hui, c'est 5 ME avec 57 salariés.  

Les déboires d'Odyssée sont dus à sa mauvaise gestion et pas au marché, il ya un million de terminaux de paiement électroniques (TPE) en France, un marché en croissance de 16%.

Odyssée va rejoindre le pôle Money 30 de Solutions 30. Ce pôle a déjà une activité dans la maintenance de TPE, avec des constructeurs, Afone, des banques et Intermarché. Odyssée travaille avec Ingénico, Orange, BNP, la Banque Postale et en direct avec des commerçants. Le pôle Money 30 va se positionner également sur les technologies NFC (paiement sans contact), en plus de la maintenance des TPE. Money 30 devrait réaliser 10% du chiffre d'affaires de Solutions 30 en 2011, en 2010 le groupe  a réalisé 54,7 ME.

(...)

(30/06/2011 10:55:46)

Yahoo crée une société dédiée à Hadoop

Yahoo et la société de capital risque Benchmark Capital ont fondé une entreprise chargée de travailler sur Hadoop, le framework Open Source qui accélère le traitement de volumes très important de données. Baptisée Hortonworks, la nouvelle entité sera constituée d'une équipe d'ingénieurs qui ont contribué au développement d'Hadoop Apache, un projet dont Yahoo a été le principal  soutien. La société, qui ouvrira ses portes en juillet prochain, comptera une vingtaine d'employés. « Hortonworks  permettra d'accélérer le développement de Hadoop et rendra son installation, sa gestion et son utilisation plus aisée dans les entreprises », a déclaré Jay Rossiter, vice-président de Yahoo Cloud Platform.

Yahoo, qui utilise abondamment Hadoop pour servir ses annonces publicitaires et son contenu, a beaucoup d'intérêts à le voir se développer. « Nous sommes à la fois investisseur, partenaire et utilisateur de Hortonworks », s'est également réjoui Jay Rossiter.  

Eric Baldeschwieler, ancien vice-président de l'ingénierie d'Hadoop chez Yahoo, prendra les commandes d'Hortonworks. Il sera chargé de renforcer la communauté Open Source autour d'Hadoop, d'établir des programmes de partenariat et de trouver de nouveaux clients.

Illustration : Jay Rossiter, vice-président de Yahoo Cloud Platform. Crédit photo : D.R.
(...)

(29/06/2011 16:49:43)

Oracle acquiert Pillar Data System

Oracle étoffe son portefeuille en matière de matériel avec l'acquisition du spécialiste du stockage Pillar Data System. Les termes du contrat, qui devrait être finalisé en juillet, n'ont pas été divulgués. Le PDG d'Oracle Larry Ellison, via son fonds de capital-risque avait déjà une participation majoritaire dans Pilar Data.

Cette dernière est spécialisée dans le stockage unifiée à travers son offre de baies Axiom. Elle dispose aussi d'un brevet sur la technologie des I/O en mode block sur du SAN. Cette dernière viendra compléter les appliances de stockage utilisant les systèmes de fichiers ZFS et la gestion des I/O en mode fichier (propre au NAS), selon un communiqué relatif à l'acquisition.

Disposer d'une brique stockage en propre


Sun Microsystems, qu'Oracle a racheté en 2010, avait revendu à d'autres sociétés ses solutions de stockage SAN, et il est « essentiel et critique pour Oracle de posséder un élément de stockage en propre, en particulier pour la construction de systèmes IT complets », a indiqué le communiqué. Oracle devrait ainsi concurrencer les produits VNx d'EMC avec la technologie Pillar.

La société basée à San José en Californie revendique quelque 600 clients avec 1500 systèmes déployés.

Cette acquisition est l'une des dernières d'une longue liste, 3Par par HP, Compellent par Dell, Isilon par EMC.  Il ne reste sur ce marché plus d'acteurs de taille relativement importante. Les yeux des grands constructeurs vont se tourner maintenant vers certaines start-up qui travaillent sur le stockage dans le cloud.


(...)

(29/06/2011 14:30:47)

Biz Stone, l'un des fondateurs de Twitter, quitte le navire

Biz Stone, co-fondateur du site de micro-blogging Twitter vient d'annoncer son départ. Le dirigeant a indiqué sur son blog qu'il quittait l'entreprise pour s'associer avec un autre co-fondateur de Twitter,  Evan Williams, et également avec Jason Goldman, ancien chef produits. Avec eux, il compte travailler au redémarrage d'Obvious Corp, l'ancienne maison mère de Twitter qui se focalisera sur le développement de nouveaux projets. Il a également indiqué qu'il continuerait à intervenir à temps partiel pour le compte de Twitter, mais qu'il consacrerait  une partie de son temps à exercer des activités de conseil. Il a ajouté qu'il s'occuperait aussi de la Livia Stone Fondation, institution qu'il a créée avec son épouse, et qui soutient notamment l'éducation. « Durant ces dernières années et surtout récemment, il m'est apparu que les équipes de Twitter et sa direction avaient pris de l'ampleur et étaient devenues incroyablement productives », a déclaré Biz Stone. « J'ai décidé d'utiliser mon temps de manière plus efficace et j'ai choisi de me mettre en retrait de la société jusqu'à ce que je sois appelé à exercer des fonctions plus spécifiques ».

Le PDG Dick Costolo reste à la barre

La plate-forme de micro-blogging n'en est pas à son premier remaniement. En octobre dernier, Evan Williams avait démissionné de son poste de PDG, laissant la place à Dick Costolo qui était auparavant directeur des opérations. En mai, Greg Pass, directeur de la technologie chez Twitter quittait également  l'entreprise. Le groupe n'avait pas fourni d'explications sur ce départ et s'était contenté d'indiquer qu'il n'envisageait pas de le remplacer. Avec Dick Costolo à sa tête, qui est connu comme étant un entrepreneur IT et un fin stratège, Twitter avait récemment acquis l'agrégateur de contenus TweetDeck.

Illustration : Biz Stone. Crédit photo. Wikipedia


(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >