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(16/06/2011 09:33:33)

Sans surprise, la fibre optique restera plus chére que l'ADSL

« Le business modèle du FTTH ne tiendra pas avec le business modèle de l'ADSL, mais c'est normal », c'est ce qu'a constaté Richard Viel, directeur général délégué de Bouygues Telecom lors des 5èmes Assises du Très Haut Débit, qui se sont tenues le 9 juin à Paris. Il annonce ainsi qu'« un forfait fibre coûtera de 10 à 15 euros de plus par mois qu'un abonnement cuivre ». C'est déjà la cas cher Orange (hors promo) alors que Free propose toujours les technologies ADSL et fibre au même prix et que Numéricable ne tire pas la fibre jusqu'à l'abonné (voir comparatif des offres chez Fibre-News.fr). Apparemment, le modèle économique devrait donc être plus rémunérateur que l'ADSL, pour autant les opérateurs télécoms restent encore frileux tant les investissements sont élevés. Autre inconnue : l'appétence des consommateurs sera-t-elle au rendez-vous?

Orange pour sa part a rappelé qu'il a mobilisé 2 milliards d'euros jusqu'en 2015 pour le très haut débit. Didier Dillard, directeur de la règlementation France chez Orange annonce que l'opérateur s'est positionné sur 200 agglomérations dont certaines dans les DOM-TOM. Didier Dillard veut rassurer ces agglomérations : « nous nous engageons à couvrir la quasi-totalité de la ville en 5 ans ». Il a ensuite précisé ses conditions : « Nous avons besoin d'une stabilité réglementaire, il faut [que le cadre réglementaire, ndlr] soit stable ». Une réflexion qui fait suite à l'intervention de Jean-Ludovic Silicani, président de l'ARCEP, plus tôt dans la matinée et qui avait voulu rassurer en affirmant que « les interrogations sont légitimes. Les opérateurs disposent de règles claires et le temps est maintenant venu pour eux d'investir ». Rappelons que les objectifs du gouvernement sont que 100% des Français soient équipés avec la fibre optique d'ici à 2025. Objectif qui soulève de grandes interrogations.

En attendant 2025, que faire ? Une période de transition semble nécessaire avec une augmentation du débit pour faire patienter les zones peu denses de l'hexagone. Un tiers de la population française vit en zone rurale. Comment les atteindre ? David El Fassy, Président d'Altitude Infrastructure estime que « le satellite sera nécessaire pour couvrir les zones de moins denses, les plus isolées du territoire ». Il demande également plus de spectre radio pour proposer des débits de l'ordre de 20 Mbit/s pour des services fixes. Selon lui, il existe bien de l'appétence pour la fibre optique en milieu rural. Pour preuve, Altitude a déployé en moins de six mois, 650 prises au coût moyen de 1200 €/prise, soit 11 km de fibre et 2 km de génie mécanisé. Au bout du compte, Altitude a reçu 550 demandes de raccordement.

Illustration principale : table ronde lors des 5èmes Assises du Très Haut Débit (D.R).

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La montée en débit du cuivre avec le VDSL2 a été évoquée comme une technologie de transition mais elle s'accompagne de contraintes. « Le VDSL2 peut être rapide et nécessaire dans certaines zones, mais il est limité par la portée même si le coût marginal est limité », indique Christophe Caillault d'Ericsson. Il a également évoqué la 3G+ comme une solution pour délivrer jusqu'à 150 Mbit/s dans un futur proche, en 2013 et 2014. Concernant le VDSL2, Richard Toper, Président directeur général de Setic, a quant à lui rétorqué « je ne pense pas que le VDSL2 ait un grand avenir en France ».

Quid du financement ?

Tout le monde s'accorde sur une chose, les financements privés et publics doivent être complémentaires pour soutenir ce projet national. A la Société Générale, Jean-Philippe Haag, ingénieur conseil télécoms & média, rappelle trois sources de financement possibles : l'investissement privé en utilisant directement les fonds propres des opérateurs, les aides et les obligations d'états, et le recours à des acteurs financiers. Cette dernière solution est délicate en France. « Ce n'est pas l'appétence des fonds qui manquent mais c'est une vision » précise Gabrielle Gauthey, vice présidente en charge des affaires Publiques et Gouvernementales chez Alcatel-Lucent. Il faut une vision à cinq ans des déploiements de la fibre optique pour que des investissements privés puissent être facilités. Elle pointe là où cela fait mal : « Il faut baisser le coût du génie civil, c'est un chantier important » avant de conclure que «l'Europe a trop d'opérateurs»... 

Revenant sur les questions de financement, Jean-Philippe Haag ajoute timidement que les « projets de taille significative, plus de 100 millions d'euros » pourront intéresser les acteurs financiers, et que « l'échelle départementale est la bonne maille ». Reste que créer une concurrence par des infrastructures - très coûteuses à déployer - est mal vu par les collectivités. Yves Krattinger, Président de la commission aménagement du territoire et TIC à l'Assemblée des départements de France (ADF), affirme sur ce sujet qu'il ne souhaite «pas de concurrence par les réseaux. Une concurrence par les services, oui! ». Il ajoute que la « montée du débit est une bonne solution et qu'une instance nationale reste à construire».

Quels services pour la fibre optique ?

Mais quels usages justifient un tel engouement pour la fibre ? Les professionnels s'intéressent à la pertinence d'augmenter les débits. Le débit doit-il permettre à de nouveaux services de se développer ou à l'inverse, les nouveaux services sont ils autant de signes précurseurs qui poussent les acteurs à se mobiliser pour que le réseau supporte une telle charge ? « Nous croyons que les usages vont tirer l'infrastructure. C'est le besoin qui tire le système. On ne fera pas un standard mondial, les standards vont évoluer», affirme François Quentin, président du conseil d'administration de l'équipementier chinois Huawei pour la France. « Les consommateurs ne voient pas l'intérêt d'un THD alors que 40 Mbit/s semble être largement suffisant » veut relativiser Roland Montagne, directeur de la business unit télécom à l'institut d'analyse IDATE. Ce que démentent certains élus et particulièrement Bertrand Caparroy, conseiller général du canton de Provins, qui rappelle la très forte appétence des citoyens pour la fibre lors du projet pilote de Chevry-Cossigny, un des sept projets pilotes en zone non dense.

Parmi les usages existants fortement consommateurs de bande passante, on citera le multi-écrans au sein de la maison. D'autres services sont amenés à se développer qui risquent de consommer énormément de débit. « Par exemple, un programme en Haute Définition 3D nécessite 4 fois plus de bande passante qu'un programme de télévision ordinaire. Mieux, la télévision 3D stéréographique peut nécessiter jusqu'à une dizaine de caméras . Même avec de bons progrès d'encodage, le besoin en bande passante peut être alors multiplié par 40 !» décrit Didier Soucheyre, président de Néo Telecoms. «C'est l'image au sens large qui va prendre une grande part dans les réseaux de demain », a conclu Richard Viel. Pour se convaincre de l'intérêt de la hause du débit, il faudrait peut être échapper au petit débat franco-français et regarder ce qui se passe ailleurs. Peut être pas aux Etats-Unis ou les débit restent bas, notamment en ADSL, mais en Asie où les offres 100 Mbit/s sont devenus courantes et bon marché à Hong-Kong, en Corée, au Japon ou à Singapour par exemple. L'asie connait une vraie rupture avec la fibre optique alors que le débat en France porte encore sur les services...
(...)

(15/06/2011 15:24:47)

Les solutions BI Open Source s'affirment comme une alternative

Infobright a ainsi vanté les capacités de la version 4.0 de sa base de données analytique à traiter « en temps quasi réel » des données envoyées par des appareils de mesure, des infrastructures de télécommunications ou provenant d'autres sources. La récente version intègre notamment une technologie dite DomainExpert, qui permet de réduire les temps de recherche et d'optimiser les performances en « ajoutant de l'expertise à des domaines de données particuliers - comme le web, les services financiers ou les télécommunications, » selon Infobright.

Rough Query, une autre fonctionnalité de cette version, permet aux utilisateurs de chercher plus rapidement dans de grands ensembles de données. « Plutôt que d'exécuter une requête large pour trouver une réponse spécifique, Rough Query affine les résultats de manière itérative, avec des temps de réponse inférieurs à la seconde, avant même que la requête ne soit complètement exécutée, » a expliqué l'éditeur.

Infobright 4.0 intègre également un connecteur pour le framework Hadoop, celui utilisé dans le traitement de données massive et un système pour charger rapidement des ensembles de données volumineux. « Cette dernière caractéristique permet de charger jusqu'à 2 To de données à l'heure, » selon Infobright. La version finale sera disponible sous 30 jours, a confirmé l'entreprise.

Des analystes convaincus et un partenariat


Comme l'a écrit dans un blog Curt Monash, analyste chez Monash Research, dans l'annonce faite par Infobright, c'est «  Rough Query qui l'a le plus impressionné. » Selon lui,  « c'est l'outil idéal pour l'analyse d'investigation. » Quant aux autres caractéristiques de Infobright 4.0, elles contribuent « essentiellement à mettre le logiciel à niveau avec ses concurrents, plus grands et plus chers, » a-t-il ajouté.

De leur côté, Ingres et Jaspersoft ont annoncé avoir conclu un partenariat pour combiner la base de données analytique VectorWise d'Ingres avec le logiciel de BI (business intelligence) de Jaspersoft afin d'offrir une machine virtuelle commune. Une version de démonstration valable 30 jours est disponible gratuitement pour tester le pack. Selon Curt Monash, cette période est « suffisante pour évaluer VectorWise dans des situations très déterminées. »

Les solutions de Ingres, Jaspersoft et Infobright sont en concurrence avec des produits propriétaires, notamment ceux proposés par Oracle et IBM. Cependant, le fait que ces solutions d'analyses soient Open Source ne leur donnent pas nécessairement un avantage technologique sur les solutions rivales. Selon Curt Monash, « sur ce type de marché, le principal intérêt du logiciel sous licence libre, c'est qu'il offre accès à une licence bon marché et permet des coûts de maintenance réduits. »

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(15/06/2011 10:49:46)

Stella Telecom, naissance d'un MVNO pour les entreprises

Le monde de la téléphonie mobile accueille un acteur supplémentaire, Stella Mobile. Le MVNO s'adresse exclusivement à une clientèle entreprise et mise sur des offres simples avec un bon rapport qualité/prix. Stella propose quatre gammes de forfaits. Pour un forfait allant de 1 à 10 heures mensuel avec ajustement automatique tous les mois sur le forfait le plus avantageux, à partir de 10 € par mois.

Des forfaits illimités, vers les fixes et tous les mobiles métropolitains sont proposés à partir 40 € par mois  et de 80 € par mois avec internet mobile limité à 1 Go de données échangées et des SMS illimités.  Un forfait global est destiné à l'ensemble des téléphones de l'entreprise, ajustable automatiquement et illimité entre eux et vers les fixes de l'entreprise, à partir de  8 € par mois et par mobile. L'internet mobile est fourni en connexion 3G+, pour clé USB, routeur 3G et tablette, à 30 € par mois pour 1 Go de trafic. Trente téléphones sont proposés, du classique aux smartphones (Iphone, Blackberry et Android) en passant par ceux résistant à l'eau et aux chocs. Le MVNO utilise le réseau Orange pour la voix et les data.

Stella Mobile sera en concurrence avec des opérateurs comme Futur Telecom, Keyyo, SCT Telecom.

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(15/06/2011 10:37:19)

Mobiles : Samsung et Apple bientôt devant Nokia en volume

Samsung détrônera Nokia au deuxième trimestre selon une analyse du groupe financier Nomura publiée lundi. Le fabricant coréen, qui a lancé récemment son Samsung Galaxy S II, devrait ainsi ravir la première place que détient depuis 1996 le groupe finlandais, en perte de vitesse dans le secteur des smartphones. Entre juillet et septembre, ce sera ensuite au tour d'Apple de dépasser Nokia en terme d'unités vendues, reléguant finalement ce dernier à la troisième place. Une position que Nokia devrait partager avec le taïwanais HTC dès 2012.

Nokia joue son va-tout avec Windows Phone

L'équipementier finlandais, encore toujours chef de file au niveau des ventes de téléphones itinérants classiques, occupe actuellement 29% du marché mondial du mobile contre 34% il y a un an. Ses pertes de parts sont notamment dues à l'engouement autour de l'OS Android de Google et à la forte progression des fabricants asiatiques les deux derniers trimestres, précise Nomura. Les constatations de celui-ci rejoignent d'ailleurs celles de Gartner: «Si les nouveaux mobiles de Nokia ne reçoivent pas l'accueil escompté (...), Samsung risque de prendre le lead au troisième trimestre», a expliqué à Reuters Carolina Milanesi, analyste auprès du cabinet de recherche. Pour rattraper son retard sur le segment des smartphones, Nokia table sur le partenariat conclu avec Microsoft et son système d'exploitation Windows Phone.

Crédit photo : Samsung Galaxy S II 

www.ICTjournal.com

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(15/06/2011 10:20:02)

L'OS, outil de segmentation sur les smartphone

A chaque typologie de client mobile, son système d'exploitation. C'est ce que l'on a compris, lors du salon Buzzness Mobile, à l'occasion d'une table ronde qui réunissait les représentants de Samsung, HTC et Nokia. William Sylvestre, directeur contenus et services du constructeur coréen a affirmé: « c'est en ayant une stratégie segmentante sur l'OS que l'on va pouvoir adresser la totalité du marché ».

Les systèmes d'exploitation que ces constructeurs ont développés en interne, Bada de Samsung et Symbian de Nokia (qui depuis a été cédé à Accenture), seront réservés à l'entrée de gamme. Les constructeurs ont rappelé que 80% des consommateurs dans le monde ne sont pas encore équipés de smartphone. C'est un marché potentiel énorme qui les intéresse au premier plan. Pour les terminaux de milieu et de haut de gamme, les systèmes proposés seront Android de Google et Windows Phone de Microsoft. L'OS reste encore un critère de différenciation entre les constructeurs. Le choix sera donc laissé au consommateur, et il n'y a pas d'unification en vue.

Une différence sur les contenus


Afin de copier le succès d'Apple et de son App Store, la différentiation viendra aussi par les contenus. Les constructeurs développent des plateformes afin de promouvoir le contenu local sur leur magasin en ligne. HTC a développé Store Front. Nokia a annoncé que l'Ovi Store allait être aussi disponible sur les terminaux équipés du système d'exploitation Windows Phone « il y aura sans doute un match (ndlr, une duplication des contenus) entre l'Ovi Store et la plateforme de Windows Phone ». Quant à Samsung, il mise sur les communications à courte distance en NFC (Near Field Communication), « 100% des nouveaux terminaux à partir de juillet 2011 incluront la technologie NFC ».

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(15/06/2011 09:56:17)

Leo Apotheker réorganise la direction de HP

Leo Apotheker n'y va pas avec le dos de la cuillère. Nommé l'automne dernier, le président de HP a procédé à un remaniement important du top management de la société. Il entraîne le départ de trois de ses collaborateurs. En premier lieu, celui de Ann Livermore, présente chez HP depuis 1982 et dernièrement à la tête de l'activité entreprise du constructeur. Celle qui fut un des candidats potentiels à la succession de Mark Hurd, l'ancien CEO de HP, continuera toutefois de travailler pour la société en tant que membre du comité de direction.

Randy Mott, le DSI de HP, et Pete Bocian, directeur administratif n'auront pas cette possibilité puisque leur départ est effectif immédiatement. Il découle de la volonté du fabricant de changer la gestion de son système d'information interne en éliminant le rôle de directeur administratif pour élargir le rôle de son DSI. Le monsieur « tout-en-un » qui doit les remplacer n'a pas encore été désigné.

Nouvelle garde rapprochée autour d'Apotheker

Ces remaniements ont pour effet de modifier les noms des collaborateurs de HP qui forment la garde rapprochée de Leo Apotheker. En effet, Dave Donatelli, le vice-président en charge de l'activité serveurs, stockage, réseau et services technologiques, ainsi que Bill Veght, le vice-président exécutif en charge de l'activité logiciels, reporteront directement au PDG de HP. Jusqu'ici, ils rendaient compte à Ann Livermore. Jan Zadak, le vice-président exécutif en charge des ventes reportera lui aussi directement à Leo Apotheker.

Dernières conséquences connues de cette réorganisation, les rôles de certains hauts cadres de HP sont étendus. C'est le cas de Todd Bradley, qui dirige l'activité PSG (Personal System Group), qui sera également chargé d'étendre la présence de HP en Chine. Vyomesh Joshi, responsable de l'activité imaging et printing group, aura la même mission sur le marché indien. (...)

(15/06/2011 09:51:51)

Pierre Barnabé arrive chez SFR Business Team

Pierre Barnabé devient directeur général de SFR Business Team, la branche entreprises de l'opérateur mobiles. Il était jusqu'alors directeur des ressources humaines et de la transformation chez Alcatel-Lucent, un poste plus large que celui d'un DRH traditionnel. Auparavant, jusqu'en mai 2010, il était Président directeur général d'Alcatel-Lucent France. Il fut président de l'unité régionale France-Italie-Espagne de l'équipementier après avoir occupé plusieurs fonctions au sein d'Alcatel-Lucent depuis 1998.

Pierre Barnabé, 40 ans, est diplômé de Centrale Paris et de l'ESC Rouen.

Comme DRH et responsable de la transformation, Alcatel-Lucent a promu Christel Heydemann. Elle dirigeait l'alliance stratégique entre Alcatel-Lucent et HP, auparavant, elle supervisait la gestion des comptes commerciaux d'Alcatel-Lucent France.

Pierre Barnabé remplace Paul Corbel, nommé en juillet 2008 directeur général de SFR Business Team. Paul Corbel est promu chez Vivendi, maison mère de SFR. La passation de pouvoir sera effective le 22 août à la tête de SFR Business Team.

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