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(19/04/2011 10:09:32)

BNP Paribas mise sur CA pour gérer ses projets informatiques

BNP Paribas Personal Investors, spécialiste du conseil financier et du courtage en ligne du groupe BNP Paribas, est présent en Allemagne, France, Espagne, Luxembourg, Inde et Singapour. Ses équipes informatiques sont uniquement en France, Allemagne et Inde. L'entreprise souhaitait améliorer la gestion de ses projets IT en arbitrant au mieux les allocations de ressources internes et externes dont elle dispose, cela en toute transparence vis-à-vis des différentes maîtrises d'ouvrage.

Pour atteindre cet objectif, l'établissement a choisi de déployer un nouvel outil de gestion de son portefeuille de projets informatiques. En l'occurrence, il a choisi Clarity PPM (Project & Portfolio Management) de CA.

Une intégration progressive

Dans un premier temps, seuls les 120 membres des équipes de développement européennes ont été équipés avant que l'outil soit étendu aux 90 administrateurs du datacenter et enfin aux responsables de maîtrise d'ouvrage. Depuis 2010, l'outil est également déployé en Inde. Aujourd'hui, la solution a 340 utilisateurs dans le groupe.

Le principe est désormais de pouvoir arbitrer les priorités en termes de projets en fonction des ressources disponibles. Une fois un projet décidé, le gestionnaire concerné peut gérer ses équipes en fonction de ces ressources disponibles et des procédures CMMI 3. L'outil permet également d'extraire des données pour réaliser des rapports ponctuels d'activité.

Surtout, les équipes partagent grâce à cet outil unique des indicateurs communs et connus qui peuvent être suivis en direct par chacun. Toutes les personnes impliquées avancent donc dans la même direction et les prises de décisions sont éclairées par des arguments objectifs, partagés et reconnus comme valides, en toute transparence.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

(...)

(19/04/2011 09:42:01)

PAC constate une reprise prudente pour les SSII et intégrateurs

Pendant la crise, au cours de ces deux dernières années, les entreprises clientes ont imposé un régime draconien à leurs prestataires, en particulier aux SSII. Les directions achats imposant jusqu'à 20 à 30% de baisse sur les prestations en services et conseils informatiques. Tout l'enjeu, aujourd'hui, est de savoir si les prix repartiront suffisamment fort pour au moins rattraper ces baisses drastiques.

Apparemment, le climat se détend, avait indiqué récemment le Syntec Numérique, après avoir interrogé la plupart des SSII et des intégrateurs. Mais ils restent prudents. Les prix repartent à la hausse, mais cette reprise est légère, hétérogène suivant les secteurs, les entreprises, les profils et les postes concernés. En clair, cette hausse, quand il y a augmentation, est difficile à localiser et loin de compenser les baisses des deux années précédentes.

Le cabinet Pierre Audoin Consultants publie la 7ème édition de son Observatoire des Prix  (prestations de services informatiques). Elle confirme et précise le très léger début de détente observé sur les prix pratiqués dans les prestations de services informatiques en étudiant le TJM (Taux journalier moyen) sur une trentaine de profils. Certains restent très bas, comme la maintenance, d'autres semblent portés par une hausse plus réelle des prix : sécurité, ingénieur d'études Cobol dans certains secteurs industriels, ingénieurs d'études SAP, spécialistes logiciels embarqués ou applications mobiles.

Vitale pour les SSII

Cette possible hausse des prix est vitale pour les SSII. Laminées durant la crise, elles veulent retrouver des marges. Les baisses de prix leur ont imposé des efforts drastiques sur leurs coûts de fonctionnement. Certaines d'entre elles pratiquent encore des prestations à perte pour remporter ou conserver un marché. Elles ne retrouvent pas encore le « juste prix » souhaité pour la qualité de leurs prestations.

« Peut être devraient-elles communiquer différemment, sur des projets plus globaux ou des projets innovants », suggère Simon Philibert auteur de l'étude chez Pierre Audoin. « La vision TJM est la vision des acheteurs, une vue à très court terme qui rend difficilement compte du travail des SSII ».

Guy Mamou-Mani et son équipe ont engagé une démarche pour en discuter avec les représentants du Medef, faire reconnaître leur métier, la qualité de leurs prestations et aboutir, à terme à la revalorisation des prix pratiqués. La sortie de crise est donc  loin d'entraîner un rattrapage pour les SSII.  Même si elles font état de nombreux projets d'embauche, ils se font sur des profils juniors, qui correspondent mieux aux tarifs encore pratiqués. Un profil confirmé, 3 à 5 ans d'expérience, est encore jugé trop cher.

(...)

(19/04/2011 09:42:47)

Commerce spécialisé : Cegid accompagne ses clients « retail » à l'international

C'est à Lisbonne que l'éditeur français Cegid a réuni début avril, sur sa conférence Retail Connections 2011, les utilisateurs et partenaires métiers de ses solutions adaptées au monde de la vente au détail et des enseignes commercialisant leurs produits au travers de chaînes de boutiques. L'un des thèmes principaux du rendez-vous annuel a porté sur « la révolution vécue actuellement par le secteur, comparable à celle connue dans les années soixante avec l'arrivée des hypermarchés », souligne Tania Oakey, directrice marketing retail international chez Cegid. « Le commerce cross-channel ou omni-channel regroupe les magasins, le web, les mobiles et les réseaux sociaux. Ce sont autant de canaux qui doivent être intégrés, avec les clients au centre ». Auparavant, chaque canal travaillait de façon autonome. Ils sont maintenant intégrés et communiquent. Un client peut commander en ligne sur le site web, ajouter un produit à sa commande à partir de son mobile puis retourner ensuite dans le magasin. « C'est l'un des sujets qui prédominait sur la conférence, précise la directrice marketing. Toutes les enseignes sont en train d'étudier le cross-channel et le commerce en ligne. Ce ne sont pas des canaux concurrents mais complémentaires. On s'est aperçu que les clients qui intervenaient sur plusieurs canaux dépensaient davantage qu'un client mono-canal », observe-t-elle.

Gestion multicanale du client (offre Cegid Retail)
L'historique des achats prend en compte les différents canaux utilisés par le client (cliquer ici pour agrandir l'image)

S'adapter aux spécificités des différents pays

Parallèlement, l'optimisation de la chaîne d'approvisionnement (supply chain) reste l'une des problématiques principales pour les professionnels du retail : « les prévisions, l'assortiment, les budgets d'achats, l'optimisation des ressources humaines en magasin sont de véritables enjeux aujourd'hui pour les enseignes », rappelle Tania Oakey. Elle pointe également l'importance prise par l'internationalisation, tout à la fois des supply chains, des réseaux de magasins et des systèmes d'information. « C'est un axe clé de notre stratégie, précise-t-elle. Nous nous devons d'accompagner les clients dans le monde entier. Nous devons non seulement être aux côtés des enseignes françaises qui s'installent par exemple en Amérique du Sud, aux Etats-Unis ou sur un autre continent, mais également travailler directement avec les enseignes implantées dans différents pays. » Cela signifie que les produits doivent disposer de la richesse fonctionnelle requise par ces utilisateurs, mais aussi intégrer les spécificités locales, métiers, règlementaires ou fiscales. Au Japon, par exemple, les utilisateurs sont très avancés en matière de CRM. Aux Etats-Unis, les logiciels doivent prendre en compte les différentes taxes par Etat. Le service associé doit être assuré sept jours sur sept. « Cela représente des investissements importants pour Cegid », indique Tania Oakey. Mais il est vrai que l'activité retail pèse presque un cinquième des revenus de l'éditeur français. En 2010, elle a généré 45 millions d'euros (soit 18% du chiffre d'affaires total de Cegid) et dopé les ventes réalisées par la société hors de l'Hexagone (+35% sur l'exercice).

Une carte à jouer à l'international

Ces dernières années, cette activité a notamment progressé par croissance externe avec le rachat d'AS Infor (pilotage de magasins) puis de l'éditeur VCS Timeless. Ce dernier avait beaucoup travaillé sur l'axe de l'internationalisation. Cegid aussi. Outre l'Europe du Sud, il avait notamment pris pied en Chine et en Amérique du Nord. « Cela nous a permis de créer une synergie car VCS Timeless avait installé des filiales là où Cegid n'était pas encore présent. Aujourd'hui, nous proposons une véritable expertise sur l'internationalisation des enseignes en les accompagnant sur la partie amont, sur la supply chain, sur la construction de l'offre, sur la gestion commerciale et sur les magasins avec prise en compte du cross-channel, énumère Tania Oakey. Nous avons vu que nous avions une carte à jouer dans ce domaine car dans les différents pays où nous intervenions, nous ne nous retrouvions jamais face aux mêmes concurrents. » Ces enseignes cherchent généralement à mettre les solutions en oeuvre de manière rapide. « Cela peut prendre de trois à neuf ou dix mois selon la taille de l'entreprise, les briques de notre solution qu'elles ont choisies, le nombre de magasins et la gestion du changement mise en place ».

C'est un sujet qui a été particulièrement abordé lors de Retail Connections 2011, à Lisbonne. Parmi les clients, « le fabricant japonais de chaussures de sport Asics qui a beaucoup développé son activité retail nous a choisi pour notre expertise internationale et métier, ainsi que pour notre solution en mode SaaS. Nous pouvions l'accompagner en Asie et en Europe. Asics ouvre un peu partout dans le monde contrairement à d'autres enseignes qui ont commencé par se développer d'abord dans leur pays », explique la directrice marketing.

La base installée de Cegid sur ses offres retail compte un millier d'enseignes (parmi lesquelles Naf Naf, Caroll, Lafuma, Lin Vosges, Salsa, groupe Royer, Yves Rocher ou Lacoste), rassemblant 20 000 points de vente dans 70 pays. Les solutions couvrent de façon modulaire la chaîne complète du retail, depuis les approvisionnements jusqu'à la gestion des points de vente. Elles sont disponibles en 25 langues et peuvent s'interfacer avec d'autres solutions du marché. (...)

(19/04/2011 09:43:12)

Le marché des semi-conducteurs en pleine forme en 2010 selon Gartner

Plusieurs facteurs expliquent cette forte croissance, selon Peter Middleton, analyste chez Gartner. Le secteur est reparti à la hausse avec une demande non attribuée, une récession économique qui freinait les investissements et donc le besoin de reconstituer les stocks. Le marché a commencé son ascension au second semestre 2009, « cela a continué presque frénétiquement au 1er semestre 2010 » commente le Gartner, avec une demande partie en flèche et des prix également en augmentation.

Côté constructeurs, Intel reste en tête pour la 19ème année consécutive, avec 14% des parts de marché, Samsung est deuxième avec 9,4%, mais en croissance de 58,3%. Les suivants se tiennent à quelques décimales : Toshiba 4,1 %, Texas 4%, STM 3,5%, Renesas 3,4%, Hynix 3,3, Micron 2,7%, Qualcomm 2,4%, Broadcom 2,2%.

Intel fléchit


Intel perd des points, il était à 14,6% de parts de marché en 2009. Samsung, en revanche, a connu une forte croissance avec le marché de la DRAM et celui des mémoires flash Nand. Les mémoires représentent environ 80% de ses ventes expliquant ses bonnes performances. Sur la troisième marche du podium, on trouve Toshiba avec une augmentation de son activité dans les mémoires flash Nand pour les mobiles. Toutefois, son activité dans l'Asic a diminué avec la baisse du marché des jeux vidéo. Le Gartner souligne également la performance de la société Broadcom qui s'est hissée à la dixième place.

Dans cet exercice de distribution des prix, le Gartner possède un instrument particulier, son indice RIP qui mesure les plus grands écarts à la hausse ou la baisse par rapport aux attentes. Quatre fournisseurs se développent mieux que prévu, 10% au-dessus de la prévision : Broadcom, Marvell, Samsung Electronics et NXP. Inversement, quatre autres ont manqué les attentes du marché de plus de 10% : Rohm, Renesas Electronics, Nvidia et MediaTek.

(...)

(18/04/2011 15:23:56)

Deutsche Telekom et Orange vont mutualiser leurs achats

Deutsche Telekom et Orange ont annoncé aujourd'hui la création d'une entreprise commune en charge des achats. La mutualisation des achats pourrait selon les protagonistes permettre d'économiser jusqu'à 1,3 milliard d'euros d'ici 3 ans (900 millions pour Orange et 400 millions pour Deustche Telekom). Cette structure commune sera détenue à parts égales par les deux partenaires et verra le jour au 4ème trimestre 2011. Le communiqué indique aussi que les unités opérationnelles de cette entité, qui seront localisées à Paris et à Bonn, comprendront des salariés des divisions Achats de chaque groupe dans le domaine des équipements clients, de la technologie dans les réseaux, des plateformes de service, des infrastructures IT et de l'ingénierie d'achat.

Vers une coopération plus poussée ?


Il ne s'agit pas de la première annonce d'un partenariat entre l'opérateur français et son homologue allemand. En février dernier, les deux acteurs avaient présenté leur coopération dans plusieurs domaines, le partage de réseaux radio, le roaming WiFi, l'harmonisation des équipements, les services machine to machine, etc. Avec l'annonce de la création d'une co-entreprise sur la mutualisation des achats, les analystes s'interrogent sur un éventuel rapprochement entre les deux groupes. Ces derniers ont déjà sauté le pas en Angleterre où ils ont fusionné leurs activités mobiles au sein d'une co-entreprise, Everything Everywhere.

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(18/04/2011 14:08:28)

Microsoft lance la bêta publique d'Office 365

Les outils de productivité de Microsoft dans le cloud annoncés en octobre dernier sont désormais proposés dans leur version bêta publique. Office 365, qui prendra la suite de BPOS, rassemble la messagerie Exchange Online (à partir de 5,25 euros par mois), un calendrier, les fonctions bureautiques des Office Web Apps et les outils de collaboration de SharePoint Online (partage de fichiers et de documents, création de sites web que complète la base de données Access). S'y ajoutent les fonctions de communication apportées par Lync Online : messagerie instantanée, vidéoconférence, partage de bureau. Les outils bureautiques en ligne s'utilisent en complément des logiciels Word, Excel, PowerPoint et OneNote installés localement.

Office 365 - le calendrier

L'un des aspects intéressants, relèvent nos confrères de PCWorld, est que ces outils sont virtuellement accessibles de n'importe où et non associés à un seul terminal. On peut accéder aux données et les synchroniser à partir d'un PC, du web ou d'un smartphone, si tant est que celui-ci fonctionne sous Windows Phone 7. Il est toutefois possible d'utiliser les outils en mode web depuis un iPhone ou un terminal sous Android. Mais cette possibilité n'a rien d'optimal, pointe PCWorld en poursuivant qu'Office 365 accepte différents navigateurs parmi lesquels Explorer et Firefox (ou encore Chrome). Safari convient aussi, mais sa version iOS n'est pas bien supportée, sur un iPhone tout du moins. L'iPad ne souffre pas des mêmes limitations et travailler avec Office 365 sur la tablette d'Apple n'apparaît pas différent d'une utilisation depuis Internet Explorer 9 sur Windows 7, souligne notre confrère en faisant remarquer que même si l'on peut techniquement utiliser les Office Web Apps depuis un smartphone, cela n'a rien d'idéal. Selon lui, Office 365 constitue un vrai rival pour Google Apps for Business. Plus encore, si Microsoft investissait suffisamment pour développer des applications natives pour les plateformes mobiles dominantes telles que l'iPhone, l'iPad et les smartphones Android, il pourrait être davantage qu'un simple concurrent sur les outils de productivité mobile.

Jusqu'à 25 utilisateurs et bien au-delà

Microsoft propose deux programmes bêta autour d'Office 365. Le premier est destiné aux petites entreprises qui ne disposent pas de ressources informatiques internes. Il est limité à 25 utilisateurs. La souscription se fait au mois et le support est assuré par la communauté. L'autre programme bêta s'adresse aux entreprises plus importantes qui veulent disposer d'outils de configuration et de contrôle avancés, combiner l'utilisation d'Office 365 avec leur annuaire Active Directory et bénéficier de capacités d'archivage. A celles-ci, Microsoft propose des contrats annuels et un support 24 x 7.

En France, Microsoft a récemment recruté Ariane Gorin au poste de Directrice Marketing et Stratégie des produits Office et Microsoft Online Services. Il lui a été confié en priorité de réussir la transition des services Microsoft dans le cloud et d'augmenter la part de marché des services en ligne de l'éditeur auprès des entreprises de toutes tailles. C'est elle qui relaie dans l'Hexagone le lancement d'Office 365.

Office 365, suite de productivité en ligne de Microsoft

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(18/04/2011 13:53:21)

Intel et Micron annonce des mémoires Flash Nand en 20 nm

Pour démarrer, Intel et Micron ont conçu un modèle test de 8 Go dont les composants ont été gravés en 20nm, lequel devrait être produit à grande échelle dès le second semestre de cette année. Les deux partenaires devraient également produire une unité de 16 Go. En théorie, ils pourraient faire tenir jusqu'à 128 Go de mémoire flash sur un disque SSD de la taille d'un timbre-poste.

La mémoire flash en 20 nm permet d'obtenir plus de capacité de stockage dans un espace plus fin et à moindre coût. Il y a un an environ, IM Flash Technologies avait introduit la technologie flash à 25nm - doublant alors la capacité de mémoire par rapport au procédé précédent. Juste au moment où les concurrents parviennent enfin à rivaliser avec la mémoire flash à 25nm, Intel et Micron mettent la barre encore plus haut.

Dans le communiqué de presse publié par IM Flash Technologies annonçant le 20nm, on peut lire : « la réduction de la taille du support de stockage flash permet une plus grande efficacité au niveau du système. Elle offre également aux fabricants de tablettes et de smartphones la possibilité d'utiliser l'espace supplémentaire pour améliorer d'autres éléments, par exemple inclure une batterie de plus grande taille, un écran plus grand ou ajouter une puce supplémentaire pour gérer d'autres fonctionnalités. »

Recensement des avantages du 20 nm

Appliquée à la mémoire flash, la technologie à 20 nm nécessite, à capacité égale, 30 à 40 % d'espace en moins que son homologue à 25 nm équivalente. Les fabricants de périphériques peuvent tirer parti de ce facteur pour développer des appareils encore plus petits que les dispositifs mobiles actuels.

Des appareils moins chers : la mémoire flash à 20 nm coûte trois fois moins chère à produire que la mémoire actuelle à 25nm. Les fabricants peuvent réaliser des marges plus élevées sur leurs produits, ou encore répercuter les économies réalisées en baissant leurs prix, ou faire un peu des deux.

Une plus grande fonctionnalité : la nouvelle mémoire prend donc 30 à 40 % d'espace en moins pour une capacité de stockage identique, à un tiers du coût actuel. Les fabricants de smartphone et de tablettes peuvent profiter de l'espace disponible et de la différence de coût pour ajouter de nouvelles fonctionnalités aux dispositifs existants sans affecter leur taille actuelle ou leur prix.

Les concurrents n'ont plus maintenant qu'à chercher à atteindre la barre des 20 nm. Sauf qu'IM Flash Technologies aura déjà une longueur d'avance sur eux : l'entreprise se prépare à dévoiler un processus à 16nm plus tard cette année. A se demander ce qui pourrait advenir si la mémoire flash atteignait la taille de 1 nm...

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(18/04/2011 11:58:15)

Oracle ne vendra plus Open Office et rend le projet à la communauté

Edward Screven, l'architecte en chef d'Oracle a indiqué « compte tenu de l'intérêt important du public pour des applications de productivité personnelle gratuite et de l'évolution rapide des technologies de l'informatique personnelle, nous croyons que le projet OpenOffice.org sera mieux géré par une association qui se consacrera à répondre à cette demande sur une base non-commerciale ». Il a également ajouté que l'éditeur allait «  commencer à travailler sans délai avec les membres de la communauté afin de prolonger le succès d'Open Office » et prévoit de continuer « à supporter des standards comme le format ODF (Open Document Format), » a t-il déclaré. Le responsable d'Oracle a aussi confirmé l'engagement de la société dans d'autres technologies Open Source. « Nous continuerons à nous concentrer sur Linux et MySQL, car ces deux produits ont été largement adoptés, que ce soit par des entreprises ou des organisations gouvernementales, » a-t-il précisé.

Cette décision laisse entendre que l'éditeur a eu des difficultés à vendre suffisamment de licences Open Office depuis qu'il a acquis Sun Microsystems, lequel commercialisait le logiciel sous le nom de Star Office. Apparemment, cette annonce est à effet immédiat : sur le site web d'Oracle, un certain nombre de liens en rapport avec Open Office ne sont plus actifs depuis vendredi. Même si Oracle n'a rien précisé en ce sens, l'avenir de son produit Cloud Office récemment annoncé semble également compromis. Les liens vers Cloud Office sont également inactifs.

Méfiance et incertitudes

Il est par ailleurs difficile de savoir si la décision de l'éditeur aura une incidence sur les ramifications du code source d'OpenOffice.org, notamment sur LibreOffice de la Document Foundation, une alternative à Open Office créé l'an dernier par des partisans de la version open source, inquiets des intentions d'Oracle au sujet de la suite bureautique. Auparavant, la Document Foundation, supportée par Google et Red Hat notamment, avait demandé à Oracle de se joindre à l'association et de lui céder la propriété de la marque OpenOffice.org.

Selon Michael Coté, analyste chez RedMonk, la décision de l'éditeur est «  à double tranchant, » a t-il estimé. « D'une part, les gens les plus paranos de la communauté, ont intérêt à voir Oracle abandonner les projets Open Source auxquels ils tiennent de peur qu'Oracle ne soit trop tentée d'en faire des produits commerciaux ou de les verrouiller davantage plutôt que de les ouvrir, » a t-il déclaré. Mais les tensions apparues entre la firme de Redwood et les membres de la communauté sur d'autres projets libres « ont rendu ces mêmes personnes méfiantes à l'égard de tout ce que pourrait entreprendre Oracle dans le domaine de l'open source, » a t-il ajouté. « Sur ce point, les gens voudront savoir comment l'organisation se mettra en place, quels en seront les responsables, comment elle sera financée, comment seront cédées les licences et les marques, etc... » a déclaré Michael Coté.

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(18/04/2011 11:54:50)

Les fabricants de tablettes sous Android cherchent à baisser leur prix

Pour attirer les acheteurs tentés par une tablette numérique, les fabricants concurrents d'Apple fixent pour leurs produits des prix de départ situés au-dessous de celui de l'iPad, ce dernier démarrant à 499 dollars. On voit ainsi chez ViewSonic, Asustek et Acer des tablettes équipées d'écrans 10,1 pouces proposées entre 279 et 449 dollars. Ces terminaux, dotés de processeurs ARM double-coeur, exploitent différentes versions de l'OS Android de Google et offrent le support de Flash.

C'est en avril de l'an dernier qu'Apple a lancé l'iPad et donné le ton sur ce marché avec un prix agressif. Les premières tablettes sous Android, telles que la Galaxy Tab, de Samsung, qui ont débuté leur commercialisation par la suite ont été comparativement jugées un peu chères pour ce qu'elles proposaient. La baisse de la tarification des nouvelles tablettes semble illustrer un réajustement du marché, estime Roger Kay, président du cabinet d'études Endpoint Technologies Associates.

Sur Amazon.com, on trouve maintenant la GTablet de ViewSonic au prix de 279,99 dollars alors qu'elle était originellement tarifée à 499 dollars. L'Iconia A500 Tab d'Acer démarrera à 449 dollars d'ici la fin du mois (499 euros en France). Le prix de départ de la prochaine Eee Pad Tranformer d'Asus a été présenté à 399,99 dollars sur le site de l'enseigne spécialisée Best Buy, mais cette page a depuis été supprimée.

L'iPad détenait 73% du marché fin 2010

Selon une étude d'IDC, sur les 10,1 millions de tablettes livrées au quatrième trimestre de 2010, Apple s'est octroyé une part de marché de 73%. Derrière lui se trouvait la Galaxy Tab de Samsung, avec 17%. Des fabricants locaux se partageaient le reste des ventes. Apple domine ce secteur parce que le prix de l'iPad est agressif, tout autant que sa conception et ses fonctionnalités, considère Roger Kay. Par comparaison, les prix élevés et l'absence d'une offre logicielle associée ont rendu les tablettes Android moins attractives. « Le système Android ne dispose pas de l'écosystème global et uni que s'est constitué Apple », ajoute le consultant d'Endpoint Technologies Associates.

La Galaxy Tab de Samsung, qui offre un écran 7 pouces, a été d'abord mise en vente, à la fin de l'année dernière, par l'intermédiaire de Verizon à partir de 600 dollars, sans abonnement, ce qui a été jugé bien trop cher. Ce mois-ci, l'opérateur américain a baissé le prix à 500 dollars.

Cela dit, tous les fabricants de tablettes Android n'ont pas modifié leur politique de prix. Motorola continue à proposer sa Xoom à partir de 599 dollars. Les acquéreurs peuvent se procurer des tablettes Android pour un prix inférieur auprès des opérateurs de téléphonie mobile, mais ils doivent généralement s'engager sur un abonnement de deux ans. Roger Kay fait valoir que l'attention des acheteurs est volatile et que ceux-ci pourraient reporter leur intérêt sur les tablettes Android si celles-ci sont moins coûteuses. Il reste à voir si ces terminaux vont effectivement bousculer la domination d'Apple sur ce marché.

En mars, Apple a débuté la commercialisation de l'iPad 2. En ce moment, on constate une attente de deux à trois semaines sur les commandes en ligne de cette deuxième version de la tablette d'Apple.

Illustration : la GTablet de ViewSonic (crédit : D.R.) (...)

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