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(18/04/2011 11:32:41)
Samsung se désengagerait des disques durs
Samsung songerait sérieusement à se désengager des disques durs. C'est ce qu'indique le Wall Street Journal sur son site Internet. Le quotidien précise que l'entreprise coréenne espère retirer 1,5 milliard de dollars de cette cession, même si un accord sous le milliard de dollars est aussi envisagé. Parmi les prétendants, Seagate arrive en tête. Ce dernier veut rester dans la course après le rachat le mois dernier par Western Digital de l'activité disque dur d'Hitachi pour 4,3 milliars de dollars.
La raison de cette procédure de cession est aussi à chercher dans la mutation du marché. De plus en plus d'ordinateurs et de tablettes fonctionnent sous mémoire flash. L'activité disque dur va donc baisser et se concentrer. Samsung veut anticiper cette évolution et investir dans des secteurs plus prometteurs notamment les SSD. Apple vient d'ailleurs de préférer Samsung à Toshiba sur ce sujet.
(...)(18/04/2011 10:03:59)LCL mise sur Informatica pour la traçabilité de ses données
LCL opère un réseau bancaire avec 15 000 salariés et s'adressant autant au particulier qu'à l'entreprise ou au professionnel. Les personnels d'agences utilisent toute la journée des applicatifs métiers dont la performance est un facteur essentiel de productivité et de qualité de service rendu.
Afin de contrôler cette performance, LCL souhaitait pouvoir suivre aisément les multiples données déjà disponibles comme les fichiers de traces sur les serveurs. Or les environnements informatiques sont extrêmement variés et les données par conséquent très hétérogènes.
Pour consolider et traiter ces données afin de décider de mesures correctives pertinentes et nécessaires (redirection ponctuelle de ressources, achat de serveurs, croissance de la bande passante, etc.), LCL a choisi l'outil d'agrégation proposé par Informatica. La solution a été implémentée en deux mois et offre une vision globale de la performance des applications.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Un analyste anticipe un CA trimestriel d'Apple à 24,42 milliards de dollars
Pour l'analyste de la banque, les revenus du fabricant devraient s'établir à 24,42 milliards de dollars à comparer aux 23,83 milliards de dollars prévus initialement. Cette mise au point se justifie par le fait que les ventes d'iPhone devraient non plus atteindre 16,6 millions mais 18,4 millions d'unités dans le monde d'ici la fin du mois.
A contrario, l'analyste de la banque américaine a revu à la baisse ses prévisions de vente d'iPad qui passent à 5,4 millions d'unités contre 6 millions jusqu'ici. Les ventes de la tablette d'Apple feraient les frais de délais de livraisons trop longs plutôt que d'un essoufflement de la demande. En revanche, sur l'ensemble de l'année fiscale 2011 d'Apple, les ventes d'iPad devraient dépasser les 29,1 millions d'unités prévues en début d'exercice pour atteindre 31,3 millions d'unités.
Un effet tsunami sur les marges
Quant aux ventes de Mac, elles devraient être aussi légèrement plus élevées que prévues à 3,89 millions d'unités contre les 3,82 millions d'unités initialement attendues. Enfin, les ventes d'iPod devraient continuer de décliner à cause de la cannibalisation du baladeur numérique par l'iPhone et l'iPad.
Ces prévisions qui dépeignent un avenir radieux pour Apple sont quelque peu assombries par le fait que l'analyste de JP Morgan anticipe une baisse de la marge brute d'Apple à court ou moyen terme à cause de l'impact de la catastrophe japonaise sur la chaîne de production du fabricant.
En attendant, on saura le 20 avril si l'analyste de la banque américaine a vu juste.
HP fourbit ses services pour moderniser les applications
HP s'attelle à convaincre les entreprises de rénover leur patrimoine applicatif. C'est l'un des axes de sa stratégie Instant-On, définie fin 2010, dans laquelle s'inscrit aussi l'évolution vers les environnements de cloud. Pour apporter de l'eau à son moulin, le groupe IT cite une étude* récemment conduite auprès de 312 cadres dirigeants (DG, DAF et DSI) des secteurs publics et privés. 56% d'entre eux jugent que la modernisation des applications est le premier domaine dans lequel investir pour disposer de processus plus flexibles, propres à favoriser l'innovation indispensable à leur croissance. « La réactivité au niveau applicatif doit être plus forte », commente-t-on chez HP France en rappelant qu'en Europe, 55% des applications ont entre cinq et dix ans (ou plus). Une partie d'entre elles, dans des proportions parfois significatives, sont parfois jugées dépassées par les DSI et susceptibles d'être mises hors service, comme le montre un autre rapport, publié cette semaine avec Capgemini.
Pour accompagner les entreprises sur la voie de cette modernisation, HP vient d'annoncer de nouveaux services ou produits dans son portefeuille de solutions « Application Transformation ». Le premier service, Application Portfolio Management, vise à évaluer le patrimoine applicatif dont l'entreprise n'a pas toujours établi ou conservé une vision consolidée au fil des fusions/acquisitions. L'objectif est de déterminer quelles sont les applications qui doivent être réarchitecturées, réécrites, migrées vers un environnement plus ouvert ou tout simplement arrêtées. Pour réaliser cette évaluation, qui intègre les aspects « coûts de possession », et proposer une feuille de route au client, l'entité services de HP s'appuie sur un outil maison accessible en mode SaaS (en attente de brevet). « Sur le marché français, nous réalisons cette analyse du parc applicatif et de sa rationalisation dans le secteur des télécommunications, de la banque/assurance et de l'automobile, avec des objectifs business fixés par les comités de direction », indique Sylvain Faligand, directeur applications services chez HP France. C'est le genre de chantier que HP a lui-même mené en interne. Après avoir entrepris de consolider ses datacenters, le groupe a dressé un état des lieux et drastiquement décidé de supprimer une de ses applications sur deux.
Intégration des outils de sécurité Fortify
L'un des autres services annoncés concerne la transformation des applications pour le cloud. « En fonction de 32 critères business et technologiques -liés à la sécurité, aux performances, aux interfaces, aux règlementations, etc.- et en nous appuyant sur des outils et méthodes HP, nous déterminons si l'application est candidate pour être portée vers le cloud public, pour être installée sur un cloud privé géré par HP ou par le client, et nous identifions le meilleur chemin de migration de l'infrastructure », explique Sylvain Faligand. Dans le domaine des solutions de sécurité, indispensables à ces déploiements, HP annonce par ailleurs l'intégration des produits de sécurité de Fortify avec les siens.
Pour automatiser le cycle de vie des applications dans ces environnements hétérogènes, le groupe IT va proposer le logiciel HP Cloud Service Automation qui permettra de créer un portail de services pour déployer et surveiller applications et infrastructure au sein d'environnements hétérogènes.
HP intervient aussi sur la modernisation des postes de travail. Dans ce domaine, il propose de mettre en place dans un cloud privé des services de messagerie basés sur Exchange 2010 de Microsoft. Cette offre de services s'étend à la solution de gestion de la relation client, Microsoft Dynamics CRM, également proposée dans un environnement de cloud privé.
(*) Une étude conduite par Burson-Marsteller pour HP, réalisée à partir de 312 interviews menées entre février et mars 2011 au niveau mondial (et incluant la France). (...)
Recap IT : le PaaS à l'honneur, les annonces de Microsoft Mix, Intel pro-actif sur les tablettes
Dans le cloud, il existe plusieurs modèles d'accès aux ressources informatiques, le plus basique étant le SaaS (software as a service). Les éditeurs se tournent maintenant vers le PaaS (plateforme as a service). Pour concurrencer des acteurs comme Microsoft qui disposent déjà d'outils comme Windows Azure, VMware a annoncé le téléchargement de la version bêta de sa plateforme Open Source, Cloud Foundry. Le spécialiste de la virtualisation insiste sur la variété des frameworks (Spring pour Java, Ruby on Rails, etc.) compatibles avec sa solution. Autre acteur qui va tenter de séduire les développeurs de l'Open Source, Red Hat qui a des ambitions dans le PaaS avec le rachat il y a quelques mois de Makara. L'éditeur devrait en dévoiler un peu plus lors de sa conférence à Boston prévu au début du mois de mai. Il ne faudrait pas non plus oublier dans ce concert d'annonces, la création de la start-up Piston cloud computing par un ancien du projet Nebula qui souhaite donner un second souffle au programme OpenStack.
Microsoft Mix et Intel à fonds dans les tablettes
Dans un autre registre, l'édition 2011 de Mix de Microsoft a mis à l'honneur les prochains produits de la firme. Des éléments d'Internet Explorer 10 ont pu ainsi être observés. Idem pour la mise à jour de l'OS mobile, baptisé Mango, qui supportera plus de langues ainsi que HTML5.
Côté tablette, la semaine a été marquée par l'Intel Developper Forum à Beijing où le fondeur de Santa Clara a dévoilé sa puce Oak Trail Z670 pour les tablettes. Intel entend bien concurrencer ARM sur ce marché et pour cela accélère ses efforts et ses investissements dans le domaine. Ce marché est devenu important au point d'impacter les ventes de PC notamment les netbooks et les portables d'entrée de gamme selon les analystes. D'autres acteurs ont annoncé la commercialisation de leurs produits comme Acer. RIM a présenté quant à lui sa Playbook, mais les premiers retours sont assez mitigés.
Enfin, terminons par la sécurité, avec une période calme où seuls deux lots de patchs, celui de Microsoft et celui d'Oracle sont à recenser. Et dans une moindre mesure, Apple a aussi corrigé quelques bugs à travers la publication d'iOS 4.3.2.
Apple débauche le responsable des datacenters de Microsoft
Kevin Timmons, directeur général de l'activité datacenter chez Microsoft, aurait rejoint Apple. Selon le blog All Things Digital du Wall Street Journal, ce dernier a quitté l'éditeur cette semaine. Microsoft a confirmé l'information sans pour autant fournir de détails sur les raisons de son départ ni dévoiler le nom de l'entreprise qui l'avait débauché. Dans un communiqué publié aujourd'hui, Microsoft a ainsi déclaré : « Kevin Timmons a décidé de poursuivre d'autres opportunités de carrière et ne travaille plus dans l'entreprise. Nous apprécions les contributions qu'il a apportées à Microsoft durant le temps qu'il a passé chez nous. »
Un passage chez Yahoo
Le recrutement de Kevin Timmons constitue une excellente opportunité pour Apple. Il jouit d'une très bonne réputation dans l'industrie et fera son entrée avec un CV impressionnant qui inclut un passage à Yahoo où il a dirigé son datacenter.
Apple a confirmé travailler actuellement sur des services de cloud computing. La firme de Cupertino est également sur le point de terminer la construction d'un datacenter d'une surface de 4 650 mètres carrés en Caroline du Nord, dont les analystes disent qu'il pourrait être utilisé pour des services de streaming, incluant iTunes.
(...)
Red Hat devient progressivement fournisseur de cloud public
Red Hat évolue progressivement vers le modèle PaaS depuis le rachat de Makara. Mais, pendant que les ingénieurs travaillent sur un prochain service qui combine à la fois la technologie de Makara et celle de Red Hat, Roth Isaac signale que le service hébergé de Makara est toujours opérationnel, et que les clients actuels seront déplacés vers la nouvelle plate-forme. « Avec Makara, c'est la première fois que Red Hat dispose de son propre service de cloud public, » a t-il déclaré. « L'offre PaaS hébergée de Makara supporte Java Enterprise Edition, de même qu'il offre des fonctionnalités de niveau entreprise et la gestion du cycle de vie, » a ajouté Roth Isaac. Le service, lancé quelques mois avant que Makara soit rachetée par Red Hat, compte quelques milliers de développeurs inscrits. Même la NASA l'utilise pour la modélisation du climat. Une preview de la plate-forme, qui fonctionne sur Amazon EC2 ou Rackspace, est proposée en accès libre aux développeurs avec un support technique limité.
Basée à Redwood City, en Californie, Makara n'a pas déménagé ses locaux à la suite de l'acquisition, mais son équipe de 15 personnes a été multipliée par trois : des salariés ont été recrutés et certains ont été transférés de Red Hat. «Nous misons sur l'effort significatif entrepris auparavant par Red Hat, et auquel nous apportons notre contribution, » a ajouté l'ancien patron de Makara. « L'offre sur laquelle nous travaillons actuellement est vraiment prometteuse. » L'équipe de Red Hat Makara a intégré des morceaux de JBoss et Red Hat Enterprise Linux au service, lequel tire également parti du projet Deltacloud, qui permet aux développeurs d'utiliser le même code pour mettre en oeuvre des instances sur un cloud interne de type Amazon EC2 ou Rackspace, tout en protégeant les applications contre les modifications ou les incompatibilités des API.
Des annonces prévues au Red Hat Summit de Boston
Mais Red Hat réserve l'annonce d'une feuille de route plus détaillée de ses produits au Red Hat Summit qui doit se tenir à Boston du 3 au 6 mai prochain. Et, quand on demande à Isaac Roth si la technologie de Makara sera proposée en pack logiciel, en plus du service hébergé, celui-ci répond que « Red Hat aura un tas de trucs cool à annoncer au Sommet. » Lors du précédent sommet, l'éditeur s'était plusieurs fois vanté qu'il était le seul avec Microsoft à proposer des logiciels pour construire des réseaux cloud et pour effectuer le déplacement de la charge de travail d'un nuage à l'autre, y compris la virtualisation serveurs, un système d'exploitation, des outils d'orchestration et de gestion, du middleware, et des frameworks pour le développement d'applications.
La seule pièce manquante à Red Hat était un service de cloud public, ce qui n'est pas le cas de Microsoft avec Windows Azure. Quant à Google, il dispose de App Engine et VMware a récemment annoncé Cloud Foundry. Evidemment Red Hat et Microsoft sont en concurrence, mais selon l'ancien CEO de Makara, il y a de la place pour deux. « Azure cible les développeurs de Microsoft et Red Hat vise les développeurs qui s'appuient sur l'Open Source. Il n'y a pas tant de chevauchement entre les deux. Aussi, nous pourrons tout à fait coexister avec Azure, » a t-il déclaré.
En raison de l'augmentation des effectifs chez Makara, les bureaux « saturent un peu, » a dit Isaac Roth. Probablement que certaines équipes de Makara et de Red Hat vont être regroupées dans les mêmes bureaux, mais pour le moment le directeur du département « Pass Master » et son groupe travaillent presque comme une start-up au sein d'une entreprise mère, mais avec des ressources beaucoup plus importantes qu'auparavant. Et pour lui l'objectif est clair : Red Hat et ses dirigeants, dont le CTO Brian Stevens, lui ont demandé « d'avancer avec le PaaS, et d'en faire le meilleur service possible pour les développeurs open source. »
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