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(30/03/2011 14:46:08)
Warren Buffet s'inquiète de la valorisation des réseaux sociaux
Warren Buffet, le célèbre milliardaire et spécialiste des reprises d'entreprise, prévient dans un entretien à Bloomberg que les investisseurs feraient bien de se méfier de la surévaluation des sites de réseaux sociaux à l'heure où certains des plus importants se préparent à diffuser des actions. « La plupart d'entre eux seront surévalués », estime Warren Buffett. « Il est extrêmement difficile de calculer la valeur des sites sociaux. Certains seront des gagnants énormes, ce qui paiera pour les autres » dit-il, sans préciser de noms.
Les analystes ne sont pas étonnés des propos du milliardaire. Pour Dan Olds du Gabriel Consulting Group "Warren Buffet a une vision d'investisseur mais d'une stature un peu à part, celui d'investisseur le plus prolifique. Sa parole est donc importante car pour lui la valorisation d'une société n'est pas uniquement liée au nombre d'utilisateurs. Ses propos apportent un peu de sagesse dans cet univers en pleine surchauffe".
Bloomberg rappelle que Facebook avec ses 500 millions d'abonnés a attiré des investisseurs dont Goldman Sachs lors d'une cession de parts privée qui a valorisé le site à hauteur de 50 milliards de dollars. Quant à Groupon, il vaudrait 25 milliards de dollars. Twitter s'affichait fin décembre à 3,7 milliards.
Lawson Software : les rumeurs d'une contre-offre d'Oracle inquiètent les utilisateurs
L'investisseur et activiste Carl Icahn, qui avait pris une participation dans Lawson l'an dernier, s'est dit favorable à l'offre d'Infor. L'homme d'affaire américain a la réputation de pousser les entreprises dans lesquelles il investit, et de prendre des décisions qu'il estime dans l'intérêt des actionnaires, y compris de procéder à la vente d'une entreprise si nécessaire.
Pendant ce temps, les utilisateurs de Lawson sont dans l'expectative, certains craignant ce qui pourrait advenir. Depuis fin 2001, date à laquelle Lawson est devenue une entreprise cotée, « la qualité n'a pas suivi, le service non plus, » a déclaré un utilisateur de longue date qui travaille au service informatique d'un réseau hospitalier du Midwest. « Cela a été plus difficile d'avoir à faire à des personnes compétentes, et cela prend plus de temps pour trouver des solutions et résoudre les problèmes. La relation avec Lawson oscille entre amour et colère. » L'utilisateur, qui a requis l'anonymat en raison de la situation délicate dans laquelle se trouve l'entreprise, s'est dit aussi préoccupé par ce qui se passerait si Lawson était acheté par Infor ou par Oracle, deux entreprises connues pour leur mode de management rationalisé. « Ce ne serait pas facile pour mon entreprise de changer de système ERP (Enterprise resource planning), pas seulement à cause de l'impact organisationnel et financier, » a t-il dit. Les entreprises comme la sienne « ont vraiment besoin de quelque chose de spécifique au secteur de la santé, notamment pour ce qui concerne les ressources humaines, » a t-il ajouté.
Une situation d'attentisme
Pour l'instant, son entreprise va rester « prudente avant d'investir dans d'autres produits Lawson, et continuer à travailler avec ce dont elle dispose actuellement, » a t-il déclaré. Un autre utilisateur des logiciels de Lawson admet avoir adopté une approche attentiste. « Sur la base de ce que je sais, il semble que Lawson fait diligence raisonnable, évalue sa situation financière et s'assure que tout est bien cadré pour aller de l'avant, » a déclaré Don Zoz, président du Lawson Mid-America User Group. « S'il s'avère que le rachat est une bonne chose pour Lawson, je ne suis pas opposé à une telle transaction. » Cependant, « comme toujours, je crains que le support aux utilisateurs en soit affecté si l'entreprise devient trop importante, » a t-il ajouté.
Pour l'exercice 2010, Infor, entreprise privée, a enregistré environ 2 milliards de dollars de recettes, et Lawson, 736,4 millions de dollars. Si elle voyait le jour, la nouvelle entité réunissant les deux entreprises deviendrait le plus important vendeur ERP du secteur après SAP et Oracle. L'annonce récente d'Infor selon laquelle l'entreprise prévoit d'embaucher quelque 400 ingénieurs en vue de stimuler le développement de produits pourrait rendre les clients de Lawson plus optimistes. La stratégie d'Infor imaginée par la nouvelle équipe de direction - le PDG d'Infor, Charles Phillips, est l'ancien co-président d'Oracle - viserait à faire une entreprise dont le moteur serait l'innovation logicielle plutôt qu'une entreprise résultant de l'accumulation de sociétés acquises, une image qui colle à la peau d'Infor. Mardi, le porte-parole d'Infor n'a pas souhaité faire de commentaire sur l'offre de rachat faite à Lawson. (...)
eBay rachète GSI Commerce pour 2,4 milliards de dollars
L'an dernier, eBay a eu du mal à faire grossir le chiffre d'affaires de son activité principale et c'est avec sa branche PayPal, spécialisée dans les services de paiement en ligne, qu'il a réalisé l'essentiel de sa progression. Les produits et la technologie qu'il s'apprête à racheter avec GSI Commerce correspondent aux opportunités de croissance qu'il a identifiées, a indiqué son PDG John Donahoe.
Plus particulièrement, GSI Commerce a construit des relations durables avec ses quelque 180 clients implantés dans la distribution de détail, ce qui devrait aider eBay à gagner du terrain sur ce segment de marché, au-delà des vendeurs individuels et des commerçants de petite et moyenne taille. Notamment face à un concurrent tel qu'Amazon qui s'est traditionnellement concentré sur les partenariats avec de grands acteurs du retail, bien établis. « Ce qui intéresse eBay, c'est de développer des capacités pour concurrencer Amazon.com », estime Leslie Hand, analyste du cabinet IDC. Or, on trouve parmi les clients de GSI Commerce des groupes comme Adidas, Calvin Klein, Levi's, Godiva, Radio Shack ou encore Toys R Us.
Par ailleurs, GSI Commerce va aider eBay à fournir de nouveaux services de e-commerce dans les secteurs à forte croissance, explique John Donahoe, c'est-à-dire la mobilité, les réseaux sociaux et la convergence qui s'opère entre les ventes et le marketing réalisés en boutique et en ligne.
Un rachat pour retenir ses clients
Dans un premier temps, la société rachetée va continuer à fonctionner de façon séparée, mais ensuite, elle s'insérera progressivement dans la place de marché d'eBay et avec PayPal. Les grands commerçants présents sur le site d'enchères pourraient être intéressés par les outils et services de GSI Commerce, tandis que les clients de ce dernier pourraient vouloir écouler leurs surplus de stocks sur eBay ou recourir à PayPal. Pour Gene Alvarez, analyste au cabinet Gartner, le principal bénéfice pour eBay serait d'être ainsi capable de retenir ses clients les plus importants, tentés par la mise en place de leurs propres sites de vente en ligne, stoppant du même coup leur partage de revenus avec eBay. Avec les solutions de GSI Commerce, la société de John Donahoe pourrait garder la main sur eux en les aidant à gérer leur propre boutique en ligne (design web, hébergement, gestion des commandes, mise à disposition des produits), leur marketing et les équipes de leur centre d'appels.
« A chaque fois qu'un marchand qui prend de l'ampleur quitte le site d'eBay pour ouvrir le sien, eBay doit le remplacer. On peut espérer qu'il sera bientôt capable de faire évoluer ce client vers les outils de GSI afin de le garder, tandis que de nouveaux clients, plus petits, continueront à lui arriver à l'autre bout de la chaîne », dessine Gene Alvarez.
Néanmoins, eBay devra aussi prendre en compte la tendance qui veut que les grands retailers réduisent leur recours aux prestataires de services e-commerce tels que GSI Commerce pour réaliser tout ou partie de ces fonctionnalités en interne, au fur et à mesure que progressent leurs performances dans le e-commerce, souligne Leslie Hand, d'IDC. Selon elle, la bonne option consisterait à s'adresser à des marchands qui n'ont pas les ressources pour faire monter en puissance leur chaîne de e-commerce de bout en bout. Ceux-là trouveront un avantage financier à confier l'ensemble de ces fonctions ou une partie d'entre elles à eBay et GSI Commerce.
GSI Commerce a généré 1,4 Md$ en 2010
Une nouvelle holding dirigée par le fondateur de GSI, Michael Rubin, absorbera les parties de la société qui n'intéressent pas eBay, soit 100% de l'activité des produits sports sous licence et 70% de Rue La La et ShopRunner. Elle recevra un prêt de ce dernier, d'un montant de 467 M$, par lequel elle détiendra 30% dans Rue La La et ShopRunner.
GSI Commerce a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 1,4 milliard de dollars. La partie de son activité qu'eBay souhaite acquérir a généré environ 900 millions de dollars, des revenus qu'eBay voudrait porter à 1,2 milliard de dollars en 2013.
Jusqu'au 6 mai 2011, GSI Commerce peut recevoir des propositions de rachat concurrentes et les faire connaître à eBay pour lui donner la possibilité de surenchérir. L'offre d'eBay représente un bonus de 51% sur le cours de l'action GSI Commerce à la clôture des marchés de vendredi dernier et un bonus de 47% par rapport au cours des trente derniers jours. « Il sera intéressant de voir si un autre acheteur se présente. La situation pourrait devenir plus compliquée pour eBay si le prix était tiré vers le haut, parce que son offre actuelle se situe à un niveau raisonnable », fait remarquer Leslie Hand, d'IDC. (...)
WWDC d'Apple entre retard de l'iPhone 5 et tickets au marché noir
La Worldwide Developers Conference (WWDC) d'Apple est l'évènement central du calendrier de tous les fanatiques du Mac. C'est la première fois qu'il affiche complet si rapidement. En 2010, la WWDC avait clos ses guichets en huit jours. En 2009, il avait fallu un mois pour écouler tous les billets. Ce succès est tel que les tickets, vendus 1599 dollars, se revendent le triple sur les sites d'enchères comme ebay (les annonces ont été depuis supprimé du site d'enchères). Il faut dire que le teasing sur cet évènement, l'avènement de l'ère Post-PC promis par Steve Jobs a de quoi interpeller. Sauf que les rumeurs pointent aussi le retard probable de la sortie de l'iPhone 5.
Depuis l'introduction de l'iPhone en 2007, Apple a sorti chaque année la nouvelle génération de son mobile en juin ou en juillet aux Etats-Unis, dans la foulée de la WWDC. Mais il se murmure que le nouvel iPhone arrivera plus tard cette année. "Cette année, nous dévoilerons le futur d'iOS et de Mac OS", a déclaré le 28 mars Philip Schiller, vice-président du marketing d'Apple, suggérant que l'accent sera mis sur les systèmes d'exploitation du Mac, de l'iPad et de l'iPhone plutôt que sur de nouvelles machines.
Cet infléchissement de la stratégie de la société n'est pas sans surprendre les observateurs, qui s'attendaient à ce qu'Apple ne dévie pas du rythme de sortie établi. La question est maintenant de savoir ce que cela signifie pour Apple et ses clients. Dan Frommer, du site Business Insider, indique que repousser la sortie de l'iPhone 5 pourrait être bénéfique pour la société autant que pour les "clients potentiels de l'iPhone, les fans d'Apple et les investisseurs" et d'ajouter "Si Apple tient à creuser l'écart sur ses poursuivants, il lui faudra tôt ou tard proposer une mise à jour assez importante pour bluffer les imitateurs", indique Dan Frommer en faisant allusion aux nombreux rivaux Android qui apparaissent chaque jour sur le marché du smartphone. "C'est peut-être pour ça qu'ils ont besoin d'autant de temps."
Attendre pour avoir un meilleur produit
Le site d'info high-tech Venture Beat est de cet avis: sortir l'iPhone 5 en août ou septembre permettrait à Apple de "profiter des avantages des nouveaux chipsets LTE, plus petits et plus efficaces". Autrement dit, l'iPhone nouvelle génération pourrait être compatible avec les réseaux 4G LTE. "L'iPhone 4 Verizon vient de sortir, en proposant l'iPhone 5 seulement quatre mois plus tard Apple se mettrait à dos des millions de clients Verizon", avance le magazine en ligne Fast Company.
"Attendre quelques mois de plus pour un nouveau mobile, ça n'a l'air de rien. Mais la gamme Apple est très restreinte, et comme c'est l'une des firmes de high-tech les plus importantes du monde, il suffit qu'un de ses produits change pour que les répercussions se fassent sentir dans tout le secteur", ajoute Fast Company.
La Worldwide Developers Conference se tiendra du 6 au 10 juin au complexe d'exposition Moscone West, à San Francisco. (...)
Regain de fusions-acquisitions en 2010 selon IDC
Selon IDC, 2010 a connu plus de 1 900 accords de fusions et acquisitions dans le secteur IT. Ils représentent une valeur totale de 200 milliards de dollars. Ces opérations se sont concentrées dans le domaine applicatif, 586 dans les applications d'entreprise, 421 dans les applications internet. Il y a eu également 219 opérations dans les infrastructures, essentiellement dans la sécurité et le stockage.
Sept des dix plus grandes transactions se sont produits dans les télécoms : acquisition de CenturyLink par Qwest pour 22,4 milliards de dollars et d'América Móvil par le même pour 21 milliards de dollars. Intel a lâché 7,7 milliards de dollars pour l'acquisition de McAfee et SAP s'est payé Sybase pour 5,8 milliards de dollars.
Google entreprise la plus active
Les entreprises les plus actives ont été Google, qui a fait 27 opérations en 2010, suivi par AOL et Facebook avec 9 chacune. Parmi les principaux fournisseurs IT, Cisco, Dell, HP, IBM, Intel, Oracle, VMware ont affiché un regain d'appétit pour les acquisitions.
« La confiance renouvelée accompagnant la reprise des dépenses informatiques a contribué à faire de 2010 un revirement pour les fusions et acquisitions », a déclaré Dan Yachin, directeur de recherche sur les technologies émergentes chez IDC. 2011 sera une autre année très active sur ce sujet, en particulier pour les domaines tels que la convergence des infrastructures, celle des contenus mobiles, la création de services et la facilitation, l'analyse de données (et de l'infrastructure de soutien) et l'informatique diffuse.
Du matériel dédié et localisé désormais disponible dans le cloud d'Amazon
Elastic Compute Cloud (EC2) d'Amazon utilise la virtualisation, basée sur une version personnalisée de l'hyperviseur Xen, pour faire tourner plusieurs OS et des applications clients sur une seule machine physique. Mais, ce mode de gestion de l'infrastructure informatique ne convient pas à tous les utilisateurs, notamment ceux qui doivent respecter des restrictions réglementaires ou autres nécessitant un isolement physique, comme le fait remarquer le communiqué publié sur le blog d'Amazon. Celui-ci indique par ailleurs que la mise à disposition d'instances dédiées ou Dedicated instances vise à répondre à ces besoins.
Les instances feront partie du service Cloud Privé Virtuel (VPC) d'Amazon, récemment mis à jour pour bénéficier de meilleures fonctions réseau. Au moment de la configuration du VPC, les administrateurs peuvent mettre en place soit un cloud privé composé uniquement d'instances dédiés ou bien un cloud comprenant un mélange d'instances classiques et dédiées, selon les exigences de l'application, indique Amazon. Les utilisateurs n'ont aucun contrôle sur la manière dont sont gérées les instances dédiées, à savoir si elles tourneront sur un même matériel ou si elles seront réparties sur plusieurs machines. Mais Amazon a déclaré faire en sorte de privilégier la répartition afin de réduire les effets que pourrait entraîner une éventuelle défaillance matérielle.
Un léger surcoût
Le prix pour bénéficier d'instances dédiées comprend deux types de frais : un tarif horaire « par instance » et une « taxe par région ». Les frais liés à la localisation sont de 10 dollars de l'heure quel que soit le nombre d'instances en cours d'exécution par une entreprise dans la dite région. Les frais d'utilisation dépendent de la région où l'instance est en cours d'utilisation, son niveau de performance et le système d'exploitation impliqué. Par exemple, une instance de grande taille pour faire tourner Suse Enterprise Linux en Caroline du Nord coûte 0,54 dollar de l'heure.
Les utilisateurs d'AWS peuvent également choisir un règlement unique pour chaque instance, en contractant un abonnement sur un ou trois ans. En retour, ils peuvent bénéficier d'une réduction sur le taux horaire. Les entreprises qui ont besoin d'instances régulières ne payent alors que les frais d'usage, ce qui est légèrement moins onéreux que le tarif payé par les utilisateurs d'instances dédiées. Ces derniers ont également plus de liberté pour choisir les instances et la région dans laquelle ils souhaitent opérer. Selon le blog d'Amazon, les frais liés à la localisation se justifient par le fait que l'entreprise ne sera pas en mesure d'utiliser le matériel dédié de manière aussi rationnelle.
Selon Niklas Zandelin, PDG de la société de recherche en marketing Exido, le fait de permettre aux entreprises de faire tourner des applications sur du matériel dédié peut aller à l'encontre de l'idée que l'on se fait des services cloud et de la virtualisation. « Pour Amazon cependant, c'est un moyen de mettre ses services à la portée d'un plus grand nombre d'entreprises, » a t-il expliqué. Pour la plupart des entreprises, le déplacement d'une activité vers le cloud est toujours un processus évolutif. En leur permettant d'utiliser un matériel dédié, Amazon pourrait attirer et engager les clients plus tôt dans ce processus.
BI : Speed recruiting chez Keyrus pour des consultants techniques et métiers
Keyrus mise sur le « speed recruiting » pour prendre contact avec des profils susceptibles de compléter ses équipes spécialisées dans les projets d'informatique décisionnelle et de e-business, sur le versant technologique et sur les aspects métiers. La SSII ouvrira les portes de son siège social de Levallois aux candidats intéressés par ces carrières le mardi 5 avril 2011 à partir de 18 h 30. « Nous avons un plan de recrutement assez ambitieux sur 2011 avec 300 postes ouverts, à la fois pour des jeunes diplômés et pour des profils expérimentés », expose Rébecca Meimoun, directrice des ressources humaines de la société en précisant que 30% des postes sont ouverts pour des juniors. « Nous avons mené depuis un certain temps des actions de communication en direction d'écoles d'ingénieurs ou de commerce et des universités ayant un master spécialisé en décisionnel, cursus que nous suivons et connaissons bien. »
La SSII recherche des consultants techniques en informatique décisionnelle et en e-business, ainsi que des consultants en test, évoluant du côté de la maîtrise d'ouvrage, détaille sa DRH. « Parallèlement, nous sommes intéressés par des profils de consultants métiers spécialisés sur les ressources humaines, la finance ou, encore, sur l'organisation et le management. » Sur ces postes, Keyrus demande une double compétence : d'une part, la connaissance du métier et d'autre part, celle du système d'information et de la Business Intelligence (BI). « Nous ouvrons des postes pour des chefs de projets techniques et fonctionnels, des directeurs de projets, ainsi que pour des profils experts sur les technologies SAS, Cognos, Microsoft et, d'une façon générale, sur l'ensemble des solutions de nos partenaires éditeurs ».
« Le marché redémarre bien »
En 2010, Keyrus a effectué environ 250 recrutements et souhaite renforcer cette dynamique cette année. « Le marché redémarre bien, note Rébecca Meimoun. Il nous faut donc mettre les moyens pour conserver un niveau de recrutement équivalent à celui de l'an dernier. Nos actions vers les écoles ont commencé à générer des retours assez importants et de qualité. Les jeunes diplômés sont en période de recherche de stages de fin d'études. Il s'agit de stages de six mois qui peuvent constituer des pré-embauches. Si nous les recrutons, ils seront déjà formés à nos technologies et à nos processus. C'est une formule que nous privilégions. »
Pour l'instant, la SSII n'a pas limité le nombre d'inscrits à la soirée du 5 avril. Elle a prévu de mobiliser trente personnes en interne, à la fois à la RH et dans les équipes opérationnelles pour réaliser les entretiens. « Nous avons la capacité de solliciter d'autres personnes ayant des rôles confirmés dans notre organisation si le nombre de candidats inscrits le nécessitait, ajoute la DRH. Nous menons ce type d'actions avec l'objectif de faire le maximum de recrutements possibles, même si le processus d'embauche ne va pas obligatoirement aboutir ce soir-là. Nous ne pourrons pas forcément voir tout le monde. »
Des entretiens de 20 à 30 minutes
Les candidats seront présentés aux équipes de management et aux équipes métiers de Keyrus. Suivront trois ou quatre ateliers thématiques qui seront axés sur les métiers « sur le pôle innovation, par exemple, précise Rébecca Meimoun, sur les projets réalisés, les outils innovants que nous utilisons. Les candidats pourront ensuite rencontrer les managers opérationnels sur l'espace « speed recruiting » pour des entretiens de 20 à 30 minutes, durée au-dessous de laquelle je considère qu'il n'est pas possible d'évaluer une personne. Néanmoins, comparés aux entretiens habituels d'embauche d'environ une heure trente, il s'agit tout de même de « speed recruiting ». Si nous n'arrivons pas à voir tout le monde en entretien, nous aurons de toutes façons récupéré les contacts des candidats. » (...)
Orange étend sa relation client sur les réseaux sociaux
Après avoir revu sa rubrique assistance sur son site et activé son compte Twitter (@Orange_conseil), Orange proposera dès le 29 mars de venir en aide à ses clients via Facebook. Un espace forum muni d'un moteur de recherche fera son apparition sur la page de l'opérateur permettant aux abonnés de poser leurs questions. Les réponses seront certifiées par des experts homologués par Orange.
Au-delà de sa mission d'assister, de conseiller, l'opérateur tente d'installer une relation privilégiée avec ses clients. A partir du 29 mars, Orange lancera trois sites sportifs dédiés au football, au rugby et aux sports de glisse, Le 12ème homme, Ensemble avec le XV et Ride Session.
L'actualité des nouvelles technologies sera abordée et vulgarisée par le site communautaire Lecollectif.fr qui s'ouvrira le 5 avril prochain. Il précédera la nouvelle formule de la Web TV Orange-innovation.tv. Fin prêt pour fin avril, le site ambitionne d'informer "au quotidien sur les dernières innovations du secteur avec chaque semaine un JT et talk show".
(...)(29/03/2011 10:04:04)IPsteel sécurise le WiFi avec AirTight Networks
Le grossiste à valeur ajoutée Ipsteel introduit en France et en Belgique SpectraGuard de l'américain AirTight Networks. Cette solution de prévention des intrusions pour les réseaux sans fil (Wireless Intrusion Prevention solution ou WIPS) se compose d'une appliance d'administration et de monitoring reliée en Ethernet à autant de capteurs que nécessaire pour couvrir le périmètre à sécuriser.
Dès lors, ces derniers vont empêcher toute personne située à l'extérieur de capter le signal du réseau wifi de l'entreprise équipée si elle n'est pas référencée dans l'annuaire des utilisateurs. Ils peuvent aussi éviter que l'équipement personnel d'un collaborateur qui se connecterai depuis le périmètre autorisé sans passer par le réseau de sa société ne puisse devenir une passerelle d'accès au systèmes d'information de l'entreprise.
A noter que l'appliance peut être administrée à distance. Cela autorise pour un revendeur de proposer SpectraGuard en mode SaaS en n'installant que des capteurs au sein de l'entreprise à sécuriser. (...)
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