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(29/03/2011 10:51:45)
Mazars unifie et sécurise sa sauvegarde de sites distants
Mazars est une organisation internationale spécialisée dans l'audit, le conseil, la comptabilité, la fiscalité. Le Groupe fédère 13 000 professionnels, dans les 61 pays. Le premier cabinet d'expertise comptable avait été créé en 1940 près de Rouen par Robert Mazars. Depuis le Groupe n'a cessé de se développer en France comme à l'international. En France, Mazars compte 31 sites répartis sur tout le territoire. Sur ces 31 implantations, 23 sites s'appuyaient encore récemment sur des personnels non-informaticiens pour assurer les sauvegardes et le contrôle associé.
« Dans ce contexte, il était difficile de garantir la sécurité des sauvegardes à 100% et les risques de perte ou de corruption de données restaient réels » reconnaît Ivan Alcaraz, Responsable Système et Réseau chez Mazars. Il poursuit « Pourtant, s'agissant de données aussi stratégiques - états comptables des clients, rapports d'audit, etc. - nous ne pouvions nous permettre la moindre perte, au risque de paralyser non seulement nos activités, mais surtout celles de nos clients. »
Il fallait réagir. Dès lors, « l'idée de centraliser les sauvegardes de nos sites distants via notre VPN a ainsi été concrétisée à l'occasion du renouvellement de nos serveurs, qui arrivaient en fin de garantie. » il était urgent de sécuriser le processus et de centraliser la sauvegarde et la réplication de 1,5 To de données stratégiques à travers des 23 sites distants. Dans un contexte où les télécoms risquaient de créer un goulet d'étranglement, la solution retenue « préservait parfaitement la bande passante du réseau via des fonctions d'optimisation WAN. Ce détail est fondamental puisque certains de nos sites disposent d'une connectivité limitée du fait de leur emplacement géographique » se félicite Ivan Alcaraz.
1 To de données répliquées chaque jour
18 sites bénéficient actuellement de la nouvelle sauvegarde, soit un volume quotidien d'environ 1 To par jour de données répliquées, puis sauvegardées sur bandes. A terme, lorsque tous les sites seront raccordés au nouveau processus de sauvegarde, le volume total de données sauvegardées atteindra 1,5 To. Au final, le Groupe Mazars a surtout gagné en tranquillité : « Le fait d'avoir déchargé les personnels de chaque site de la responsabilité des sauvegardes est un point très apprécié en interne. Même si cette opération ne leur prenait pas énormément de temps, ils se sont affranchis de contraintes qui ne correspondaient pas à leur coeur de métier » relève Ivan Alcaraz.
Il avance également que « Ceci illustre les avantages offerts par la gestion centralisée de notre système d'information : petit à petit l'informatique est gérée dans sa globalité, ce qui nous aide à l'optimiser, tout en nous offrant un pouvoir de négociation plus important vis-à-vis de nos fournisseurs. » et il ajoute « nous sommes conscients d'avoir totalement sécurisé notre processus de sauvegarde. Les données de nos clients sont ultra stratégiques, la moindre indisponibilité serait catastrophique non seulement pour la bonne marche de nos activités et de celles de nos clients, mais également pour notre image et notre réputation » conclut Ivan Alcaraz. Ce sont les solutions de CA Technologies, ARCserve Replication et ARCserve Backup qui ont été déployées. ARCserve Backup était employé en central.
Ceso-GTO franchit le cap du Centrex
Basé en Charente-Maritime, Ceso-Groupe Telecoms de l'Ouest (Ceso-Gto) dispose depuis 2007 d'une licence d'opérateur télécoms L 33-1. Elle lui permet de bâtir une offre de type centrex. Il la vendra, d'une part en direct sur son département et dans l'Ouest, d'autre part en dehors de cette région, en marque blanche avec d'autres intégrateurs, en particulier les membres du Groupement Convergence (64 adhérents) dont Ceso-Gto est membre.
L'offre est actuellement en test, auprès des clients de Ceso en Charente-Maritime et auprès d'intégrateurs du Groupement Convergence au plan national. Elle sera disponible commercialement, en direct et en marque blanche, avant l'été.
L'intégrateur en marque blanche chez Ceso conserve la propriété de son client. C'est le point différenciateur par rapport à d'autres offres télécoms en marque blanche. Il sera certifié par Ceso et formé sur différents points (positionnement des routeurs et des switchs, câblage). Il pourra alors revendre : l'offre de communication mutualisée de Ceso, des postes fournis par exemple par le Groupement Convergence et différents services. L'intégrateur est ainsi l'interlocuteur unique de son client et peut lui proposer une facture unique : télécoms, poste téléphonique, services, maintenance etc....
Une offre bâti avec l'opérateur Legos
Pour lancer cette offre, Ceso l'intégrateur-opérateur a constitué une équipe dédiée : 4 commerciaux, 6 techniciens, 2 ingénieurs. Il a bâti son offre avec un 1er opérateur partenaire, Legos, qui fournit un lien dédié et secouru sur le serveur de Ceso à La Rochelle. Des numéros locaux seront fournis par Legos pour la Charente Maritime, avec portabilité des numéros des clients de Ceso.
C'est plus qu'une offre supplémentaire dans le monde des télécoms. Ceso-GTO donne la possibilité aux intégrateurs, dont il est issu, de mieux assurer leur développement. La situation du secteur est délicate. « Pour éviter que ce soit chronique d'une mort annoncée, il faut trouver d'autres solutions » plaide Olivier Bruneau, le dirigeant de Ceso-Gto (...)
HP Technology Work à l'heure du cloud et de la convergence
« Le cloud est un voyage, il ne faut pas y aller d'un coup, mais progressivement », souligne Xavier Poisson-Gouyou Beauchamps, directeur commercial converged infrastructure pour la zone EMEA. L'édition 2011 du HP Technology Work est résolument orientée vers le cloud avec deux axes. Le premier à destination des clients. « HP propose plusieurs outils pour accompagner l'entreprise dans sa migration et la transformation de son datacenter », précise le dirigeant et de lister les solutions de type Cloud System comprenant les outils Blade Matrix auxquels s'ajoutent des services d'automatisation. Il a parlé aussi de Cloud Map, un programme pour aider l'intégration du patrimoine applicatif au sein du cloud. « Nous avons travaillé avec les principaux éditeurs de logiciels pour fournir des guides de bonne pratiques, l'offre va s'étoffer avec le temps » confie Xavier Poisson Gouyou Beauchamps. Bien entendu, le voyage proposé par HP repose à la fois sur des standards pour apporter de l'interopérabilité, mais aussi sur la sécurité, pilier essentiel des services proposés.
Il rappelle pour ceux qui s'interrogent sur la pertinence du choix d'HP que sur les 10 plus grands fournisseurs de cloud dans le monde, 7 utilisent les outils de la marque. Par ailleurs, pour les indécis, il cite plusieurs analyses qui prédisent que 20% de l'utilisation des ressources IT se feront en externe d'ici 2012.
Mise au point et unification des évènements
Ce rendez-vous était aussi l'occasion pour les responsables d'HP et Intel de réitérer la position officielle des deux sociétés à continuer à travailler sur l'architecture Itanium. La semaine dernière, Oracle a annoncé la fin du développement logiciel, middleware pour cette plate-forme, provoquant ainsi quelques inquiétudes pour les entreprises. Pascal Nègre, PDG d'Intel France s'est voulu rassurant en montrant la roadmap sur 10 ans des puces Itanium. Il a également indiqué que la prochaine offre Xeon, baptisée E7 comprenant de 1 à 8 sockets serait disponible la semaine prochaine.
En parallèle de ces mises au point, cette édition Tech Work va laisser dans les prochains mois la place à un évènement plus global nommé Discover. Deux versions sont attendues, la première à Las Vegas du 6 au 11 juin 2011 et la seconde à Vienne du 29 novembre au 1er décembre 2011. L'objectif est de regrouper sous le même giron, l'aspect infrastructure, service, partenaire éditeurs. La convergence se déroule aussi sur l'aspect évènementiel, mais elle est symbolique de cette évolution de l'IT.
Résultats Sodifrance : Impact concurrentiel et pénurie d'ingénieurs
Sodifrance, société de services informatiques, publie ses résultats pour l'année 2010. Son chiffre d'affaires stagne à 63 M€ et la société enregistre une baisse de 22,1% de son résultat opérationnel courant et une diminution de 3,58% de son résultat opérationnel. Son résultat net accuse un recul de 36,6%. La trésorerie de clôture s'élève au 31 décembre à 3,13 M€ et la dette financière brute baisse à 5,29 M€, soit un endettement net de 2,158 M€ en 2010. Plusieurs facteurs ont impacté ces résultats : une forte pression sur les prix et des surconsommations entraînées par des difficultés sur un grand projet présentant un haut niveau technologique, mais également les efforts réalisés sur les équipes de management de projets et de commerce, ainsi qu'un niveau d'investissement soutenu en R&D.
En outre, Sodifrance a renforcé son activité sur Paris et l'Île de France en 2010. Cette région représente 61,4% du CA de la société contre 52% en 2009. Pour l'année en cours, Sodifrance anticipe une croissance après avoir remporté plusieurs appels d'offres. Cependant, la pénurie d'ingénieurs et la faible remontée des tarifs risque de freiner cette croissance attendue.
Microsoft décerne ses trophées Finance-Innovation à 4 start-up
Réuni devant 1 000 décideurs de l'industrie, de la finance et de la distribution, un jury d'experts a départagé 30 start-up candidates à l'appel à projets lancé par Microsoft. Ces trophées récompensent les start-up les plus innovantes développant des solutions pour le secteur financier reposant sur une technologie Microsoft. Quatre finalistes ont été désignés.
Limonetik a reçu le premier prix pour sa solution de paiement sur Internet avec des moyens de paiement non bancaires (comptes prépayés, cartes cadeaux...). In-Webo et Riskelia sont deuxièmes ex-æquo pour leurs solutions respectives d'authentification (In-Webo Toolbar, nCode et mAccess, proposées notamment en mode SaaS) et de surveillance des marchés financiers. La start-up Leetchi.com a quant à elle reçu le « coup de coeur du jury » pour son service en ligne de gestion sécurisée de collecte d'argent à plusieurs (pour les anniversaires, soirées...).
Cette remise de trophées a également été l'occasion pour Microsoft de mettre en avant son programme BizSpark, qui accompagne les start-up dans leur développement en leur donnant accès à moindre coup à ses technologies, au sein d'un réseau à visibilité mondiale.
Illustration : Limonetik propose une plateforme diversifiant les modes de paiement.
Résultats Esker : Porté par les offres cloud
Esker publie ses résultats annuels 2010. L'éditeur de solutions de dématérialisation enregistre un chiffre d'affaires de 32,7 M€, en croissance de 19% par rapport à 2009. Cette évolution s'explique notamment par les offres « Cloud » qui représentent 13,5 M€, soit 41% du CA. Les facturations « Cloud » progressent de 36% par rapport à 2009. A cette forte croissance s'ajoute un doublement du résultat opérationnel à 1,75 M€ soit 5,4% du CA. Une maitrise des coûts opérationnels et des investissements en R&D ont permis cette croissance significative. Quant au résultat net, il progresse de 27,4% à 1,47 M€, et les fonds propres atteignent les 10,8 M€.
A la clôture de l'exercice le 31 décembre 2010, Esker finance la totalité de ses investissements, génère plus de 1,2 M€ de trésorerie supplémentaire et dispose de plus de 9,1 M€ au début de l'année 2011. Esker prévoit donc pour cette année une croissance à deux chiffres de son chiffre d'affaires ainsi qu'une nouvelle progression de la rentabilité du groupe. En outre, l'éditeur publiera désormais ses comptes par référence à la réglementation comptable française et non plus selon les normes internationales. La première publication en normes françaises aura lieu à l'occasion des comptes semestriels 2011. (...)
Sage s'essaye au SaaS progressivement
Resté longtemps frileux sur le sujet, Sage engage une stratégie mondiale sur le Saas (software as a service). Annoncée depuis quatre mois en interne, celle-ci reste encore prudente. Elle repose sur la mutualisation des développements assurés dans un pays et réutilisables dans d'autres grâce à la technologie Sdata de Sage (**). Chaque pays évoluant ensuite à son rythme au plan commercial. La comptabilité en Saas par exemple, déjà engagée en Grande-Bretagne avec la solution SageOne, ne le sera pas tout de suite en France, le marché n'étant pas jugé suffisamment mûr.
Sage France conduit une stratégie en deux volets, d'un côté des « add on » en ligne, de l'autre des solutions de gestion complète. Dans le premier cas, il s'agit de modules, ce que Sage appelle des « services connectés », de l'autre des « solutions de gestion », soit pour TPE, soit pour ETI (entreprises de taille intermédiaire), par exemple une comptabilité ou une gestion des ressources humaines. Les services connectés sont des fonctionnalités complémentaires pour des clients de Sage possédant déjà des solutions sur site. Les services de gestion sont des solutions complètes pour des créateurs d'entreprise ou des PME de taille importante.
Sur le premier point, les services connectés, Sage France propose par exemple un fichier prospects et une solution de génération et de suivi de commandes pour compléter le logiciel de CRM Act ! Autres exemples : la visualisation en temps réel sur un smartphone des compteurs d'activité de l'entreprise (encours clients, portefeuille de commandes en cours), l'interfaçage d'un site de e-commerce avec la gestion commerciale Sage, le passage de déclarations fiscales ou sociales en ligne (en complément du logiciel de Sage directDéclaration). « On amène ainsi des services en ligne sur le poste client et on propose à nos utilisateurs des fonctionnalités nouvelles », souligne Antoine Henry.
La paye en SaaS pour les TPE
Quant aux solutions complètes de gestion, Sage France propose déjà Ciel e-service Paye pour gérer la paye avec une facturation au bulletin de salaire. Ce logiciel est destiné aux entreprises de moins de 20 salariés, plutôt des entreprises jeunes, peut-être venues à l'environnement Sage par le logiciel « auto-entrepreneur ». Sur 1 200 000 entreprises de moins de 20 salariés, 300 000 seulement sont équipées d'un logiciel de gestion. Le Saas sera peut être un moyen de leur faciliter le passage à la gestion informatisée, espère Antoine Henry.
Les entreprises de taille plus importante se voient proposer leurs logiciels habituels, Sage 100, FRP Treasury, Transport, en mode Saas et par les partenaires en indirect. L'éditeur a également mis au point une approche hybride. Dans ce cas, son client peut utiliser le même logiciel, soit dans la formule traditionnelle, soit dans une formule en Saas pour certains de ses utilisateurs. Deux produits sont actuellement concernés : Sage 100 Entreprise Etendue et Sage SalesLogix (CRM vendu aux Etats-Unis).
Sage a réalisé 315 millions d'euros de chiffre d'affaires l'an passé en France, en progression de 3%. Sur ce total, 10 millions d'euros venaient du Saas. En 2009, selon Pierre Audoin Consultants, l'éditeur britannique Sage réalisait 80 millions d'euros dans le monde dans le domaine du Saas. C'était le premier éditeur en Saas, devant son compatriote Misys (74 M€), Linedata Services (38 M€), SAP (14 M€) et Cegid 12,5 M€. Les chiffres 2010 sont en cours d'enquête.
(*) En remplacement de Pascal Houillon, parti diriger l'Amérique du nord.
(**) http://sdata.sage.com/sdatacore_covers.html
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