Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 1771 à 1780.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(01/04/2011 10:14:38)

Les acteurs du e-commerce s'inquiètent des récentes règles européennes

Le Parlement européen a révisé le 24 mars dernier la réglementation du commerce sur Internet qui inquiète les professionnels de ce secteur. Les changements qui suscitent le plus de réticences concernent l'allongement du délai de rétraction des acheteurs, qui passerait de 7 jours à 2 fois 14 jours, soit quasiment un mois.

Ce dispositif implique ainsi que les produits pourraient être remboursés à l'acheteur avant même que le vendeur les ait récupéré, et donc avant de découvrir dans quel état ils se trouvent. De plus, pour tout achat supérieur à 40 €, le vendeur sera tenu de rembourser les frais de retour des produits, en plus des frais de livraison et des produits eux-mêmes.

Autre point délicat : les e-commerçants implantés dans l'Europe des 27 devront accepter de livrer dans ces conditions dans tous les pays de l'union, en étant capables d'utiliser les 25 langues et les 7 monnaies existantes.« Cela pourrait coûter très cher aux acteurs du e-commerce, quelle que soit leur taille,» explique François Momboisse, Président de la FEVAD (Fédération de la Vente à Distance) et par ailleurs en charge du Développement Internet à l'international de la FNAC.

Les matériels high-tech en tête de liste...

Concrètement, les professionnels craignent notamment des dérives et une utilisation abusive de ces nouveaux droits des consommateurs. En l'état, ces règles permettraient en effet une « location gratuite » des produits. Et les produits high-tech pourraient être les premiers concernés, depuis les ordinateurs portables, les smartphones, ou les tablettes, en passant par les téléviseurs. « L'Allemagne oblige ainsi depuis 2002 les vendeurs à prendre en charge les frais de réexpédition : le résultats est que le taux de retour y est deux à trois fois supérieur à celui que l'on connaît en France », précise François Momboisse.

Selon lui, il reste possible de modifier ces règles. Les 27 pays concernés ont deux mois pour réagir et demander à la Commission Européenne de corriger le tir. Dès le 29 mars, la FEVAD a été reçue par le cabinet du ministre de l'Industrie, Eric Besson. « Les pouvoirs publics français prennent la mesure des dégâts que cela pourrait causer à la filière du e-commerce, qui est en forte expansion et qui créée des emplois, estime François Momboisse. Ces règles ont été conçues sans que les professionnels du secteur soient consultés et sans que les associations de consommateurs aient demandé des évolutions aussi radicales ».

Enfin, un groupe spécifique a été créé au début de cette semaine pour faire pression sur l'Etat français (Touche pas à ma e-boutique). Il a réuni plus de 700 membres en trois jours et devrait en compter largement plus de 1 000 la semaine prochaine. Créé en marge de l'action de la FEVAD, ce groupe a notamment pour objectif de recueillir le plus grand nombre de signatures pour sa pétition contre la nouvelle réglementation européenne.

(...)

(31/03/2011 14:45:40)

Microsoft porte plainte contre Google auprès de la Commission européenne

« Microsoft dépose une plainte formelle auprès de la Commission européenne, dans le cadre de l'enquête en cours de la Commission pour savoir si Google a violé le droit européen de la concurrence » indique Brad Smith, vice-président de Microsoft sur son blog. La firme de Redmond rejoint ainsi quatre autres sociétés qui ont aussi déposé plainte. Il s'agit de Foundem.co.uk, un comparateur de prix sur internet basé au Royaume-Uni, ejustice.fr, site français spécialisé dans le droit et de Ciao.de, un moteur de recherche allemand, récemment acquis par Microsoft. A ce trio, il faut ajouter la société 1plusV qui a déposé plainte plus récemment. Lors du dépôt des premiers dossiers, Google soupçonnait Microsoft d'être derrière ces actions. La démarche actuelle de la firme de Redmond lève l'ambiguïté et apportera probablement un peu plus de transparence au débat.

L'affaire suit son cours


Comme à son habitude la Commission européenne va « analyser la recevabilité de la plainte de Microsoft et se tourner vers Google pour lui demander de s'exprimer dessus » a indiqué la porte-parole de la Commission pour les questions de concurrence, Amelia Torres. Il y a quelques semaines, l'institution communautaire avait envoyé des questionnaires aux annonceurs, éditeurs, propriétaires de sites web et moteurs de recherche rivaux, pour demander leur avis sur les pratiques commerciales de l'éditeur. Le formulaire contenait près de 100 questions pour déterminer si l'algorithme de Google pénalisait injustement les concurrents.

Le géant de la recherche sur Internet a réitéré son intention de travailler avec les services de la Commission et d'expliquer son métier et ses méthodes.

(...)

(31/03/2011 12:34:00)

Android Market : Google lance son service de paiement In-App pour la vente de contenu

Ces derniers peuvent ainsi vendre une grande variété de contenus, des fichiers multimédias ou des photos, mais aussi du contenu virtuel pour leurs applications, comme des mises à jours, des niveaux de jeu ou des options additionnelles type add-ons. Les utilisateurs peuvent effecteur leur paiement selon les modalités actuelles. Google prélève 30% sur ce type de vente, soit l'équivalent des frais appliqués pour les applications.

Selon un document publié sur le site des développeurs Android, le SDK intègre maintenant un exemple qui montre aux développeurs comment intégrer ce mode de facturation dans leurs applications. L'Android Market est considéré par beaucoup comme le maillon faible de l'écosystème Android. Il a d'ailleurs laissé un espace à la concurrence, incitant Amazon à lancer son propre Appstore pour vendre des applications Android.

Un enrichissement progressif de l'offre Android Market


Mais depuis les six derniers mois, Google s'emploie à rendre le marché plus concurrentiel, et à améliorer l'expérience aussi bien des développeurs que des utilisateurs sur sa plate-forme. Google a, par exemple, élargi le nombre de pays à partir desquels on peut acheter et payer les applications. L'entreprise a également mis à jour son client Market, la version navigateur de sa boutique, et lance aujourd'hui son service In-App Billing. « Chaque amélioration constitue une étape supplémentaire dans la bonne direction et nous avons vraiment l'intention d'en tirer profit, » a déclaré Eric Wijngaard, l'auteur de l'outil de retouche photo PicSay. Grâce au service de facturation intégré à l'application, Shinycore, l'entreprise de Eric Wijngaard, pourra vendre des filtres spéciaux, des packs de sticker et des thèmes aux utilisateurs de PicSay qui souhaitent disposer de plus de fonctionnalités pour l'application.

Selon Paolo Pescatore, analyste chez CCS Insight, « tous les concurrents se positionnent par rapport à l'App Store, et à l'offre de la boutique en ligne d'Apple, notamment le paiement in-app, devenu une condition préalable pour tous les autres. » En outre, « davantage de développeurs se tournent vers un modèle économique dans lequel l'application est gratuite, et où ils gagnent de l'argent en vendant du contenu pour leur application, » a-t-il ajouté. Reste que, selon Eric Wijngaard, Google a encore du travail à faire pour améliorer sa plate-forme. « L'entreprise doit notamment travailler sur l'expérience d'achat en élargissant ces méthodes de paiement pour rendre son service accessible à plus de personnes à travers le monde. » Pour Paolo Pescatore, « pour Google, la prochaine étape logique serait d'étendre le paiement sur facture opérateur ou operator billing à plus de pays et d'opérateurs, » estime-t-il.

 

(...)

(31/03/2011 11:16:29)

Pelikan mise sur un cloud privé chez Interoute

Pelikan est un papetier et fabricant d'instruments d'écriture de haut de gamme. La société veut accélérer le délai de mise sur le marché de ses produits de papeterie en améliorant la collaboration en temps réel entre ses équipes de ventes installées en Allemagne et les départements Production et Recherche & Développement basés en Suisse. Pelikan est une marque de papeterie allemande âgée de 172 ans qui possède un réseau de distribution mondial et des usines réparties dans huit pays.

La société a centralisé son infrastructure informatique et ses services d'hébergement en les plaçant dans un Cloud privé chez Interoute. L'entretprise permet ainsi à ses collaborateurs de partager des accès sur les applications essentielles et des informations critiques en temps réel. Jusqu'à présent, Pelikan gérait un ensemble de systèmes informatiques disparates, coûteux et offrant peu de flexibilité face aux changements du marché.

Flexibilité et simplicité

« Pelikan est une société qui évolue et nous avons besoin de flexibilité. Nous souhaitions une solution simple à mettre en oeuvre et nous apportant des temps de réponse exceptionnels,» explique Arturo Ianniciello, responsable de l'Infrastructure à la DSI Production et R&D chez Pelikan Hardcopy Production AG. Grâce à la solution de Cloud privé retenue, il devient possible « de déplacer un bureau ou un département en toute simplicité, grâce à une infrastructure souple. Côté coûts, nous avons déjà constaté des économies dans plusieurs pays et nous espérons réduire nos dépenses de 30% au total, l'année prochaine » ajoute-t-il. 

Les projets en cours concernent désormais un réseau de voix sur IP mondial, l'extension des services MPLS aux autres sites européens et la mise en place d'une solution de stockage afin de réaliser la réplication, la récupération et l'archivage des données.

(...)

(31/03/2011 10:57:45)

Gianfranco Lanci, CEO d'Acer, démissionne

Le fabricant taïwanais Acer annonce la démission de son PDG, Gianfranco Lanci, évoquant pour l'expliquer des divergences de vues sur le développement futur du groupe. Cette démission prend effet immédiatement, le président de la société, J.T.Wang, reprenant les fonctions de CEO pour assurer l'interim. La vision de Gianfranco Lanci sur l'évolution d'Acer différait de celle de la majorité des membres du conseil d'administration et il n'a pas été possible d'atteindre un consensus après plusieurs mois de dialogue, selon Acer. « Ils accordaient différents niveaux d'importance sur le dimensionnement, la croissance, la création de valeur autour des clients et l'amélioration de la position occupée par la marque, de même que sur l'allocation des ressources et les méthodes de mise en oeuvre », indique le groupe. Il n'a pas encore été possible d'entrer en contact avec le CEO sur le départ pour recueillir directement ses commentaires.

Nommé président en 2005 et PDG en 2008

Gianfranco Lanci est arrivé de Texas Instruments chez Acer en 1997 lorsque ce dernier a racheté l'ordinateur portable TravelMate du constructeur américain. Il a été nommé président du groupe taïwanais en 2005 et PDG en 2008, en conservant son titre de président. L'activité des ordinateurs portables a constitué un axe de croissance à deux chiffres au sein de la société pendant des années, ce qui a contribué à propulser Acer dans les trois premiers fabricants de l'industrie des PC, derrière Hewlett-Packard et en constante compétition avec Dell pour la seconde place. Le communiqué publié par Acer souligne de fait la contribution de Gianfranco Lanci à la progression significative réalisée par la société. Celle-ci dit avoir apprécié ses efforts et lui souhaite le meilleur dans ses prochaines initiatives.

J.T. Wang a pris la succession au poste de chairman de la société Acer à la suite de son fondateur, Stan Shih, il y a déjà plusieurs années, après la scission du groupe en trois sociétés distinctes pour séparer ses marques professionnelles de ses opérations de fabrication sous contrats. Acer a pris le dessus en tant que marque, tandis que Wistron a pris en charge la majorité des contrats de fabrication et que BenQ s'est réservé les téléphones mobiles. Stan Shih a quitté Acer en décembre 2004.

Illustration : Gianfranco Lanci, PDG d'Acer, en mai 2010, alors qu'il présente un prototype de tablette 7 pouces sous Android lors d'une conférence de presse à Beijing (Chine) - Source IDG News Service Beijing. (...)

(31/03/2011 10:58:26)

Joyent choisit Neurones IT pour intégrer son offre Paas en Europe

Neurones IT est l'entité chargée de l'infogérance des infrastructures dans le groupe Neurones. Elle est donc directement préparée au Paas (platform as a service). « Nous travaillons depuis un an sur le sujet », nous explique Rémy Dumenil, en charge de l'offre cloud computing pour Neurones-IT. Les choix sont aujourd'hui très avancés.

Neurones IT vient d'opter en faveur de la société californienne Joyent comme partenaire technologique pour, d'une part, vendre les solutions de celle-ci, distribuées totalement en indirect, et, d'autre part, élaborer ses propres offres cloud de type Paas.  Au préalable, la SSII a procédé à une étude technique et commerciale.  Le choix de Joyent s'est imposé car leur produit est apparu plus mature que les autres. « Nous aurons moins d'efforts à fournir sur les offres Joyent que sur les autres qui ont encore des retards en matière d'interfaces, de suivi de la consommation en temps réel, d'auto-administration », souligne Rémy Dumenil.

Plusieurs clients sont en maquette

D'autres éléments ont fait pencher la balance. Joyent présente des retours d'expérience probants en Amérique du nord. Son offre est basée sur des web services et sur une consommation réelle. Joyent est certes encore peu présent en Europe, mais ce n'est visiblement pas un frein pour Neurones. L'intégrateur va bénéficier en Amérique du nord du support de Joyent qui lui enverra des clients. Plusieurs d'entre eux sont en maquette. Neurones-IT met d'ailleurs en place un centre de démonstration autour des solutions Joyent.

« Pour nous c'est d'abord une reconnaissance par un grand acteur du marché et une reconnaissance technique de nos solutions », nous explique Philippe Weppe, directeur général EMEA de Joyent qui recherche une quinzaine de partenaires, deux pour chacun des grands pays européens et quelques transnationaux.

Par ailleurs, Joyent Corp va revendre son activité d'hébergement, ses partenaires seront directement positionnés pour l'exercer. De grands clients américains de la société californienne -on parle d'un grand spécialiste mondial du e-commerce- souhaitent trouver en Europe des structures pour leur hébergement. Les partenaires intégrateurs européens de Joyent seront très bien placés.

Source illustration : Joyent (...)

(30/03/2011 16:32:47)

Salesforce.com rachète Radian6, analyseur des réseaux sociaux

Salesforce.com paiera environ 276 millions de dollars en cash et 50 millions en actions, déduction faite de la trésorerie acquise. La transaction devrait être conclue d'ici le 31 juillet prochain. Les solutions de Radian6 donnent un aperçu aux entreprises de ce que les gens disent au sujet de leurs marques et produits, ainsi que de leurs concurrents. Ses clients incluent Kodak, PepsiCo et plus de la moitié des entreprises du Fortune 500, explique Salesforce.com dans un communiqué.

Une acquisition supplémentaire


Avec cette opération Salesforce.com va intégrer les capacités des services de Radian6 avec ses propres logiciels de vente et de service à la clientèle, ainsi que sa plate-forme de réseau social Chatter. Les développeurs pourront également utiliser la technologie Radian6 pour créer des applications sur la plateforme Force.com de l'éditeur.

Ce rachat avait fait l'objet de plusieurs rumeurs depuis quelques mois. Dans un premier temps, un simple partenariat était envisagé. Salesforce.com continue donc ses emplettes après le rachat de DimDim (outil de communication en temps réel) et aussi Heroku, fabricant d'une plate-forme de cloud computing pour construire des applications Ruby (...)

(30/03/2011 16:11:48)

Cisco veut acquérir NewScale, fournisseur de cloud à la demande

Cisco a annoncé son intention d'acquérir NewScale, un fournisseur de logiciels qui propose un portail self-service pour les entreprises. Elles peuvent ainsi sélectionner et déployer des services de cloud computing. Les termes financiers du contrat n'ont pas été divulgués.

Basée à San Mateo, en Californie, les produits NewScale donnent aux entreprises, mais également à des partenaires commerciaux le moyen de fournir des allocations de ressources de manière ponctuelle selon les besoins. Cisco explique que les solutions de NewScale vont compléter et élargir son offre de services cloud notamment sur la partie ​​management et automatisation.

L'acquisition devrait être finalisée au second semestre de l'exercice 2011 de Cisco.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >