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(24/03/2011 15:33:36)

Abandon d'Itanium, la décision d'Oracle passe mal chez HP

Oracle a déclaré en début de semaine qu'il avait décidé « de cesser tout développement de logiciel sur Itanium ». Ce faisant, la firme de Redwood a expliqué avoir eu des discussions avec Intel et a pris en considération les décisions similaires prises par Microsoft et Red Hat, il y a quelques temps. L'éditeur de bases de données a également mis en  exergue le PDG de HP, Leo Apotheker. Ce dernier n'aurait pas fait mention d'Itanium lors de la présentation de la stratégie d'HP au début du mois.

« Nous sommes choqués par la décision d'Oracle qui risque d'engendrer une perte de productivité estimée à des centaines de millions de dollars pour les entreprises et les administrations », a déclaré dans un courriel, Dave Donatelli, vice-président d'HP. Crawford Del Prete, analyste chez IDC, a déclaré que la position de Dave Donatelli est juste, « que vont perdre les clients dans cette affaire » s'interroge-t-il et d'ajouter « Pourquoi Oracle a fait cette déclaration à ce moment-là ». « Si vous êtes un client Itanium, vous devez vous interroger. Qu'est-ce qui se passe, et quelle est la motivation derrière tout cela? Je n'ai pas de réponse à cette question » précise le consultant. HP détient environ 90% du marché Itanium, selon IDC.

Un calendrier serré et Intel en support

Oracle a fait suivre son annonce d'un calendrier de cessation de soutien pour les systèmes Itanium. Dans certains cas, le support technique peut se terminer assez rapidement.  Par exemple, la dernière version de PeopleSoft par Oracle sur Itanium est la 9.1. La société prévoit d'expédier PeopleSoft version 9.2 l'année prochaine. L'actuelle version de la base de données Oracle 11gR2 sera la dernière à soutenir Itanium.  Charles King, analyste chez Pund-IT, a déclaré qu'avec cette décision « les clients qui ont investi sur Itanium et Oracle vont devoir commencer à enquêter sur d'autres options pour maximiser leurs performances. »

Pour sa part, Intel a réaffirmé mercredi le soutien à Itanium et a contesté l'affirmation selon laquelle cette architecture serait « presque en fin de vie. » Dans un communiqué, Paul Otellini, CEO d'Intel, a déclaré la société reste « fermement engagé » envers Itanium et continue à travailler sur les évolutions comme Poulson et Kittson .

Plus tôt ce mois-ci, l'Itanium Solutions Alliance avait publié un livre blanc d'HP et Intel, indiquant que les utilisateurs de serveurs Sparc de Sun qui migrent vers la plate-forme Itanium réalisent 41% d'économies. L'angle d'attaque d'HP est donc de dire qu'Oracle, avec cette décision, souhaite mettre en avant ses serveurs Sparc dont les parts de marché s'effritent.

(...)

(24/03/2011 14:27:25)

McAfee acquiert Sentrigo, spécialiste de la sécurité des bases de données

L'acquisition intervient un peu moins d'un mois après qu'Intel a finalisé le rachat de McAfee pour 7,6 milliards de dollars. Aucun commentaire sur le montant proposé par McAfee sur Sentrigo n'a été apporté, on sait simplement que l'opération devrait être finalisée en avril prochain.

Sentrigo offre une gamme de produits conçus pour aider à prévenir les attaques sur les bases de données grâce à un suivi d'activité, de prévention d'intrusion, de détection de vulnérabilité et de protection des systèmes non corrigés. Les produits de la société peuvent également aider les clients à satisfaire aux exigences réglementaires et de se conformer à des normes telles que PCI-DSS (Payment Card Industry Data Security Standard) ou HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act).

McAfee était déjà en partenariat avec Sentrigo depuis 201. Le projet d'acquisition permettra donc de renforcer ces échanges et de renforcer le portefeuille de la filiale d'Intel sur ce segment de marché à fort potentiel.

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(24/03/2011 14:24:08)

Free condamné pour des clauses illicites

Les abonnés de Free vont certainement voir dans quelques temps de nouvelles conditions générales de vente apparaître. La raison, une décision du tribunal de Grande Instance de Paris qui vient de décider que certaines clauses étaient illégales.  Saisi par UFC-Que Choisir, la juridiction a répondu sur plusieurs demandes de l'association. Ainsi « les frais d'activation différés », les fameux 96 euros (moins 3 euros par mois d'ancienneté) constituent bien de frais de résiliation. Or, pour l'association cette révision ouvre le droit à contester les facturations déjà opérées ou celles à venir pour les personnes qui résilieraient sur le fondement de la hausse de TVA.

Autre point d'achoppement, les frais perçus pour paiement par chéque ou par carte bancaire, les magistrats ont indiqué qu'aucun opérateur ne peut imposer à ses abonnés d'opter pour le prélèvement automatique, ni d'appliquer des frais sur les autres modes de paiements.

Des clauses et comportements déjà modifiées


Le tribunal s'est aussi prononcé sur des clauses que Free a déjà modifiée. Ainsi, l'opérateur proposait d'office aux nouveaux clients une option baptisée Services Plus (comprenant un antivirus, une aide à l'installation, une assurance et un accès privilégié à la hotline) et facturée 9,99 euros. Le pré-cochage de cette option a été enlevé, mais le tribunal a demandé à Free de préciser que le délai d'engagement de cette option est de 12 mois.

Sur le plan marketing, certaines formulations marketing de l'opérateur ont été retirées avant le jugement. Ainsi, les publicités indiquant « Il a Free, il a tout compris » ne sont plus diffusées. Idem pour le slogan « découvrez les 20 exclusivités de l'offre Free » qui a disparu du site de Free. Enfin, la mention « Bénéficiez des tarifs attractifs vers les autres destinations et mobiles » a été remplacée par « Téléphonez en illimité vers les fixes de 103 destinations ».

Les modifications demandées par le tribunal doivent être réalisées dans les 15 jours sous astreinte de 2000 euros par jour de retard. Free a la possibilité de faire appel de ce jugement.

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(24/03/2011 11:09:45)

Le projet Sierra de la SNCF finalisé

La SNCF a souhaité refondre son SI dédié à la gestion des « roulements de rames et de matériels moteur », le projet Sierra (Système Informatisé d'Elaboration des Roulements de Rames et de mAtériels). Mis en place au bout de 18 mois de travail, Sierra permet à 200 utilisateurs de pointer et minuter le passage des matériels sur les voies. Le pilotage du trafic est ainsi facilité avec une réactivité de l'ordre de la seconde.

L'opérateur ferroviaire a opté pour le développement de Sierra sur la technologie Microsoft .Net. La base de données contient 12,5 Go de données pour 150 millions d'enregistrements. Les équipes de développement ont utilisé Visual Studio Team System et l'outil de travail collaboratif développé par Microsoft (Team Foundation Server) pour terminer le projet dans le temps imparti.

La création du socle technique a été confiée à la SSII Sogeti, filiale à 100% de Capgemini. Le coût du projet n'a pas été communiqué mais 25 ingénieurs de Sogeti y ont été affectés.

Illustration : le TER (crédit : SNCF)

(...)

(24/03/2011 11:18:10)

Annuels Divalto : Retour à une croissance solide en 2010

« Lorsque l'on fait la somme de tous les vents contraires que nous avons affronté, on se dit que Divalto aurait pu prendre le bouillon en 2010 », lance Thierry Meynlé, le président du directoire de l'éditeur de PGI. Mais malgré la perte de son principal partenaire intégrateur, Prodware, le rachat d'une entreprise en difficulté, Idylis, et un contexte économique difficile, le dirigeant présente ce matin les résultats annuels d'une entreprise qui n'a pas sombré. En effet, Divalto a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 11,5 M€, soit une progression de 17% dont 10% de croissance organique si l'on sépare les résultats d'Idylis. L'an dernier, les revenus de cet éditeur de logiciels de gestion en mode SaaS, racheté en mai par Divalto,  ont progressé de 30%. 

Cogesser a remplacé Prodware

La croissance d'Idylis tient notamment au travail réalisé par Divalto pour le doter d'un réseau de ventes indirectes. Jusqu'ici, l'entreprise limitait ses partenariats à la signature de contrats d'apporteurs d'affaires avec des cabinets d'expertise comptable. Ils sont aujourd'hui une soixantaine autour d'Idylis dont les trois quarts étaient déjà là avant l'acquisition. Le plus notable est qu'Idylis se soit entouré d'un réseau de distribution proprement dit grâce au recrutement de 40 revendeurs dont la moitié est issue du réseau de partenaires historiques de Divalto. Pourtant, cette avancée ne contente pas pleinement Thierry Meynlé. « Pour bien mailler le territoire, nous avons besoin d'au moins 300 revendeurs pour les logiciels Idylis », explique-t-il.

De nouveaux projets avec IBM

Le dirigeant de Divalto est en revanche beaucoup plus satisfait du travail réalisé par le réseau de distribution traditionnel des produits Divalto. Notamment parce que le portage du PGI Divalto sur la plate-forme IBM i (ex AS/400) en septembre 2009 a permis à l'éditeur de gagner de nouveaux projets avec les revendeurs IBM. En outre, son partenaire Cogesser est monté en puissance au point d'égaler Prodware qui générait 10% du chiffre d'affaires de Divalto. Globalement, Thierry Meynlé tire une grande satisfaction des résultats de Divalto en 2010 et ne manque pas de faire remarquer que « des concurrents tels que Cegid ou encore Sage France [Ndlr : respectivement +0,4% et +3% de CA en 2010] n'ont pas connu le même dynamisme que Divalto l'an dernier.»

Retour aux bénéfices en février

Certes, mais ces entreprises ont tout de même mieux tiré leurs épingles du jeux que Divalto en termes de bénéfices. Ainsi, bien que le résultat net de l'éditeur ressorte à 2 M€ grâce une réduction d'impôts, son résultat d'exploitation a, en revanche, reculé de 11% à -2,3 M€. Un chiffre à pondérer, puisqu'il intègre le million d'euros de pertes enregistrées par Idylis. « Nous sommes sur la bonne voie avec Idylis dont la situation a été en partie redressée sans tailler dans ses effectifs, indique Thierry Meynlé. Les premiers résultats se font d'ailleurs sentir puisque Idylis a été bénéficiaire pour la première fois au mois de février ».
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(24/03/2011 10:45:34)

Cofidis transfère son SAN de Cisco à Brocade

Cofidis spécialiste du crédit à la consommation a choisi de renouveler son SAN avec des équipements d'un nouveau fournisseur. La société Cofidis emploie 1700 collaborateurs sur un site unique à Villeneuve d'Ascq (Nord) pour la vente à distance de crédit à la consommation. En 2008, l'entreprise avait 5,4 millions de clients. 

Le réseau SAN de Cofidis était saturé. « Il y avait saturation des points de connexion. Nous ne pouvions plus accueillir ni de nouvelles baies ni de nouveaux serveurs. Notre stockage croît de 30 à 40 % par an, et nous ajoutons de six à dix serveurs par an » décrit Jean-Patrick Lorente, Directeur du Service Infrastructure de Cofidis. Le système d'information de Cofidis représente 180 To de données, et 80 applications tournent sur quatre systèmes d'exploitation différents : Windows Server, VMWare, Linux (Red Hat et Debian) et Unix de HP. Certaines applications sont virtualisées, avec différentes technologies selon leur nature : VMware vSphere, KVM  de Red Hat ou HP-UX. Le recours au Cluster est fréquent afin de sécuriser les infrastructures IT. 

Lors de l'appel d'offre, le premier objectif était clair : doubler la capacité des points de connexion. Cofidis en a profité pour challenger son équipementier historique, Cisco. Ce sont des commutateurs SAN MDS 9600 de Cisco qui étaient installés. « On aurait pu jouer la sécurité et poursuivre avec cet équipementier, ce qui n'aurait posé aucun souci pour nos équipes qui n'auraient vu aucun changement technologique. Mais nous souhaitions introduire un nouvel acteur dans notre infrastructure » se souvient Jean-Patrick Lorente. le réseau LAN reste essentiellement bâti à partir de commutateurs Série 6500 de Cisco, pour la gestion de VLAN part port.

Trois compétiteurs en lice

Trois sociétés ont répondu à l'appel d'offres. « Par rapport aux deux autres candidats, les équipes de la société que nous avons retenue ont très vite montré non seulement leurs compétences techniques, mais surtout leur capacité à offrir un véritable pilotage du projet de bout en bout. Les deux autres avaient bien l'expertise technique, mais ne proposaient aucune vision projet » casse un peu Jean-Patrick Lorente. La société retenue avait proposé et inclus le suivi du projet sur le long terme dans sa réponse. 

Les équipements de commutation SAN mis en place peuvent accueillir jusqu'à 192 ports Fibre Channel. « Nous n'utilisons aujourd'hui qu'une seule carte avec 48 ports - à 8 Gbit/s- mais les possibilités d'évolution sont multiples, un point important pour faire face aux besoins de demain » ajoute le responsable. La fonctionnalité «Virtual Fabric» permet de plus de subdiviser le SAN en plusieurs SANs virtuels, chacun dédié à une application (ou groupes de serveurs. 

Le projet a été démarré fin 2009 et s'est achevé en trois mois. « Nous avons mis le SAN en production sans aucune anomalie » ajoute Jean-Patrick Lorente.  Le fournisseur retenu est Brocade, numéro un mondial du Fibre Channel et l'intégrateur est Scasicomp. 4 commutateurs SAN DCX4S de Brocade ont été déployés, chacun possédant une carte de connexion Fibre Channel à 48 ports à 8 Gbit/s. Deux bâtiments ont été équipés chacun de deux commutateurs. 

« Nous avons doublé la capacité de points de connexion, nous pouvons encore la doubler sans changer d'équipements, simplement en ajoutant des cartes. Nous avons pu changer nos baies de stockage, et nous avons installé une VTL pour la sauvegarde. Enfin, nous pouvons exploiter pleinement la bande passante à 8 Gbit/s, et ainsi être prêts pour nos futurs projets » conclut le responsable des infrastructures.

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(24/03/2011 10:29:19)

Le prix de gros des appels mobiles va baisser fortement

C'est un calendrier de baisse programmée des coûts des appels mobiles sur 18 mois à compter du 1er juillet prochain que vient d'enclencher l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms. Le tarif actuel de 3 centimes d'euro/minute devrait passer à 0,8 centime le 1er janvier 2013, soit presqu'une division par 4. Dans le détail, à la suite de la consultation publique menée du 22 décembre 2010 au 31 janvier 2011 concernant le modèle technico-économique des coûts de réseau d'un opérateur mobile métropolitain, l'Arcep met en consultation publique son projet de décision d'encadrement tarifaire des terminaisons d'appel vocal mobile des opérateurs Orange France, SFR et Bouygues Telecom pour la période du 1er juillet 2011 au 31 décembre 2013.

Dans sa décision n° 2010-1149 du 2 novembre 2010, l'Autorité avait décidé de poursuivre pour trois ans la régulation de la terminaison d'appel mobile. Cette décision précisait les plafonds tarifaires que devaient respecter les opérateurs mobiles sur la période allant du 1er janvier au 30 juin 2011 : 3 centimes d'euro/minute pour Orange France et SFR et 3,4 centimes d'euro/minute pour Bouygues Telecom. La même décision annonçait que l'Arcep fixerait dans une décision ultérieure les plafonds tarifaires applicables pour le reste de la période de trois ans.

Aboutir à 0,8 centimes d'euros et fin de la régulation asymétrique


Cette décision précisait également que, au plus tard au 1er janvier 2013, conformément à la recommandation de la Commission européenne, les plafonds tarifaires seraient symétriques et établis au niveau des coûts incrémentaux d'un opérateur générique efficace. Le niveau cible pour l'Arcep est de 0,8 centimes d'euro/minute pour le 1er janvier 2013. Il y aura une baisse progressive vers la cible sur les 18 prochains mois. Dans ce cadre, l'Autorité propose une baisse des tarifs de terminaison d'appel mobile en trois phases :

- une première baisse à un niveau de 2 centimes d'euro/minute, à partir du 1er juillet 2011 pour six mois,
- une deuxième baisse à un niveau de 1,5 centimes d'euro/minute, à partir du 1er janvier 2012 pour six mois
- une troisième baisse à un niveau de 1 centime d'euro/minute, à partir du 1er juillet 2012 pour six mois. 

Ces trois phases permettront notamment aux opérateurs de s'adapter au niveau cible de 0,8 centimes d'euro/minute, qui sera applicable à partir du 1er janvier 2013. 

L'Arcep estime que les volumes d'appels du fixe vers le mobile devraient très nettement croître dans les années et même les mois à venir.  L'Autorité estime donc justifié et proportionné de fixer des tarifs symétriques pour les trois acteurs dès le 1er juillet 2011. Il n'y aura donc plus de distinction entre Bouygues Telecom et les autres opérateurs.

Cette proposition est conforme à la recommandation de la Commission européenne. L'Autorité précise que cette décision de régulation ne concerne pas l'opérateur Free Mobile, dans la mesure où celui-ci n'a pas encore ouvert commercialement ses services. Le projet de décision de l'Arcep est notifié à la Commission européenne et soumis à consultation publique jusqu'au 26 avril 2011. Une fois ces deux étapes franchies, l'Autorité pourra adopter sa décision définitive.

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(23/03/2011 15:38:56)

IBM achète Tririga pour renforcer son offre Smarter Buildings

IBM estime que les entreprises consacrent environ 30 % de leurs budgets annuels dans leur parc immobilier, soit le second poste de dépenses, après les salaires. IBM pense pouvoir aider les entreprises à réduire les charges liées à la gestion de ces parcs, dans lequel il faut inclure les bâtiments industriels, en leur procurant un outil qui permet d'apprécier aussi bien la consommation d'énergie que d'optimiser l'espace disponible.

« Le logiciel de Tririga va aider les clients à prendre des décisions stratégiques dans l'utilisation de l'espace, dans l'évaluation de solutions alternatives en terme d'immobilier, dans la manière de générer des retours sur investissement importants dans les projets capitalistiques, et dans l'estimation d'initiatives impliquant un développement durable, » indique le communiqué d'IBM. L'entreprise prévoit 10 milliards de dollars de recettes annuelles dans ce domaine d'ici à 2015.

Les logiciels Tririga seront intégrés à la suite de gestion « d'immeubles intelligents » Smarter Buildings d'IBM, qui comprend des produits comme Maximo Asset Management d'IBM. L'entreprise espère que l'intégration via ses propres solutions de gestion déjà proposées dans ce domaine, donnera aux clients une meilleure visibilité sur leurs bâtiments et leurs équipements. « Les entreprises vont pouvoir disposer d'un outil puissant pour contrôler et optimiser les activités concernant leurs immeubles au niveau mondial, » a déclaré Florence Hudson, une responsable d'IBM pour les secteurs de l'énergie et de l'environnement.

Un portefeuille varié de solutions


Tririga compte, dans son portefeuille, différents logiciels couvrant le domaine de la gestion immobilière. Real Estate Portfolio Management permet par exemple de suivre différentes actions menées sur un immeuble et peut être utilisé pour faire des projections qui tiennent compte de besoins futurs. Capital Project Management permet de faire l'état des bâtiments existant et d'estimer d'éventuels travaux de réparation à réaliser dans le futur.

La société propose également des outils pour surveiller les coûts d'usage et de consommation. Tririga sera intégré aux portefeuilles IBM Tivoli Software et IBM Global Business Services. « Elle compte plus de 200 entreprises parmi ses clients, dont un tiers figurent au palmarès du Fortune 100, et sept sont des administrations du gouvernement américain, » a déclaré IBM qui espère conclure cette transaction, dont les termes n'ont pas été rendus public, d'ici mi-2011.

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(23/03/2011 09:17:38)

Une 6ème agence régionale TR Services à Nancy

TR Services ouvre sa sixième agence régionale à Nancy. Après Arras pour le Nord, Cherbourg à l'ouest, Narbonne et Aix-en-Provence au sud et Lyon, l'intégrateur conforte un peu plus sa couverture régionale. Cette nouvelle agence couvre le grand est, elle est dirigée par Philippe Corroy accompagné d'une équipe de 5 personnes.

TR Services compte également en région des points de présence technique, par exemple pour l'agence de Nancy, à Metz et Strasbourg. Il en existe 9 en tout en France.

(...)

(23/03/2011 09:18:43)

Les priorités et revendications des 2 000 PME « Oséo Excellence »

Oséo a réuni le 16 mars dernier les membres d'Oséo Excellence, en présence du Président de la République. Auparavant, un sondage, auquel 65% des 2 000 membres d'Oséo Excellence ont répondu, avait pris la mesure de leurs attentes. Douze thèmes leur étaient proposés, sur lesquels les chefs d'entreprise devaient voter et désigner le « hit parade » de leurs préoccupations.

Arrive largement en tête, pour 65% des répondants, la baisse des coûts du travail. Le deuxième critère n'arrivant qu'à 45%, c'est un véritable plébiscite en faveur de la réduction des charges sociales qu'annonce ce sondage. Les répondants voient dans l'allègement des coûts du travail plusieurs avantages : une amélioration de leur compétitivité et une plus grande stabilité des emplois en période de transition. Ils verraient d'un bon oeil une exonération de cotisation sociale pour l'embauche de jeunes, sur deux ans, ou bien la création d'un crédit d'impôt embauche, toujours pour favoriser l'entrée des jeunes talents dans le monde du travail.

Derrière cette revendication n°1, on trouve deux grandes séries de demandes, l'une a trait aux aides ou contraintes publiques, l'autre porte sur les questions de financement.

Des règles qui changent chaque jour

Les patrons interrogés demandent à l'Etat d'agir plus judicieusement et de simplifier ses procédures. C'est particulièrement net dans le sondage. Avec 45% des voix et en deuxième position, on trouve en effet le sujet  « aides publiques à l'innovation ». Des aides comme (**) le CIR, le JEI, les FCPI sont particulièrement mises en avant et prouvent l'efficacité de la puissance publique. Inversement, à 38%, les sondés citent comme revendication la réduction de l'impôt sur les sociétés (sur les résultats reportés), à 38% toujours, les entrepreneurs veulent une règlementation plus stable (que ce soit en matière fiscale ou dans la législation du travail). Ils ont l'impression que les règles changent chaque jour.

Dans le même ordre d'idées, ils semblent également désarçonnés devant la course d'obstacles que représentent les franchissements de seuil. Quand on développe son entreprise rapidement, il faut intégrer les étapes 10, 50, 100 salariés avec, à chaque fois, son lot de déclarations et d'imputations diverses. Dans le même registre, les traitements administratifs et fiscaux sont fréquemment cités. Un seul paiement serait le bienvenu, comme en Angleterre, où un seul prélèvement assure la taxe professionnelle, la taxe foncière, la taxe d'apprentissage et l'imposition forfaitaire annuelle. Une fiche de paye simplifiée (5 lignes maxi !) serait également une vraie innovation.

Viennent ensuite, dans la hiérarchie des priorités, les critères financiers. A 32%, les sondés souhaitent que l'épargne publique soit mieux orientée vers les entreprises. 18% d'entre eux veulent des établissements financiers qui soutiennent leurs projets, le même pourcentage réclame des soutiens publics pour conquérir de nouveaux marchés, 16% demandent des quasi fonds propres.

Crédit photo D.R.

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La plus grande surprise dans ce sondage c'est finalement qu'il n'y en a pas. Chaque point est une revendication ancienne des chefs d'entreprise, exprimée ici de manière chiffrée par un sondage et de manière vive dans les réponses qui l'accompagnent par les patrons des entreprises Oséo Excellence 2 000.

Les chefs d'entreprise interrogés semblent aussi très décomplexés et n'hésitent pas à pointer les défauts de la cuirasse publique. Oralement, en marge du sondage, ils ont réclamé la réduction de nombre de pôles de compétitivité au profit de pôles plus importants. Ils verraient bien une stabilisation des relations entre sous-traitants et donneurs d'ordre (sur laquelle nous sommes souvent revenus dans ces colonnes). Les « 2 000 » aimeraient que soit favorisée l'émergence d'ETI (***), que les Tepa ISF (réduction de son ISF permises dans la cadre de la loi Tepa si on investit dans une entreprise) soient orientées vers les PME, de même que les aides du FSI.

 

(*) OséoExcellence
http://www.excellence.oseo.fr/

(**)
CIR (Crédit d'impôt recherche)
http://www.industrie.gouv.fr/cir/

JEI (statut de Jeune Entreprise Innovante)
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid5738/le-statut-jeune-entreprise-innovante-jei.html

FCPI (Fonds communs de placement innovation)
http://www.oseo.fr/aides-entreprise/fcpi.htm

(***)
ETI (Entreprises à taille intermédiaire)
http://www.insee.fr/fr/methodes/default.asp?page=definitions/entreprise-taille-intermedi.htm
https://www.distributique.com/actualites/lire-les-grosses-pme-constituent-le-maillon-faible-de-l-economie-francaise-14058.html

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