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(16/03/2011 12:28:47)
Google s'empare de Green Parrot pour améliorer YouTube
La firme de Moutain View vient d'annoncer le rachat de Green Parrot Pictures, une société irlandaise ayant développé un procédé qui rend les vidéos postées sur YouTube plus nettes, plus stables avec moins de parasites. Le montant de la transaction n'a pas encore été révélé. Selon Google, la technologie conçue par la société irlandaise s'avérera utile pour améliorer la qualité des vidéos prises par des équipements de faible qualité - comme les téléphones portables - dans le cadre de situations particulières telles que les manifestations tournées dans la rue. La technologie de stabilisation d'image de Green Parrot Pictures est déjà utilisée par le cinéma sur des films à gros budget comme Lord of the Rings, X-Men, ou encore Spider-Man.
Près de 200 000 long métrages mis en ligne
«Cette technologie, qui améliore la qualité des vidéos, utilise également moins de bande passante et augmente aussi la vitesse de lecture», a estimé Jeremy Doig, directeur de la technologie vidéo chez Google dans un billet de blog publié hier. Il a ajouté qu'avec l'équivalent de plus de 170 000 long métrages mis en ligne chaque semaine sur YouTube, l'expérience des équipes de Green Parrot dans ce domaine - qui consiste à travailler sur des solutions destinées tant au grand public qu'aux professionnels de la vidéo - serait une source de nouvelles idées et d'innovations pour la plate-forme d'hébergement. En janvier dernier, les sites du géant californien et en particulier YouTube, ont attiré 144,1 millions d'internautes friands de vidéos en ligne, contre seulement 51 millions d'utilisateurs pour Vevo, selon la société de mesure d'audience comScore. Suivent Yahoo, Viacom Digital et AOL qui viennent compléter le top cinq.
(...)
Apple retarde le lancement de l'iPad 2 au Japon
Apple a décidé de repousser le lancement de l'iPad 2 au Japon en raison de la "tragédie" que traverse actuellement le pays, annonce une porte-parole de la marque, Natalie Kerris, à l'AFP. "Nous retardons le lancement de l'iPad 2 au Japon, pendant que le pays et nos équipes concentrent leurs efforts sur leur rétablissement à la suite du récent désastre", explique-t-elle.
Le Japon faisait initialement partie des 26 pays qui commercialiseront la deuxième version de la tablette à partir du 25 mars prochain. Aucune nouvelle date de démarrage n'a été avancée par Apple. Disponible depuis le 11 mars dernier aux Etats-Unis, l'iPad 2 a connu un franc succès au cours de son premier week-end avec des ventes estimées entre 400 000 et 500 000 unités. Mais avec la pénurie de composants qui s'annonce, les lancements devraient également être retarder dans d'autres pays. Si Apple précise bien que ce report n'est pas du à un problème d'approvisionnement, il n'est pas certains que certains fournisseurs clefs, comme Toshiba pour la mémoire flash, puissent continuer à livrer les composants nécessaires à la fabrication de l'iPad 2 en Chine.
L'Apple Store de Tokyo a d'ailleurs décidé de fermer ses portes plus tard pour fournir de l'aide à tous ceux qui désirent recharger leurs équipements électroniques mobiles et se connecter au réseau WiFi gratuit de la boutique pour joindre des correspondants.
Crédit photo : D.R.
Eurocloud délivre ses recommandations et interpelle Eric Besson
Ce 15 mars, Pierre-José Billotte, le président de la manifestation a donc remis au Ministre de l'industrie et de l'économie numérique 17 recommandations en rappelant qu'aux Etats-Unis, l'Administration Obama a lancé le plan « cloud-first », les investissements publics devant privilégier le modèle cloud plutôt que le modèle traditionnel.
Ces 17 propositions seront déclinées en trois axes : l'offre, la demande et la distribution. Concernant l'offre, Eurocloud souhaite par exemple la création d'un Fonds d'investissements publics, de 500 millions d'euros, pour soutenir, en fonds propres, des entreprises qui innovent dans les services cloud, même si leur chiffre d'affaires est des plus réduit. L'idée est de faire porter l'effort public vers les services et pas seulement vers les infrastructures. Dans la foulée, cet effort public doit encourager ces entreprises à aller vers l'international.
Mise en place d'un label européen de sécurité du cloud
Côté demande, la manifestation souhaite que la commande publique, comme aux Etats-Unis, soit orientée vers le cloud. La DICSI (Direction interministérielle des systèmes d'information, qui vient de se mettre en place) pourrait s'en charger. Eurocloud souhaite également, cette fois à l'échelle européenne, la publication d'un label en matière de sécurité du cloud (Neelie Kroes, commissaire européen était intervenu sur ce thème). Enfin, toujours en matière de demande, il souhaite la transparence en matière de localisation des données.
Plus original, le groupe envisage la création d'un site où seraient répertoriées toutes les condamnations émises par des tribunaux français en matière de cloud. En clair, un tel Tribunal condamne une entreprises pour des défaillances, mais cette entreprises étant située à l'autre bout du monde (ou même de l'Europe), la condamnation n'est pas exécutée. En publiant le nom du condamné, au moins les clients auraient-ils la possibilité d'accéder à une « liste noire » internationale.
Un label sécurité pour le cloud public
Eurocloud ne peut qu'être très international. L'Association compte maintenant 25 adhérents, y compris dans les pays d'Europe de l'Est (Pologne, Ukraine, Hongrie). Le label sécurité qu'elle souhaite promouvoir a été élaboré par la branche allemande. La thématique distribution, si chère à Pierre-José Billotte, est également internationale avec la mise en route de politiques cloud chez les grossistes internationaux (spécialisés comme Arrow ou généralistes comme Ingram), l'émergence d'intégrateurs de taille mondiale (comme Revevol), ou d'intégrateurs qui imposent à leurs ingénieurs d'être trilingue (comme gPartner). Eurocloud tiendra sa prochaine réunion européenne les 27 28 juin au Luxembourg.
Vivendi estime à 7 milliards d'euros la part de Vodafone dans SFR
Vivendi, créateur et détenteur de SFR à 56%, veut disposer de la totalité du capital de l'opérateur français en rachetant les 44% en possession de Vodafone. Selon le Financial Times, le groupe télécoms-médias français aurait offert de payer 6,9 Md€ pour racheter les parts de Vodafone. Cependant, l'opérateur britannique ne lui cèderait ses parts que pour 9,2 Md€. Aucun des deux actionnaires ne semble prêt à revoir sa proposition.
Jean-Bernard Lévy, président de Vivendi déclarait lors de la présentation des résultats financiers du groupe pour 2010 : « Cela [la reprise des parts de Vodafone] permettrait une simplification des structures de Vivendi et une plus grande flexibilité. Aujourd'hui, le pacte qui lie Vivendi à Vodafone dans SFR encadre la liberté commerciale de Vivendi et interdit à SFR tout développement à l'international ».
Lyreco rénove son moteur de recherche avec Autonomy
Lyreco est un distributeur de fournitures de bureau pour professionnels qui occupe le quatrième rang mondial de sa spécialité. Son siège est à Valenciennes et il est présent dans 27 pays en Europe, Asie, Canada et Australie. Issu des anciennes Papeteries Gaspard, il conserve un actionnariat familial malgré un chiffre d'affaires de plus de deux milliards d'euros.
Depuis l'orée des années 2000, il propose ses produits en ligne à sa clientèle de professionnels. Or retrouver sur le site des articles dans l'immense catalogue du distributeur, avec les informations afférentes, est loin d'être simple. Mais c'est une nécessité pour vendre le produit recherché par le client. Un premier moteur de recherche a été implémenté en 2003 mais ne donnait pas satisfaction sur des langues nécessaires. En 2007, il est décidé de remettre en cause la solution installée. Le choix d'IDOL (Intelligent Data Operating Layer) d'Autonomy est fait, après des tests de démonstrateurs de trois produits concurrents, et la solution est installée en cinq mois pour être opérationnelle en 2008.
Une organisation centralisée
Une des grandes difficultés de Lyreco pour ce projet était liée à son organisation. La société est très centralisée, notamment en termes d'architecture informatique. C'est donc le même PGI (SAP en l'occurrence) à partir du même site (au siège à Valenciennes) qui va alimenter un site e-commerce unique avec des déclinaisons par pays et par langues. « Le site est directement connecté à SAP via des développements spécifiques en java sur architecture Websphere et il utilise les modules du PGI pour toute la gestion de la commande, de la facturation, des stocks, etc. » explique Eric Jacqmart, directeur du département SAP de Lyreco et qui était rentré dans le groupe en tant que responsable de la mise en oeuvre du e-commerce.
De ce fait, le SI et le site web doivent être disponibles en permanence et délivrer un même service dans toutes les langues. Eric Jacqmart martèle : « une déficience dans la disponibilité entraîne immédiatement une perte de chiffre d'affaires ». De plus, quelque soit la langue du client, celui-ci doit trouver l'article qu'il cherche alors même que le vocabulaire employé est à la fois riche et très spécifique.
Disponibilité et personnalisation
Les premiers critères de choix d'une solution étaient logiquement la disponibilité et la pertinence des résultats quand un client cherche un produit, ce quelque soit sa langue. Un autre critère était l'implication directe de l'éditeur. « Nous voulions avoir un partenaire unique, l'éditeur, qui assure un support de toutes les langues avec des engagements forts en termes de résultats de l'éditeur lui-même, capable également d'assurer les transferts de compétences aux équipes internes de Lyreco sans intervention de tiers » explique Eric Jacqmart.
Il se souvient : « le moteur précédent était très puissant, notamment dans la gestion des synonymes, dans certaines langues comme le Français et l'Anglais mais inefficace dans les langues d'Asie alors même que nous nous déployions fortement et rapidement sur ce continent. Et il n'était pas possible de personnaliser finement le moteur pour compenser ses faiblesses. » Avec Autonomy, Lyreco a paramétré manuellement sa banque de synonymes et les modalités de recherches. « Il y a quelques centaines de termes très spécifiques comme post-it/papier repositionnable qui doivent être saisis à la main mais, par contre, les pluriels sont gérés automatiquement par le moteur » indique Eric Jacqmart. Pour les langues agglutinantes (comme l'Allemand) ou à déclinaisons, il a été nécessaire de paramétrer le moteur de recherche sur la manière de mener la comparaison de termes (en l'occurrence en découpant par syllabes). Cette facilité de paramétrer finement le moteur de recherche a clairement été l'un des critères du choix d'Autonomy.
Une architecture pour une haute résilience
Un autre point fort du produit qui a été apprécié est l'intégration de la base d'index (donc sans nécessité de gérer une base externe) et de la répartition de charge dans le logiciel lui-même. Lyreco a donc mis en oeuvre deux couples de serveurs Sun sous Solaris, les couples se répartissant les langues. Dans un couple, les deux serveurs se répartissent la charge, se répliquent et se redondent automatiquement. « Aujourd'hui, le taux de service dépasse les 99,5% de disponibilité et il n'y a eu aucune interruption de service depuis 2008 » se réjouit Eric Jacqmart.
Lorsqu'un client lance une requête, le délai de réponse ordinaire est de 30 ms malgré les 650 000 requêtes/jour. De plus, la solution attaque en direct la base SAP mais est capable également d'indexer 300 000 documents à l'heure afin de profiter au mieux des disponibilités du système métier qui sert en premier lieu les clients. Lyreco n'a pas souhaité communiquer le coût du projet mais indique que le modèle économique choisi était celui de la licence au serveur avec une maintenance annuelle de l'ordre de 20%. Le retour sur investissement est lié à l'amélioration de l'expérience client.
Le projet devrait être prochainement étendu à la suggestion de ventes additionnelles (par exemple du toner si le client s'achète une imprimante), Autonomy proposant un module pour cela.
Résultats Eolen : En ordre de marche pour la croissance externe
Fin 2010, cette entreprise spécialisée dans le conseil et l'ingénierie en hautes technologies a réussi sa toute première levée de capitaux auprès du fonds d'investissement Audacia pour un montant de 2,5 M€. Une partie de cette somme vient d'être utilisée pour acheter Riskalis Consulting par le biais d'une des filiales du groupe. Ce cabinet d'audit et de conseil fournit aux acteurs de la finance/banque/assurance des prestations axées sur la construction et l'amélioration des processus ainsi que des outils de maîtrise des risques. En 2010, son chiffre d'affaires a atteint 2,7 M€. « C'est la première fois que nous achetons une entreprise dont l'activité ne repose pas sur la maîtrise des environnements IT », indique Pascal Leblanc, le fondateur et PDG d'EOLEN.
L'approche n'en reste pas moins en cohérence avec les rachats déjà effectués par le groupe EOLEN dans le but de s'implanter dans le secteur de la finance. En avril 2008, il a ainsi fait l'acquisition de A+ Financial Consulting, une SSII spécialisée dans les études pour les banques de financement. Au mois de décembre de l'année suivante, c'était au tour de son homologue System Consulting, qui vient d'être rebaptisée EOLEN Finance, d'être rachetée par le groupe. Comme A+ Financial Consulting, elle cible également les acteurs de la finance en leur proposant des prestations autour des plans de maintien en condition opérationnelle des serveurs.
Bientôt, le groupe EOLEN pourrait également faire son entrée dans le secteur des télécoms. Parmi les cinq dossiers d'entreprises dont il étudie le rachat, l'un d'entre eux est plus avancé et porte sur une société dont le coeur d'activité est la convergence multimédia.
« A chaque fois, nos opérations de croissance externe ont la même finalité. Il s'agit d'acquérir des sociétés déjà référencées chez les clients pour faire progresser notre position chez les entreprises du CAC 40 », explique Pascal Leblanc. Difficile, en effet, pour une société de services créée en 2006, de ne compter que sur sa propre croissance organique pour parvenir rapidement à cette fin. D'autant que les ambitions du groupe sont importantes. En 2015, il compte réaliser un chiffre d'affaires de 80 M€ et atteindre un effectif de 1000 personnes. Il part aujourd'hui d'un chiffre d'affaires de 7,6 M€ (2010) et un effectif de plus de 140 consultants.
Cisco se dote d'un Cloud Partner Program
Le cloud appelle une démarche différente vis-à-vis des partenaires, c'est la raison d'être du Cloud partner program. Il sera lancé, partout dans le monde, aux mois de mai-juin-juillet, qui correspondant au 4ème trimestre fiscal Cisco. Mais tout en étant différent il repose sur le pilier de la politique Cisco : le tout indirect. Visiblement, il est nécessaire de réaffirmer ce point qui distingue Cisco en matière de cloud : « CPP correspond à la fois à un phénomène de marché important, qu'il faut savoir prendre en compte et à l'affirmation par Cisco de sa stratégie indirecte, surtout en matière de cloud », note Bruno Dutriaux, expert datacenter et virtualisation. « Nous sommes un acteur important du cloud et, pour nous, l'accès à ce marché ne peut se faire qu'avec nos partenaires ».
Ce Cloud partner program comprend trois éléments : builder, provider, services reseller. Il s'agit de trois « branding », autrement dit de trois qualifications. « Builder » correspond aux partenaires qui sont aptes à créer une infrastructure de cloud, soit pour une entreprise soit pour un provider. La qualification valide leurs compétences, en particulier sur les sujets infrastructure, applications management et service professionnels de cloud. « Provider » s'adresse aux partenaires intervenant sur le marché sur des technologies Cisco et celle de son écosystème de partenaires technologiques mais avec au moins une technologie Cisco. « Services reseller «, enfin, concerne les partenaires agissant en marque blanche.
Un partenaire peut mobiliser une, deux ou trois de ces qualifications. D'autres programmes sont en cours d'élaboration pour accompagner CPP au plan financier. Un financement particulier est envisageable pour réaliser une infrastructure de cloud ou lancer des campagnes marketing communes. Des « collaborative services » sont également mobilisés pour faire évoluer les distributeurs.
Dans un horizon de 18 à 24 mois, l'ensemble des partenaires Cisco seront concernés par CPP.
L'iPad 2 est déjà un succès commercial
Apple aurait écoulé entre 400 00 et 500 000 iPad 2 au cours de son premier week-end de commercialisation aux Etats-Unis, selon les premiers pronostics de l'analyste Gene Munster. Disponible depuis le 11 mars dernier, la deuxième version de la tablette tactile aurait réalisé un meilleur démarrage que son aînée, vendu à 300 000 unités lors de son premier week-end un an plus tôt.
La ruée sur l'iPad 2 aurait engendré une rupture de stock dans les Apple Stores américains. Les clients intéressés devraient désormais patienter entre deux et trois semaines pour acquérir la précieuse tablette.
Selon un sondage mené par Gene Munster le week-end dernier auprès de 236 acheteurs à New York et Mineapolis, 70% d'entre eux ont acquis à cette occasion leur premier iPad. Près de la moitié (47%) a acheté le modèle intégrant la 3G. L'enquête révèle par ailleurs que 80% des acheteurs de l'iPad 2 possède déjà un iPod et 65% un iPhone. L'iPad 2 arrivera le 25 mars prochain sur le marché français.
Crédit Photo: D.R
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