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(25/11/2010 11:01:35)

Semestriels : Solucom se porte bien

Fondé en 1990, Solucom est un cabinet conseil en systèmes d'information, classé 5ème sur le marché français par Pierre Audoin consultants. Pour son 1er semestre fiscal, achevé au 30 septembre dernier, Solucom affiche un chiffre d'affaires (CA) de 52,4 millions d'euros (ME), en progression organique de 9%, par rapport au même semestre de l'année précédente. Le résultat opérationnel courant s'élève à 7,2 ME en hausse de 126%.

La société explique ces bons chiffres par  ses efforts commerciaux déployés depuis 18 mois. Autre bonne nouvelle, le taux d'activité est de 86% sur les deux premiers trimestres de l'année, contre 80% sur l'ensemble de l'exercice précédent. Inversement, le prix de vente journalier  moyen se situe à 707 euros, en baisse de 1%. Mais, explique la société, la pression tarifaire diminuant, les prix devraient se stabiliser

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(25/11/2010 11:01:16)

SSII : iOrga rachète Itaque

La SSII iOrga vient de racheter Itaque, cabinet de conseil qui sera intégré dans sa filiale consulting. Ce cabinet (basé à Avignon) lui apporte deux compétences : le conseil stratégique pour les ETI (les Entreprises de taille intermédiaire entre 250 et 2 000 salariés) et le conseil RH. Itaque va d'ailleurs publier un livre sur les transferts de compétences.

iOrga se développe ainsi par croissance organique et croissance externe. En 2009, la société  a réalisé un chiffre d'affaires (CA)  de 25 millions d'euros (ME) et compte dépasser les 28 ME sur son exercice 2010. En organique, la croissance s'élève à 3%. 75% du CA est réalisé en France, le quart restant à l'international. iOrga vient de s'implanter à Bruxelles et à Amsterdam en rachetant l'activité locale de Business et Décision en intégration JD Edwards / Oracle. La société est déjà implantée en Espagne, en Suisse et au Portugal. Elle compte deux collaborateurs au Canada, une tête de pont qui sera renforcée, si la Coface contribue à développer l'implantation de iOrga sur place. 

Quatre actionnaires fidèles

iOrga est détenue par quatre actionnaires : Promelys Participations (société de capital développement de la famille Gorgé), Alto Invest (société indépendante de gestion de portefeuille), BNP Paribas Développement (société de capital investissement), Turenne Capital (société indépendante de capital développement). Ils souscrivent aux augmentations de capital nécessaires à la croissance externe de la société, 1,3 ME en juin 2010, 3 ME en juin 2009.

« Nous avions trois axes forts, lors de notre création souligne Eric Patrux, P-dg d'Iorga Groupe : cibler les ETI;  couvrir l'Europe, la France étant un département de l'Europe ; ne pas se développer seuls, nous sommes très liés à Oracle et gardons 4 actionnaires fidèles. Ces trois éléments fondateurs sont restés à l'ordre du jour. »

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(24/11/2010 14:01:56)

Les acteurs de la TNT se liguent contre à Google et Yahoo

La charte portant « sur les modalités d'affichage des contenus et services en ligne sur les téléviseurs et autres matériels vidéo connectés » a été rédigée afin que ses signataires conservent la maîtrise de leur diffusion de flux face à l'arrivée de nouveaux acteurs dans le secteur comme Google ou Yahoo. Via cette charte, les chaînes françaises « demandent le respect de l'intégrité du signal de chacune des chaînes signataires reçues sur les téléviseurs afin que les éditeurs puissent continuer à exercer un contrôle total et exclusif sur les contenus et services affichés en surimpression ou autour de leurs programmes diffusés ».

Avec ce nouveau service associé au petit écran, les signataires craignent de perdre des téléspectateurs incités à se diriger « vers d'autres contenus et services sans accord préalable de la chaîne concernée ». La charte commune a été signée par les 20 chaînes de la TNT françaises, TF1 et ses filiales TMC et NT1, les antennes de France Télévisions, M6 et W9, Canal+ et i>Télé, Arte, Direct 8 et Direct Star, NRJ 12, BFM TV, LCP, Public-Sénat et Gulli.

Les téléviseurs connectés permettront aux téléspectateurs d'accéder à Internet et de nombreuses applications depuis leur écran de télévision. Les utilisateurs auront accès au web pour visionner des vidéos sur des sites comme YouTube, des galeries photo, écouter des radios en ligne, ou télécharger de la musique. Un moteur de recherche permettra de retrouver rapidement des programmes dans la grille des chaînes TV.

La télévision connectée est arrivée cet automne aux Etats-Unis avec Google TV. Ce service sera disponible courant 2011 en Europe.

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(24/11/2010 11:58:57)

TomorrowNow : SAP condamné à verser 1,3 milliard de dollars à Oracle

Cette somme est un coup dur pour l'éditeur allemand, qui avait estimé la réparation du préjudice à 40 millions de dollars. Oracle a souligné que cette condamnation est « la plus élevée jamais accordé pour le piratage de logiciels. » Les dernières plaidoiries ont été présentées lundi après-midi, de sorte que le jury a pris moins d'une journée pour prendre sa décision. Il ne s'agit pas du montant maximal demandé par la firme de Redwood, mais elle représente toujours plus que la proposition de SAP. Lors de son témoignage, il y a deux semaines, le PDG d'Oracle Larry Ellison avait réclamé 4 milliards de dollars. En fin de compte, la sanction s'approche de la somme suggérée par l'avocat d'Oracle soit 1,7 milliard de dollars.

« Nous sommes, bien sûr, déçu par ce verdict et nous sommes attentifs à toutes les options disponibles, y compris un procès en appel » a déclaré dans un communiqué la firme de Walldorf. Le verdict intervient après un procès de 11 jours qui a captivé la Silicon Valley. Il a mis en scène les des deux plus grands fournisseurs de progiciels. Des dirigeants comme Larry Ellison, Safra Catz le co-président d'Oracle et Bill McDermott co-CEO de SAP sont venus à la barre des témoins.

Un revers financier et une réputation ternie


La bataille ne semble donc pas être entièrement perdue, cependant, car SAP peut encore faire appel. Cette procédure pourrait prendre beaucoup de temps. « Ce sera malheureusement un long processus, mais nous continuons d'espérer que le litige puisse se résoudre rapidement et de manière appropriée »souligne l'éditeur allemand.

Le jury disposait d'une grande latitude sur le montant de la sanction. Il aurait été convaincu par l'argument d'Oracle sur le coût d'une « licence hypothétique » qu'aurait dû payer SAP pour les logiciels volés. La société allemande avait déposé quelques recours avant que le verdict n'ait été rendu. Une des requêtes demandait au juge, dans le cas d'une décision élevée du jury, d'examiner si les dommages sont justes et appropriées. On ne sait pas si le juge Phyllis Hamilton avait prévu d'étudier ces propositions.

Un observateur a déclaré que le verdict est plus un revers financier pour SAP. « Le plus gros des dommages se traduira probablement sur le marché, où Oracle propose Fusion Apps et des mises à jour de ses applications, et SAP a peu à offrir, et une réputation encore un peu plus ternie », a déclaré l'analyste Rebecca Wettemann, vice-présidente de Nucleus Research. Elle conclut que « SAP a aujourd'hui douloureusement appris que le vol est une mauvaise chose et que même les grands éditeurs de logiciels peuvent être punis pour cela ».

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(24/11/2010 10:54:55)

Trimestriels Tech Data : CA en hausse de 9,2%

Avec 6,1 milliards de dollars de chiffre d'affaires (CA) au 3ème trimestre 2011 (achevé au 31 octobre dernier), Tech Data assure une hausse de 9,2% de son CA trimestriel (par rapport au même trimestre de l'exercice précédent). Ce 3ème trimestre a été impacté de manière négative de 5% par les taux de change.  Par rapport au second trimestre de cet exercice, de manière séquentielle, Tech Data progresse de 12,6%.

L'Amérique du nord, qui représente 44% du CA mondial, progresse de 9,7%, l'Europe de 8,9%, de 18,9% en euros. Sur ce vieux continent, au 1er octobre dernier, Tech Data finalisait l'acquisition de Triade Holding qui lui apporte plusieurs sociétés basées au Bénélux, au Danemark et en Norvège. Ces sociétés ne sont pas intégrées dans cet exercice. Le résultat opérationnel, sur ce même 3ème trimestre, s'élève au plan mondial à 81 millions de dollars, en hausse de 1,31%. Il était de 65,1 million de dollars au Q3 de l'exercice fiscal 2010.

Meilleure progression en Amérique qu'en Europe

Pour les neuf premiers mois de l'année, Tech Data affiche un CA cumulé de 17,26 milliards de dollars, en croissance de 9,1%. L'effet taux de change a pu impacter cette progression de manière négative de 2%. L'Amérique du nord avec 9,8% de hausse affiche une meilleure progression que l'Europe, restée à 8,6%. Le bénéfice net, sur ces 9 mois, s'élève à 216,2 millions de dollars, en progression de 1,25%. Pour le 4ème et dernier trimestre fiscal, Tech Data prévoit une solide demande qui devrait dépasser la forte tendance saisonnière.

Un an auparavant, le grossiste faisait triste mine. Son CA trimestriel baissait de 8,1% par rapport au même trimestre de l'année précédente avec  5,64 milliards de dollars. Sur neuf mois, Tech Data affichait alors une baisse de 13,9% dans le monde, de 13,4%% pour l'Europe. Tech Data avait terminé l'année précédente en recul de 8,2%. Visiblement, la tendance a été inversée.

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(23/11/2010 16:45:52)

Affaire TomorrowNow : Oracle demande 1,7 Md$, le jury délibère

Le procès pour vol de logiciels opposant les éditeurs Oracle et SAP entre dans sa phase finale. Le groupe allemand a reconnu la violation « massive et prolongée » des droits d'auteur d'Oracle. Il devrait payer au moins 1,7 milliard de dollars de dommages et intérêts, selon l'un des avocats du plaignant. Lundi matin, les défenseurs des deux sociétés ont présenté leurs conclusions devant le tribunal d'Oakland, en Californie. A la suite de quoi le dossier a été transmis au jury de huit personnes pour délibération. Le verdict devrait probablement tomber avant les vacances de Thanksgiving, jeudi prochain.

SAP a admis que sa filiale TomorrowNow, aujourd'hui fermée, avait téléchargé illégalement, depuis le site web d'Oracle, de grandes quantités de logiciels et de matériel destiné au support technique de progiciels. L'enjeu du procès consistait à déterminer le montant des dommages et intérêts que SAP devra verser à Oracle.

La société de Larry Ellison demande que ce montant corresponde à la valeur que le logiciel représentait pour SAP au moment où l'éditeur allemand a racheté la société TomorrowNow, en 2005. « Quelle que soit la façon dont on fait le calcul, il est clair qu'il y avait des milliards de dollars en jeu pour SAP », a déclaré au jury David Boies, l'avocat d'Oracle, en présentant ses conclusions. Oracle affirme que SAP avait l'intention d'utiliser les logiciels volés, comportant des outils de support pour les progiciels ERP de PeopleSoft et de J.D.Edwards, propriétés d'Oracle, avec l'idée de détourner des clients vers les applications vendues par SAP. « Ils ont téléchargé une telle quantité de logiciels, si vite et de façon si intensive, qu'ils ont réussi à faire planter les serveurs d'Oracle », a insisté David Boies, se référant à des preuves présentées au cours du procès. Selon lui, « l'ampleur de ce détournement et la valeur logicielle justifie l'octroi de plus d'1 milliard de dollars en dommages et intérêts »

Des chiffres bidons, estime l'avocat de SAP

De son côté, l'avocat de SAP, Robert Mittelstaedt, a rétorqué dans sa plaidoirie finale qu'Oracle essayait de tromper le jury avec des chiffres bidons. « Ils réclament beaucoup plus que ce qu'ils sont en droit de demander, et ils essaient de vous tromper en vue de l'obtenir », a t-il déclaré au jury. Selon lui, « SAP ne devrait pas payer plus de 40 millions de dollars de dommages et intérêts ». Le montant du dommage subi se rapprocherait même davantage des 30 M$.

L'écart important entre ces estimations reflète la différence des méthodes présentées au procès pour établir le montant du dommage. Le jury devra s'appuyer sur celle qu'il juge la plus juste afin d'établir son calcul. Pour Oracle, SAP devrait payer la valeur d'une « licence théorique » - ou l'équivalent de ce que le groupe allemand aurait du acquitter si les deux entreprises avaient négocié le prix des licences correspondant aux logiciels volés par TomorrowNow.

Pour SAP, l'application d'une valeur de licence théorique n'a pas de sens dans ce dossier. L'éditeur se défend de ne devoir que les bénéfices perdus par Oracle a perdus à Oracle et gagnés par SAP comme résultante directe du méfait. « Dans la mesure où TomorrowNow n'a permis à SAP de détourner d'Oracle qu'une poignée de clients, les dommages réels ne devraient pas dépasser quelques dizaines de millions de dollars », a ainsi plaidé Bob Mittelstaedt. Mais pour David Boies, avocat d'Oracle, peu importe ce que SAP a tiré du vol des logiciels. « Les prévenus ne peuvent pas dire qu'ils ne devraient pas avoir à payer le coût intégral de la licence parce qu'ils n'ont pas réussi leur manoeuvre aussi bien qu'ils l'espéraient », a t-il déclaré au jury.

Pendant les trois semaines qu'a duré le procès, le jury a pu voir défiler à la barre une série de dirigeants haut placés, dont le PDG d'Oracle, Larry Ellison, sa présidente Safra Catz, l'ancien co-président Charles Phillips, ainsi que le co-PDG de SAP, Bill McDermott.

Il est peu probable que cette affaire ait un impact direct sur les actuels clients de chacune des deux sociétés impliquées. En revanche, certains observateurs du marché ont fait remarquer que cela pourrait toucher le marché des fournisseurs indépendants de services de support (l'activité exercée par TomorrowNow), parce que cela fait surgir le spectre de potentielles contestations judiciaires émanant d'entreprises évoluant sur le même secteur qu'eux.

Illustration : Le tribunal où se déroule le procès opposant Oracle à SAP (crédit photo : James Niccolaï / IDG News Service)

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