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(28/09/2010 11:06:57)
Acropolis Telecom s'empare d'IPeX Telecom
L'opérateur IP Acropolis Telecom vient de faire l'acquisition de son homologue IPeX Telecom. Fort du rachat de cet opérateur de réseau de données, FAI et fournisseur de services de convergences voix data, Acropolis renforce sa position sur le marché des télécommunications unifiées à guichet unique. Il est désormais capable de proposer des offres de téléphonie fixe et mobile, d'accès internet, de messagerie électronique, de visioconférence ou encore de téléprésence par fibre optique.
D'ici la fin de l'année 2010, la consolidation des revenus d'IPeX Telecom dans les comptes de son nouveau propriétaire devrait se traduire par un chiffre d'affaires additionnel de 90 K€, et de 350 K€ sur une base annuelle, pour Acropolis Telecom. Au passage, ce dernier renforce également son management puisque Stéphane Molère, le président d'IPex Télécom, devient directeur financier du nouvel ensemble. (...)
3IT: des seniors de l'informatique financent les start-up
A l'origine de la création de 3IT (Investisseurs Individuels Informatiques et Télécoms), on retrouve l'association RES-IT, qui réunit les anciens du secteur informatique. La vocation première de cette association - qui compte plus de 3 000 membres - était de travailler sur le sujet de l'emploi des seniors. « Il fallait que nous nous organisions autrement pour être plus efficaces en matière de financement de l'innovation, explique Christian Colmant, l'un des fondateurs de 3IT. Nous avons la chance de compter de nombreux membres mais nous voulions nous associer à des professionnels du financement de l'innovation. » En l'occurrence, RES-IT s'est rapproché de Software Business Angels (émanation de France Business Angels).
100 dossiers étudiés d'ici 2012
Concrètement, la structure a reçu près de 100 projets innovants en 2010, en a instruit 30 et 5 à 6 projets seront financés cette année, en moyenne avec un investissement de 125 000 euros. « Tout cela est contrôlé par OSEO, qui avalise nos choix et prend le relais, précise Christian Colmant. Mais notre aide aux entreprises en création va au-delà du renforcement des fonds propres (généralement des apports individuels de 5 à 20 K€). Nous mettons également à leur disposition notre expérience et nos carnets d'adresse. Entre autres exemples, nous avons permis à l'une des start-up multimédia que nous avons financées d'obtenir un rendez-vous à la Warner. »
D'ici 2012, 3IT compte instruire une centaine de dossiers et en financer plus de 20. « En France, la sous-capitalisation des start-up est l'un des principaux freins à l'innovation. Il est légitime que les anciens responsables de la filière TIC participent au règlement de ce problème », conclut Christian Colmant. Le site Internet de 3IT est pour l'instant celui de Software Business Angels. (...)
Orange Business Services lance Flexible 4 Entreprise basé sur VBlock
En discussion lors du dernier EMC World Forum à Boston, Orange Business Services a finalement annoncé une alliance commerciale avec Cisco, EMC et VMware, trois acteurs ayant créé en novembre 2009 l'association Virtual Computing Environment (VCE). Cette dernière combine la partie réseau, le stockage, les serveurs et les composants de virtualisation au sein d'un seul produit, baptisé VBlock qui s'intègre au sein des datacenters. Cisco, EMC et VMware ont également formé une coentreprise, appelée Acadia, pour aider les clients et les intégrateurs de systèmes à déployer leur solution.
Orange Business Services va intervenir comme prestataire de services et fournira quatre types de solutions managées basées sur une facturation à l'usage. La gamme d'offres de cloud computing de « Flexible 4 Business » sera constituée dans un premier temps de solutions d'« Infrastructure as a Service » (IaaS) incluant du cloud privé (informatique, hébergement, middleware, OS) et des services de backup (sauvegardes hautement sécurisées), ainsi que des solutions de « Sofware as a service » (SaaS) incluant des services de sécurité (antivirus, filtrage, etc.) et de communications unifiées (avec une allocation à la demande). L'objectif est d'accompagner la migration progressive vers les clouds privés.
Les opérateurs en pole position
Peter Hall, analyste chez Ovum, a déclaré qu'OBS, AT&T et BT étaient en position de force pour rivaliser dans le cloud computing avec les autres acteurs IT. Il a prédit que les grands opérateurs mondiaux et régionaux seraient les principaux fournisseurs de service IaaS et SaaS. Cette opinion est partagée par Rob Lloyd, vice-président exécutif des opérations internationales de Cisco : « en travaillant depuis 10 ans avec Orange Business Services sur les services managés, nous pensons que le cloud privé et sa virtualisation sont une extension de ces services, Orange est donc parfaitement légitime dans ce domaine ». Avec cet accord, Peter Hall estime qu'« OBS a pris une longueur d'avance sur ses concurrents ». De son côté, Vivanek Badrinath, directeur exécutif d'Orange Business Services, a souligné que cette alliance « montre que le cloud a atteint un certain degré de maturité ». Pour rappel, l'offre Flexible computing lancée récemment comptait une dizaine de clients, mais l'optimisme primait.
La semaine dernière, les partenaires VCE ont annoncé un accord avec SingTel, opérateur de Singapour, sur l'utilisation des VBlocks pour offrir des services hébergés auprès des entreprises avant la fin de cette année. SingTel est le premier client asiatique.
IBM acquiert Blade Network Technologies
IBM s'apprête à acquérir le fabricant d'équipements réseaux Blade Network Technologies, société privée basée en Californie au capital de laquelle figurent notamment les constructeurs Nec et Juniper Networks, ainsi que l'investisseur Garnett & Helfrich Capital.
Big Blue était jusque-là l'un des principaux partenaires OEM de Blade, avec Nec et HP. Le fabricant de commutateurs Gigabit Ethernet commercialise également des logiciels de virtualisation destinés aux environnements de cloud.
Le patron de Facebook lance une fondation dotée de 100 millions de dollars
Le fondateur et PDG du célèbre réseau social a annoncé la création d'une Fondation baptisée Startup: Education. Les capitaux reviendront initialement aux écoles de Newark, N.J. Il semble, par ailleurs, que le jeune milliardaire ne soit pas seul dans cet efforts, car Cory A. Booker, le maire de Newark, a annoncé la mise en place d'un fond de développement destiné à la jeunesse et à l'éducation (the Newark Education and Youth Development Fund), une ONG qui apportera 100 millions de dollars supplémentaires. « Je me sens très chanceux des opportunités qui me sont données, à cause de mon parcours éducatif, qui m'a permis de travailler avec des personnes talentueuses et de créer, très jeune, ma propre entreprise », a déclaré le patron de Facebook dans un billet posté sur son blog, ajoutant : « plutôt que d'attendre, en me concentrant sur ce qui s'est passé avant, j'ai passé beaucoup de temps, l'an dernier, à rechercher et à réfléchir aux différents moyens qui pourraient contribuer au développement de l'éducation en Amérique. »
Redorer une image quelque peu ternie
Il a également apporté son soutien à Chris Christie, gouverneur du New Jersey pour ses efforts mis au service de la réforme des écoles de Newark. Cette ville est malheureusement devenue un symbole en matière d'échec éducatif. En effet, en 2009, seulement 40% des enfants savaient lire et écrire à la fin de leur niveau trois (ce qui correspond au CE2 en France), un peu plus de la moitié (54%) sortaient diplômés du collège et seuls 38% y étaient inscrits. " Aller dans une école aux vitres brisées ne devrait pas faire partie de notre expérience du monde éducatif", a poursuivi Mark Zuckerberg. Il a précisé que le projet qui devrait aider les écoles de Newark à se remettre sur pied comprend l'installation d'un établissement "amiral", et la création d'un programme prenant en compte la qualité des enseignements et la réussite des étudiants. Le fait que des dons de 100 millions de dollars profitent bientôt aux 40 000 étudiants de Newark, constitue une bonne nouvelle à l'heure où l'image de Mark Zuckerberg est quelque peu ternie, notamment au sujet de la protection de leur vie privée.
Enfin, cette annonce intervient quelques jours avant la sortie, le 1er octobre, du film « The social network » détaillant la création de Facebook et mettant l'accent sur la carrière et la fortune De son créateur. Or, d'après les critiques, il semblerait que le film n'ait pas dépeint le jeune dirigeant sous un angle positif. Le don tombe à point nommé.
Air France-KLM inspecte son architecture SOA
Depuis la fusion des groupes aériens Air France et KLM en 2004, la réorganisation des systèmes d'information se fait progressivement. Il s'agit de faire interagir les SI hétérogènes des deux compagnies sans les remplacer globalement, stratégie trop coûteuse.
Pour y parvenir, le principe adopté est celui de la SOA (Service Oriented Architecture). La DSI d'Air France devait disposer d'un outil pour détecter, diagnostiquer et traiter les problèmes survenant dans les SI. Et cela malgré le grand nombre d'outils utilisés dans les processus métiers les plus courants, de la réservation d'une place par un passager (éventuellement via un tiers) à l'organisation d'un vol. Chaque processus est ainsi extrêmement complexe.
Les systèmes au coeur de l'activité du groupe aérien doivent pourtant être disponibles en permanence. Pour réaliser cette surveillance des interconnexions au sein de l'architecture SOA, Air France KLM a choisi de se doter d'Actional de Progress Software. Cette solution a été intégrée pour l'instant sur le système e-commerce de KLM et devrait être déployée ensuite sur l'ensemble du SI du groupe.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Crédit Agricole choisit une solution BPM pour la migration vers NICE
Le projet NICE (Nouvelle Informatique Convergente Evolutive) du Crédit Agricole consiste à remplacer le poste de travail de l'ensemble du personnel du groupe bancaire et de refondre le SI en l'unifiant, ce dans l'ensemble des caisses régionales comme au siège. Or une telle refonte technique n'a de sens qu'accompagnée d'une refonte des processus. L'objectif est en effet purement métier : améliorer l'efficacité des personnels et la relation avec les clients.
Avec 450 millions d'euros de budget prévu, il s'agit là d'un des plus importants projets informatiques dans le monde bancaire en France depuis plusieurs années. Pour modéliser les processus techniques, le Crédit Agricole a choisi Aris, de Software AG. L'exécution de ceux-ci a été confiée à WebMethods, du même éditeur. Il s'agit là du premier grand contrat remporté par l'éditeur depuis sa récente fusion avec IDS Scheer qui a permis de rapprocher les deux offres.
Le coût spécifique de cette partie du projet NICE n'a pas été dévoilé.
Les imprimantes matricielles sourient, les jets d'encres pleurent
« Nous avons eu la surprise de voir nos ventes d'imprimantes matricielles progresser de plus de 20% au cours du premier semestre », explique Gérard Bouhanna, Directeur Général d'OKI France. Jusqu'à présent, les imprimantes matricielles étaient considérées comme une niche incompressible, mais sans croissance. « Ce regain est d'abord expliqué par d'importants renouvellements de parcs, qui avaient été retardés depuis la fin 2008, analyse Gérard Bouhanna, et le faible coût des consommables de ces machines n'incitent pas les entreprises à changer de technologie ». Selon lui, il faut compter 7 euros pour un ruban dont la durée de vie est en moyenne de 6 mois. De fait, les possesseurs d'imprimantes jet d'encre ne consacrent pas le même budget aux consommables.
La poule aux oeufs d'or s'essouffle-t-elle ?
« On constate effectivement une baisse des ventes de consommables jet d'encre sur les marchés professionnels, indique Clément Hering, responsable consommables chez GfK. Selon les mois, elle va de - 5% à - 10%, mais les ventes globales continuent de progresser en volume grâce au dynamisme du marché grand public ». Autre signe d'essoufflement : le prix des cartouches d'encre continue de baisser, alors que selon le dernier baromètre GfK (février à avril 2010), le prix moyen des toners est passé à 96 euros, contre 94 un an plus tôt, ce qui explique que ce marché progresse plus rapidement en valeur qu'en volume.
« L'enjeu des consommables ne concerne pas que l'encre, estime Gérard Bouhanna. Les entreprises sont également très sensibles à la consommation de papier. Elle peut diminuer jusqu'à 50% avec les nouvelles générations de matériels. Dans ce contexte, il n'est pas nécessaire de lancer une guerre des prix sur les lasers et les toners. Les économies générées justifient pleinement que les revendeurs conservent une marge raisonnable sur les ventes de ces produits.»
Apple 2e groupe du Nasdaq en termes de valorisation boursière
Le groupe californien Apple, dirigé par Steve Jobs, est passé devant le géant chinois du pétrole PetroChina, hier jeudi 23 septembre, au cours de la séance de cotation du Nasdaq, le marché d'actions new-yorkais. Selon l'AFP, le titre Apple a atteint un nouveau record à 292,76 dollars, portant à 266 milliards de dollars la capitalisation boursière du fabricant des Mac, iPhone et iPad. A la clôture de la séance, PetroChina avait repris la tête, le titre d'Apple ayant glissé à 288,92 dollars. La capitalisation boursière de la société est alors revenue à 263,9 milliards de dollars, au dessous des 265,5 milliards de PetroChina.
En mai dernier, la valorisation d'Apple avait dépassé celle de Microsoft faisant de la société co-créée par Steve Jobs le groupe technologique le mieux valorisé du monde.
21 millions d'iPad pourraient se vendre en 2011
Ce jeudi 23 septembre fut décidément une bonne journée pour Apple. C'est le jour choisi par Gene Munster, analyste de Piper Jaffray, pour revoir à la hausse ses estimations de livraisons de tablettes numériques iPad en 2011. Jusque-là, il prévoyait qu'Apple allait en vendre 14,5 millions. L'analyste estime maintenant que le constructeur pourrait en écouler 21 millions l'an prochain.
« Nous pensons que l'iPad représente une catégorie de produits significative pour Apple, à la fois comme poste de travail secondaire pour les utilisateurs qui ont déjà un ordinateur, et comme poste principal pour ceux qui ne pouvaient pas jusque-là s'offrir de Mac. Et c'est le premier produit Apple qui rencontrera le succès dans l'entreprise, a affirmé Gene Munster. Nous voyons en l'iPad le Mac pour tous ».
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