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(14/09/2010 12:11:39)
Capgemini renouvelle son contrat avec le gouvernement britannique
Capgemini UK a annoncé, hier soir, la signature d'un protocole d'accord avec le cabinet du premier ministre britannique.
Selon les termes du contrat, la filiale anglo-saxonne de la première SSII française continuera de fournir aux services du premier ministre toutes les prestations ayant fait l'objet de précédents contrats. Le groupe a également présenté au gouvernement anglais de nouvelles propositions qui devraient lui permettre de dégager des économies. Une série de prestations innovantes devraient également lui permettre d'accroître son efficacité.
Poursuivre une mission de transformation
Paul Hermelin, PDG de Capgemini a déclaré, dans un communiqué : « en passant ce protocole, nous entendons poursuivre notre mission de transformation auprès du gouvernement et apporter notre savoir faire à destination du secteur public Je me réjouis à l'idée de travailler ensemble dans les mois et les année à venir, et d'aider le gouvernement britannique dans l'élargissement de ses réformes ».
Pierre-Yves Cros, président du conseil d'administration de Capgemini UK a ajouté : « Capgemini a répondu présent pour aider le gouvernement à relever ses défis sur du court terme. Nous allons également proposer des solutions interministérielles qui aideront à renforcer d'efficacité du gouvernement dans le futur. »
Illustration : Pierre-Yves Cros, président du conseil d'administration de Capgemini UK. Crédit photo : Capgemini
(...)
Juniper en passe d'acquérir Trapeze Networks
Selon plusieurs sources de l'industrie du WLAN, Juniper pourrait annoncer l'accord dans les deux prochaines semaines. L'équipementier organise une Journée des analystes jeudi 23 septembre et il réserve habituellement des annonces importantes lors de cet événement. Il n'a pas voulu faire de commentaires sur cette information, ni Belden qui détient Trapeze Networks.
Plusieurs sources anonymes de concurrents de Trapeze ont indiqué que Juniper les avait approchés avant de faire son choix. « Il y a 3 mois, Juniper a rencontré les différents fournisseurs pour évaluer leur taille, les technologies utilisées, les marchés adressés, etc » explique l'un d'eux et d'ajouter « nous avons trois sources différentes qui nous ont indiqué que la décision de rachat de Trapeze avait été prise ».
Une start-up prometteuse
Belden a acquis trapèze fermée en 2008 pour 133 millions de dollars pour ajouter à son portefeuille de produits les contrôleurs WLAN. Il a tenté de se positionner comme un fournisseur de connectivité filaire (ADSL, câble et fibre optique) et sans fil, mais plusieurs sources soulignent la faible capitalisation de cette acquisition.
Trapeze a été l'une des nombreuses start-up qui a développé le concept de « switch WLAN», donnant aux points d'accès léger WiFi, via un contrôleur central une sécurisation du réseau. Les clients peuvent ainsi se déplacer de manière transparente. Il disposait d'une part de marché de 2,2% en 2009, selon le groupe Dell'Oro, derrière Cisco, Aruba, Motorola, HP, Meru et Alcatel-Lucent.
Au moment de l'acquisition par Belden, Trapeze avait généré 56 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2007 et avait recruté 4 000 clients. Ses produits ont également été vendus en vertu d'accords OEM auprès de 3Com, Enterasys, et Nortel.
(...)(14/09/2010 10:37:27)
Luca Simonelli devient vice-président EMEA de Fortinet
Luca Simonelli devient vice-président chargé des ventes pour la zone EMEA de Fortinet. Son prédécesseur, Patrice Perche, devenant vice-président senior des ventes internationales et du support. Luca Simonelli a passé six années au sein de Fortinet. En 2004, il ouvrait la filiale italienne. Trois ans plus tard, il couvrait également la Grèce, la Turquie, la Russie et la Roumanie. Devenu, vice-président SEEMA, il s'occupe, en plus, de la région ibérique, d'Israël et de tout le Moyen-Orient. Désormais, il a la responsabilité de tout l'EMEA. En plus de ses anciennes régions, il s'occupe de la France, du Royaume-Uni et de l'Allemagne.
Avant de rejoindre Fortinet, il était directeur régional chez Attachmate. Luca Simonelli a débuté chez Sogei Spa Systems.
Etude : L'e-commerce français a progressé de 29% cette année
On ne peut généralement apprécier la valeur d'un taux de croissance que si on le compare à d'autres taux. En l'occurrence, les derniers chiffres publiés par la FEVAD (Fédération du E-commerce et de la Vente A Distance) et Médiamétrie confirment la vigueur des sites marchands de l'Hexagone. La comparaison est en effet riche d'enseignement : alors que le commerce de détail français se satisfait légitimement d'un retour à la croissance avec une progression de 2% au 1er semestre 2010 (après une baisse de 1,4% pour la même période de 2009), le e-commerce a de son côté fait un nouveau bond de 29% (après une hausse de 25% pour l'ensemble de l'année 2009).
Plus que cette croissance des ventes, le fait marquant est, selon la FEVAD, la forte croissance du nombre se sites marchands : le cap des 70 000 a été franchi, alors que ce chiffre était de 54 200 il y a un an. Parmi les nouveaux entrants, on note certes la présence de « pure players » de la vente en ligne, mais l'information la plus forte est sans doute l'arrivée massive sur Internet des acteurs du commerce physique.
Le panier moyen repart à la hausse
Une bonne nouvelle n'arrivant pas seule, la FEVAD annonce que le montant du panier moyen est enfin reparti à la hausse (+ 4%), ce qui donne 93 euros TTC par achat en moyenne. Au final, on constate également que le taux d'adhésion au e-commerce progresse lui aussi dans des proportions impressionnantes : la France compte désormais plus de 25 millions de cyber-acheteurs, soit près de la moitié des habitants âgés de 11 ans et plus. Mieux : 70% des internautes français ont réalisé au moins un achat sur Internet.
Comme ce fut le cas pour la téléphonie mobile, il semble que la France rattrape à vitesse accélérée le retard accumulé au début de la décennie 2010, au point que c'est aujourd'hui le pays européen le plus dynamique en matière de e-commerce. Cette embellie est notamment le fait des plus de 65 ans, supposés être les plus réticents : par rapport au 1er trimestre 2009, le nombre de cybers-acheteurs de cette tranche d'âge a progressé de plus de 35%...
Novell déverrouille l'accès aux hyperviseurs avec Cloud Manager
Les entreprises qui mettent en place des clouds privés doivent faire face à certains problèmes de verrouillage existant entre les offres de virtualisation des différents fournisseurs. Novell espère apporter une réponse concrète à cette situation avec son logiciel Cloud Manager. Ce dernier va permettre aux équipes informatiques de gérer à partir d'un seul outil des ressources virtualisées dans différents hyperviseurs, incluant ceux de VMware, de Microsoft et ceux basés sur Xen (de Citrix). Actuellement, lorsque des clouds privés exploitent des hyperviseurs distincts, il faut gérer chacun séparément, en utilisant les outils fournis par leurs éditeurs respectifs. Cela peut s'avérer compliqué.
Avec une console unique, les entreprises accepteront plus facilement de recourir à une combinaison d'hyperviseurs, choisis en fonction de leurs besoins, explique Ben Grubin, directeur du management du datacenter chez Novell. Selon lui, les choix d'infrastructure pourront ainsi se baser sur ce qu'il est nécessaire de mettre en place pour supporter l'activité, plutôt que de chercher à maintenir un seul environnement unifié.
Microsoft emprunte une direction similaire. Son logiciel Systems Center peut maintenant gérer VMware aussi bien que son offre maison Hyper-V, et la prochaine version du produit, prévue pour l'an prochain, prendra également en charge Citrix XenServer. VMware, en revanche, ne gère avec ses outils que ses propres environnements.
Permettre à l'utilisateur de réserver ses ressources
On peut vouloir utiliser des hyperviseurs différents suivant les applications que l'on exploite, pointe Ben Grubin. Certes, VMware domine le marché et c'est aussi lui qui offre le plus de fonctionnalités, mais c'est également le plus cher et certaines applications ne requièrent pas l'ensemble de ses capacités, souligne le directeur du management du datacenter chez Novell. Dans certains cas, pour limiter les coûts, le choix pourrait donc se porter sur des hyperviseurs plus légers et moins coûteux, estime-t-il.
La solution Cloud Manager de Novell inclut par ailleurs des outils permettant aux utilisateurs eux-mêmes de réserver leurs propres ressources de calcul. Y compris celles qui pourraient être hébergées au travers de plusieurs datacenters sur différents hyperviseurs. La console d'attribution des ressources peut afficher un catalogue de services, de même que les différents niveaux de services avec les prix correspondants, afin que l'utilisateur final puisse choisir.
Habituellement, lorsqu'un département ou bien des utilisateurs veulent accéder à de nouveaux services, ils doivent appeler les équipes informatiques et s'engager dans un processus de mise à disposition des ressources qui peut prendre plusieurs mois. Quelquefois, cela entraîne aussi des dépenses d'investissement pour de nouveaux matériels et logiciels. Autoriser ces utilisateurs à réserver eux-mêmes leurs ressources sur un cloud privé réduit sensiblement le temps de mise en place de nouveaux services. Cela permet en outre de ne payer que pour les ressources utilisées.
Gérer clouds publics et privés depuis la même console
Avec Cloud Manager, l'entreprise connecte le serveur d'application, qui gère le portail en self-service, aux serveurs d'orchestration des datacenters. Chaque serveur d'orchestration peut communiquer avec les infrastructures construites sur les différents hyperviseurs.
Novell a créé un adaptateur qui permettra aux utilisateurs d'insérer des services exploités sur le cloud EC2 d'Amazon, mais cette option technologique n'en est encore qu'au stade des tests, précise Ben Grubin. Il explique que les clients de Novell ont demandé à pouvoir combiner clouds publics et privés au sein d'un même outil de management. Le responsable prévoit qu'à terme le logiciel Cloud Manager supportera l'ensemble des services de cloud public que les clients souhaiteront exploiter.
Aucun prix n'est encore communiqué pour Cloud Manager. Novell va commercialiser une version qui pourra gérer jusqu'à 25 charges de travail (workloads) pour permettre à ses clients de le tester. Il sera ensuite possible d'ajouter des packages additionnels supportant jusqu'à 50 charges de travail.
En dehors de ses arguments portant sur les réductions de coût, Novell considère aussi que sa solution pourrait aider certaines entreprises à avancer dans leur politique de virtualisation. « Certaines ne dépassent pas un taux de 20 ou 30% de serveurs virtualisés parce que leurs différents départements répugnent à abandonner les garanties de visibilité, de sécurité ou de compatibilité qu'ils estiment posséder avec les serveurs physiques, explique Ben Grubin. Or l'une des choses que permet justement Cloud Manager, c'est de rendre les commandes au gestionnaire de l'application, au travers d'éléments tels que le portail en libre-service et la capacité à gérer ses propres charges de travail. Il conserve ainsi la visibilité et la responsabilité, en plus de la transparence des coûts. »
HP s'offre ArcSight pour 1,5 milliard de dollars (MAJ)
Après l'acquisition de 3Par dans le domaine du stockage virtualisé, HP poursuit ses emplettes dans l'écosystème du cloud computing. La firme a annoncé le rachat d'ArcSight, pour un montant d'1,5 milliard de dollars (soit 43,50 dollars par action). La société américaine convoitée propose des logiciels permettant aux administrateurs système de surveiller leurs réseaux et de créer des rapports sur les activités non autorisées ou les risques de piratage. Cette console de sécurité trouverait naturellement sa place dans l'offre d'automatisation du cloud de HP.
Il s'agit de la deuxième acquisition pour HP dans le domaine de la sécurité, après Fortify, au mois d'août dernier.
Microsoft met Dynamics CRM 2011 en bêta dans le cloud
L'une des particularités du logiciel Dynamics CRM 2011, actuellement disponible en version bêta, réside dans son mode de diffusion. Accessible en ligne de plusieurs façons, à la fois hébergé sur les datacenters de l'éditeur ou par le biais de ses partenaires locaux (notamment en France), il pourra également être installé de façon classique par les clients, en interne, sur leurs propres serveurs. Toutefois, Microsoft a résolument décidé de privilégier la version « cloud » de l'offre en la mettant à disposition dès la fin de l'année, sous le nom de Dynamics CRM Online. Le produit à installer dans les entreprises n'arrivera qu'au premier trimestre de l'année prochaine. « Cloud first ! », souligne Sophie Jacquet, chef de produit Dynamics CRM chez Microsoft France. Il est vrai que les utilisateurs américains exploitent déjà CRM Online depuis deux ans.
Rappelons que le périmètre fonctionnel de cette solution couvre tout le spectre de la gestion de la relation client : le suivi des opportunités commerciales, la gestion des actions de marketing et le service client.
Deux versions bêta identiques
Depuis hier, ce sont en fait deux versions bêta (identiques) de Dynamics CRM 2011 qui sont proposées : l'une se télécharge pour s'installer en interne et l'autre est accessible en ligne. Hébergée par Microsoft, la deuxième s'intègre à l'offre Online Services qui est gérée sur le datacenter irlandais de Dublin. Elle s'ajoute ainsi aux services BPOS (Business Productivity Online Standard*) déjà disponibles qui regroupent Exchange Online, Office Communications Online (messagerie instantanée, texte, voix et vidéo), Office Live Meeting et SharePoint Online (portail collaboratif).
Les entreprises qui souhaitent tester la bêta « Online » doivent être réactives. Pour des questions de montée en charge, Microsoft a défini des quotas d'utilisateurs par grandes zones géographiques. Aucun quota en revanche sur la bêta téléchargeable.
400 logiciels en sus sur Dynamics Marketplace
Sur le plan fonctionnel, comme les autres solutions de la gamme Dynamics, l'offre CRM 2011 capitalise sur la connaissance des interfaces de la suite Office (le ruban contextuel) et du client de messagerie Outlook. L'accès au logiciel se personnalise pour chaque utilisateur, en particulier suivant son rôle dans l'entreprise. Les capacités d'intégration avec SharePoint permettent d'accéder à des fonctions de gestion de documents et à des outils de collaboration.
Microsoft rappelle aussi qu'il doit ouvrir ce mois-ci, en version bêta également, son service Dynamics Marketplace offrant un catalogue de logiciels en ligne complémentaires à ses solutions de gestion. Ce catalogue doit rassembler les références d'environ 400 applications, génériques ou spécialisées sur un secteur d'activité, qui ont été développées par des partenaires ou des éditeurs indépendants. Un peu à la manière d'AppExchange, de Salesforce.com, ce service permettra aux utilisateurs cherchant à ajouter certaines fonctions à Dynamics CRM, de vérifier s'il n'existerait pas déjà des applications répondant à leurs besoins et de les télécharger le cas échéant.
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*L'ensemble des services BPOS est accessible à partir de 8,52 euros par mois par utilisateur.
Illustration : Dynamics CRM 2011 (crédit : Microsoft) (...)
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