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(28/06/2010 16:40:56)
Le SSD en entreprise passera par le poste de travail selon Kingston
La technologie SSD est au centre de toutes les attentions. Sur le plan technique, des avancées ont été réalisées pour améliorer les performances d'écriture et la durée de vie des solutions de stockages basées sur la mémoire flash. Kingston qui fait partie des acteurs de ce marché et entend bien trouver sa place sur le marché professionnel. Pour Darwin Chen, VP Flash et SSD de Kingston Technology « notre stratégie dans le SSD est clairement orientée vers les entreprises » et de vanter les raisons de cette orientation. En premier lieu, beaucoup de discussions ont lieu avec les responsables informatiques des sociétés sur deux éléments. Le premier concerne les coûts de remplacement du parc de PC ou notebook au sein de l'entreprise. « Des économies sont réalisables à terme en intégrant des SSD au sein des anciens PC ou portables par rapport à l'hypothèse du renouvellement de parc » explique le spécialiste flash et SSD.
L'autre aspect de l'adoption du SSD dans le monde de l'entreprise réside aussi dans la migration vers Windows 7. En effet l'OS gère automatiquement le TRIM (technique consistant à effacer physiquement les données lorsqu'on supprime des fichiers ou des dossiers de son ordinateur). Cette avancée permet d'améliorer la longévité aux SSD, principale inquiétudes des responsables informatiques.
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« Ce changement sera progressif, mais inéluctable » souligne Darwin Chen et d'avancer les chiffres d'une étude Forward Insight qui prévoit une généralisation des SSD sur les notebooks d'ici à 2014.
Un coût en baisse progressive
Ces prévisions et ces propos sont confortés par une situation économique propice avec la baisse des prix de la mémoire. Une étude réalisée par Isuppli de mai 2010 montre que le coût au Go va baisser pour le SSD. « Le point d'inflexion devrait se faire fin 2011 ou début 2012 avec un prix au Go en dessous des 1 dollar » précise Darwin Chen. Cet argument prix couplé avec les progrès technologiques devraient séduire les DSI encore dubitatifs, même si le binôme disque dur traditionnel et CPU a aussi quelques avantages sur le plan des performances et des prix. « Le SSD est moins soumis aux crash que les disques durs classiques » rappelle également le dirigeant de Kingston.
Et la partie serveur ou stockage, Kingston s'y intéresse, mais reste humble « Intel a de l'avance dans ce domaine » avoue Darwin Chen en ajoutant « avec le temps, les SSD intégreront toutes les plateformes et nous serons alors plus présents sur ces segments de marché ». Aujourd'hui, la stratégie demeure le poste client.
Les prix de la DRAM amorcent une baisse contrôlée
Cette baisse est importante pour les acquéreurs d'ordinateurs, car le prix élevé des DRAM représentait une part non négligeable d'un PC. Cependant, l'inflexion tarifaire constatée peut-être le signal d'un revirement du marché. La pénurie du début d'année a été compensée par une augmentation forte de la production de puces. Les analystes tablent maintenant sur un glissement baissier progressif pour le reste de l'année.
Gartner prévoit une légère diminution du prix moyen de vente pour le reste de 2010. Cela permettra aux producteurs de DRAM de maîtriser les coûts et de garder ainsi une bonne marge bénéficiaire. Dans son étude Semiconducteur DQ, le cabinet d'étude indique que la DRAM était devenue très onéreuse au début 2010. Elle représentait jusqu'à 15% du coût total d'un micro. Gartner estime donc que cette baisse est une bonne nouvelle pour les fabricants de PC, leur laissant une plus grande marge de manoeuvre dans les négociations avec les fondeurs.
La DRAM est commercialisée comme une marchandise en raison de l'énorme quantité de puces produites chaque année. Environ 20 pour cent des composants sont vendues en direct tandis que les mémoires restantes sont écoulées via des contrats avec les fournisseurs de PC.
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Les prix négociés ont diminué pour la 1 Go DDR3 1066 MHz puces DRAM (double débit de données, de troisième génération) à 2,40 dollars à la fin de la semaine dernière, selon Gartner, alors que le prix en direct de la même puce a diminué de 0,4 pour cent à 2,71 dollars. En avril et en mai, il fallait compter 3 dollars pour le même composant.
InSpectrum, qui effectue des tableaux de bord en ligne des prix des différents types de mémoires, prédit des prix encore plus bas d'ici la fin de l'année, en raison d'un plan d'investissement de Samsung. En effet, ce dernier a annoncé en mai, la création d'une ligne de production cette année pour 9,7 milliards de dollars (le double des investissements initialement prévus). L'augmentation de la production aura certainement un effet sur les prix, mais peut également avoir un impact sur les concurrents de Samsung. On se souvient qu'en 2009, le fabricant de DRAM Qimonda a déposé son bilan, tandis que Powerchip Technology (anciennement Powerchip Semiconductor) et ProMOS Technologies ont demandé l'aide du gouvernement taiwanais. (...)
PayPal lance des solutions de paiement dédiées aux mobiles
PayPal, bien connu des sites d'e-commerce (neuf sites français sur dix en sont équipés d'après Thierry Chopard, responsable mobile de l'entreprise), s'adapte aux plateformes mobiles, de plus en plus utilisées. Le but est de proposer une version simplifiée de ce système de paiement à destination des applications pour smartphones et des pages web mobile. Pour cela, l'entreprise a mis à disposition des développeurs une API de paiement, afin que ceux-ci puissent intégrer à leurs applications les lignes de code ajoutant l'option PayPal. L'application "Wink | from Shutterfly", par exemple, sur iPhone, utilise déjà une version alpha du système intégré, offrant la possibilité de payer les cartes postales personnalisées en trois clics. De même, la monétisation des journaux italiens Corriere della Sera et Gazetta dello Sport repose sur cette bibliothèque de paiement.
Mais pour les marchands n'ayant pas développé d'applications, et fonctionnant par navigateur mobile, PayPal a aussi mis en place une solution de paiement web mobile, simplifiant les démarches et offrant le même confort que le système intégré aux applications. D'ailleurs, cette solution de paiement est aussi disponible au niveau des softs, qui peuvent faire un lien vers la page Paypal, et un retour sur le logiciel après règlement. Paypal Mobile utilise la reconnaissance automatique du modèle de smartphone par les sites web mobiles afin de proposer la version adaptée : pour iPhone, Android, Blackberry ou Symbian. L'intérêt de cette version web mobile réside justement dans cette adaptation aux différents systèmes d'exploitation. Apple, par exemple, refuse à l'heure actuelle la vente de services à travers les applications en elles-mêmes, mais pas par le web.
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Il faut évidemment posséder un compte Paypal pour profiter de ces avantages. Une fois celui-ci enregistré dans le téléphone ou dans l'application, l'utilisateur ne doit plus passer que par trois pages : login, confirmation de l'adresse de livraison et choix du moyen de paiement. Il existe aussi une option permettant d'éviter la page de login après la première connexion. Paypal Mobile se décline aussi en tant qu'application dédiée, permettant de transférer de l'argent à un autre utilisateur simplement par l'intermédiaire de leur téléphone. Il suffit alors de parcourir sa liste de contacts, de trouver dans les options de la personne sélectionnée l'application en question, et de finaliser l'échange sécurisé.
Lorsque l'on regarde de plus près la taille du marché des transactions mobiles, on comprend que PayPal ait décidé d'améliorer l'ergonomie et la compatibilité de son dispositif de paiement. Le commerce mobile mondial a représenté, d'après Thierry Chopard, près d'un milliard de dollars en 2009, dont 60% pour eBay, suivi par Amazon à 30-35%. La société PayPal estime qu'elle prendra en charge, en 2010, un volume de paiements par mobile de 500 millions de dollars, à travers ses diverses solutions.
(...)(28/06/2010 10:01:54)
Une goutte d'eau pour améliorer le haut débit dans les zones rurales
Michel Mercier, ministre en charge de l'espace rural et de l'aménagement du territoire, et Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'état chargée du développement de l'économie numérique, ont annoncé les 34 lauréats de l'appel à projets pour la couverture en haut débit des zones rurales. Ces régions, départements ou communauté de communes vont toucher un financement issu des 30 millions d'euros de l'enveloppe mise à disposition par la Feader (Fond Européen agricole pour le développement rural), soit plus ou moins 1 millions d'euros par projet sélectionné. Ces projets correspondent à une réelle problématique de couverture ou de développement de l'ADSL du fait de l'isolement géographique du territoire ou d'un éparpillement de la population trop élevé.
Parmi les lauréats, on pourra citer 3 régions aux problématiques différentes. La région Aquitaine souhaite améliorer sa couverture haut débit sur près de 16 000 lignes téléphoniques et sur 10 zones artisanales, industrielles et commerciales. La région Basse-Normandie avec le département de la Manche, pionnier dans l'installation d'infrastructures haut débit, souhaite résorber les micros zones blanches restantes sur son territoire via la technologie radio. Quant à la région Alsace, elle a pour objectif d'équiper en haut débit 11 communes géographiquement enclavées et comportant un grand nombre de zones blanches.
Téléchargez ici les 34 projets sélectionnés 
La répartition des collectivités locales lauréates (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Illustration : Michel Mercier, ministre en charge de l'espace rural et de l'aménagement du territoire, crédit photo D.R.
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Cet investissement - une goutte d'eau au vu des sommes qu'il faudrait mobiliser pour désenclaver l'ensemble du territoire - a pour but de susciter l'intérêt des investisseurs privés comme l'explique NKM : « Nous voulons que l'argent public ait un effet de levier maximum sur les investisseurs privés ». La secrétaire d'état a également tenu à s'exprimer sur le développement du très haut débit. Elle a rappelé que le territoire ne serait pas couvert dans son intégralité à l'horizon 2013 : « On sait que l'on n'aura pas de la fibre optique dans chaque maison d'ici 3 ans ». Une étude de la Datar estime à 25% la couverture de la population d'ici 2014 et ce en particulier dans les zones de population denses si l'état n'intervient pas plus.
15 et 30 milliards d'euros, pour couvrir le territoire
Pour mémoire, le Président de la République s'est fixé comme objectif une couverture complète du territoire en très haut débit en 2025 pour un coût de déploiement oscillant, toujours selon la Datar, entre 15 et 30 milliards d'euros, en fonction des technologies mobilisées (FTTH, équipement des sous-répartiteurs, et 4G/LTE). La part de financement public à mobiliser serait comprise entre 6 et 15 milliards d'euros selon les solutions de développement sélectionnées.
Dans l'immédiat, comme le souligne Michel Mercier, c'est-à-dire en juillet prochain, l'Etat lance un appel à projets pilotes sur le déploiement de la fibre optique qui s'adressera aux collectivités et aux opérateurs. L'objectif est de tester, pour une durée de 6 à 9 mois le récent cadre règlementaire établi par l'Arcep (Autorité de régulation des télécoms). Une mesure qui risque de ne pas plaire à l'Avicca (Association des Villes et Collectivités pour les Communications électroniques et l'Audiovisuel) qui s'oppose au projet de tarification des fourreaux France Télécom soumis par l'autorité de régulation.
Annuels Oracle : l'absorption de Sun porte déjà ses fruits
L'éditeur de logiciels Oracle, également fournisseur de serveurs depuis le rachat de Sun, a clos son quatrième trimestre fiscal sur un chiffre d'affaires en hausse de 39% par rapport à la même période, l'an dernier. Il est vrai que la société comptabilise maintenant les livraisons de matériels Sun, pour 1,23 milliard de dollars (Md$) sur ce trimestre auxquels se sont ajoutés 600 M$ pour le support associé. Mais les ventes de licences de l'éditeur ont également crû de 14%, à 3,1 Md$, par rapport à la même période, l'an passé, ce qui constitue un bon indicateur. Les revenus tirés de la maintenance des logiciels et des mises à jour ont eux aussi progressé, de 12 %, à 3,43 Md$. Les services n'ont augmenté que de 4%, à 1,1 Md$.
Avec un bénéfice opérationnel en hausse de 14% à 3,3 Md$, Oracle réalise une marge opérationnelle de 35% par rapport au CA, alors que celle-ci atteignait 44% au quatrième fiscal 2009. Le bénéfice net, lui, progresse de 25% à 2,36 Md$ (gain par action : 0,46 dollar, +24%). Sur les douze mois de l'exercice, son augmentation se limite à 10%, et débouche sur un bénéfice par action de 1,21 dollars (+11%).
Les clients de Sun rassurés, considère Safra Catz
Sun a réduit le bénéfice opérationnel GAAP d'environ 100 M$, mais selon la présidente d'Oracle, Safra Catz (photo ci-dessus), la société rachetée a contribué à hauteur de 400 M$ au bénéfice opérationnel non GAAP sur la période. Elle n'oublie pas de comparer avec l'année précédente, quand Sun, encore indépendant, perdait de l'argent. Avec ce rachat, Oracle s'est engagé dans une stratégie qui sous-tend la vente de systèmes intégrés associant serveurs, stockage, middleware et applications de gestion.
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Les réductions de coûts et d'effectifs ont permis à Oracle de tirer profit de Sun. Dans une communication réglementaire, ce mois-ci, l'éditeur a indiqué qu'il allait procéder à davantage de suppressions de postes qu'initialement prévu.
Safra Catz pense que Sun peut contribuer à hauteur de 1,5 Md$, voir davantage, au résultat opérationnel de l'exercice fiscal 2011 qui vient de débuter. Lors d'une conférence, hier, la présidente a listé une série de facteurs favorisant les activités autour de Sun. Elle affirme que les utilisateurs ont été rassurés par le fait qu'Oracle absorbe la société fondée par Scott McNealy.
« Les clients achètent beaucoup de matériels actuellement. Ils restent très fidèles à la technologie qu'ils apprécient, a-t-elle expliqué. Maintenant qu'ils savent qu'il y a un futur pour celle-ci... Ils se sentent plus à l'aise pour reprendre les investissements dans ce domaine ».
Oracle requiert le support sur toutes les machines
Par ailleurs, Oracle a modifié la politique de support des produits Sun, avec une tarification attractive très bien reçue par le clients, a ajouté Safra Catz. De nombreux utilisateurs qui n'avaient pas souscrit de support y sont revenus. »
Pourtant, Oracle demande aux clients optant pour le support du matériel de le faire pour l'ensemble des systèmes. Les observateurs ont analysé cette démarche comme une tentative d'Oracle d'empêcher les clients de Sun d'utiliser les patches fournis pour les machines sous contrat de support pour mettre à jour les machines non maintenues.
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Oracle prévoit de doubler la force de vente de Sun, a promis le PDG Larry Ellison. La société a également placé de grands espoirs dans ses lignes d'appliances de datawarehouse Exadata. Quelques-uns des plus gros clients d'IBM ont commencé à acheter des machines Exadata pendant le trimestre de préférence à de grands serveurs IBM, assure le fondateur d'Oracle. Il affirme que les perspectives de vente pour l'exercice fiscal 2011 approchent le milliard de dollars.
Larry Ellison attend beaucoup d'Exadata
Ce succès s'amplifiera « tant que nous pourrons démontrer que nous sommes beaucoup plus rapide qu'IBM, a souligné Larry Ellison. Les clients sont sceptiques pour tout nouveau produit. Ils achètent une ou deux machines et les testent. Si les essais sont concluants, ils décident de standardiser leurs déploiements. »
Sur l'ensemble de l'exercice (1er juin 2009-31 mai 2010), les ventes de licences n'ont crû que de 6%, à 7,5 milliards de dollars, mais la progression de la maintenance a atteint 11% à 13,1 Md$.
Trimestriels : Progress Software attentiste face à la reprise
Le fournisseur de logiciel d'infrastructure a présenté ses résultats du second trimestre 2010. Le chiffre d'affaires de la société est de 127,7 millions de dollars soit une progression de 9% par rapport à la même période un an avant. Cependant, si on compare ce chiffre avec celui du 1er trimestre 2010 (127,5 M de dollars), l'activité semble marquer le pas. Pourtant, la vente de licences a généré un revenu de 44,2 M de dollars en progression de 15% par rapport à 2009. Au premier trimestre fiscal, ce revenu était de 47,1 M de dollars.
Le bénéfice net s'établit lui à 19,1 M de dollars et affiche une forte croissance +176% par rapport à même trimestre en 2009. Le revenu d'exploitation s'élève à 22,7 M de dollars en hausse de 97%. Sur le plan de la trésorerie, elle se monte à 261 M de dollars.
Sur les perspectives du prochain trimestre, Progress Software reste prudent face à l'effectivité de la reprise économique. Ainsi, le chiffre d'affaires est estimé entre 121 et 124 M de dollars.
Utilisateurs de SAP : Claude Molly-Mitton déroule la stratégie de l'USF
Après l'épuisante guerre de la maintenance entre SAP et ses utilisateurs, le DSI d'Aelia, Jean Leroux, a laissé la présidence de l'USF à Claude Molly-Mitton (photo ci-dessus), de l'AIFE. Ce dernier vient de présenter sa stratégie validée par le Conseil d'Administration. Plusieurs axes forts se dégagent.
En premier lieu, à côté des commissions de travail existantes sur les différentes technologies de SAP, l'USF a créé une commission sur le décisionnel. « Beaucoup d'utilisateurs des solutions Business Objects utilisent celles de SAP et l'inverse est aussi vrai, a indiqué Claude Molly-Mitton. Le Sugen [NDLR : l'organe de liaison mondial des dirigeants de clubs d'utilisateurs SAP] s'intéresse désormais à BO car la stratégie de SAP sur ces questions se décide mondialement. Il lance en ce moment une consultation mondiale relayée par les clubs nationaux. Les résultats sont attendus en septembre. »
Des communautés géographiques et par secteurs
En France, le club des utilisateurs BO n'a pas encore rejoint l'USF mais la balle est dans leur camp, ajoute Claude Molly-Miton. « Nous, nous ne pouvons plus attendre car sinon la France ne fera pas entendre sa voix auprès du Sugen dont nous sommes le seul correspondant français. »
L'USF va également s'enrichir de « communautés » géographiques par grandes régions, par secteurs (services publics, distribution, PME...) et sur le « hors PGI » (BO, consolidation groupe via Cartesis...). Le but est notamment de développer la place des PME et des entreprises de province dans l'USF.
Illustration : Claude Molly-Mitton, président de l'USF (crédit photo : DR)[[page]]La Guerre de la Maintenance a beau être terminée, un groupe de travail commun USF-Cigref est monté depuis mars 2010 sur « les bonnes pratiques dans la relation commerciale avec SAP » en lien avec le groupe Pricing du Sugen. Son animateur est Patrick Geai, vice-président à la stratégie de l'USF et directeur de la gouvernance SI de la branche courrier de La Poste. Un livre blanc devrait être publié en janvier 2011 pour synthétiser le travail de cette commission, notamment pour décrypter les règles SAP à l'attention de ses clients et pour indiquer des bonnes pratiques.
Pas vraiment d'alternative sur la maintenance
Le livre blanc abordera autant l'acquisition de licences et services, la contractualisation et la gestion quotidienne de la relation (facturation interne : avantages et inconvénients de la facturation directe par SAP à chaque entité d'un groupe ou au contraire via une refacturation de la DSI groupe aux entités utilisatrices). Ceci dit, les clients de SAP n'ont guère d'alternative face à l'éditeur pour assurer la maintenance de ses progiciels : « une initiative comme celle de Rimini Street, lancée à Las Vegas en grandes pompes, n'a jamais été vue sur le marché français » a indiqué Claude Molly-Mitton.
Un autre livre blanc, sur SAP dans le secteur public, est également prévu pour la prochaine convention annuelle de l'USF.
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