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(30/06/2010 15:03:45)

En France, près de 25 % des mobiles vendus sont des smartphones

"La France est un pays de smartphones !" indique le rapport. Preuves à l'appui, les ventes de smartphones représentent un quart des ventes totales de mobiles depuis le début de l'année en France. Sur les cinq principaux marchés européens étudiés, seule la Grande-Bretagne fait mieux avec une part de 28,9% (contre 19,6% en Allemagne, 17,6% en Italie et 14,8% en Espagne). En un an, les ventes de "terminaux intelligents" ont augmenté de 143% en France, alors que le marché français des téléphones mobiles "classiques" affiche une croissance en baisse de 9%. GfK explique le phénomène par le "déferlement" de terminaux à écran tactile (40% des ventes à fin mai 2010), et les fortes subventions des opérateurs pour rendre ces produits abordables.

En termes de tendances, si le smartphone à écran tactile connaît un grand succès auprès de Français, les modèles à clavier complet type AZERTY se multiplient et représentent désormais 33% du marché. "En France, l'usage des smartphones est en train d'évoluer et de plus en plus de consommateurs veulent utiliser leur terminal pour écrire des mails et dialoguer sur les messageries instantanées, notamment chez les plus jeunes", explique Matthieu Cortesse, directeur de clientèle télécom chez GfK.

Apple toujours sur le podium

Les chiffres de ventes par marques ne sont pas communiqués, mais le cabinet prédit une lutte serrée entre les différents acteurs qui proposent des systèmes d'exploitation mobiles. "Aujourd'hui, le marché des OS est dominé par trois acteurs qui sont propres à trois marques. Apple est en tête mais Android est en train d'exploser et Windows Mobile a une longue expérience des produits nomades connectés, donc les positions vont être bousculées", commente François Klipfel, directeur général adjoint de GfK.

Selon le cabinet d'études marketing, il s'est vendu l'année dernière en France quelque 3,6 millions de smartphones, soit 15% des ventes globales de mobiles. En 2010, il devrait s'en vendre environ 4,6 millions d'unités.

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(30/06/2010 11:56:06)

Versata porte plainte contre SAP

Versata Software a décidé de déposer une plainte devant la Commission européenne à l'encontre de SAP pour abus de position dominante. Le groupe prétend que l'éditeur allemand l'aurait illégalement empêché de vendre son logiciel de tarification aux clients qui utilisent la plateforme logicielle d'entreprise de SAP. Il l'accuse d'avoir copié son produit pour l'associer à sa suite d'ERP.

"La Commission devrait exiger de SAP qu'il fournisse des informations relatives à l'interopérabilité et qu'il découple son propre outil de configuration de prix au sein de sa suite ERP", a déclaré Thomas Vinje, avocat de Versata, dans un communiqué. "L'institution communautaire devrait également infliger une amende à SAP", a-t-il ajouté. Selon l'homme de loi, SAP utilise des tactiques que la Commission européenne a jugé illégales dans l'affaire Microsoft en 2004. D'après lui, une décision en faveur de Versata ouvrirait le marché du logiciel de tarification et permettrait de donner plus de choix aux consommateurs.

Plaintes à répétition

De son côté, Andy Kendzie porte-parole de SAP a déclaré dans un courriel qu'il prenait cette plainte en considération, mais qu'il ne souhaitait pas apporter de commentaires avant que l'affaire ne soit terminée. Versata n'en est pas à son premier coup d'essai. L'américain avait déjà déposé une plainte contre SAP pour violation de brevets. Cette dernière avait été condamnée à lui verser 139 millions de dollars (114 millions d'euros) de dommages et intérêts.

Crédit photo:D.R

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(30/06/2010 11:54:57)

HP mise sur le FCoE et la sécurité du datacenter

Sur le plan de la connectivité, HP a dévoilé un module Fiber Channel over Ethernet (FCoE) pour son produit A5820, commutateur pour datacenter, héritage de l'acquisition de 3Com. Ce module allège les besoins des deux adaptateurs qui donnent aux serveurs physiques et virtuels l'accès aux ressources réseaux et stockage.

FCoE est considéré par beaucoup d'acteurs comme une technologie clé pour le LAN convergent et le trafic dans la zone de stockage. Ses principaux bénéfices sont des coûts relativement bas et une simplification de fonctionnement. HP considère que les clients peuvent réduire les besoins en  équipements et en câblage jusqu'à 75%, en mettant l'accent sur la consolidation des serveurs périphériques. Cette technologie s'adressait initialement à la couche accès du serveur, mais avec sa standardisation et l'apport d'autres fonctionnalités éprouvées, comme le IETF Trill (Transparent Interconnection of Lots of Links), elle pourrait être intégrée dans le coeur du réseau, en vue de faciliter la création de fabrique convergée plus importante.

Le module HP comprend 4 ports FCoE dont deux peuvent fonctionner sur un châssis A5820.

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Le constructeur affirme qu'il complète ses BladeSystem avec virtual connect flex Fabric, qui fournit une connectivité serveur traditionnels et virtualisés. Le module coûte 12 499 dollars et sera disponible au plus tard à l'automne.


Des outils de sécurité

Pour la sécurité du datacenter, HP mise sur le déploiement de quatre offres Tipping Point S-Series.  Le SVF (Secure Virtualization Framework) analyse le trafic des machines virtuelles pour repérer les contenus malveillants et Vcontroller étend cette fonctionnalité à l'ensemble du trafic réseau. Le service Rep DV (Reputation Digital Vaccine) fournit aux utilisateurs une liste de sites Internet qui présentent un comportement suspect et les bloque. Les modules S1200N propose une prévention d'intrusion pour les blades. Enfin l'appliance S1500L gère le décryptage et l'encryptage SSL du trafic web .

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(29/06/2010 18:02:43)

Isilon dévoile OneFS 6.0 et deux outils de pilotage

Si la sixième génération de OneFS intègre toujours les trois couches de stockage (Raid, système de fichiers et gestionnaire de volume) pour créer un espace de stockage unique d'une capacité maximale de 10,4 Peta, il intègre en sus deux outils de gestion des données, SmartPools et InsightIQ.

SmartPools permet aux utilisateurs d'unifier plusieurs couches de stockage Isilon (comme les S-Series pour la performance, X-Series pour la capacité, and NL-Series pour l'archivage) dans un système de fichier unique, pour simplifier la gestion des données. SmartPools repose sur  la définition de politiques, de sorte qu'il est possible de définir la valeur des données au sein des espaces travail. SmartPools déplace ensuite automatiquement les données en fonctions des usages préétablis. La gestion des données OneFS peut donc être optimiser en fonction des utilisateurs et des applications : performance, capacité et coût. En complément, InsightIQ permet aux administrateurs d'identifier et d'éliminer les goulets d'étranglement de performance. Cet outil dédié à l'analyse de la plate-forme Isilon remonte les taux d'usage des CPU et du réseau pour piloter plus finement les baies de stockage du constructeur.

Des références en France

Crée en 2006, Isilon Systems est installée depuis 4 ans en France sous la direction de Xavier Guérin. Aujourd'hui, la société revendique 80 clients dans l'hexagone (1 300 dans le monde) avec 11 Peta installés. DailyMotion est équipé de 2 Po, SkyRock héberge ses 15 millions de blogs sur des systèmes Isilon dans la banlieue sud, Digiplug, une filiale d'Accenture, s'est équipée chez le constructeur pour conserver les fichiers MP3 de la plateforme d'Universal Music et un grand constructeur automobile français vient de choisir ces produits  pour étendre ses capacités de stockage.

Très présent dans le secteur des médias, Isilon commence à étendre son marché à l'industrie. Jusqu'à 2009, 50% de notre activité provenait du monde des loisirs, souligne Sam Grocot, VP marketing chez Isilon Systems, mais aujourd'hui nous allons vers tous les secteurs d'activité. « En 2009, le chiffre d'affaires de la compagnie a atteint les 950 millions de dollars et nous avons bon espoir de dépasser le milliard en 2010 », précise encore Sam Grocot.

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(29/06/2010 17:13:33)

Gemalto acquiert Cinterion Wireless

L'opération est évaluée à 163 millions d'euros. Gemalto s'est emparée de Cinterion Wireless, fabricant allemand de modules de communication sans fil pour les applications industrielles. La deuxième tentative a donc été la bonne pour le spécialiste de la sécurité numérique. Ce dernier avait échoué dans le rachat de Wavecom au profit de Sierra Wireless. Pour autant, Gemalto croit fortement dans le développement du marché Machine to Machine. Les applications sont multiples, de la station Velib qui dispose d'une carte SIM et fait remonter les informations vers l'opérateur ou l'usager, aux distributeurs de glaces avec un paiement depuis son mobile en passant par les compteurs électriques intelligents. Selon Gartner, la croissance en volume annuelle pourrait atteindre 25% entre 2009 et 2013, faisant du «M2M» l'un des marchés en plus forte progression dans le domaine des données mobiles.

Cinterion Wireless détient 20% de part de marché sur l'activité M2M et a annoncé en 2009 un chiffre d'affaires de 145 millions d'euros. Il s'agit d'une entreprise sans unité de production, qui emploie 335 collaborateurs, principalement sur les sites de Munich et Berlin en Allemagne. Lancée par Siemens en 1995, l'activité avait été cédée à un consortium financier en 2008.

Cette acquisition devrait être finalisée d'ici six semaines. Les résultats d'activité de Cinterion seront comptabilisés dans une nouvelle unité, M2M, qui réunira les activités de Gemalto dans ce domaine. L'activité «M2M» devrait contribuer à hauteur de 20 millions d'euros environ à l'objectif de résultats des activités opérationnelles de 300 millions d'euros que s'est fixé le fabricant de cartes à puce pour 2013.

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(29/06/2010 16:50:44)

Violation de brevets : Salesforce.com renvoie la balle à Microsoft

Salesforce.com vient d'attaquer Microsoft pour violation de brevet. Ce faisant, le fournisseur de solutions de CRM dans le cloud se fait un plaisir de rendre la politesse à l'éditeur de Redmond. Il y a un mois, Microsoft a en effet engagé une procédure similaire à son encontre portant sur neuf de ses brevets.

Selon la plainte déposée par la société de Marc Benioff le 24 juin 2010, auprès d'un tribunal d'instance du Delaware, plusieurs produits de Microsoft violeraient certains de ses brevets. Cela incluraient notamment la plateforme de développement .Net et le logiciel de collaboration SharePoint. Pour le plaignant, le risque de violation était si évident qu'il aurait dû être pris en compte par Microsoft.

Pour Salesforce.com, cette contre-attaque constitue aussi un moyen de pression pour ouvrir les discussions avec Microsoft en vue de trouver un accord. Plusieurs différents entre grands acteurs de la IT se sont résolus de cette façon, récemment entre Intel et AMD, en novembre 2009.

David Boies, un spécialiste de ces questions

L'équipe de juristes du Californien spécialisé dans le CRM en ligne comprend David Boies. Ce dernier est connu pour le rôle qu'il a tenu dans les poursuites engagées contre Microsoft par le gouvernement des Etats-Unis lorsque celui-ci enquêtait sur d'éventuelles pratiques anticoncurrentielles de l'éditeur. David Boies représente aussi Oracle dans le cadre du procès qui l'oppose à SAP pour vol de propriété intellectuelle.

Le mois dernier, lors d'une session de questions/réponses faisant suite à l'annonce de ses résultats financiers, Marc Benioff ne s'est pas privé d'égratigner Microsoft au sujet de sa plainte. Mais il avait également indiqué que le conflit allait être rapidement résolu et qu'il n'avait en tout cas aucun impact sur l'activité de sa société. Une remarque que sa récente riposte éclaire d'un nouveau jour.

Horacio Gutierrez, vice président, responsable des questions de propriété intellectuelle la société de Redmond, a déclaré dans un communiqué que Microsoft allait examiner la plainte de Salesforce.com et comptait poursuivre la sienne.

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(29/06/2010 15:55:05)

SFR lance son offre cloud computing

Les opérateurs télécoms lorgnent de plus en plus vers les services à valeur ajoutée et le cloud computing en particulier. Avec un peu de retard par rapport à son grand rival, Orange Business Services, SFR Business Team a présenté son offre cloud. Le nom de baptême est « Infrastructure SI à la Demande », disponible le 1er juillet prochain et propose une mise à disposition de capacité de traitement informatique et de stockage. Concrètement, le tarif d'entrée est de 2800 euros, comprenant 5 comptes d'administrations, un accès à Internet jusqu'à 100 Mbits et un outil en ligne d'administration et de reporting. A cela s'ajoute, plusieurs formules de serveurs distinguées en Small (2Go de Ram, 1 virtual CPU) pour 120 euros/mois, en Large (4 Go de Ram, 2 virtual CPU) à 240 euros/mois et enfin Extra Large (8 Go de Ram, 4 virtual CPU) pour 460 euros/mois. En matière de stockage, le coût du Go mensuel est de 0,29€. Enfin, plusieurs OS seront disponibles, Debian (gratuit), Red Hat (25€/mois) et Windows (Web Serveur 20€/mois, Standard à 218€/mois et Entreprise à 292€/mois). Au regard des tarifs, Paul Corbel, directeur général de SFR Business Team indique : « nous visons d'abord les grandes entreprises pour connaître et comprendre le marché ».

Une automatisation version HP

Sur le plan technique, l'opérateur s'est associé avec HP pour déployer son offre en misant sur l'automatisation des processus. A partir d'un extranet, le DSI pourra choisir sa machine virtuelle, sa capacité de stockage (dans une limite de 3 To), plus certains outils de développement (LAMP, etc). En matière de virtualisation, Arnaud Bertrand, directeur des opérations techniques dans la BU Services Hébergés SFR Business Team souligne « nous supportons dans un premier temps VMware, mais très prochainement nous utiliserons KVM et par la suite HyperV ». L'activité entreprise de l'opérateur dispose de 6 datacenters en France (Lyon, Marseille, Bordeaux, Strasbourg, Caen et Paris).

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Dans certains de ces centres, l'infrastructure serveurs repose sur les solutions Blade Matrix d'HP.

Sécurité et contrat français

SFR Business Team entre donc en concurrence avec d'autres opérateurs qui se sont lancés dans l'aventure cloud. Les critères de différenciation sont multiples selon Paul Corbel, « la première est la sécurité, c'est une exigence de nos clients. Nous apportons notre expertise du réseau pour apporter des solutions comme la mise en place d'un lien VPN pour les machines virtuelles, intégration de firewall, données redondées sur 2 datacenters, une disponibilité 24h/24 et 7j/7 ». Il ajoute « une autre demande forte réside dans l'hébergement des données en France ». Le contrat de cloud signé est ainsi de droit français et Laurent Jacquet, directeur marketing de la BU Services Hébergés précise « la réversibilité du contrat est effective, un client pourra récupérer l'ensemble de ces données stockées et il aura à sa disposition son image VMware ».

Aucun objectif n'a été fixé par Paul Corbel sur cette offre « nous sommes dans une phase d'éducation du marché » et de constater « il y aura certainement des évolutions vers le mode PaaS (Plateforme as a Service) » sans préciser de date. Aujourd'hui, l'opérateur adresse en direct le haut du marché, mais devrait se tourner vers sa force de vente indirecte pour viser le marché des grosses PME, la prochaine cible de l'offre cloud de SFR Business Team. Le dirigeant rappelle que le marché de l'hébergement croit de 10% chaque année.

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(29/06/2010 12:30:12)

Google revient en Chine pour garder sa licence commerciale

En mars dernier, à la suite d'intrusions dans sa messagerie Gmail, l'éditeur de Mountain View avait fermé Google.cn, la version censurée de son moteur de recherche mis en place pour se conformer aux lois chinoises. Depuis cette date, le trafic vers le site chinois était redirigé vers Google.com.hk, le moteur de recherche non censuré de Hong Kong. À l'époque, Google avait qualifié ce choix de « solution raisonnable, » tout en reconnaissant que la Chine pouvait à tout moment bloquer l'accès au site .hk. Ce qui ne s'est jamais produit. Mais la décision de rediriger le trafic vers Hong Kong avait irrité les autorités chinoises, contraignant finalement Google à y mettre fin.

« Les conversations que nous avons eues avec des représentants du gouvernement chinois indiquaient clairement que les autorités de Pékin trouvaient cette redirection inacceptable. Aussi, en continuant à réorienter nos utilisateurs, nous prenions le risque de ne pas voir renouveler notre licence de fournisseur de contenu Internet en Chine », a écrit David Drummond, vice-président senior, chargé du développement de l'entreprise et de la direction juridique, dans un blog, précisant que la licence devait être renouvelée au 1er juillet prochain. « Sans licence, nous ne pouvons pas exploiter de site commercial comme Google.cn - ce qui aurait pour effet de faire disparaître Google des écrans d'ordinateur chinois », a t-il rappelé.[[page]]

Pour l'instant, le site Google.cn affiche une image de la barre de recherche Google surmontée d'un lien indiquant: «Nous avons déménagé vers Google.com.hk. Merci de visiter notre nouveau site Web. » En cliquant sur le logo ou le texte, les visiteurs sont encore redirigés vers le site Web de Hong Kong. En effet, Google n'a cessé qu'une redirection partielle des visiteurs de Google.cn vers Google.com.hk, mais y mettra totalement fin
dans les prochains jours.

L'entreprise espère que cela suffira à apaiser les responsables en colère a Pékin et évitera la remise en cause du renouvellement de sa licence. « Cette nouvelle approche est conforme à notre engagement de ne pas s'auto censurer et conforme avec le droit local. Nous sommes donc confiant que notre licence sera renouvelée sur cette base, de manière à pouvoir continuer à offrir à nos utilisateurs chinois des services via Google.cn », a écrit très diplomatiquement David Drummond. Le business en Chine a ses propres règles et même Google est obligé de se plier au joug pékinois pour ne disparaitre du marché chinois.

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(29/06/2010 10:17:06)

En intégrant HCM, BIOS Consulting choisit une approche verticale

Bien qu'elles soient tout deux des spécialistes des solutions de Business Intelligence, HCM et BIOS Consulting avaient choisi jusqu'ici des positionnements différents. Ainsi, HCM a adopté depuis longtemps pour une approche métier tournée vers les acteurs de l'industrie pharmaceutique. Son portefeuille de services et de solutions métiers comporte notamment l'application maison PharmAnalyser qui permet à un laboratoire pharmaceutique de suivre tous les aspects de ses performances opérationnelles. De part sa spécialisation dans les processus fonctionnels partagées par des entreprises de tous horizons (achats, gestion des stocks, RH, vente...) BIOS Consulting se voulait beaucoup plus généraliste en terme de clientèle. D'ici à la fin 2010, les revenus cumulés du nouvel ensemble regroupant BIOS Consulting et HCM devraient atteindre 5 M€. « Nous avons souhaité orienter notre stratégie vers une approche verticalisée. explique Philippe Le Corre, co-fondateur de BIOS Consulting. Le rachat de HCM constitue une étape clé de ce processus ».


Poursuite de la croissance externe en perspective

Non contente d'avoir renforcé son approche métier avec le  rachat de HCM, la société a aussi entrepris de packager ses propres offres en matière d'achats, de RH et de logistique. Elle veut ainsi rendre ses offres accessibles à des clients de taille plus modeste que les grandes entreprises et les grands compte qui constituent son coeur de cible historique. En outre, le renforcement de son approche métier devrait se poursuivre à l'avenir avec de nouvelles acquisitions en perspective.
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