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(17/06/2010 17:32:40)

Hotline facturée : Free condamné en appel

L'association de consommateurs avait engagé en 2005, aux côtés de trois abonnés, une procédure contre Free pour faire sanctionner l'absence de fourniture d'accès au réseau Internet et la facturation du service d'assistance technique téléphonique jugé « inefficace, voire inexistant ».

La Cour d'appel de Paris, dans un arrêt du 11 juin 2010, a confirmé le précédent jugement rendu en juin 2007 par le Tribunal de grande instance de Paris. Ce dernier avait considéré que Free était seul responsable vis-à-vis de ses clients de la bonne exécution des obligations résultant du contrat, que celles-ci soient à remplir par lui-même ou par un autre prestataire, et que la société devait prendre à sa charge le coût des communications à sa hotline lorsque le client appelle pour résoudre un problème d'accès à Internet.

Pour l'existence d'une class action

« Au-delà de la réaffirmation de l'obligation de résultat des FAI et de la gratuité de la hotline, cette décision de la Cour d'appel démontre une nouvelle fois la nécessité de créer en France une action de groupe », a commenté l'UFC dans un communiqué. L'association indique que son action a permis aux trois consommateurs présents à la procédure d'obtenir réparation de leur préjudice. Elle regrette qu'un nombre important d'internautes concernés par ce genre de problème puissent être tentés de renoncer à une action en justice, « compte tenu du faible préjudice éprouvé par chacun d'eux individuellement ».

(...)

(17/06/2010 17:11:11)

Stockage en ligne : Trend Micro acquiert Humyo

Si le montant de la transaction n'est pas connu, on sait ce que Humyo propose comme solution. La société anglaise fondée en 2007 a offert à 600 000 utilisateurs de disposer d'un espace de stockage en ligne gratuit de 10 Go. Une offre professionnelle existe également avec de la synchronisation de données, la sauvegarde de fichiers plus volumineux et la possibilité de travailler sur un même document avec des collaborateurs à distance.

Pour Eva Chen, PDG de Trend Micro, « cette solution de stockage en ligne, qui est simplement une technologie cloud, s'insère parfaitement dans notre stratégie de fournir de la sécurité pour et depuis le cloud ». Dan Colon, co-fondateur d'Humyo souligne qu'« avec le développement de l'iPad ou des télévisions connectées à Internet, les gens veulent avoir accès aux informations où et quand ils le souhaitent, le stockage en ligne et la synchronisation peuvent répondre à ces besoins ».

(...)

(17/06/2010 16:58:43)

Akamai se renforce dans le mobile avec Velocitude

Cette acquisition est considérée comme stratégique pour Akamai avec le développement de l'Internet mobile. Les techonologies de Velocitude vont être intégré dans les solutions d'Akamai pour aider à la délivrance de contenu vidéo ou de fonctionnalité de e-commerce auprès des smartphones.

En dépit du développement de l'internet mobile, l'expérience utilisateur, notamment de la vidéo sur un navigateur web est déceptive (absence de fluidité, pixellisation des images, etc). Cela oblige les fournisseurs de contenus à adapter ou à redimensionner les films ou les images pour les mobiles. Cet effort a un coût et les solutions de Velocitude peuvent automatiser cette migration du contenu vers les plateformes mobiles. Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé.

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(17/06/2010 15:55:23)

Consona rachète l'éditeur de l'ERP Compiere

La société Consona Corporation, basée à Indianapolis, vient d'acquérir l'éditeur de Compiere, un progiciel de gestion intégré développé en Open Source et utilisé par quelque 130 entreprises. Cet ERP dispose de fonctionnalités adaptées au secteur de la distribution, notamment pour la gestion des points de vente et du e-commerce. Créé par Jorg Janke, ancien collaborateur d'Oracle, et Kathy Pink, cet ERP développé en Java est apparu en 2000. A l'automne 2006, une partie des membres de la communauté Compiere a bifurqué pour créer un fork, en poursuivant le développement d'un projet alternatif, Adempiere.

Utilisé principalement par des PME, Compiere présente la particularité d'être disponible depuis plus d'un an dans une version adaptée à un déploiement dans le cloud EC2 d'Amazon. Intéressé par la technologie et l'architecture multitenant de l'offre ERP, Consona dit vouloir conserver la stratégie Open Source de son éditeur d'origine. L'acquisition s'effectue par échange d'actions. Dans le cadre de cette transaction, une société de capital risque, Nea, rejoint les actionnaires de Consona. Ce dernier édite déjà plusieurs ERP spécialisés dans la production industrielle, ainsi que des solutions de CRM (gestion de la relation client) et de gestion des connaissances.

Compiere compte plusieurs intégrateurs en France

En sus de sa version Community, gratuite, Compiere existe en trois éditions : Standard (à partir de 400 $ par utilisateur et par an), Professional (à partir de 750 $/util/an) et Enterprise (à partir de 995 $/util/an). Le produit s'appuie sur les bases de données Oracle ou Enterprise DB. Il réunit autour d'un référentiel et d'un modèle unique de données des fonctions de comptabilité et de gestion des achats, des ventes, de la relation client (incluant un connecteur avec Salesforce), de la production, de la logistique et des projets.

L'éditeur Compiere dispose d'un réseau d'une centaine de partenaires dans le monde parmi lesquels les intégrateurs français Audaxis, Axilom et Datalp.

Il existe plusieurs autres solutions ERP en Open Source pour les PME, en particulier OpenERP (précédemment nommé TinyERP), OpenBravo (originellement basé sur Compiere) et ERP5 (de l'éditeur français Nexedi).

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(17/06/2010 15:07:05)

Une start-up améliore la fiabilité des SSD professionnels

Anobit indique que la technologie MLC étend la capacité d'écriture de 3 000 à plus de 50 000 cycles d'écritures. Cette solution est idéale pour certaines applications professionnelles, comme par exemple les bases de données relationnelles. Disponibles en version 200 Go et 400 Go avec une interface SATA. En leur adjoignant un adaptateur externe, ils peuvent fonctionner en SCSI ou Fiber Channel. Côté performance, les débits atteignent 220 Mbit/s en lecture et 180 Mbit/s en mode d'écriture.

La jeune société, fondée en 2006, a inventé un processeur spécial, appelé Memory Signal Processor, qui renforce la fiabilité des mémoires flash MLC Nand, à travers un algorithme de correction d'erreurs. Pour Gilad Engel, vice-président du développement « MSP ajoute un niveau de correction d'erreurs à celui qui existe déjà sur les contrôleurs SSD existants et qui se nomme ECC ». Le responsable souligne que le disque Genesis de 200 Go peut gérer jusqu'à 2 To de données en écriture par jour pendant 5 ans et le 400 Go peut supporter 4 To. L'ensemble de ces disques  autorise une vitesse  de 20 000 I/O en écriture par seconde et de 30 000 en lecture. Ils supportent en natif des tailles de blocs de 512, 520 et 528 bytes et une mémoire cache non volatile qui protège contre les incidents. Aucun prix n'a été dévoilé.

Pour Gregory Wong, analyste chez Forward Insights, Anobit n'est pas le seul à proposer des processeurs SSD et une amélioration de la fiabilité de la mémoire flash MLC Nand. Sandforce a ainsi réalisé une puce qui utilise la compression de données et une architecture RAID, permettant d'aller au-delà des limitations du MLC. « Sandforce repose sur un codage ECC 24-Bit/512-byte. Néanmoins, le grand problème est que la dégradation de la qualité du signal et la technologie Anobit peut aider à avoir un signal plus propre »

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(17/06/2010 12:13:28)

SFR refuse de sous-louer son réseau à Free Mobile

Le PDG de ce dernier, Frank Esser a ainsi déclaré lors du 9ème forum des réseaux et télécoms organisé par les Echos les 15 et 16 juin à Paris que « Free a eu le choix entre devenir un opérateur commercial [NDLR : un MVNO] ou un opérateur réseau. Et il a préféré être opérateur réseau. Il doit donc investir en infrastructure. Pourquoi serait-ce gratuit pour lui alors que nous venons d'investir 300 millions d'euros le mois dernier pour acheter des fréquences 3G ? Il n'est pas question que nous entrions en négociation. »

Ferme sur ses positions, Frank Esser n'envisage donc pas d'aider Free à se développer sur le marché de la data mobile. Les accords d'itinérance nationale portent en effet sur les réseaux 2G et sont limités à la seule voix. Or, Free Mobile aura besoin rapidement de négocier avec un opérateur pour accéder aux capacités 3G et proposer des offres d'Internet mobile illimité. Ce marché peut être une manne financière non négligeable pour l' opérateur hôte. En cas de refus, le nouvel entrant pourra se tournera vers le régulateur et vers l'Autorité de la concurrence pour infléchir la position des récalcitrants, mais les procédures sont longues.

Par ailleurs, Frank Esser a indiqué que son groupe va axer sa stratégie sur le développement de l'offre internet pour les terminaux mobiles alors que SFR est désormais le 2ème opérateur alternatif français, à la fois fixe et mobile. Il a profité de sa présence à ce forum pour faire un point sur son marché. Pour lui, la plus grande innovation qui marque le secteur des télécoms aujourd'hui est celle de l'internet pour les mobiles. Il insiste : « pour nous c'est l'avenir ».

 

Crédit Photo: Jean Chascano

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(17/06/2010 11:01:08)

France Telecom bataille toujours contre la régulation asymétrique

(Source EuroTMT) C'est devenu une habitude depuis peu, à chaque fois qu'il a l'occasion de prendre la parole en public, Stéphane Richard, le directeur général de France Télécom, remet en cause la régulation asymétrique mise en oeuvre par l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes) à l'encontre de l'opérateur historique. A l'entendre, cette régulation, qui s'explique par la prédominance de France Télécom sur les marchés du fixe, serait la (seule ?) responsable de tous les maux commerciaux.

Après une interview donnée au Monde, Stéphane Richard a ainsi répété ses propos devant l'assemblée générale de ses actionnaires, organisée le 9 juin dernier, le même jour que la présentation par l'Arcep de son rapport annuel, permettant ainsi de justifier l'absence des dirigeants de l'opérateur au cocktail organisé pour l'occasion.

En répétant ainsi ses attaques contre l'Arcep, Stéphane Richard espérait-il faire flancher Jean-Ludovic Silicani, le président de l'autorité de régulation des télécoms, et les membres du collège ? Si c'était le cas, c'est raté. Lors de l'interview qu'il a accordé à EuroTMT (n° 155), Jean-Ludovic Silicani a clairement défendu la régulation asymétrique et la nécessité de la maintenir en place, précisant que le poids de la régulation mise en oeuvre par l'Arcep sur les activités domestiques de France Télécom ne représentait que 0,5 % du chiffre d'affaires de l'opérateur, ce qui est loin d'être très handicapant.

Une fermeté des propos qui a d'ailleurs rassuré les concurrents de l'opérateur historique, inquiets que les attaques répétées de Stéphane Richard ne déstabilisent l'autorité de régulation. D'autant que, pour ces derniers, les difficultés commerciales de France Télécom s'expliquent par des raisons conjoncturelles dans le haut débit, l'opérateur historique ayant toujours, selon eux, la capacité d'accélérer et de retrouver des parts de marchés bien plus élevées.


Photo : Stéphane Richard, Directeur Général de France Telecom (D.R.)

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Pour autant, Stéphane Richard a au moins réussi à faire passer son message auprès d'autres oreilles plus réceptives, des critiques (off) contre l'Arcep et son supposé soutien apporté à Free se faisant entendre dans les coulisses du pouvoir. Et si l'Arcep ne semble pas fléchir, France Télécom a obtenu gain de cause auprès de l'Autorité de la Concurrence dans le dossier des fichiers croisés. Au moins partiellement.
Dans un avis publié lundi 14 juin, l'Autorité de la Concurrence a en effet autorisé l'opérateur historique à utiliser cette technique commerciale pour vendre son futur forfait quadruple-play auprès de ses abonnés mobiles et haut débit. Mais l'Autorité a encadré cette mesure, prévenant l'opérateur que les conditions dans lesquelles il mettrait en oeuvre le cross-selling pourraient aussi être qualifiées de pratiques anticoncurrentielles.

D'ailleurs, comme le note aussi l'Autorité de la Concurrence dans son avis, c'est moins le cross-selling que la remise proposée par Bouygues Télécom dans son offre quadruple-play qui explique le succès de l'opérateur mobile dans le haut débit. Au total, un client qui opterait pour l'offre de Bouygues Télécom aurait une réduction de 16 euros par rapport à un client qui prendrait un forfait mobile indépendant d'un forfait haut débit.

Un domaine dans lequel France Télécom a moins de marges de manoeuvres, étant l'opérateur historique de la boucle locale à qui les opérateurs alternatifs louent les lignes. Pour le moment, le carcan réglementaire qui délimite les capacités d'action de l'opérateur historique n'a guère été desserré. Et on peut s'attendre à ce que Stéphane Richard continue à tenir un discours critique vis-à-vis de l'Arcep.
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(17/06/2010 11:08:22)

Des offres SaaS chez l'opérateur Mitel

Chez Mitel, seuls les postes téléphoniques sont en dur, le reste et donc l'essentiel c'est désormais du logiciel. Une transformation de fond opérée en deux ans à coup de partenariats majeurs avec des grands noms de l'informatique.  « Nous sommes entrés dans le secteur des éditeurs de logiciels pour agir dans un monde plus vaste, inter-opérer avec d'autres acteurs d'un monde ouvert » nous explique Lionel Hovsépian, directeur des marchés pour l'Europe chez Mitel. Cette nouvelle stratégie passe par des partenariats. Mitel est ainsi allié de Microsoft (en communications unifiées), d'IBM (à la fois sur les communications unifiées et sur Lotus Foundation), de Sun/Oracle (pour la virtualisation du poste de travail), et maintenant de VMware. (pour virtualiser non seulement les applications mais aussi le serveur d'appel).

Ce faisant, Mitel élargit considérablement sa cible et refond également sa distribution. Il continue de recruter des installateurs ou des intégrateurs télécoms. Lionel  Hovsépian cite Itac (partenaire historique d'Alcatel-Lucent), le groupement Convergence, Atelio en Alsace, CPV à la Roche-sur-Yon et dans tout l'Ouest.  Mais l'idée est aussi de prospecter des partenaires informatiques. Un deuxième grossiste pourrait être choisi dans ce but. Mitel passe déjà par Itancia pour le segment « authorized », celui d'entrée de ses revendeurs. Il compte deux autres niveaux, servis directement : Premium (où Exprimm a rejoint Spie) et Select avec 7 partenaires. 

Autre changement, Mitel passe par des opérateurs. Nombre d'entre eux offrent maintenant du SIP truncking. Et les revendeurs ont donc la possibilité de coupler des offres de SIP et des offres de pabx ou de communications unifiées. Les opérateurs vont également développer des offres d'hébergement.  L'éco système a donc intérêt à se renforcer, les revendeurs à  traiter avec les opérateurs, ces derniers à proposer non seulement « des tuyaux » mais de l'hébergement. Mitel compte déjà des partenaires opérateurs comme Acropolis, Colt, Hub Telecom Region, Verizon et veut développer ce canal. Il compte également proposer des formules en Saas d'ici la fin de l'année.

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(16/06/2010 15:53:43)

Les créateurs d'Amazon EC2 lancent une start-up dédiée au cloud

Basée à Menlo Park, en Californie, et à Cape Town, en Afrique du Sud, celle-ci a été fondée en 2008 par deux vétérans d'Amazon, Chris Pinkham et Willem van Biljon, avec le soutien de la société de capital-risque Sequoia.

« Responsable de l'infrastructure informatique de tous les centres de calcul, des bureaux et des installations d'Amazon.com entre 2001 et 2006, Chris Pinkham est à l'origine d'EC2 dont il a dirigé l'élaboration, » comme l'indique son profil LinkedIn. Willem Van Biljon quant à lui, il a passé à peine un an chez Amazon, et a fait partie de l'équipe qui a construit la première offre Elastic Compute Cloud (EC2) d'Amazon dont il conduit la gestion produits et la stratégie commerciale jusqu'en juillet 2006.

Lancée en version bêta publique en août 2006, Amazon EC2 a depuis joué un rôle majeur, faisant du cloud une alternative viable aux modèles d'infrastructure informatiques existants. EC2, qui s'appuie en grande partie sur la virtualisation, permet aux clients d'acheter des capacités de calcul brutes en fonction de leurs besoins, avec la possibilité d'accroître ou de réduire à volonté leur demande.

Des solutions encore nébuleuses

Les deux responsables n'ont pas révélé grand chose à propos de Benguela, si ce n'est qu'ils prétendent avoir développé « des logiciels pour infrastructure Cloud » qui vont «révolutionner la façon dont les entreprises interagissent avec le nuage informatique. » Girish Kalele, ingénieur chez Benguela, décrit les solutions sur son profil LinkedIn comme étant « la prochaine génération d'outil de virtualisation réseau pour les centres de calcul. »

Benguela a récemment recruté Quinton Hoole, ingénieur informatique et Kuyper Hoffman, ingénieur système, issus d'Amazon également. La jeune structure cherche aussi à recruter un spécialiste logiciel, formée à la conception de code pour des systèmes demandant « un niveau élevé de disponibilité, de sécurité et de performance... » et « ayant la capacité de travailler, ou apprendre à peu près n'importe quelle brique technologique, avec une préférence pour les outils et les méthides open source » en plus de la compréhension de l'informatique virtualisée, du stockage et des environnements réseaux.

Chris Pinkham devrait donner plus de détails sur Benguela la semaine prochaine au cours de la Conférence Structure 2010, où l'entreprise a été nominée pour le prix LaunchPad.

 

 

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