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(16/06/2010 13:45:54)

IBM lorgne sur un spécialiste des outils d'analyse

Big Blue a les yeux de Chimène pourCoremetrics, un éditeur spécialisé dans les outils d'analyse web. Basée à San Mateo (Californie), cette start-up (230 collaborateurs) développe des outils décisionnels qui aident les entreprises à mieux commercialiser leurs marques. Des fonctions comme le ciblage d'e-mails ou les recommandations personnalisées en temps réel permettent une meilleure interaction avec les clients et les prospects en analysant les données en interne ou en provenance des réseaux sociaux. Parmi les clients de Coremetrics, on peut citer Bank of America, ou encore Holiday Inn.

IBM a par ailleurs indiqué que la technologie de l'éditeur serait intégrée à son serveur d'applications Websphere. Pour Joe Stanhope, analyste chez Forrester, la firme d'Armonk appliquerait certaines des capacités de business intelligence de Coremetrics aux logiciels de la société Cognos, rachetée en 2007 par Big Blue. Actuellement, 5 000 employés de la firme travaillent au développement d'outils décisionnels.

Au cours des cinq dernières années, IBM a investi 11 milliards de dollars pour renforcer ses capacités d'analyse à travers 18 acquisitions. Dernier rachat en date, celui de Sterling Commerce, un spécialiste des solutions d'intégration, effectué il y a tout juste un mois.

(...)

(16/06/2010 09:53:00)

2ème rencontres annuelles du SPN, le cluster de Poitou-Charentes

Le cluster SPN réunit le 24 juin, à Poitiers, ses deuxième Rencontres du numérique.  Elles sont axées sur le thème de la mobilité. Des Rencontres qui se déroulent sur une journée. La matinée est consacrée aux Rencontres d'affaires, avec 450 rendez-vous programmés. « L'idée est que les adhérents  s'associent pour développer de nouvelles capacités à l'échelon régional, national ou international », nous explique la directrice de SPN Lisa Harle.

SPN développe par ailleurs ses structures. Un espace de 115 mètres carrés, le nouveau siège,  est disponible près de la gare de Poitiers pour des rendez-vous entre adhérents.  Le SPN organise également des réunions thématiques par exemple sur le sans fil. Le cluster travaille aussi en direction des collectivités locales, par exemple en aidant l'Agglomération de Poitiers à rédiger un guide d'achat TIC.

Ce cluster a été créé en 2001 sous le nom de Seuil du Poitou Numérique. En 2007, il se rebaptise SPN avec quatre pôles : réseaux et télécommunications, développement informatique, conseil et formation, communication multimédia et arts graphiques. Il compte 90 adhérents. SPN participe à France IT, créé dans le cadre de France Cluster avec Loire Numérique, Franche Conté Interactive, RhoneAlley, Peba en Aquitaine.  Ils préparent une charte interne et un Tour de France qui permettra à des adhérents de l'un des cinq clusters de se rendre dans l'autre pour se développer sur d'autres régions ou trouver des partenariats. (...)

(16/06/2010 09:53:21)

Massification des achats publics : la FEB en appel au Tribunal

La Fédération des Entreprises Bureautiques (FEB) vient de franchir une nouvelle étape dans son combat contre la massification des achats publics en lançant une procédure devant le Tribunal Administratif. Cette « procédure en référé précontractuelle » sera examinée le jeudi 17 juin et les résultats seront communiqués à la FEB le 21.
« C'était pour nous le seul moyen de bloquer la mise en place de ce nouveau processus d'achat, qui pourrait détruire plusieurs dizaines de milliers d'emplois dans les PME de la distribution bureautique », explique André Vidal, Président de la FEB. La procédure en question concerne les systèmes d'impression. Deux autres marchés couverts par la FEB pourraient ensuite être concernés : la papeterie et le mobilier de bureau. Et l'informatique ? « Elle n'est pas concernée de la même manière, dans la mesure où les marchés sont renouvelés tous les six mois, alors que l'on peut être écartés pour une durée de quatre ans dans les autres cas », précise André Vidal.

Le soutien des élus

Si le syndicat professionnel s'est lancé dans une procédure juridique, c'est notamment parce qu'il a reçu le soutien de députés, de sénateurs et d'élus des collectivités. 143 questions écrites ont ainsi été posées au gouvernement sur ce sujet. La FEB sait qu'il lui faut maintenant mettre davantage de pression sur les pouvoirs publics si elle veut obtenir des modifications de la massification des achats publics. Mercredi prochain, le 23 juin, elle officialisera le choix d'une agence de relations presse et décidera de la hauteur de ses investissements publicitaires dans la presse nationale. « Nos actions de lobbying auprès des élus ont été efficaces, il faut désormais que l'opinion publique soit plus largement informée des risques que cette supposée mesure d'économie fait peser sur l'emploi. Quelle peut-être l'économie pour la collectivité nationale quand on sait qu'elle doit consacrer 40 000 euros pour permettre à un chômeur de retrouver un emploi ? », conclut André Vidal.


Note de la rédaction : Vous êtes-vous aussi concerné par la massification des achats publics voulue par l'état ? Réagissez sur le forum de LeMondeInformatique.fr

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(15/06/2010 08:25:57)

Baisse des dépenses de sécurité en 2010 selon Gartner

En 2010, les dépenses en sécurité IT seront en baisse de 5 à 6% par rapport à 2009, estime le Gartner. Avec l'amélioration de la situation économique, les dépenses en sécurité vont reprendre, mais de manière moins rapide que pour les autres dépenses  IT. En 2009 pourtant, malgré la crise économique, les entreprises avaient maintenu leurs dépenses en matière de sécurité informatique, alors qu'elles réduisaient d'autres budgets. 

La demande change. En 2010, d'après l'auteur de l'étude, Vic Wheatman, directeur de recherche au Gartner, les entreprises clientes recherchent plutôt des plateformes de sécurité comprenant : la sécurité des terminaux, les pare-feu de nouvelle génération, les passerelles de sécurité Web, e-mail et pare-feu multifonctions pour les agences. D'autres cherchent la meilleure solution possible, sans passer par une plateforme, par exemple sur l'évaluation de la vulnérabilité. Le plus souvent, ces clients cherchent aussi des contrats au moindre coût.

De nouvelles dépenses apparaissent également, liées à de nouvelles initiatives commerciales, avec l'identité complexe et la gestion des accès (IAM) ou la prévention des pertes de données (DLP). L'IAM est la priorité de 20% des entreprises interrogées dans l'enquête, en matière d'investissements dans la sécurité. Les quatre suivants sont : la prévention des intrusions, la gestion des correctifs, les DLP, les antivirus et la gestion d'identité. Le Gartner cite d'autres sujets possibles d'investissement en matière de sécurité : la mise en réseau d'hôtes, le télétravail salarié, la sécurisation des réseaux locaux sans fil, les cartes de paiement, les pistes d'audit de consolidation, la sécurité dans la gestion d'événements, les exigences des tests de pénétration, la prévention d'intrusion.

L'Europe est le continent où les entreprises consacrent la part la plus faible de leur budget à la sécurité, 4,3%, contre 5,5% par exemple aux Etats-Unis.

(...)

(14/06/2010 16:32:37)

Nelly Kroes, commissaire européen, prône une informatique ouverte

« Choisir un standard ouvert est une très petite décision », a expliqué Nelly Kroes, lors d'une conférence à Bruxelles organisée par OpenForum Europe et d'ajouter « les acheteurs publics ou privés de technologies doivent être intelligents et construire leur système sur des standards que tout le monde utilise et que l'on peut intégrer sans contraintes. »

Elle demande donc aux fournisseurs de rendre leurs produits interopérables entre eux et de ne pas attendre qu'on les force à le faire. Pour mémoire, Nelly Kroes, actuellement en charge de l'Agenda Numérique, était auparavant commissaire en charge de la concurrence et a mené la bataille sur les entraves de Microsoft auprès des développeurs qui souhaitaient créer des logiciels interopérable avec les déclinaisons de Windows Server. « C'est un combat de longues années, jusqu'à ce que Microsoft commence à publier des informations sur l'interopérabilité ». Cette affaire, comme celle d'abus de position dominante sur le marché des OS et plus spécifiquement sur le marché des lecteurs multimédias (Windows Media Player, Real player) et a probablement fait perdre des centaines de millions d'euros à Microsoft. Néanmoins, Nelly Kroes indique que « les investigations antitrust complexes sont suivies de procédures judiciaires qui sont certainement les seules voies pour imposer l'interopérabilité ».

En parallèle, la Commission est à la recherche de moyens pour convaincre les entreprises IT qu'il est profitable d'ouvrir leurs licences à leurs concurrents et moins rentables de protéger celles-ci. « Une de ces initiatives pourraient être une limitation de certains produits informatique, en incluant une contrainte tarifaire ».

Les autres plans de la Commission

Nelly Kroes a un autre plan pour influencer les acheteurs IT de l'Union européenne en faveur de standards ouverts. Le European Interoperability Framework (EIF)  V2 est un de ces éléments. Il s'appuie sur des règles et lignes directrice pour connaître le rapport coût-efficacité des équipements informatique dans le secteur public.

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« L'élaboration de ce projet n'a pas été facile » déclare la responsable européenne. Toutefois, elle espère que cela aidera les pouvoirs publics à éviter à long terme le dangereux verrouillage des marchés. « Il faudra aussi se préoccuper de la concurrence entre les acteurs sur les contrats de maintenance et services. Les Etats membres doivent avoir la possibilité de choisir des produits propriétaires » souligne la commissaire, mais de spécifier « mais en motivant sa décision, plutôt que de succomber à un élément de facilité ».

Graham Taylor, responsable de l'OpenForum, estime que les propos de Nelly Kroes vont apporter quelques changements dans le projet de l'EIF V2. « Elle est clairement au courant de la controverse sur la version qui avait fuité, il s'agissait d'une mauvaise version du projet » commente t'il. Pour mémoire, ce projet décrié ne comportait aucune allusion à des « standards ouverts ». Le responsable associatif a donc été ravi d'entendre la Commissaire européen utiliser plusieurs fois ce terme. Toutefois, elle a précisé que les mots ne sont pas un substitut à la mise en place d'une action politique. Ce qui importe est la substance. «  J'exhorte toutes les parties prenantes de se concentrer sur le contenu du paquet plutôt que sur l'emballage » dit-elle.

Un autre projet de Nelly Kroes est de rendre plus facile la précision des standards ouverts, dans les appels d'offres, pour les acheteurs publics. La réglementation européenne oblige ces derniers à se référer à des normes élaborées par des organismes reconnus, tels que l'ETSI, l'ISO ou certaines autorités nationales homologuées (AFNOR). Par contre,  les normes élaborées par l'industrie par des consortiums tels qu'OASIS, ECMA ou le W3C ne comptent pas. La Commissaire souhaite donc mettre en place un système de reconnaissance mutuelle sur les différents standards internationaux, basé sur « la transparence, l'équilibre, le consensus ». Si cela avait été le cas en 2008, il n'y aurait pas eu de bataille pour que l'ISO adopte ECMA Standard 376 aussi connu comme le format de fichier Microsoft Office Open Extensible Markup Language (OOXML). Car ISO avait reconnu préalablement le standard de l'OASIS, Open Document Format (ODF).

In fine, elle veut aider les administrations nationales à identifier leurs besoins réels, en spécifiant les produits sans référence à une marque ou à un distributeur. « Plusieurs structures administratives se sont retrouvées bloquées par des technologies propriétaires pendant 10 ans, c'est du gaspillage d'argent public alors que la situation actuelle ne le permet pas ».

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(14/06/2010 12:26:13)

Un tribunal valide les droits de Novell sur Unix

Le feuilleton a commencé en 2005 après les premières saisines de Sco contre Novell, sur les droits de propriétés et les royalties sur certaines technologies utilisées sur Unix. En 2007, Novell est reconnu propriétaire d'Unix. Mais en 2009, un autre jugement inverse la décision précédente. En mars dernier, un jury de l'Utah a attribué les droits Unix à Novell. C'est cette décision qui a été validée par la même juridiction.

Pour Pamela Jones, spécialiste du droit et qui a suivi sur son blog cette bataille juridique de longue haleine « la machine judiciaire est en train de se refermer sur Sco ». En effet, le jugement de l'Utah donne raison sur plusieurs points à Novell et en plus, considère les attaques de Sco contre IBM et d'autres sociétés qui utilisaient Linux et Unix sont closes.

Alors est-ce la fin de l'histoire ? Si elle est bien engagée, Sco peut encore faire appel de cette décision. A suivre...

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(14/06/2010 11:21:27)

Interview : Yves de Talhouët, PDG d'HP France

Nous sommes pratiquement à la fin du premier semestre 2010, pouvez-vous nous dresser un bilan d'étape pour HP ?

Les résultats mondiaux pour le deuxième trimestre de l'exercice fiscal montrent un chiffre d'affaires de près de 32 milliards de dollars, en croissance de 13%. On remarque notamment une très bonne performance des serveurs, qui a cru de 30%, ce qui nous place en tête des vendeurs mondiaux de serveurs toutes technologies confondues. Le deuxième trimestre est dans la continuité du premier avec une croissance à deux chiffres. Cela contraste avec les résultats de l'année dernière, mais il y a eu un rebond des achats aussi bien sur le marché des particuliers, que des professionnels. En 2009, les gens ont eu très peurs et réduit leur dépense. A la fin 2009, les investissements sont revenus et ont continué au début de l'année 2010. La France est en ligne avec les résultats mondiaux. Depuis deux trimestres, la croissance a été forte sur l'ensemble des marchés résidentiels et professionnels.

Sur la partie entreprise, quel est le moteur de la croissance, les produits ou les services ?


Clairement, les équipements ont dynamisé la croissance. Pour les services, la croissance des revenus est restée stable, mais c'est normal, les contrats d'externalisation ou de maintenance s'inscrivent dans la durée.

Plusieurs analystes vous positionnent numéro un dans le domaine des serveurs au niveau mondial, est-ce pareil en France et comment expliquez-vous ces résultats ?


En France, la position est la même, les analystes nous créditent de 34 % de part de marché, avec une forte avance sur notre concurrent le plus proche. Sur les explications, on constate la montée en puissance du monde ouvert, les plateformes avec des OS ouverts, non propriétaires d'une seule marque. On remarque également l'intérêt de plus en plus important pour les infrastructures convergentes, c'est-à-dire qu'une même boîte (NDLR : Blade Matrix) comprend du CPU, du stockage, du routage. Et nous sommes les seuls à le proposer de bout en bout.

Pour la suite de l'interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien.

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