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(20/05/2010 17:44:05)

Oracle acquiert Secerno et ses pare-feu pour bases de données

Le dernier rachat en date d'Oracle porte sur un fournisseur de produits de sécurité. La société britannique Secerno conçoit des solutions matérielles et logicielles destinées à contrôler l'accès aux bases de données. Son offre DataWall utilise un moteur, Synoptiq, conçu pour détecter et stopper les attaques en temps réel. Celui-ci repose sur des recherches issues du laboratoire informatique de l'Université d'Oxford. Datawall peut fonctionner avec les bases Oracle, ainsi qu'avec Microsoft SQL Server et Sybase ASE.

La demande augmente autour des solutions de protection des données, souligne l'acquéreur, dans une lettre postée sur son site web. Les entreprises qui perdent des données ou dont les bases sont piratées risquent de se voir infliger des amendes par les régulateurs et de perdre la confiance de leurs clients. Le spécialiste des bases de données indique qu'en combinant cette offre avec ses propres technologies de sécurité, il escompte réduire le coût et la complexité de la sécurisation des informations gérées dans l'entreprise en créant un périmètre de protection autour des bases Oracle et non Oracle.

Pour assurer une transition sans heurts, la société de Larry Ellison continuera, dans un premier temps, à honorer les accords de partenariat signés par Secerno.

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(20/05/2010 16:14:03)

Le DMP entre célébration et innovation

Le Dossier Médical Personnel (anciennement Partagé - DMP) poursuit sa relance sous la férule de l'Agence des systèmes d'information partagés de santé (ASIP Santé). Celle-ci se concrétise d'une part par un nouvel appel à projets, d'autre part par un événement organisé pour fêter la croissance des données traitées.

Pour faciliter la communication d'informations médicales patients entre les médecins de ville et les hôpitaux avec le DMP, un appel à projets a été lancé dans le cadre d'un programme « Bureautique Santé ». Il s'agit surtout de mettre en place des outils simples s'interfaçant avec les solutions bureautiques pour créer des documents aux bons formats. Les projets réalisés dans ce cadre sont plutôt dédiés aux zones faiblement équipées.

Par ailleurs, la relance du DMP continue de bien progresser : le Dossier Santé Picardie va ainsi prochainement célébrer son 100 000ème dossier patient. Une célébration est prévue le 26 mai en présence de Michel Gagneux, président de l'ASIP Santé et de Jean-Yves Robin, directeur de l'ASIP Santé.

(...)

(20/05/2010 14:20:51)

Michaël Bokobza arrive chez Alvarion (erratum)

Le directeur général d'Alvarion est Michaël Bokobza, ancien d'AOL et d'Orange et non pas Michaël Boukobza, l'ancien DG de Free, contrairement à ce que nous avions indiqué. (...)

(20/05/2010 12:31:40)

HP veut automatiser la migration vers le cloud

Philippe Roux, responsable marketing solutions chez HP a planté le décor pour la présentation de la solution CSA : une infrastructure dynamique, des outils de facturation et une approche orientée service. Le service proposé par HP est une suite logicielle permettant aux DSI des entreprises d'optimiser le déploiement de leurs applications dans des nuages privés ou publics. L'objectif est d'automatiser les process, comme l'attribution de VM avec les OS dédiés, l'affectation de ressources de stockage, la facturation de chaque outil, la puissance de calcul dispensé, etc. L'offre HP CSA s'intègre plus globalement à l'initiative HP Software & Solutions, conçue précisément pour faciliter l'adoption du cloud.

Elle comprend outre CSA, les offres logicielles pour l'administration de systèmes « HP BTO Services for Cloud Infrastructure » ainsi que des services de conseil. Cette solution logicielle se veut agnostique, « on peut construire un cloud à partir de l'existant, en créant des templates et CSA devient la colle pour orchestrer ces différents éléments » souligne Philippe Roux, même s'il met en avant la solution tout en un, Blade Matrix System. Dans ce tableau idyllique, certains DSI présents lors de la présentation s'interroger quand même sur le prix des licences des différents éléments de l'automatisation. « Avec la virtualisation, il sera nécessaire d'adapter notre tarification » a répondu Philippe Maillant, responsable commerciale infrastructures chez HP, sans toutefois donner plus de détail.

Les opérateurs télécoms en première ligne


Faciliter la vie des DSI, accompagner la migration vers le cloud, une telle musique ne pouvait pas échapper aux oreilles des opérateurs. Le premier à s'intéresser à ce sujet est Orange Business Services, Laurent Di Pietro, office manager cloud computing chez OBS explique que « cet outil nous permettra de répondre de manière plus rapide aux besoins de nos clients en leur fournissant, via l'offre flexible computing, un catalogue de services et d'applications » et de se définir comme « un tiers de confiance dans le cloud ». Car les opérateurs montent en puissance dans les services clouds, Philippe Roux a dévoilé que SFR allait proposer une offre similaire à celle d'OBS, au mois de juin, à travers un datacenter reposant sur 3000 serveurs. L'offre sera distribuée en indirecte via les SSII et les intégrateurs, mais également en direct par l'opérateur.

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(20/05/2010 11:56:38)

Les smartphones, un marché mondial dynamique

Selon Gartner, 314,7 millions de téléphones mobiles et de smartphones ont été vendus dans le monde lors du premier trimestre 2010, soit une hausse de 17% à période comparée de l'an passé. Une belle performance. Notamment parce que ce marché avait enregistré un recul en volume de 8,6% lors des trois premiers mois de 2009. Sans oublier le fait que les acquisitions de smartphones réalisées par les utilisateurs finaux entre janvier et mars derniers furent les plus nombreuses depuis 2006. Elles ont précisément progressé de 48,7% à 54,3 millions d'unités. De fait, les smartphones ont représenté 17,3% (+3,7% sur un an) des ventes totales de mobiles dans le monde au premier trimestre 2010. Une progression due à la profusion de modèles proposés ainsi qu'à des grilles tarifaires adaptées au marché grand public.

Nokia toujours en baisse, Apple et RIM en forte hausse


Parmi les fabricants qui ont le mieux profité de la croissance globale du marché des mobiles au premier trimestre figurent ceux qui contrôlent à la fois les plates-formes matérielles, les systèmes d'exploitation ainsi qu'une offre de services associés. C'est le cas d'Apple dont les ventes d'iPhone ont progressé de 112% à 8,4 millions d'unités. La firme de Steve Jobs devient ainsi le septième fabricant de mobiles avec 2,7% de parts de marché (PDM). C'est mieux que RIM qui a toutefois vu ses ventes croître de 46% pour atteindre 10,6 millions d'unités.

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Le canadien entre ainsi dans le Top 5 des fabricants de mobiles à la cinquième place avec 3,4% de PDM. Toujours en perte de vitesse et numéro un des constructeurs, Nokia a vu quant à lui ses livraisons de mobiles baisser de 1,2% à 110 millions d'unités. Il pâtit principalement, selon Gartner, de l'absence dans son offre d'un produit à fort potentiel de volumes de ventes sur le segment haut de gamme. De fait, Samsung n'a de cesse de se rapprocher de Nokia, lui qui dispose désormais de 20,6% de parts de marché atteintes grâce à une hausse de 26% de ses ventes au premier trimestre 2010.

Dans le classement des OS pour Smartphones, c'est Symbian qui continue de mener la danse. Principalement utilisée sur les appareils de Nokia qui en est le propriétaire, la plate-forme a été embarquée sur 44,3% des 54,3 millions de smartphones vendus au premier trimestre 2010. L'OS de RIM occupe la seconde position (19,4% de parts de marché), et celui d'Apple la troisième (15,4% de PDM). Android de Google arrive en quatrième position avec une part de marché mondiale de 9,6%. Elle n'était que de 1,6% il y a un an. Android relègue Windows Mobile et ses 6,8% de parts de marché à la cinquième place. Il y a un an, l'OS mobile de Microsoft équipait encore 10,2% des smartphones vendus dans le monde

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(20/05/2010 11:42:11)

Le Syntec Santé ausculte l'hôpital de demain

Depuis trois ans, le Syntec Informatique a mis sur pied une structure, Syntec Santé, chargée de baliser le chemin de ses adhérents sur le secteur informatique et santé. Trois groupes de travail fonctionnent : poste de travail, télémédecine et système d'information global.  Parallèlement, plusieurs rapports parlementaires  sortent (par exemple celui de Pierre Labordes sur la télémèdecine) suivis ou non de projets de loi. « Nous sommes là pour fédérer nos adhérents sur ces sujets, une cinquantaine actuellement travaillent sur Syntec Santé et porter nos propositions auprès des pouvoirs publics et des directions hospitalières souligne Christian Nibourel, président du comité Syntec Santé. Nous souhaitons, sur l'hôpital, sortir de l'approche strictement informatique pour aller vers les directions générales des hôpitaux ou des regroupements d'hôpitaux».

Le Syntec Informatique a donc présenté, sur l'hôpital numérique, un Livre Blanc qui balaye large. On trouve beaucoup de principes généraux. Par exemple, l'accompagnement du patient. « Il s'inscrit de plus en plus dans une chaîne de soins, dont le SI constitue la colonne vertébrale et plus dans une succession d'actes médicaux isolés » souligne Christian Nibourel. L'hôpital a besoin d'échanges sécurisés, en interne entre services, en externe en direction des ARS (les agences régionales de santé), c'est la notion d'hôpital étendu. Cet hôpital va également se porter sur des sujets bien connus au Syntec : CRM, ERP, BPM, systèmes de gestion finances et RH.  En bref, le syndicat professionnel et ses adhérents veulent se présenter avec une approche centrée sur les questions de santé plus que sur les technologies

« Un défaut de vision et de gestion globales »

Leurs  clients potentiels s'inscrivent en effet dans des logiques particulières. Orientation règlementaires, climat financier de vigilance budgétaire, mais aussi déploiements nouveaux. Le Syntec Informatique attend beaucoup du grand emprunt.

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Mais il ne cache pas au détour du Livre Blanc constater « une absence de sensibilisation et de formation des équipes, y compris de direction, aux bénéfices des systèmes d'information et de communication, qui se traduit par un défaut de vision et de gestion globales : faible intérêt accordé aux projets d'informatisation, carence du poste de maîtrise d'ouvrage, restriction des budgets dédiés au système d'information et de communication, positionnement inadapté de la DSI dans les structures de direction ». Le constat est sévère.

Pourtant, certains interlocuteurs changent.  En particulier, ils se regroupent. Peu d'hôpitaux ont la taille nécessaire pour développer des plateformes et les réalisent à plusieurs. De même, des procédures d'achat mutualisées se mettent en place.  C'est le cas de UniHA (Union  des Hôpitaux pour les Achats), créé en 2005, un regroupement de 32 CHU et 21 centres hospitaliers qui travaille sur douze filières : de l'achat de savon à celui d'ordinateurs !  Cette structure représente 45% de la dépense totale des hôpitaux français. UniHA vient d'être référencée par  Oracle discute avec Microsoft pour bénéficier de conditions particulières. Beaucoup de grands fournisseurs se positionnent ainsi sur ce marché. Les acteurs du marché français de taille moyenne vont-ils en pâtir ? Sur l'hôpital, les grands fournisseurs devraient s'entourer d'éditeurs spécialisés, ou de SSII et d'intégrateurs régionaux comme sous-traitants.

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(19/05/2010 17:33:56)

Entente sur les DRAM, les producteurs transigent leur amende

Samsung, Hynix, Infineon, NEC, Hitachi, Mitsubishi, Toshiba, Elpida et Nanya se sont vus infliger une amende de 331,3 millions d'euros de la part de la Commission européenne pour entente sur le marché des puces à mémoire (DRAM). La pratique condamnée a fonctionné du 1er juillet 1998 au 15 juin 2002. Elle impliquait un réseau de correspondants, ainsi que le partage d'informations confidentielles, essentiellement sur une base bilatérale. Ces échanges permettaient aux producteurs de coordonner les prix de la DRAM, vendus aux principaux fabricants d'équipements de PC et de serveurs au sein de l'Espace Economique Européen.

Une procédure transactionnelle inédite


L'affaire, en elle-même, passerait presque inaperçue, tant la novation de cette décision réside dans la transaction réalisée entre les protagonistes et l'institution communautaire. En fonction du double principe de clémence et de transaction, les producteurs ont vu leurs amendes réduites en fonction de leur collaboration dans les enquêtes. Ainsi, tous les acteurs ont bénéficié de 10% de réduction selon la procédure de transaction. Mais Infineon (45%), Hynix (27%), Samsung (18%) et NEC (18%) ont eu un bonus supplémentaire pour leur aide.  Samsung est le plus lourdement sanctionné, 145,7 millions d'euros, suivi d'Infineon (56,7 millions d'euros) et Hynix (51,5 millions d'euros). Seule Micron est exemptée d'amende pour avoir été la première à informer les services de la concurrence de la Commission.

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(19/05/2010 16:42:45)

Symantec acquiert l'activité authentification de VeriSign (MAJ)

La presse américaine se fait l'écho d'une possible prise de contrôle par Symantec de l'activité authentification de Verisign, qui génère 410 millions de dollars de chiffre d'affaires par an. Cette division propose notamment des services et des technologies de cryptage. L'opération est évaluée par les analystes à 1,3 milliards de dollars. Les deux sociétés se sont refusées à tout commentaire. Pour mémoire, Verisign est également connu pour être un « registrar », en charge de la gestion du .com.

Cette rumeur s'est concrétisée par un communiqué de presse de Symantec. Il s'agit donc pour le spécialiste de la sécurité d'une brique supplémentaire dans son portefeuille. Il y a quelques semaines, il avait annoncé l'acquisition de PGP et Guardian Edge. Pour VeriSign, le recentrage d'activité continue. En octobre dernier, la société avait cédée sa division Global Security Consulting à AT&T, pour un montant non communiqué.

Dans une conférence téléphonique, les dirigeants des deux sociétés ont expliqué les raisons de cette opération. Pour Enrique Salem, CEO de Symantec " il y a un réel besoin de savoir qui est l'utilisateur et à quels accès, il est éligible, mais sans le contrôle de l'identité, nous ne pouvions pas fournir des solutions complètes, cela sera le cas maintenant". Pour Mark MacLaughlin, CEO de Verisign " si vous voulez réussir sur ce marché, vous devez disposer de beaucoup de services, d'une bonne plate-forme, de canaux de distribution, beaucoup de choses que Symantec a".

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