Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 3051 à 3060.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(25/05/2010 09:59:06)

Cisco se renforce dans les réseaux optiques

C'est la seconde annonce de ce genre, publiée récemment, par Cisco, puisqu'elle fait suite à celle de l'acquisition de Moto Development Group consultant et concepteur de produits grand public, pour un montant qui, cette fois, n'a pas été divulgué.

CoreOptics apportera à l'équipementier une expérience dans le Digital Asic Design, les formats de modulation avancés, les systèmes optiques, ainsi que dans les applications et l'architecture réseau. Cisco a indiqué que la société lui permettra de fournir « une technologie de transmission à 100 Gbit/s très avancée » aux prestataires de service pour acheminer de la vidéo sur IP, transporter les services mobiles et les services cloud. Citant ses propres recherches, Cisco estime que, comparé à 2008, le trafic IP global sera multiplié par cinq d'ici à 2013, avec un taux de croissance annuel moyen de 40%. L'entreprise pense que la prochaine génération de réseaux optiques prendra en charge des formats de modulation complexes et des technologies de pointe DSP permettant une transmission efficace de grandes quantités de données sur le réseau optique existant. « De cette manière, les fournisseurs de services pourront aussi moduler leurs dépenses essentielles en adaptant l'augmentation du trafic en fonction de l'infrastructure existante » commente l'équipementier.

Basée à San José (comme son acquéreur), Californie, CoreOptics exerce l'essentiel de son activité à Nuremberg et à Gerlingen, en Allemagne, où se trouvent d'ailleurs la plupart de ses employés, lesquels, au terme de l'acquisition, intègreront le groupe Cisco Service Provider Technology et travailleront aussi bien avec les équipes d'ingénieurs en optique de Monza, en Italie, de Bangalore, en Inde, ou de Richardson, au Texas.

[[page]]

En plus des 99 millions de dollars cash, Cisco offrira des primes pour retenir les salariés en échange de l'ensemble des actions de l'entreprise. L'acquisition devrait être finalisée au second semestre de cette année.

Une tradition dans l'optique

L'historique des achats de la firme de San José dans le domaine des réseaux optiques a été fluctuant. En 1999, la société a versé 7,4 milliards de dollars pour Cerent, un fabricant de matériel de transmission pour le réseau urbain et Monterey Networks, un fabricant de commutateurs optiques. En 2001, Cisco a abandonné les commutateurs de Monterey et a régulièrement perdu des parts de marché et son expertise dans le domaine des plates-formes de provisionnement optique multiservices Sonet / SDH (MSPP), un marché de 6 milliards de dollars sur lequel est positionné la plate-forme de Cerent. En 1999, elle a également acquis la division de matériels de multiplexage à Pirelli Systems et en particulier une ligne de produits ONS 15808, toujours disponible.

L'équipementier déclare que, avec ces acquisitions, il entend capturer un marché en transition et se placer en première ou en seconde position. Reste que, selon Dell'Oro Group, Cisco demeure en dixième position sur le marché du MSPP. Infonetics Research note cependant que Cisco et Fujitsu ont fait état de gains de part de marché importants au premier trimestre dans le secteur du Packet Optical Networking, sans doute le domaine où sera employée la technologie achetée à CoreOptics.

(...)

(25/05/2010 09:18:44)

IBM rachète Sterling Commerce pour 1,4 milliard de dollars

Au début du mois, Sam Palmisano, le PDG d'IBM, avait déclaré que sa société prévoyait de débourser 20 milliards de dollars dans des opérations d'acquisition au cours des cinq prochaines années. La première de ses transactions porte sur l'éditeur américain Sterling Commerce et s'élève à 1,4 milliard de dollars en numéraire. Cette filiale d'AT&T est spécialisée dans les solutions d'intégration entre applications et les échanges de données interentreprises (transferts de fichiers EDI notamment). Sur ce terrain, elle est en concurrence avec des acteurs comme Axway (fort de Tumbleweed), filiale de la SSII française Sopra qui doit acquérir son autonomie cette année. Elle rencontre aussi des sociétés comme Inovis et le numéro un GXS (Global eXchange Services), à qui IBM avait vendu deux activités portant sur les échanges B-to-B en 2004.

Sterling Commerce édite aussi des suites de gestion logistique (Sterling Order Management, Supply Chain Visibility...) et de gestion des ventes (Sterling Catalog and Offer Management...). La société, dont le siège social se trouve à Dublin, dans l'Ohio, est présente en France.

Sterling Commerce compte 18 000 clients au niveau mondial, dans les services financiers, la distribution, l'industrie manufacturière et plusieurs autres secteurs.

Une offre elle-même constituée par rachat

Il est prévu que l'acquisition par IBM soit réalisée au second semestre de cette année. Environ 2 500 collaborateurs de Sterling Commerce devraient rejoindre la division WebSphere qui gère le large catalogue d'outils d'intégration d'IBM. Le choix de la société rachetée s'est fait sur la base de ses résultats et du niveau de satisfaction de ses clients, a expliqué Craig Hayman, directeur général de l'entité WebSphere, lors d'une conférence téléphonique. Sterling Commerce s'est elle-même constituée par rachat, ayant notamment acquis Yantra, en 2005, spécialisé sur la gestion logistique, et Nistevo, en 2006, éditeur de logiciels de gestion du transport.

IBM prévoit de combiner les technologies rachetées avec les siennes avec l'objectif de supporter ce que les clients de Sterling Commerce ont installé et d'apporter à ses propres utilisateurs ce qu'ils souhaitent mettre en place, a déclaré Craig Hayman.

Pour la société dirigée par Sam Palmisano, c'est le 57e rachat depuis 2003. Le dernier en date, début mai, est celui de Cast Iron Systems. Selon Ken Vollmer, analyste chez Forrester Research, cette transaction était pressentie depuis quelques temps. Il considère que Sterling Commerce est un « solide numéro deux » sur le secteur des solutions B2B, derrière GXS, et qu'il pourrait y avoir d'autres acquisitions sur ce marché dans les prochains mois.

(...)

(25/05/2010 09:02:02)

Le secteur de la high-tech dans le ghota des sociétés

Selon une étude Reputation Institute, Google arrive en tête avec 78,62%, suivi de près par Sony (78,47%) et The Walt Disney Company (77,97%). L'Oreal est la seule compagnie française a figuré dans ce classement, à la 16ème place. Google, Sony, Apple, Nokia, Intel, Microsoft, Panasonic, Philips, IBM, Hewlett-Packard et Samsung, les principaux ténors du marché de la high-tech sont présents dans ce Classement des sociétés les plus réputées au monde. Ces onze compagnies font de ce secteur le plus représenté avec 11 places obtenues sur 28.

Google et Sony occupent même les première et deuxième places. Et sur les dix premières places, la moitié est occupée par des sociétés high-tech. Les deux premières sont accompagnées d'Apple (6ème), Nokia (7ème) et IBM (10ème). The Walt Disney Company prend la troisième place, avec 77,97%. L'Oreal est quant à elle la seule société française à être présente dans ce classement avec un seizième place, et 73,17%. Autre seule représentante dans sa catégorie, Singapore Airlines est l'unique compagnie aérienne du classement (14ème).

Le Classement des sociétés les plus réputées au monde a été obtenu en deux phases. La première qui s'est déroulée en janvier dernier consistait en un classement régional sur 24 pays examinés, dont la France, et sur les 600 sociétés les plus importantes au monde. De cette première étape, 54 sociétés sont parvenues en finale, pour un examen cette fois selon des critères (amour, confiance, admiration et respect) de réputation mondiale. En mai dernier, après un classement de consommateurs, seules 28 compagnies ont obtenu plus 70% de taux de réputation. 181.000 classements ont été recueillis.

Classement des sociétés plus plus réputées au monde :

1 - Google : 78,62%
2 - Sony : 78,47%
3 - The Walt Disney Company
4 - BMW : 77,77
5 - Daimler/Mercedes-Benz : 76,83%
6 - Apple : 76,29%
7 - Nokia : 76%
8 - Ikea : 75,60%
9 - Volkswagen : 75,55%
10 - Intel : 75,39%
11 - Microsoft : 74,47%
12 - Johnson & Johnson : 74,12%
13 - Panasonic : 73,67%
14 - Singapore Airlines : 73,54%
15 - Philips Electronics : 73,31%
16 - L'Oreal : 73,17%
17 - IBM : 73,03%
18 - Hewlett-Packard : 72,67%
19 - Barilla : 72,45%
20 - Nestlé : 72,37%
21 - Ferrero : 72,36%
22 - Samsung Electronics : 71,62%
23 - Fed Ex : 70,84%
24 - Honda Motor : 70,82%
25 - The Coca-Cola Company : 70,40%
26 - Carlsberg : 70,31%
27 - Procter & Gamble : 70,21%
28 - UPS : 70,07%

 

Crédits photo : DR

(...)

(21/05/2010 17:31:07)

Google App Engine passe en mode entreprise

Avec ce service, le géant de Moutain View espère bien profiter de la demande croissante des entreprises pour la création et l'hébergement d'applications sur mesure dans une architecture cloud, tout en répondant à la nécessité de disposer d'une plus grande flexibilité dans le déploiement et de réduire les coûts de gestion des infrastructures et leur complexité. « Ce que nous entendons clairement et fortement de la part des moyennes et des grandes entreprises, c'est que ces clients veulent avoir la possibilité de construire leurs propres applications sur la plateforme Cloud,» a déclaré Matthew Glotzbach, directeur de la gestion produits chez Google Enterprise.

Lancé il y a deux ans, l'App Engine était principalement destiné aux développeurs d'applications Web, plutôt orientés consommateurs, qui souhaitaient avoir leurs logiciels hébergés au sein de l'infrastructure cloud du géant de l'Internet. « Même si les entreprises ont montré de l'intérêt pour le concept App Engine, beaucoup ont estimé que des caractéristiques importantes requises par les services informatiques des entreprises faisaient défaut, et nous sommes en train de combler ces lacunes » a déclaré David Glazer, directeur de l'ingénierie chez Google.

Par exemple, App Engine for Business dispose désormais d'une console d'administration centrale destinée à gérer l'ensemble des applications d'une entreprise, et profite d'un support technique et d'une garantie de service à hauteur de 99,9%. La solution professionnelle permet également aux administrateurs informatiques de définir désormais des politiques de sécurité pour l'accès aux applications métiers, et propose un système de tarification fixé à 8 dollars par utilisateur et par mois, plafonné à un maximum de 1000 dollars mensuel. Le produit est actuellement disponible pour un nombre limité de clients, mais Google espère élargir son accès plus tard cette année.

[[page]]

D'ici peu, Google offrira aux développeurs la possibilité d'installer des bases de données SQL, une manière d'enrichir encore plus son système de base de données interne Big Table - sur lequel reposent déjà des outils comme Google Search, Earth, Maps, Finance, Print, Orkut, YouTube ou encore Blogger - et d'ajouter le SSL pour protéger les échanges entre applications.

Une interface avec VMware

Grâce à un partenariat avec le spécialiste de la virtualisation, Google cherche à apporter aux entreprises une capacité de portabilité, afin qu'elles puissent déployer leurs applications en disposant d'un choix étendu de paramètres compatibles Java, que ce soit dans App Engine lui-même, un cloud privé ou partagé, basé sur VMware, ou tout autre plateforme de service d'applications hébergées comme EC2 d'Amazon. « La solution proposée rend le cloud plus accueillant pour les entreprises et les applications personnalisées qu'elles souhaitent déployer » a déclaré David Glazer. «Notre collaboration avec VMware nous a permis de nous appuyer sur des normes prenant en compte la façon dont les applications s'exécutent dans le cloud, et d'apporter la fonctionnalité de portabilité du cloud au monde de l'entreprise, » a t-il ajouté. Ce partenariat inclus l'intégration de l'outil de développement rapide VMware Spring Roo dans Google Web Toolkit, et de lier le système de suivi de performances VMware Spring Insight à la technologie Speed Tracer de Google.

«Cette offre PaaS (platform-as-a-service) pourrait intéresser les entreprises en raison de la portabilité et parce qu'elle est proposée par des acteurs crédibles, » a déclaré Frank Gillett, analyste chez Forrester. « Google a encore à surmonter quelques résistances de la part de nombreuses entreprises et doit trouver les arguments pour les rassurer, mais cette annonce élargit la disponibilité et l'attrait du service PaaS et offre à ceux qui préfèrent le code Java, une alternative à Microsoft.Net Framework » a t-il ajouté.

(...)

(21/05/2010 17:11:48)

Trimestriels Dell : une croissance à marge faible

Le constructeur a réalisé 14,87 milliards de dollars de chiffre d'affaires au 1er trimestre (terminé au 30 avril, c'est l'année fiscale 2011 pour Dell), en progression de 21% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.  Le résultat opérationnel bondit de 50% à 619 millions de dollars, le résultat net est en hausse de 52% à 441 millions de dollars.

Des résultats revigorants pour le constructeur. Le directeur financier, Brian Gladden, a néanmoins spécifié qu'il bénéficiait d'un environnement économique plus favorable. Les analystes financiers n'ont pas manifesté d'enthousiasme particulier, regrettant la faiblesse de la marge bute ajustée, 17,6%, contre 17,4% au trimestre précédente. Delle souffre de la hausse des composants qui l'empêche d'atteindre la marge souhaitée.

Par secteurs d'activités, Dell enregistre 38% de hausse sur la partie serveurs, stockages et services à 4,2 milliards de dollars. Les grandes d'entreprises progressent de 25% à 4,2 milliards de dollars, le secteur public est en hausse de 22% à 3,9 milliards, les PME de 19% à 3,5 milliards de dollars, le secteur grand public progresse de 16% à 3,2 milliards de dollars. Par pays, toutes les zones émergentes sont en croissance, les BRIC (Brésil, Russie, Inde ; Chine) de 60%, le Brésil de 81%, la Chine de 44%, l'Inde de 90%.

(...)

(21/05/2010 16:24:03)

Juniper veut virtualiser la brique réseau du datacenter

Juniper Networks souhaite remplacer les commutateurs Nexus de Cisco ou d'autres équipementiers, pour préparer l'arrivée de son projet Stratus, fruit d'une collaboration avec IBM, pour simplifier et structurer les datacenters. Ce projet a pris du retard, il devait être dévoilé au début 2009. Juniper essaie de se démarquer de la concurrence en optimisant ses lignes de produits par les technologies de virtualisation. « Cette dernière au niveau du réseau va jouer un rôle fondamental » souligne Zeus Kerravala, analyse au Yankee Group et d'ajouter « les fournisseurs qui trouveront la solution sur ce sujet disposeront d'une avance sur le marché ».

Le défi de Juniper face à Cisco est que ce dernier s'est focalisé sur la virtualisaton du réseau, pendant que les spécialistes des serveurs, comme HP et IBM, partenaire de Stratus, ont privilégié l'aspect puissance de calcul. Egalement, Brocade a travaillé avec des partenaires depuis quelques années pour l'élaboration de Datacenter Fabrics. Dans l'attente des réponses de Juniper, ce dernier peut déjà mettre en avant son contrat passé avec le NYSE (New York Stock Exchange) , un environnement qui exige très peu de latence et la gestion quotidienne de milliards de transactions financières.

Lors d'une convention à Barcelone, l'équipementier a dévoilé sa stratégie de « nouvelle architecture réseau » pour la virtualisation des datacenters. Celle-ci doit augmenter les performances en réduisant les coûts et faciliter les interactions entre serveurs et entre commutateurs. Au coeur de cette architecture, Juniper souhaite réduire les trois couches de commutation au sein du datacenter, l'accès, l'agrégation et le coeur, à deux et probablement à terme à une couche de commutation avec le projet Stratus. Pour exemple, il évalue à 1 milliard de dollars l'aspect agrégation sur un total de 4,8 milliards de dollars dépensés sur le marché de la commutation dans les datacenters.

[[page]]

« Une approche traditionnelle ne pourra pas évoluer face à la virtualisation », souligne Kevin Johnson, CEO de Juniper Networks et d'ajouter « 50% des ports parlent avec d'autres ports réseaux permettant des interactions de serveurs à serveurs, c'est trop lent ». Cindy Borovick, analyste sur les datacenters chez IDC confirme : « il est clair que l'industrie va avoir des besoins réseaux différents avec la virtualisation des serveurs, les annonces de Juniper le démontrent ».

La technologie Virtual Chassis en vedette

Le commutateur EX4500, disponible ce mois-ci, supportera jusqu'à 48 interfaces 10 Gbits Ethernet. Il sera compatible avec les normes CEE (Converged Enhanced Ethernet) et FCoE (Fibre Channel over Ethernet). Au début de l'année 2011, le commutateur EX4500 prendra en charge la technologie Virtual Chassis par le biais de mises à jour logicielles et matérielles. Celle-ci permet d'interconnecter jusqu'à une dizaine d'équipements, de les gérer comme un seul équipement logique. L'orchestration est réalisée par le système d'exploitation Junos. Cette technologie fonctionne également avec les commutateurs EX4200 pour permettre aux clients d'utiliser conjointement des dispositifs 1 et 10 Gbits Ethernet au sein d'une même structure.

L'équipementier propose aussi la carte EX8200-40XS, dont la disponibilité est prévue au 3ème trimestre 2010, ajoute le 10 Gbits Ethernet à la couche d'accès pour les configurations end of row (sur un groupement de baies). Cette carte pour l'EX8200, équipée de 40 ports, devrait supporter la technologie Virtual Chassis dès le début 2011. Elle permettra la mise en oeuvre d'une structure commune de plus de 1200 ports 10 Gbits Ethernet.

Du côté du routage, Juniper a annoncé la disponibilité du routeur MX80 3D, qui intègre la puce Trio, dévoilée à l'automne dernier, qui s'adapte automatiquement en cas d'augmentation du nombre d'utilisateurs, de besoins en bande passante ou de services. Cet équipement s'adresse à la portabilité des machines virtuelles entre des datacenters interconnectés par Ethernet VPLS (Virtual Private LAN Services). Cette interface est en concurrence directe avec la technologie Overlay Transport Virtualization de Cisco. Juniper affirme que son routeur prendrait moitié moins de place et consomme moitié moins d'énergie que l'ASR 1004 de Cisco.

[[page]]

Si Cisco n'a pas encore répondu, Ittai Kidron, analyste pour Oppenheimer & Co explique « notre sentiment est qu'il travaille sur sa propre technologie de chassis virtuel pour adresser le même marché que Juniper ».

Des applications d'administration

En complément de la partie matérielle, Juniper a étoffé l'écosystème logiciel autour de son OS, Junos, avec plusieurs applications. Virtual Control comprend l'intégration avec VMware pour gérer les systèmes physiques et virtuels pour une orchestration commune des plateformes. Ethernet Design et Security Design proposent d'accélérer les configurations et le déploiement de la brique réseau dans les datacenters, ainsi que la mise en place des politiques de sécurité. Enfin l'application Service Insight détecte de manière proactive, diagnostique et résout les problèmes réseaux.

Juniper proposera à la fin de ce trimestre, AppTrack, un logiciel pour les passerelles SRX Series, en donnant aux responsables IT, une visibilité sur le comportement du trafic en fonction des utilisateurs et des applications. Ils pourront modifier les  charges de travail à travers les outils de virtualisation, du web 2.0 et du déploiement de services cloud. (...)

(21/05/2010 15:28:27)

Reporting financier : Sage étend les fonctions de son offre 1000 FRP

La version 6 de Sage 1000 FRP (Finance Resource Planning), solution intégrée de consolidation financière et de reporting, apporte trois innovations principales. Ce logiciel est monobase, ce qui signifie qu'un service comptable peut travailler sur toutes les comptabilités d'un groupe. Les analyses sont plus fiables et plus rapidement réalisables avec un langage de gestion commun et une plus grande cohérence des données. L'éditeur affirme être le seul à proposer une version monobase, en plus de la version multi-bases, sur ce segment de marché.

Sage 1000 FRP propose également un nouveau module, pour la gestion automatisée des notes de frais (dont le coût manuel atteint 50 à 150 euros par note). Par ailleurs, l'utilisateur dispose maintenant d'un accès au logiciel depuis son client de messagerie Microsoft Outlook, ce qui lui permettra d'intégrer rapidement les demandes des collaborateurs de l'entreprise, par exemple les notes de frais. C'est aussi un moyen de déporter sur le collaborateur des tâches très administratives dévolues jusqu'alors aux services financiers.

Cette nouvelle version du logiciel a été lancée ce 20 mai par un événement organisé entièrement en ligne. Une version bêta était disponible depuis le mois de décembre dernier. Sage 1000 FRP est diffusé par 80 partenaires Sage.

(...)

(21/05/2010 14:57:21)

Iron Mountain ouvre un site de protection des données à La Plaine Saint-Denis

Le fournisseur américain de services Iron Mountain ouvre un nouveau site de conservation des supports numériques en France, à la Plaine Saint Denis (93). Le bâtiment s'étend sur 2300m² dont dont 1300 m² dédiés à la conservation. Cette nouvelle structure, proche de la majorité de sa clientèle en région parisienne, vise à optimiser la protection des bandes de sauvegarde informatique, ainsi que des masters de disques et de films. Le site doit permettre aux clients de récupérer leurs données en cas de perte, d'incendie, de sabotage, ou à la suite à d'erreurs humaines.

Pour ce site, Iron Mountain a soigné la protection incendie. Des essais grandeur nature des solutions ont été réalisés. Les nouveaux locaux sont équipés contre les intrusions (via des radars, caméras, télésurveillance 24/7, portes blindées, sas de sécurité, contrôle d'accès par carte magnétique), contre les incendies (via des détecteurs de chaleur et de fumée avec un déclenchement automatique), et contre les inondations (avec un  bac de rétention pour la climatisation, et contre la présence d'eau dans le bunker).

(...)

(21/05/2010 12:45:53)

Capgemini guide vers le cloud avec les Online Services de Microsoft

La route vers le cloud peut commencer par l'adoption des Online Services de Microsoft. C'est l'une des options que Capgemini va préconiser. Dans le cadre de sa démarche d'accompagnement des entreprises vers les technologies de cloud computing, la SSII a noué avec Microsoft un partenariat mondial pour devenir prescripteur de la suite BPO (Business Productivity Online). Cette dernière regroupe l'accès à un ensemble de services en ligne hébergés dans les datacenters de Microsoft et facturés mensuellement par utilisateur : Exchange Online (serveur de messagerie), SharePoint Online (plateforme collaborative), Office Live Meeting (réunion en ligne), Office Communications Online (messagerie instantanée et indicateur de présence).

L'accord entre les deux partenaires se traduit concrètement par la création d'un centre d'expertise offshore et par la formation d'un millier de consultants à l'échelle du groupe. Ces derniers pourront mettre en place la suite Microsoft BPO et faire migrer les systèmes existants des clients vers ces services en ligne. Ces consultants interviendront, selon les besoins, dans les filiales locales ou au sein des ressources offshore. Des outils spécifiques de migration seront développés. « Nous allons définir un certain nombre d'interfaces prépackagées pour interfacer les logiciels de Microsoft à différentes applications, ajoute par ailleurs Xavier Moy, directeur des alliances chez Capgemini France. Il rappelle que SharePoint, en particulier, peut s'utiliser avec de nombreux logiciels complémentaires (lors du récent salon Documation, le village SharePoint regroupait 27 partenaires).

Deux jours pour une feuille de route vers le cloud

Pour évaluer les différents scénarios de mise en place de la suite MBPO, Capgemini recourra également à son outil de prototypage rapide, Rain (Rapid innovation), qui permet de réaliser une simulation des flux à présenter aux équipes métiers.

Cet accord avec Microsoft s'inscrit dans l'offre Infostructure Transformation Services (ITS) que la SSII a récemment élaborée. « Nous conseillons nos clients, en amont, dans leur transition vers le cloud, explique Xavier Moy. Chaque entreprise se pose des questions, mais il n'y a pas de chemin unique. A côté de notre offre de conseil classique, nous proposons donc les sessions 'Journey to the cloud' qui s'appuient sur la méthode Accelerated Solutions Environment (ASE). Celle-ci couvre les aspects infrastructure et applicatifs et permet à l'entreprise de définir un schéma directeur et une feuille de route vers le cloud computing ». Ces sessions prennent la forme d'un atelier (intensif, précise Capgemini) courant sur deux jours.

Illustration : Microsoft Exchange Online

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >