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(19/05/2010 15:35:54)

Fréquences 3G : SFR, Orange et Etat gagnants, MVNO perdants

(Source EuroTMT) Les enchères pour attribuer les deux derniers lots de fréquences 3G encore disponibles sont terminées. Et les vainqueurs sont SFR et Orange.C'est ce qu'a annoncé l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes). Si le résultat ne constitue pas une surprise, la pression médiatique exercée par Free, qui participait aussi aux enchères, a porté, au moins partiellement, ses fruits. Pour gagner le lot de 5 MHz, SFR a en effet proposé 300 millions d'euros, alors qu'Orange, qui empoche le lot de 4,8 MHz, a déboursé un peu plus de 282 millions d'euros.

Pour les caisses de l'Etat, l'opération se révèle donc être un succès. Entre les recettes encaissées à cette occasion et le prix déboursé par Free pour acquérir le lot de 5 MHZ réservé au nouvel entrant, ce sont quelque 820 millions d'euros qui reviennent à l'Etat. Un montant d'autant plus significatif quand on le compare aux recettes encaissées par les autres Etats européens qui ont mis en vente récemment de nouvelles fréquences 3G. Les opérateurs italiens n'ont versé que quelques millions et, en Allemagne, les enchères, encore en cours, portant sur des fréquences similaires n'ont atteint pour le moment que 338 millions d'euros.

Mais cette bonne opération financière ne peut pas cacher l'autre face du dossier, à savoir l'absence d'avancée notable du dossier concernant les opérateurs mobiles virtuels MVNO (Mobile Virtual Network Operator) et les services qui leur seraient autorisés.

Peu de place laissée aux MVNO

A l'occasion de cette mise aux enchères, l'Arcep avait en effet mis en place un système sophistiqué permettant de revaloriser l'offre financière proposée par les candidats en fonction du degré d'ouverture de leur réseau respectif aux opérateurs virtuels.

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Quatre niveaux d'engagements étaient ainsi proposés aux candidats, depuis rien jusqu'à une ouverture complète à des « full MVNO » (pouvant gérer leur propre base de données connectée au réseau). Malheureusement, ni SFR, ni Orange n'ont accepté de s'engager au-delà du niveau 1 (« faire droit aux demandes raisonnables d'accueil sur leur réseau », selon l'Arcep). Ce qui est en fait est la situation qui existe déjà. Pour Alternative Mobile, l'association qui regroupe les opérateurs virtuels, le résultat de ces enchères se traduit donc par l'échec qu'elle redoutait. Mi-mars, l'organisation s'était félicitée du système retenu par l'autorité de régulation, mais doutait que les opérateurs en place jouent le jeu. Ces craintes se révèlent donc fondées.

Or pour ses dirigeants, la pérennité du modèle d'opérateur virtuel passe nécessairement par le modèle « full MVNO », qui leur permettra de prendre une véritable indépendance par rapport aux opérateurs hôtes. C'est ce modèle que tente déjà de construire Virgin Mobile, le plus gros MVNO tricolore, hébergé chez France Télécom. Faute d'avancée sur cette voie à l'occasion des enchères 3G, l'association plaidait pour que l'Arcep intègre l'ouverture des réseaux mobiles aux « full MVNO » comme une contrainte lors des futures attributions de fréquences.

L'Autorité doit en effet ouvrir maintenant le dossier des fréquences en or, la bande des 800 MHZ libérée par la fin de la télévision analogique, et des fréquences en 2,6 GHz, dont l'attribution est attendue pour la fin de l'année ou le début de l'année prochaine. Et cette opération constituera la dernière occasion, avant de nombreuses années, pour faire évoluer significativement le dossier MVNO.

En attendant, pour SFR et Orange, le succès est double. En acquérant chacun un lot, les deux opérateurs mobiles mettent la main sur des ressources rares essentielles au moment où l'explosion du trafic data met sous pression leur réseau. Et les deux opérateurs évitent de voir Iliad renforcer ses propres ressources spectrales, ce qui lui aurait permis de crédibiliser un peu plus ses ambitions dans le mobile.

(...)

(19/05/2010 14:57:27)

Google Street View sous surveillance européenne

La CNIL a annoncé qu'elle mettait en place un contrôle sur Google. Cette mesure fait suite à la déclaration de la firme de Mountain View, concernant les données récoltées depuis les voitures "Streetview", chargées de prendre des photos pour son service de cartographie. Hors, des données concernant les échanges entre ordinateurs et les points Wi-Fi ont été enregistrées « par erreur ». Suite à ce contrôle le régulateur se réserve le droit de donner des suites ou non à cette collecte de données « par erreur », qui « n'était pas mentionnée dans la déclaration de Google à la CNIL ».

Tâche d'huile dans d'autres Etats membres


L'origine de l'affaire est allemande. Google a en effet reconnu avoir collecté depuis 2006 près de 600 Go de données personnelles, lors de la récupération d'informations, via WiFi, pour son service Street View. L'éditeur a exprimé ses regrets, tout en assurant ne jamais avoir utilisé ces données et en souhaitant les détruire devant témoin pour démontrer sa bonne foi. La justice a été saisie et une enquête est en cours.

De son côté, la République Tchèque s'est aussi emparée de l'affaire, via son autorité en charge de la protection des données personnelles. Cette dernière va également contrôler Google sur cette pratique. Enfin, la Commission européenne s'intéresse à ce sujet. Viviane Redding, en charge des questions de justice, a estimé « il n'est pas acceptable qu'une compagnie qui opère dans l'Union européenne ne respecte pas les lois de cette dernière »

Du côté de Google, la société tente de temporiser « nous sommes en train de consulter les autorités de régulation de divers pays sur la manière rapide de nous débarrasser des données collectées » a précisé Alan Eustace, vice-président de Google auprès de l'AFP.

(...)

(19/05/2010 15:20:47)

Un actionnaire de Sybase juge insuffisante l'offre de SAP

Si d'aucun trouvait que SAP payait trop cher pour s'offrir Sybase, tout le monde n'est pas du même avis. Le bonus proposé par la société allemande sur le cours de l'action de l'éditeur californien (+44% par rapport au cours moyen sur les trois derniers mois) n'est pas du goût du New-yorkais Stephen Alberti. Cet actionnaire de Sybase vient d'intenter une action auprès d'un tribunal californien pour bloquer la poursuite de la transaction. Il espère être suivi par d'autres actionnaires pour mener une action collective. L'accord passé entre Sybase par SAP comporterait des dispositions propres à dissuader les potentielles surenchères, estiment les plaignants. Des rumeurs spéculatives ont circulé autour de l'intérêt que HP aurait manifesté pour Sybase.

L'action met en cause les deux sociétés et plusieurs de leurs responsables parmi lesquels le PDG de Sybase, John Chen (en photo ci-dessus). La démarche de Stephen Alberti pourrait ne pas être la seule. Hier, le cabinet d'avocats Finkelstein Thompson a annoncé qu'il se mettait en quête d'éventuelles réclamations pour le compte d'actionnaires de Sybase.

(...)

(19/05/2010 13:45:06)

SapphireNow 2010 : SAP accepte les commandes en volume pour ByDesign

SAP passe enfin à la vitesse supérieure sur sa suite de gestion intégrée Business ByDesign destinée aux PME. Jim Hagemann Snabe, son co-PDG responsable des produits, vient d'en faire l'annonce "officielle" sur la conférence utilisateurs SapphireNow, hier à Francfort. Avec une pointe d'humour : « Vous pouvez passer commande maintenant » (you can order now). Fin juillet, la version 2.5, « multitenant », de cette offre en ligne sera disponible, mais uniquement, pour l'instant, sur les six pays où elle est déjà commercialisée, dont la France. L'ouverture à l'ensemble des zones géographiques n'interviendra que plus tard et Jim Hagemann Snabe ne souhaite toujours pas être plus précis sur cette date. Rappelons que Business ByDesign s'adresse aux entreprises de taille moyenne qui veulent gérer en ligne, de bout en bout, l'ensemble de leur processus de gestion, en s'affranchissant totalement, donc, de la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Celle-ci est entièrement déléguée à l'hébergeur, SAP, en l'occurrence. L'accès à l'application est tarifé sur la base d'un versement mensuel, par utilisateur.

ByDesign : de la suite en ligne à la "plateform as a service"

La suite intégrée Business ByDesign, hébergée sur les datacenters de l'éditeur allemand, a été présentée en septembre 2007. Un lancement en grandes pompes, assorti d'objectifs ambitieux, avant que SAP ne décide assez rapidement de lever le pied. L'éditeur ne réunit actuellement qu'une centaine de clients sur ce produit. Il a reconnu par la suite qu'il avait lancé un peu tôt cette offre qui représentait pour lui un changement total de modèle par rapport à ce qu'il faisait auparavant. Jusqu'à présent, il fournissait des applications que les entreprises installaient en interne. Avec Business ByDesign, SAP se transforme en hébergeur avec toutes les responsabilités d'engagements de services associés.[[page]]Curieusement, comme certains de ses responsables l'ont admis sans ambages, cette application proposée en mode SaaS (software as a service) n'était pas « multitenant » dans sa première version. Chaque client disposait sur le datacenter de son propre environnement. L'infrastructure sur laquelle fonctionnait la suite intégrée ByDesign n'était pas adaptée à une exploitation en volume. Elle l'est désormais. Les équipes commerciales de SAP, qui se voyaient contraintes de refuser les demandes des entreprises (c'est arrivé !), vont pouvoir se lancer à la conquête de nouvelles entreprises. 

L'étape suivante, à la fin de cette année, consistera à ouvrir la plateforme aux développements externes, SAP fournissant un SDK à ses partenaires pour bâtir des applications complémentaires à Business ByDesign qui seront accueillies et commercialisées sur sa PaaS (platform as a service).

Sur le marché des PME, SAP dit accueillir 25 nouveaux clients par jour dans le monde, sur l'ensemble de ses offres adaptées à cette cible d'entreprises. Outre le petit dernier Business ByDesign, l'éditeur propose en mode indirect depuis plusieurs années le produit Business One, un ERP pour les PME jusqu'à 100 personnes (à installer en interne chez les clients), et SAP All-in-one, une suite pré-configurée reposant sur les fondements de la Business Suite, vendue et déclinée par industries par un réseau de partenaires.


Sur ses 97 000 clients, l'éditeur dit en compter 67 500 réalisant un chiffre d'affaires inférieur ou égal à 350 millions d'euros.

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(19/05/2010 09:36:47)

Annuels Overlap : victime des mainframes

« Une année calamiteuse », c'est ainsi qu'Overlap qualifie l'année 2009 et le marché des mainframes sur lequel il est un acteur historique. Toutefois, l'intégrateur avance des arguments pour montrer qu'il a mieux traversé les turbulences que l'ensemble de son secteur et qu'il saura rebondir dans les prochains mois. Le chiffre d'affaires annuel (CA) non audité pour l'exercice clos au 31 mars dernier, se monte à 179,4 millions d'euros contre 210,5 un an auparavant. Pris ainsi, les chiffres montrent une forte baisse, de 14,8%. La société explique cette baisse par deux facteurs, l'un évident, l'autre plus exceptionnel.

Elle a d'abord subi les effets de la crise économique, particulièrement forts sur son marché, celui des mainframes. Un marché en baisse au plan mondial de 25% selon les grands cabinets d'études, Gartner, IDC, PAC. Tout compte fait, Overlap a même mieux résisté que l'ensemble de son marché : -14,8% contre -25%. « Le CA sales-in de nos grands partenaires constructeurs, IBM, HP, Sun, celui qu'ils réalisent avec nous,  n'a pas baissé, alors que plusieurs de nos confrères ont perdu plus de 50%. Notre activité hardware s'est donc bien comportée, dans un marché qui a connu une année calamiteuse »

Réduction de coûts et cession


La société a également subi la perte d'un marché public, au Ministère des finances, qui représentait 25 M€ sur l'exercice précédent (2008-2009). Un marché non renouvelé comme pour d'autres sociétés de services. Sans cela, la société serait à-3 ou -4%. « J'aurai signé des deux mains pour un tel chiffre » nous explique Georges Horoks le Pdg d'Overlap.

Pour le nouvel exercice, le groupe compte d'abord sur cette expérience de la traversée d'une crise majeure et ensuite sur son développement dans les services aux infrastructures.  « Nous n'avons pas de raison de craindre les mois à venir, souligne Georges Horoks , car nous avons montré notre capacité de résistance durant la crise et notre activité services nous rend plus indépendants et plus profitables ».Sur le dernier exercice, la société  a réalisé sur ce secteur 10,5 M€ au 1er trimestre et 18,2 au 4ème. Elle a également fortement réduit ses coûts lors du dernier exercice. 65 collaborateurs ont quitté le groupe, sur un effectif total en début d'exercice de 540 salariés. Dans la même optique, Overlap vient de céder Ovelia, sa filiale SSII, ce qui lui permet de se recentrer encore plus sur son activité de services autour des infrastructures.  Une activité qui la rend plus autonome, moins dépendante de ses partenaires constructeurs.

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(18/05/2010 17:35:56)

APX lance Solution Datacenter ou le cloud par la pratique

Virtualisation du poste de travail, des solutions de stockages, quelles applications transférer vers le cloud privé, si les offres technologiques apportent des réponses, « les entreprises ont besoin de toucher, comprendre, visualiser les bénéfices apportés par le cloud » souligne Yves Pellemans, directeur technique d'APX. Fort de ce constat, la SSII a choisi d'installer au siège à Saint Cloud, une salle comprenant un datacenter reprenant l'ensemble des configurations existantes. Des blades IBM, HP, des baies de stockage EMC, la couche de virtualisation est assurée par VMware. Si on ajoute dans la partie serveurs Cisco, on retrouve l'alliance VCE (VMware, Cisco, EMC), qui pousse l'architecture unifiée au sein des datacenters à travers l'offre Vblock. Plutôt orienté vers les grands comptes, on notera ainsi, qu'APX propose une offre Vblock à destination des PME.

L'intégrateur va donc proposer différents ateliers de formations auprès de ses clients sur des sujets aussi variés que l'urbanisation du datacenter, la virtualisation du poste de travail, le pilotage des infrastructures, la sauvegarde et la déduplication.

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Les entreprises pourront reproduire leur propre environnement informatique et soumettre ainsi leurs problématiques, qui sont parfois spécifiques.

Un investissement sur l'avenir


Pour Noël Sailles, PDG d'APX, « cette offre est un pari sur l'accompagnement des entreprises dans leur migration vers le cloud privé » et d'ajouter que « l'investissement de la part de sa société pour construire ce service est de l'ordre de 1 million d'euros, sans compter les coûts de formation aux différentes certifications ». Le dirigeant est d'ailleurs fier d'être le premier en France à être certifié VCE. Mais rien n'est exclusif, souligne Noël Sailles, « l'alliance VCE pourra devenir VCN (en référence à Netapp) à terme, et nous serons agnostiques sur d'autres solutions d'architecture unifiée ».

Pour autant, la SSII bénéficiera d'une attention particulière des différents partenaires technologiques, avec des mises à jour et l'apport des dernières évolutions. Yves Pellemans a indiqué par exemple l'arrivée de Vplex d'EMC d'ici la fin de l'année, ainsi que la sortie prochaine de l'hyperviseur client de VMware.

Une première partie du pari est déjà remportée, les premiers ateliers affichent complets.

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(18/05/2010 15:03:31)

Microsoft solde le contentieux VPN pour 200 millions de dollars

Lors du premier procès qui a eu lieu en février 2010, l'entreprise californienne VirnetX plaidait contre Microsoft pour avoir utilisé sa technologie brevetée de réseau privé virtuel (VPN) dans Windows XP, Vista, Server 2003, Live Communications Server, Messenger, Office Communicator et la suite Office depuis l'édition 2003. En mars 2010, VirnetX déposait une nouvelle plainte, ajoutant Windows 7 et Server 2008 à la liste des produits dans lesquels Microsoft aurait utilisé le VPN sans licence.

En mars dernier, un jury fédéral du Texas a statué, demandant à Microsoft de verser 106 millions de dollars à VirnetX pour clôturer la première plainte. À l'époque, l'éditeur avait fait savoir qu'il envisageait de faire appel de ce verdict. Lundi dernier, dans une déclaration conjointe, les deux protagonistes ont annoncé que les différentes actions en justice seraient ajournées suite à un règlement amiable dont le montant a été fixé à 200 millions de dollars. D'autres conditions comprises dans cet accord sont demeurées confidentielles, mais Microsoft a néanmoins fait savoir qu'il s'était également engagé à acheter les licences de la société lésée.  «Nous sommes heureux d'avoir pu trouver un terrain d'entente avec VirnetX pour résoudre cette affaire de manière constructive,» a dit Tom Burt, le conseiller juridique de Microsoft. « L'aboutissement de cette résolution, qui met fin à notre contentieux avec Microsoft, va nous permettre de nous concentrer sur le futur pilote mettant en oeuvre notre technologie automatique de réseau privé virtuel » a déclaré Kendall Larsen, CEO du Holding VirnetX Corp.

D'autres affaires en suspens


Ce n'était pas la première fois que le groupe de Redmond comparaissait devant la cour de Tyler au Texas. En août 2007 en effet, le jury de ce même tribunal avait déjà demandé à Microsoft de payer 300 millions de dollars au développeur canadien i4i pour avoir utilisé illégalement sa technologie XML dans le logiciel de traitement de texte Word. L'affaire avait attiré l'attention parce que le juge Leonard Davis de la US District Court, qui a également suivi le dossier VirnetX, avait décidé de lui interdire de vendre Word à partir du 10 octobre 2009.

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L'injonction du juge avait ensuite été reportée, l'éditeur faisant valoir que l'arrêt des ventes de du traitement de texte aurait eu des conséquences dramatiques, un argument soutenu par plusieurs fabricants d'ordinateurs, dont Hewlett-Packard et Dell. En janvier 2010, pour respecter la décision du juge Davis, Microsoft avait néanmoins extirpé le XML de Word 2007, et la version Word 2010, officiellement livrée la semaine dernière aux clients professionnels, ne comprend plus cette technologie dont la propriété intellectuelle vient d'être par ailleurs confirmée par l'US Patent and Trademark Office à i4i.

Une cour d'appel a refusé de retenir l'interjection de Microsoft, mais la société envisage toujours de porter l'affaire devant la Cour suprême. « Des questions importantes concernant le droit des brevets sont en jeu, et nous réfléchissons aux possibilités mises à notre disposition pour qu'elles soient prises en compte, y compris sous la forme d'une pétition portée devant la Cour suprême, » a déclaré Kevin Kutz, le porte-parole de Microsoft.

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