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(15/04/2010 17:55:36)
Reprise en douceur sur le marché des serveurs en 2010
Après avoir enregistré un recul de 26,4% à 12,8 Md$ en 2009, les ventes en valeur de serveurs devraient repartir à la hausse cette année. Selon IDC, leur croissance se situera à +2,4% sur 12 mois. En Europe de l'Ouest, la hausse annuelle anticipée est de 2,1% en valeur et de 6,2% en volume. Pour établir ces prévisions, le cabinet d'études se base sur les résultats du quatrième 2009 durant lequel le marché a connu une baisse de « seulement » 10,5% en valeur. « Bien qu'il s'agisse du sixième trimestre consécutif de décroissance, le recul des ventes s'est atténué chaque trimestre suite au premier trimestre 2009 qui fut le plus mauvais jamais enregistré. Le dernier trimestre 2009 est ainsi bien meilleur que le précédent où le recul des revenus avait atteint 25,7% », indique IDC dans un communiqué de presse.
On reste encore loin des niveaux de 2007
Pour autant, le retour de la croissance attendu cette année sera bien insuffisant pour revenir aux niveaux de revenus d'avant la récession. En 2007, les ventes de serveurs avaient en effet généré un chiffre d'affaires de 19 Md$. Dit autrement, si les prévisions d'IDC se confirment, le différentiel entre 2007 et 2009 sur le marché des serveurs sera d'environ 6 Md$. Dans les années à venir, cet écart ne devrait d'ailleurs que très peu se combler puisque sur la période 2009 - 2014, IDC n'attend du marché qu'un taux de croissance annuel moyen en valeur de 0,3%. En volume, il devrait se situer à 4,9%.
Si la crise économique semble donc avoir durablement mis un frein à la croissance, elle devrait aussi avoir pour effet de modifier les habitudes de consommation des entreprises. Ainsi, « les clients qui acquéraient traditionnellement des grands systèmes vont penser aux technologies X86 pour un nombre de plus en plus important d'applications », indique Nathaniel Martinez, le directeur du pôle solutions systèmes et infrastructures chez IDC Europe. Pour le segment des serveurs blade, cette évolution est un levier de croissance de plus puisqu'en 2009 il s'est déjà révélé être la plus grosse source de revenus sur le marché de serveurs X86. D'ici 2014, le taux de croissance annuel moyen des ventes de serveurs blade devrait être de 13,9% en valeur et de 20,5% en valeur. A cette date, elles devraient représenter 28,5% du total des revenus du marché de serveurs.
(...)
Annuels Cegedim : le spécialiste de la santé améliore sa marge opérationnelle
Spécialisé sur les services et logiciels destinés au secteur de la santé, le groupe français Cegedim a amélioré sa rentabilité en 2009. Il a porté son résultat opérationnel à 11,4% (10,6% l'an dernier) du chiffre d'affaires annuel qui s'est établi à 874 M€ (+3%). Le résultat opérationnel courant a progressé de 15,4%, à 111,5 M€.
En octobre dernier, la société a reçu le soutien du FSI (Fonds Stratégique d'Investissement) qui est entré à son capital à hauteur de 117 M€.
Cegedim combine trois activités dont la principale (55,7% du chiffre d'affaires total) est axée les solutions de gestion de la relation client (CRM) et les bases de données stratégiques destinées aux laboratoires pharmaceutiques. En 2009, le chiffre d'affaires de cette entité s'est légèrement tassé par rapport à l'an dernier, à 487 M€ (-1,14%), mais avec une amélioration de la marge opérationnelle courante à 12,4% du CA (11,3% l'an dernier), grâce aux zones Amérique et Asie. Rappelons que le groupe a racheté en mai 2007 son concurrent américain Dendrite, dont les coûts d'intégration se sont encore élevés à 15,7 M€ sur l'exercice 2009.
En 2008, il a par ailleurs acquis Reportive, un éditeur de logiciels décisionnels pour les grands laboratoires pharmaceutiques (illustration ci-dessus, Reportive Analyzer).
Prévisions pour 2010 : environ 5% de hausse sur le CA
La deuxième activité de Cegedim porte sur la commercialisation de logiciels pour les professions paramédicales, les pharmaciens et médecins. Elle a généré en 2009 un chiffre d'affaires de 271 M€, en hausse de 8,3%, mais assorti d'une marge opérationnelle courante en léger retrait, à 13,5% du CA. Enfin, la troisième activité, qui s'adresse au monde de l'assurance (logiciels et traitement d'informations complexes), a progressé de 9,7%, à 116 M€. Surtout, sa marge opérationnelle courante a plus que doublé, passant de 6,2% à 12,6%. Cegedim l'attribue notamment à « la réussite commerciale des différentes plateformes de gestion des flux ». Le Cetip, par exemple, filiale opérateur de tiers-payant pour la santé a traité 102 millions de flux en 2009. L'éditeur mentionne aussi le succès de sa nouvelle offre Activ'Infinite. Destinée aux grands comptes, cette dernière couvre la gestion de la santé et de la prévoyance sur l'assurance individuelle et l'assurance collective (back-office, CRM, décisionnel et extranet).
Pour l'année en cours, Cegedim prévoit une croissance d'environ 5% sur son chiffre d'affaires. La société compte 8 600 collaborateurs dans 80 pays.
A noter que Cegedim Dentrite vient de signer un contrat avec les laboratoires UCB, acteur de l'industrie biopharmaceutique, pour déployer au niveau mondial sa solution de CRM Mobile Intelligence en mode SaaS (software as a service).
Illustration : le logiciel d'analyse interactive Reportive Analyzer
L'observatoire des plaintes 2009 de l'Afutt : des améliorations et frictions
L'Afutt a dévoilé son millésime 2009 de l'observatoire des plaintes télécoms. L'association a recueilli les doléances de 5761 consommateurs. C'est 28% de moins qu'en 2008 et deux fois moins qu'en 2006, année au cours de laquelle l'association avait reçu pas moins de 11682 plaintes.
Dans le détail, un peu plus de la moitié des plaintes enregistrées en 2009 concernent le secteur Internet (53,4%, contre 58,3% en 2008), un tiers la téléphonie mobile (33,8%), et 12,8% les abonnements au téléphone fixe.Pour l'Afutt, cette baisse du volume des plaintes est liée à une conjugaison de plusieurs facteurs, comme l'amélioration du niveau de qualité des services fournis, une plus grande maîtrise des outils techniques de la part des consommateurs, la mise en application de la loi Chatel, mais « sans doute aussi, une certaine lassitude des utilisateurs à manifester leur insatisfaction sans espoir d'amélioration » reconnaît l'association.
Première cause de réclamation, la facture, qui concentre 16,2% des plaintes (22,7% des plaintes dans la téléphonie mobile). Suivent l'interruption de service (14,1%), la résiliation de l'abonnement (14%), le recouvrement et contentieux (8,8%), et livraison et installation (7,8%). Les litiges de type vente forcée ont diminué depuis 2008, mais « ces problèmes ne sont pas entièrement résolus » souligne l'Afutt.
Dans le secteur Internet, Free concentre 40% des plaintes, devant SFR (28,6%), Orange (24,2%), Numéricâble (2,1%) et Bouygues Telecom (1,2%)
HP étoffe son service de conseil
Pour Alan Wilson, vice-président des infrastructures et des services en matière de technologie chez HP, « aujourd'hui, l'expérience utilisateur est en train de changer radicalement et l'ensemble des terminaux évolue » citant notamment parmi ces nouveaux matériels l'iPad d'Apple, les netbooks et les bureaux virtuels. « Il y a quelques années, ces dispositifs n'existaient pas » a fait remarquer le dirigeant, ajoutant que les grandes entreprises devraient faire face à un autre enjeu, à savoir la migration vers Windows 7. « Le HP Client Infrastructure Services comprend une offre de conseil et de management conçue pour aider les entreprises à intégrer de nouveaux dispositifs dans leur organisation, et de les aider à effectuer la migration vers le dernier OS de Microsoft » a-t-il déclaré.
Selon Tom Norton, un responsable de HP, « ces services sont particulièrement adaptés pour des entreprises utilisant un large éventail de matériels et de logiciels différents, et qui rencontrent des difficultés à gérer ces actifs ». HP pourra en effectuer un inventaire, afin de déterminer ce qui doit être mis à jour et établir un plan de rationalisation de l'infrastructure.
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HP a mis en place des services de conseil en stratégie de manière à aider les entreprises à accorder leur stratégie informatique et commerciale. Ils permettent aussi la mise en place d'une feuille de route pour rénover leurs infrastructures client. Elle propose aussi des solutions globales, conseillant sur les packs d'applications à mettre en oeuvre pour la virtualisation et comment les sécuriser.
Un marché à fort potentiel
Cette démarche d'HP n'est pas solitaire, car d'autres sociétés ont senti ces mutations, aussi bien sur l'adaptation des terminaux que sur la migration vers Windows 7. Ainsi Sogeti propose une offre baptisée Radium facilitant cette évolution. L'objectif est de recenser les applications métiers, qui fonctionnent sur des OS plus anciens et de réaliser des tests, voire des modifications pour assurer une bonne transition vers Windows 7.Econocom, spécialiste de la gestion des infrastructures informatique a de son côté lancé l'offre « 7 Remote Service » pour accompagner les entreprises dans cette transformation. L'offre Everest de la SSII Osiatis répond aussi à cette même problématique.
Récemment, Microsoft est revenu sur des cas utilisateurs d'entreprises qui sont en phase de déploiement du nouvel OS de Microsoft. Si ce dernier est bien accueilli, le processus de changement s'annonce complexe.
(...)(15/04/2010 14:28:20)
Conférence Chirp : Twitter expose son modèle économique
Twitter explique enfin comment il compte gagner de l'argent. Le site de microblogging tient en ce moment à San Francisco sa conférence développeurs, baptisée Chirp [en français, « pépier »], et c'est dans ce cadre que Dick Costolo, son directeur général, a abordé la question. Le modèle économique de la société va reposer sur deux piliers. Les tweets sponsorisés, récemment dévoilés, constituent le premier d'entre eux. Les annonceurs publicitaires paieront pour que ces micro-messages apparaissent en tête des résultats de recherche pour certains mots-clés.
Le deuxième pilier du modèle résidera dans les comptes commerciaux qui ont déjà été évoqués l'an dernier par la société. Ce service permettra à une entreprise d'ouvrir un compte Twitter payant en échange d'outils d'analyse détaillée et de la possibilité de laisser plusieurs personnes publier des messages sur le même compte. Ce dispositif, actuellement testé par deux cents clients environ, sera étendu plus largement, a expliqué Dick Costolo, sans toutefois préciser quand.
Le modèle comporte des risques de dérive
C'est un modèle simple mais qui présente quelques risques. Twitter, en effet, devra prendre soin de déployer ses tweets sponsorisés de façon à ne pas décourager les fidèles du site qui ont pris l'habitude d'un service sans publicité, de même que les partenaires qui y ont construit des applications, comme TweetDeck (ces développeurs ont conçu un utilitaire qui permet de rester en lien avec ses contacts via Facebook, MySpace).
Twitter devra aussi être prudent sur la façon dont il gère les données comportementales de ses utilisateurs à partir de leur fil de tweets. Les réactions suscitées dans ce domaine à l'encontre de Facebook et Google ont déjà illustré les risques qu'il y avait à s'immiscer un peu trop librement dans la vie privée des internautes.[[page]]Les tweets sponsorisés n'apparaissent aujourd'hui que lors des recherches, rappelle Dick Costolo. Les informations géolocalisées devraient suivre, ce qui permettra par exemple à une chaîne de cafés comme Starbucks de cibler les utilisateurs de telle ou telle ville.
Mais Twitter représente aussi une mine d'informations, les tweets révélant tant de choses sur les centres d'intérêt, les goûts musicaux, etc. Le directeur général de la société reconnaît que ces données pourraient être exploitées par des annonceurs pour cibler certains groupes. « Notre objectif est de les empêcher de se comporter d'une façon qui pourrait gêner nos utilisateurs, par exemple en les spammant. C'est pourquoi nous effectuons prudemment ce déploiement ».
La deuxième journée de la conférence, baptisée Hack Day, va rassembler l'écosystème Twitter autour d'applications, de projets et de start-up qui s'appuient sur la plateforme de microblogging. On y parlera outils de marketing et d'analyse des informations livrées par les consommateurs, mais aussi outils de développement.
Les ventes mondiales d'ordinateurs en hausse, les PC redécollent
Hewlett-Packard reste le leader du marché, mais les fabricants asiatiques (Acer, Lenovo, Asus) réalisent une véritable percée grâce notamment aux petits PC portables. Selon Gartner, il s'est vendu 84,34 millions d'ordinateurs dans le monde au cours des trois premiers mois de l'année, contre 66,22 millions sur la même période en 2009. Soit une croissance de 27,4% sur un an, alors que le cabinet d'études marketing tablait sur une croissance de 22%. Pour Mikako Kitagawa, analyste chez Gartner, ces résultats sont en partie liés aux bonnes ventes d'ordinateurs professionnels. Dans les marchés matures (Europe de l'Ouest et Etats-Unis), les entreprises ont profité de la sortie de Windows 7, fin 2009, pour entamer le renouvellement de leur parc d'ordinateurs.
Sur les parts de marché, HP affiche 18,2% au premier trimestre (contre 19,3% au 1er trimestre 2009). Le fabricant américain est désormais talonné de près par la firme taïwanaise Acer, qui a vu ses ventes progresser de 54% en un an. Spécialisé dans les PC portables et les netbooks à bas prix, Acer s'adjuge 14,2% de parts. Suivent le fabricant texan Dell (12,1% de parts de marché), le fabricant chinois Lenovo (8,3%), l'autre fabricant taïwanais Asus (5,5%), dont les ventes ont plus que doublé en un an, et Toshiba (5,5%).
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Dans la zone EMEA (Europe, Moyen Orient, Afrique), les ventes de PC ont augmenté de 24,8% au premier trimestre à 27,13 millions d'unités. Acer domine les ventes (21,3% de parts), devant HP (20,4%), Dell (9,2%), Asus (8,1%) et Toshiba (5,7%). Aux Etats-Unis, les ventes d'ordinateurs ont augmenté de 20,2% en ce début d'année à 17,44 millions d'unités. HP est en tête (25% de parts de marché), devant Dell (23,4%), Acer (15,6%), Toshiba (8,6%) et Apple (8%).
IDC souligne le retour de l'ordinateur fixe
Si l'étude du Gartner privilégie indifféremment PC fixe, notebook et netbook, le cabinet IDC constate que les ordinateurs fixes sont de nouveau en croissance. Traditionnellement en recul depuis le développement des ordinateurs portables, le marché du PC fixe retrouve des couleurs aux Etats-Unis et dans les pays émergents à travers les ordinateurs all-in-one.
Le cabinet avait prévu une croissance de 1% sur ce segment de marché, mais au final, l'augmentation des ventes est comprise entre 6 et 7% sur un an.
Annuels 2009 : Vision IT Group un peu en retrait
La société de conseil Vision IT Group publie un chiffre d'affaires de 81,3 millions d'euros pour 2009, en recul de 0,4%, par rapport aux 81,6 ME de 2008. L'objectif est de réaliser 150 ME en 2012. En attendant, Vision IT prévoit des croissances externes, GFI Informatik vient d'être racheté en Allemagne, d'autres reprises en Allemagne et aux Pays-Bas devraient suivre.
Côté rentabilité, Vision IT Group a réalisé un résultat net de 3 ME, contre 3,1 en 2008, le résultat opérationnel est de 4,4 ME (contre 5,7 en 2008), le résultat opérationnel de 5 ME contre 6,2 ME.
UCPA ordonnance ses processus informatiques
L'UCPA, Union nationale des centres sportifs de plein air, accueille chaque année 220 000 stagiaires et génère un chiffre d'affaires annuel de 154 millions d'euros dans environ 80 activités sportives ou de loisir grâce à 4000 collaborateurs. En 2008, l'association créée en 1965 a souhaité industrialiser sa production informatique autour de trois axes : a réorganisation du département informatique, la signature d'une convention de service avec les différentes directions métiers et la mise en place d'un ordonnanceur de tâches.
L'implémentation d'un ordonnanceur visait à optimiser le fonctionnement et les performances du système d'information de l'UCPA, en réduisant notamment les interruptions de service et le temps de rétablissement en cas de coupure. Après une étude de marché des solutions disponibles fin 2008, deux solutions sont soumises à un test de « proof of concept ». Les critères étaient à la fois économiques (rapport qualité/prix) et techniques (notamment au niveau de la facilité d'implémentation et d'administration).
Optimisation et rationalisation
Début 2009, l'UCPA choisit la solution Dollar Universe d'Orsyp. Mais celle-ci ne répond que partiellement aux attentes de l'association. L'éditeur se charge alors de l'adaptation du produit aux désirs précis de l'association. En un mois, Dollar Universe est déployé et mis en production. Les applications métiers telles que EDEAL (CRM), SURF (vente séjours sportifs), ORHUS (gestion de paie), SAP (comptabilité /achat/finance), XRT (trésorerie), NOTILUS (note de frais), et MARIN (gestion des formations) sont ensuite progressivement intégrées à l'ordonnanceur entre février et décembre 2009, malgré des environnements techniques hétérogènes sous Unix, Windows ou Linux.
La DSI a fortement gagné en productivité, gagnant l'équivalent d'un temps plein.
Le coût global du projet n'a pas été communiqué. (...)
Cegid structure son mode SaaS pour les TPE et Associations
Cegid déploie d'emblée les grands moyens pour installer sa nouvelle division « TPE & Associations » : elle compte dès aujourd'hui 45 personnes et est placée sous la responsabilité de Valéry Tarondeau, membre du Comité de Direction du groupe.
La division commercialisera en mode SaaS les gammes « Yourcegid Entrepreneurs & TPE », à partir de 10 euros par mois, et « Yourcegid Associations », à un prix encore inférieur.
Dans ce but, Cegid va créer un réseau de distribution spécifique, qui devrait compter environ 200 revendeurs à la fin de l'année. « Le mode SaaS n'est pas une nouveauté pour nous, explique Valéry Tarondeau. Plus de 10 000 TPE utilisent d'ores et déjà nos services en ligne. La croissance de la demande et la maturité de l'offre nous incitaient à aller plus vite. »
Où est le prix du marché ?
« Il n'existe pas vraiment un prix du marché dans le monde du SaaS, mais nous estimons que le panier moyen sera de 15 euros par mois et nous voulons que la rémunération de nos partenaires soit au moins égale à celle qu'ils perçoivent pour la vente de licences, c'est-à-dire une marge de 25 à 40% », précise Valéry Tarondeau. Quant aux profils de partenaires recherchés, Cegid reste flou pour l'instant, précisant que des négociations sont en cours. La principale indication à ce sujet est que l'éditeur ne travaillera pas avec les grandes surfaces alimentaires ou avec les multispécialistes de type FNAC ou Boulanger, qui ont plutôt tendance à désinvestir dans le domaine des logiciels. Par contre, on peut s'attendre trouver dans ce nouveau réseau une enseigne telle que Metro, des boutiques de téléphonie mobile et des revendeurs de proximité.
De fait, la rédaction du contrat SaaS sera faite par les partenaires, via un portail en marque blanche mis à leur disposition, sur lequel il pourront intégrer leur logo.
Valery Tarondeau, directeur de la division TPE & Associations de Cegid (Crédit photo : Cegid)
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