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(14/04/2010 16:22:08)
Leo Apotheker retrouve du travail dans le cloud
L'annonce est en ligne sur le site de GT Nexus. Leo Apotheker, ancien dirigeant de SAP AG (qu'il a quitté depuis le mois de février 2010), rejoint le comité exécutif du fournisseur de plate-forme à la demande dédiée à la logistique. Il propose via un portail, une suite logicielle, un réseau pré-connecté de transporteurs et des services de gestion de données.
Pour Leo Apotheker « la prochaine vague des logiciels entreprises sera sur des réseaux de plates-formes comme celle de GT Nexus » et d'ajouter « ces nouveaux systèmes basés sur le cloud ont été conçus pour dépasser les frontières de la simple entreprise en s'interconnectant avec les spécialistes mondiaux du commerce, procurant ainsi une agilité aux sociétés. GT Nexus est à la pointe de cette révolution avec comme axe, le commerce mondial et la logistique ».
Du côté du fournisseur de solutions, on se réjouit de cette arrivée, avec l'expérience de l'ancien responsable de SAP AG.
Trimestriels 2010 : Intel publie de résultats supérieurs aux attentes
Le fondeur Intel a publié mardi des résultats records pour le premier trimestre de l'exercice 2010, supérieurs aux attentes des analystes. Le leader mondial des microprocesseurs a en effet totalisé un chiffe d'affaires de 10,3 Md$, en repli de 3% en comparaison avec le trimestre précédent, mais en croissance de 44% par rapport à l'année précédente. Le bénéfice opérationnel, s'est élevé à 3,4 Md$, soit + 38% par rapport au précédent trimestre, bondissant de 433%, comparé à l'an passé.
Ce trimestre a été marqué par une hausse des ventes des microprocesseurs et chipsets, avec en janvier dernier, le lancement des derniers Core i3, i5 et i7 pour ordinateurs portables et PC de bureau, suivi, en mars, par la sortie des Xeon 7500 et 5500. Ces processeurs ont été réalisés en utilisant le procédé de fabrication 32 et 45 nanomètres, rendant les puces plus rapides et plus économes en énergie tout en réduisant les coûts de fabrication. En février 2009, Intel avait d'ailleurs annoncé qu'il allait investir 7 Md$ au cours des deux prochaines années pour moderniser ses usines de fabrication afin de réduire les coûts de fabrication des puces et en augmenter la production. « Les investissements que nous réalisons dans les technologies de pointe se sont concrétisés par les produits les convaincants de notre histoire » a commenté Paul Otellini, président d'Intel dans un communiqué. « Nous ne pouvons qu'être optimistes quant au devenir de notre activité, nos produits étant conçus sur une variété de nouveaux créneaux porteurs. »
Pour son second trimestre fiscal 2010, Intel table sur des revenus à 10,2 Md$, soit une hausse de 27% par rapport au second trimestre 2009. La marge brute est estimée à 64%, plus ou moins deux points de pourcentage. Les dépenses de R&D et les frais généraux et administratifs devraient avoisiner quelque 3,1 Md$.
(...)
Annuels Infosys : La SSII recommence à recruter et annonce un accord avec Microsoft
La SSII indienne Infosys Technologies vient d'annoncer des résultats trimestriels illustrant un redressement de l'activité pour les acteurs de l'outsourcing IT. Exprimés en dollars, le chiffre d'affaires de son quatrième trimestre fiscal, clos le 31 mars, a progressé de 15,6%, à 1,3 Md$, par rapport au quatrième trimestre de l'exercice précédent, et son bénéfice net de 8,7%, à 349 M$. En revanche, exprimés en roupies indiennes, le chiffre d'affaires trimestriel n'a progressé que de 5,5% d'une année sur l'autre et le bénéfice net a baissé de 0,9%. Deux tiers de ces revenus sont réalisés avec l'Amérique du Nord, et 22,5% viennent des activités européennes. La deuxième SSII indienne, derrière le numéro un Tata Consultancy Services, et devant Wipro, dit avoir gagné 47 nouveaux clients sur la période.
Sur l'année fiscale, la hausse du chiffre d'affaires de la SSII se limite à 3%, en dollars, à 4,8 Md$, et celle du bénéfice net à 2,5%, à 1,3 Md$. Sur la première partie de son exercice, Infosys a dû faire face aux reports, voire aux interruptions de contrats entraînés par la crise économique.
Infosys va prendre en charge les services IT internes de Microsoft
Pour le trimestre qu'elle vient d'entamer, la SSII prévoit une hausse de 18,5 à 19,4% sur son chiffre d'affaires en dollars par rapport à l'an dernier, même si elle estime que le contexte économique reste difficile. A l'instar des autres sociétés indiennes d'outsourcing IT, elle a recommencé à embaucher des effectifs importants depuis janvier, pour anticiper une amélioration de l'activité. Infosys a ainsi recruté 3 914 personnes sur les trois derniers mois, portant son effectif à près de 113 800 salariés fin mars. Selon le cabinet d'études Gartner, les investissements IT dans les services vont augmenter de 5,7% cette année, pour attendre 821 Md$. Cela devrait notamment profiter aux spécialistes indiens de l'outsourcing.
Sur l'ensemble de l'exercice fiscal 2011, Infosys prévoit entre 16 et 18% de progression sur son chiffre d'affaires en dollars. Signe plus qu'encourageant, la SSII vient d'annoncer qu'elle allait prendre en charge, de façon globale, les services IT internes de Microsoft dans le cadre d'un contrat de trois ans, qui va concerner 450 sites à travers 104 pays. Infosys assurera l'assistance aux utilisateurs (help desk et maintenance du poste de travail), ainsi que les services de support associés aux infrastructures et aux applications.
Illustration : Kris Gopalakrishnan, PDG d'Infosys (Crédit photo : DR)
SpringSource s'offre un système d'échange entre applications
SpringSource, l'éditeur d'outils Java racheté en août 2008 par VMware, vient d'annoncer l'acquisition de Rabbit Technologies. Ce dernier a développé RabbitMQ, une solution d'échange de messages entre systèmes hétérogènes, applications, bases de données, plateformes de stockage... C'est donc une pierre de plus qui s'ajoute à l'offre de cloud computing que construit VMware. Il s'agit toutefois d'une petite opération financière puisque la société Rabbit, basée à Londres et créée en 2007, ne compte que dix salariés.
L'objectif de VMware consiste à fournir la technologie de virtualisation sous-jacente aux offres de PaaS (platform-as-a-service). Sur le marché du cloud, ces plateformes en ligne proposent des outils pour bâtir des applications que, par la suite, elles pourront aussi héberger. Dans cette stratégie, SpringSource apporte ses outils de développement Java, tandis que l'offre de messagerie RabbitMQ, qui repose sur le standard AMQP (Advanced Message Queuing Protocol), permettra aux applications ainsi mises au point d'interopérer et de ne pas rester enfermées dans un système propriétaire.
Une prochaine annonce avec Salesforce.com
Les systèmes d'échange de messages ont toujours constitué un élément clé de l'infrastructure applicative des entreprises. Rod Johnson (photo ci-dessus), directeur général de SpringSource, souligne toutefois que le cloud requiert des solutions de messagerie interapplicative différentes. L'offre de Rabbit permet aux développeurs de créer des applications complexes en découplant les composants, l'échange de données s'effectuant ensuite entre ces composants, sans nécessité d'en connaître le statut, la disponibilité ou la mise en oeuvre. Rabbit Technologies avait déjà noué des partenariats avec VMware, mais aussi avec Microsoft, Novell et plusieurs autres fournisseurs.
L'annonce de ce rachat par SpringSource vient faire écho aux informations distillées par Salesforce.com au sujet d'un partenariat que la société de Marc Benioff prévoit de dévoiler le 27 avril, conjointement avec VMware.
Illustration : Rod Johnson, directeur général de SpringSource, filiale de VMware
Entre Salesforce.com et VMware se profile VMForce
Sous le nom de VMForce, Salesforce et VMware s'apprêtent à dévoiler un partenariat dont on ne sait pour l'instant pas grand-chose. Comme il l'a déjà fait plusieurs fois, notamment pour ses collaborations avec Google, Marc Benioff, le PDG de Salesforce, cherche à éveiller la curiosité. En se rendant sur le site vmforce.com, on découvre le dirigeant en conversation avec Paul Maritz, le PDG de VMware, et l'on apprend simplement qu'une présentation commune y sera faite mardi prochain : « VMForce is coming. See it here live on April 27 ». L'annonce aura lieu à 10 h 30 du matin, PDT (Pacific Daylight time), soit à 19 h 30, à Paris.
On peut raisonnablement penser qu'il s'agira en partie d'une offre de services de virtualisation en ligne, mais il pourrait y avoir d'autres prolongements. VMware a récemment fait un pas vers le développement, avec l'acquisition de SpringSource, éditeur d'outils Java, et vers les applications, en rachetant à Yahoo, au début de l'année, la messagerie collaborative en ligne Zimbra.
De son côté, Salesforce.com a depuis longtemps élargi son champ d'action au-delà des applications de gestion de la relation client (CRM) avec l'ouverture de sa plateforme de développement en ligne Force.com et de sa place de marché de logiciels AppExchange. Plus récemment, il a complété son offre de solutions de comptabilité avec FinancialForce.com qui résulte d'un partenariat avec l'éditeur Coda (racheté en 2008 par le Néerlandais Unit 4 Agresso).
Illustration : site VMForce
Nec Computers se fond dans Nec France
L'opération est le résultat d'une stratégie menée par le groupe Nec à l'échelon mondiale qui vise à « l'intégration de son savoir-faire » dans les domaines de l'informatique, des réseau et des télécoms. Elle permet à Nec France de se trouver en possession d'une offre assez complète comprenant donc le portefeuille de la division IT Platform Solutions (serveurs, stockage, logiciels et PC virtualisés) et ses gammes historiques de solutions d'infrastructures télécoms pour les opérateurs, de produits d'affichage et de projecteurs. « Les besoins des entreprises en solutions globales deviennent de plus en plus importants. Or, Nec est un des rares industriels dans le monde à disposer de toute la palette de solutions qui permettent d'aller vers la convergence », indique Michel Lignon, le président de Nec France.
IT platform Solutions reste axée sur la vente indirecte
En interne, on appelle cette stratégie de mise en place d'un guichet unique le « ONE NEC Business Model ». Pour la concrétiser complètement, Nec France doit encore former notamment ses commerciaux sur l'ensemble de ses offres. Des groupe de travail internes ont été constitués afin de définir la façon dont cette évolution doit être opérée. « Les équipes issues de Nec Computers poursuivront les efforts qu'elles ont déjà entrepris », tient à préciser Michel Lignon. Ce qui signifie concrètement que la politique de distribution mise en place par Nec Computers va perdurer et se renforcer au sein de Nec France.
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