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(12/01/2010 16:36:57)

Bilan FAI : France Télécom et Iliad s'essouflent

( Source EuroTMT ) Avec près de deux mois de décalage, l'Arcep a finalement publié, lundi 11 janvier, son observatoire du haut débit pour le troisième trimestre 2009. Habituellement, le régulateur publiait cet observatoire deux mois après la fin de chaque trimestre. Celui du troisième trimestre aurait donc dû être publié début décembre. Mais en décidant de le fusionner avec l'observatoire du très haut débit (dont les chiffres sont connus avec un décalage de trois mois), l'Arcep avait donc décidé de reporter cette publication au début du mois de janvier. Pour le troisième trimestre 2009, le nouvel observatoire chiffre à 19,145 millions le nombre d'accès à haut et à très haut débit . Les accès à haut débit en constituent, évidemment, la plus large part avec 18,890 millions. C'est le xDSL qui demeure la technologie majeure avec 18,030 millions d'abonnés. Sur ce marché, la hausse trimestrielle s'établit à 415 000 nouveaux clients, un niveau comparable à celui des prises d'abonnement constatées depuis le début de 2009. Deux vainqueurs et deux perdants L'observatoire permet surtout de confirmer les évolutions constatées lors de la publication des comptes trimestriels des principaux opérateurs. Comme au deuxième trimestre, il y a bel et bien deux vainqueurs et deux perdants. Avec l'acquisition de129 000 clients durant ce trimestre, soit 31% de parts de marché trimestriel, SFR devance d'une courte tête France Télécom et confirme son regain de santé déjà entrevu depuis le quatrième trimestre 2008. Il est le principal opérateur alternatif intégré tricolore et comptait au total 4,283 millions de clients xDSL à la fin septembre, soit la troisième place du classement global. L'autre vainqueur est Bouygues Telecom qui a acquis 89 000 clients au troisième trimestre. Illustration D.R. [[page]] Côté perdant : France Télécom. Sa part de marché trimestrielle est tombée à 29,87 %. Une contre-performance notée par tous les analystes qui s'inquiètent des répercussions de la faiblesse commerciale de l'opérateur historique, tant en haut débit qu'en mobile, et de ses conséquences pour l'évolution de ses revenus pour les années à venir. L'autre perdant est Iliad, qui malgré la bonne performance de sa marque Free - qui gagne 100 000 nouveaux abonnés au troisième trimestre -, est toujours pénalisé par les désabonnements importants chez Alice, qui a perdu 51 000 clients. Côté très haut débit, le troisième trimestre n'a pas marqué d'évolutions significatives, le cadre pour le déploiement des réseaux en fibre optique dans les zones très denses n'ayant été finalisé qu'à la fin de 2009. L'Arcep estime à 60 000 le nombre d'abonnés FTTH (en hausse de 5 000 sur trois mois) en France et à 195 000 (en hausse de 23 000) le nombre des abonnés sur les réseaux en fibre optique avec une terminaison en câble coaxial (offre de Numéricâble). Néanmoins, l'autorité souligne que le nombre de foyers éligibles aux offres FTTH a progressé significativement. Il est en hausse de 14 %, par rapport à fin juin 2009, à quelque 740 000. Le nombre d'immeubles équipés en FTTH est lui en progression de 9 % à 36 000. Et les opérateurs alternatifs auraient accéléré les déploiements de leurs infrastructures (en dehors de Paris), en utilisant les fourreaux de France Télécom. Il ne leur reste plus qu'à commercialiser effectivement leurs offres d'accès au très haut débit pour que le marché commence à décoller. (...)

(12/01/2010 12:40:23)

IBM crée une co-entreprise avec la SNCF

[mise à jour] La SNCF et IBM créent une co-entreprise pour optimiser l'achat de prestations et créer des centres de service pour les études et la production. Il s'agit de réorganiser la sous-traitance à la SNCF et les appels aux centres de services externes. Trois mille personnes travaillent à la DSI de la SNCF, dont mille prestataires. La co-entreprise concerne une partie de ces prestataires. Le rôle et les missions des DSI internes ne seraient pas modifiés. Les missions d'assistance technique ne sont pas concernées. Il ne s'agit pas de confier la production informatique à IBM mais de structurer des infogérances au sein de l'exploitation que les DSI internes continueront de piloter. IBM a précisé cet après-midi que la co-entreprise serait détenue à 51% par une société de SNCF-Participations et à 49% par IBM. Exclusivement consacrée aux activités de l'opérateur ferroviaire, elle aura pour mission de piloter et d'optimiser les activités sous-traitées d'études, de développement, de maintenance et d'exploitation des applications informatiques du groupe SNCF. Daniel Chaffraix met en place le partenariat IBM/SNCF L'objectif est "d'améliorer l'efficacité du service offert à nos clients voyageurs et chargeurs en nous appuyant sur les capacités d'innovation d'IBM" déclare Guillaume Pepy, président de la SNCF. Localisée en région parisienne, cette structure sera opérationnelle dès janvier 2010 et son président exécutif sera nommé par la SNCF. Daniel Chaffraix, le président d'IBM France, prend la direction de l'ensemble de la relation avec le groupe SNCF afin de mettre en place et suivre ce partenariat. Alain Bénichou lui succède à la tête d'IBM France . Il était précédemment General Manager Distribution, Travel & Transport sectors chez IBM. IBM est familier de la création de co-entreprise avec ses clients dans le domaine de l'IT. Big Blue avait déjà procédé de cette façon avec BNP Paribas ou Michelin. (...)

(12/01/2010 12:16:40)

Le Crédit Agricole externalise sa maintenance de proximité

Le groupe Crédit Agricole S.A. a décidé d'externaliser les « prestations de proximité » de son parc de 6000 postes de travail répartis sur ses sites de Saint-Quentin en Yvelines, Issy-Les-Moulineaux et Paris-Pasteur. Le contrat, remporté par la SSII APX, concerne aussi bien une infogérance classique de parc (installation, support, maintien en conditions opérationnelles, mise à jour de logiciels...) que des prestations complémentaires (déménagements, gestion de stocks...). De plus, le contrat inclut aussi des prestations dans la téléphonie et le réseau avec la gestion du brassage, la téléphonie mobile... Les trois sites sont gérées dans une démarche commune, avec une base de connaissance et un SI de gestion des flux physiques communs. Le contrat ne concerne que le groupe Crédit Agricole S.A. et en aucun cas les caisses régionales, qui sont des entités autonomes. (...)

(12/01/2010 09:25:16)

Le marché du e-achats s'annonce prometteur en 2010

Dans le vaste secteur du e-achat, trois segments paraissent bien développés, les entreprises en sont équipés à plus de 50% : le e-procurement (gestion administrative des achats) à 63%, le e-sourcing (sélection des fournisseurs) à 59%, les catalogues électroniques à 55%. Trois autres semblent en revanche « à la traîne » avec à peine 20% d'entreprises équipées : le SRM (gestion de la relation fournisseur), le décisionnel achats, le développement durable. Entre les deux, on trouve : le contract management, la démat', les enchères en ligne, le e-apaiement et du développement spécifique. Le secteur du e-achat balaye large, ce qui fait sa force. Les entreprises ont en effet un système d'information achats qui peut être amélioré en terme de couverture fonctionnelle. C'est la grande conclusion de l'étude. Les offres sont d'ailleurs largement disponibles. En plus, le parc installé date de plus de trois ans et plus d'un tiers des entreprises n'ont pas de service de e-achats externalisé. Les différents acteurs de ce marché, malgré la crise, ont moins de motifs de pessimisme que leurs homologues d'autres marchés. Des achats nombreux après une année marquée par la rigueur Dans les 12 à 18 mois à venir, les SI achats vont d'ailleurs investir souligne l'étude : à 25% dans leur enrichissement fonctionnel, à 18% dans l'upgrade des systèmes existants, à 15% dans l'installation de nouvelles solutions, à 12% dans la globalisation des systèmes au plan mondial, à 11% dans l'élargissement du périmètre d'usage, pour 8% dans la refonte de systèmes existants. 3% seulement des entreprises interrogées n'envisagent pas d'évolution. L'étude donne l'occasion aux offreurs de se reprendre après une année 2009 délicate. Sur ce secteur de l'e-achat, 32% des chiffres d'affaires se sont avérés moins bons que prévu, en face, 29% des entreprises ont repoussés ou abandonné leurs projets. En revanche, pour 2010, 29% des offreurs prévoient une hausse de leurs chiffres d'affaires et 24% des entreprises prévoient davantage de projets. Ces nouveaux projets porteraient : à 31% dans le conseil, à 20% dans l'ASP, à 12% en licences, à 11% en intégration, à 10% en maintenance à 8% en services, à 3% en externalisation. (*) Etude menée de mi novembre à mi décembre auprès de 50 entreprises, de la Pme aux grands comptes. (...)

(11/01/2010 17:05:40)

Progiciels bancaires : Temenos amorce la consolidation du marché en achetant Viveo

Le marché européen des progiciels bancaires engage un mouvement de consolidation avec le rachat de la société française Viveo par le Suisse Temenos. Ce dernier est classé 11e au classement Truffle 2009 des éditeurs européens, juste derrière le Français Sopra, l'un de ses principaux concurrents sur son secteur. Quant à Viveo, il figure dans le Top 20 des éditeurs français, à la 18e place de l'EuroSoftware 2009 établi par PwC et PAC (à noter que les 2e, 4e, 11e et 19e places de ce classement sont occupées par Sopra, Murex, Sophis et Sab Ingénierie, autres spécialistes du progiciel financier qui font apparaître le poids de ce segment dans l'industrie logicielle en France). L'acquisition de Viveo s'est scellée à la fin du mois de décembre pour un montant de 81 millions de dollars. « Ce rachat apporte à Temenos un très gros portefeuille de clients, souligne Vincent Gelineau, consultant senior chez PAC, spécialisé sur les marchés de la banque. L'éditeur suisse a des positions européennes très fortes, notamment sur la zone germanophone. Il a besoin de prendre du poids et de consolider ses positions en Europe pour aller plus loin au niveau mondial. Temenos a une carte à jouer face à des concurrents présents à l'échelle internationale comme Oracle, avec son offre i-flex [héritée du rachat en 2006 d'un éditeur indien], ou encore SAP. » De fait, Viveo compte plus de 750 clients dans quelque 35 pays, dont 400 en France, parmi lesquels BNP Paribas, la Caisse d'Epargne, Société Générale, Crédit Agricole ou encore Banques Populaires. Sur les 46 millions d'euros de son chiffre d'affaires 2008, 26 M€ ont été réalisés en France, selon l'EuroSoftware (qui estime aussi que 80% du CA provient de l'activité d'édition de la société). Viveo compte 410 collaborateurs répartis entre la France, la Roumanie, la Belgique et la Suisse. L'éditeur dit avoir investi plus de 100 M€ dans sa R&D depuis 2000. Peu d'acteurs 'pure players' globaux dans le monde financier « En France, il n'y a plus vraiment de place pour un trop grand nombre d'éditeurs spécialisés dans le monde bancaire, considère Vincent Gelineau, de PAC. Les grandes banques sont de plus en plus concentrées et ont de plus en plus de projets à l'international, dans le cadre de la mutualisation et de l'harmonisation de leurs systèmes. » Pour Temenos, le rachat de Viveo constitue sa plus importante acquisition à ce jour. En 2008, l'éditeur suisse a engrangé un chiffre d'affaires d'environ 293 M€ (407 M$). Il compte 700 clients dans 120 pays. En décembre dernier, il avait déjà noué un partenariat avec GFI Informatique pour fournir son logiciel T24 en France et dans d'autres pays d'Europe du Sud. [[page]] « Dans le monde financier, certains logiciels ont une portée internationale, explique Eric Menard, directeur d'études chez PAC. C'est le cas des logiciels de bourse -terrain sur lequel GL Trade a été racheté par Sungard ou des logiciels destinés aux banques d'investissement et d'affaires. Peu d'éditeurs 'pure player' [exclusivement spécialisés dans le monde bancaire] sont globaux, comme Sungard, alors qu'il en existe de nombreux à l'échelle locale ou régionale, en Europe, mais aussi sur d'autres marchés. Des éditeurs indiens, par exemple, comme Tata notamment, ont développé leurs propres logiciels bancaires. » A l'inverse, les logiciels de 'retail banking', destinés à gérer l'activité de Back-Office des banques de détail, restent adaptés à des marchés nationaux. « Il y a encore des différences de gestion entre les banques, suivant les différents pays, justifie Eric Menard. C'est pourquoi il existe des éditeurs locaux dans ce domaine. » Difficile de maintenir l'effort en R&D Sur le marché de la banque de détail, les éditeurs français proposent des approches intégrées. Outre Viveo, on retrouve celle de Sab Ingénierie, qui a racheté plusieurs sociétés ces derniers temps (notamment Samic qui proposait une solution intégrée), ou encore Sopra (avec son offre Evolan), cite Vincent Gelineau. Sur l'Hexagone, Oracle a réalisé plusieurs signatures avec son offre i-flex. SAP France est également présent sur le marché de la banque autour des fonctions support. Pour un éditeur comme Viveo, il devenait sans doute difficile de maintenir l'effort important consenti dans sa R&D, estime le consultant. Si l'on considère le mouvement de regroupement et de concentration qui se fait au niveau des banques, l'harmonisation européenne qui s'opère au niveau des règlementations bancaires et la montée en puissance d'acteurs comme SAP ou Oracle, ou encore le fait que des éditeurs locaux étendent leur présence aux pays frontaliers (comme Sopra), les analystes de PAC décèlent l'amorçage d'une phase de concentration sur ce marché qui va se confirmer dans les années à venir (sans précipitation, les banques n'ayant pas de pression pour changer de SI). « Pour l'instant, ce marché reste encore très morcelé », insiste Eric Menard. (...)

(11/01/2010 16:51:08)

Pour trouver de l'énergie au meilleur prix, Google devient marchand d'électricité

Déjà très impliqué dans le domaine des énergies renouvelables, le Googleplex produit actuellement 1,6 mégawatt d'électricité grâce à 9212 panneaux solaires sur le toit du siége, la firme de Mountain View a crée Google Energy pour assumer, à long terme, la forte hausse de ses dépenses électriques. En effet, cette filiale n'aura a priori qu'un seul client : Google. « Nous avons fait cette demande afin d'avoir plus de flexibilité dans l'acquisition de puissance pour les opérations de Google, y compris pour nos data centers» explique un communiqué de la firme. Actuellement en attente d'une réponse de la Commission américaine de réglementation de l'énergie (FERC), la société devrait prochainement obtenir le statut de « marchand en électricité » et pourra alors acheter et vendre, au meilleur prix. Google Energy permettra au leader internet de jouer sur la flexibilité des tarifs américains en énergie qui sont différents d'un état à l'autre. Il sera alors possible pour Google d'approvisionner son siège californien, où l'électricité est facturé 11 centimes le watt, par du courant à moitié prix provenant de l'Oregon . À titre indicatif, les tarifs professionnels EDF en France atteignent environ 23 centimes par Watt. Pour accompagner sa consommation d'énergie grandissante et limiter ses émissions de CO2, Google s'engage toujours plus dans le domaine des énergies renouvelables. Pour ce faire, elle compte utiliser Google Energy pour acquérir de l'énergie verte à bon prix. Même si la firme communique très peu sur le sujet, un data center Google consomme environ 50 MW. Rappelons que la compagnie de Mountain View en posséderait une trentaine dans le monde. (...)

(11/01/2010 15:23:48)

Le spécialiste des SLA Oblicore passe dans le giron de CA

Cloud externe, interne, hybride ? Peu importe, pour CA. En éditeur accompli de logiciels d'administration, CA accumule les outils pour gérer technologies, contrats et niveaux de service. Et c'est un pionnier du BSM (Business service management, branche de l'administration de logiciels donnant une vision métier des incidents d'exploitation) que CA vient de racheter : Oblicore était spécialisé dans la gestion des SLA (Service level agreements, accords sur les niveaux de service). Il s'agissait d'ailleurs d'un partenaire de CA, qui exploitait sa capacité à rapprocher l'exploitation de l'informatique des contraintes métier. Le montant de l'acquisition n'a pas été divulgué. Sachant que CA a récemment mis la main sur les actifs de Cassatt (gestion de la consommation des serveurs et accélération de leur temps de démarrage) et sur NetQoS (supervision de la performance réseau), l'objectif de CA est clairement d'offrir aux directions informatiques un tableau de bord adapté à une informatique répartie, sur place, chez les infogéreurs et dans le cloud. « Nos clients ne discutent pas de l'intérêt du cloud, nous confiait récemment Patrick Debus Pesquet, directeur technique de CA France. Simplement, ils veulent plus de dynamisme. » (...)

(11/01/2010 14:40:56)

Progress s'offre Savvion, un «leader» du BPM

Rick Reidy avait prévenu en prenant les rênes de Progress Software : il ferait en sorte que la gamme de logiciels d'infrastructure de l'éditeur ait l'air d'une véritable suite, déclinée selon des besoins métier. Au besoin, cela continuerait de se faire au travers d'acquisitions : c'est le cas aujourd'hui, puisque Progress achète pour environ 49 M$ nets Savvion, acteur du BPM (Business process management, gestion des processus métier) classé par Gartner comme un des leaders du secteur. Progress comble avec ce rachat un manque évident par rapport à la direction que l'éditeur souhaite prendre : il lui faut en effet, après avoir accumulé les briques d'infrastructure (rachats de Xcalia, Iona, Apama, Actional...), évoluer vers des solutions de plus haut niveau, capables de gérer des règles métier et des processus. Et après l'acquisition de Lombardi par IBM, il restait peu d'acteurs déjà bien implantés sur le marché du BPM à la portée d'un acquéreur de taille moyenne. Gartner dit ainsi de Savvion BusinessManager 7.5 qu'il s'agit d'une des suites de BPM les plus matures, et qu'elle est capable de gérer de grands volumes de flux. Autre avantage pour Progress, le logiciel de Savvion est basé sur les standards et conçu selon une orientation services, ce qui le rend théoriquement simple à intégrer avec les autres produits. Suite à l'acquisition, qui intervient quelques jours après la clôture de l'année fiscale, Progress prévoit une légère hausse de son chiffre d'affaires pour 2010 par rapport aux estimations formulées à l'annonce des résultats : la fourchette est de 538 à 548 M$ (normes Gaap), contre 520 à 530 M$ (normes Gaap) attendus précédemment. Faible hausse, donc, mais qui ne doit pas masquer le mouvement de bascule à l'oeuvre chez Progress. En 2008, la gamme d'outils de développement OpenEdge était encore largement majoritaire dans le chiffre d'affaires de Progress, avec 331 M$ sur 518 M$. En 2009, elle est descendue à 276 M$, alors que dans le même temps, la gamme de logiciels d'infrastructure grimpait de 85 à 128 M$ (sur un chiffre d'affaires total en baisse, à 497 M$). (...)

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