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(15/01/2010 10:38:45)
Les petites SSII ressentent la crise plus tardivement, selon le 3SCI
Au quatrième trimestre 2009, les adhérents du 3SCI (sur 350 adhérents, 100 forment le panel de référence) ont ressenti la crise plus fortement que lors des enquêtes précédentes. Le syndicat des sociétés de service et des conseils en informatique s'est créé en 1985 pour aider les PME de l'informatique à développer une activité pérenne. « La crise arrive six ou neuf mois plus tard que pour nos confrères des grandes SSII ou grands éditeurs », analyse Olivier Bouderand, secrétaire général du syndicat. 48% des sociétés du 3SCI interrogées ont observé une baisse du chiffre d'affaires au quatrième trimestre. 50% enregistrent une baisse de 5 à 10%, 31% de plus de 20%, 19% ont noté moins de 5% de baisse. La crise leur semble devoir durer au moins une année de plus. 39% disent entre 12 et 24 mois, 11% plus de 24 mois. « A partir du 3ème trimestre, les sociétés de notre taille ont littéralement 'pris une claque', alors qu'en début d'année, elles semblaient tirer leur épingle du jeu », explique le secrétaire général du 3SCI. Ce décalage n'a pas fini de faire sentir ses effets. Notamment sur les encours. 80 à 90% des TPE ou petites PME membres du syndicat ont un exercice qui se termine fin décembre, les bilans vont paraître dans les six mois à venir. C'est à partir de ces bilans que fournisseurs et banquiers décideront des encours. Donc en fonction de l'année 2009, sans tenir compte de la reprise du début 2010 s'il y a effectivement reprise. Les encours risquent de se réduire au vu des bilans 2009 dégradés Le même phénomène s'est produit début 2009. Les bilans de l'exercice 2008, arrêtés fin 2008 publiés début 2009, largement positifs, ont servi à décider des encours au deuxième trimestre 2009. Ces encours sont restés corrects alors que la situation se dégradait. Début 2010, les encours risquent de se réduire au vu des bilans 2009 dégradés, alors que la reprise sera probablement au rendez-vous. Autre décalage, les grossistes et les grands fournisseurs ont souvent évité de livrer leurs nouveaux matériels fin 2009. Ils préféraient vendre leurs stocks pour alléger les bilans, finir de les « nettoyer » après avoir réduit tous les frais de structure possible. Les petits acteurs du marché ont dû se plier ou attendre ce début 2010 afin d'être approvisionnés. De manière plus générale, la crise n'affecte pas tous les secteurs de la même manière. Le carnet de commandes par exemple a stagné pour 28% des répondants, augmenté pour 37%, diminué pour 35%. Des contrastes dus aux différences de gestion entre membres du syndicat. Il est quand même plus facile de réduire ses frais et sa structure quand on est petit, avec une vitesse de réaction plus grande. De même, une fois la crise passée, les petits seront peut-être plus profitables rapidement. Les résultats commerciaux sont la principale préoccupation [[page]] Les résultats commerciaux sont la principale préoccupation Reste « le grand sujet », l'éternelle question (crise ou pas crise) : quelles sont les relations avec les banquiers ? Pour 76% des répondants, elles sont restées bonnes, pour 9% elles se sont dégradées, 1% disent « beaucoup dégradées », 1% également « fortement dégradées ». Les encours sont restées les mêmes à 71%, ont diminué pour 19% des répondants ce qui n'est pas anodin. Les répondants se sont prononcés au deuxième semestre, là encore le décalage n'est pas enregistré, les banques se prononceront ce début d'année. Les finances n'obsèdent pas les personnes interrogées, la priorité absolue des répondants va aux résultats commerciaux. C'est très net dans les réponses. « Le problème le plus épineux » ? Pour 57% des répondants c'est « le manque de commandes et de chiffre d'affaires ». La trésorerie est à 13%. D'ailleurs, cette trésorerie est dûe pour 60% des répondants au « rallongement des délais de paiement des clients ». Encore le commercial. 20% des adhérents interrogés font remonter les difficultés de trésorerie aux encours des banques, 20% également aux encours des fournisseurs. Logiquement, la mesure la plus importante pour affronter la crise c'est : « augmenter l'activité commerciale » pour 50% des interrogés, « trouver de nouveaux débouchés » pour 34% d'entre eux. La trésorerie n'est qu'à 4%. Là encore le décalage est sensible entre l'opinion des adhérents du 3SCI et celle de leurs partenaires, banquiers par exemple. « Nous fonctionnons avec une logique de terrain, d'abord les ventes, ensuite la trésorerie. Pour nous TPE, la trésorerie c'est bien le résultat de l'action commerciale », note Olivier Bouderand. (...)
(14/01/2010 18:15:51)Les ventes mondiales de PC ont progressé de 5,2% en 2009, selon Gartner
Les consultants du Gartner donnent des sueurs froides à leurs clients. Au mois de septembre dernier, ils anticipaient 2% de baisse sur 2009 pour les ventes mondiales de PC, en octobre ils prévoyaient au contraire 2,8% de hausse, finalement, ils annoncent aujourd'hui 5,2% de hausse Au total, il s'est vendu 305,9 millions de PC dans le monde en 2009 contre 291 en 2008. Chiffre comprenant les PCs, les PC portables et les serveurs X86. Les particuliers ont assuré l'essentiel de cette progression note le Gartner. Par constructeurs, HP se maintient en tête (au plan mondial et en volumes) avec 19,3% des parts et 11,3% de progression. Acer ravit la deuxième place à Dell. Le taïwanais compte 13% de parts de marché, en hausse de 29,4%. Derrière cette spectaculaire progression, un spectaculaire recul, celui de Dell passé de 14,1% à 12,2% de parts de marché, en baisse de 9,1%. Aux places d'honneur, en progression l'un et l'autre, on retrouve Lenovo avec 8,1% de parts de marché, en hausse de 13,5% et Toshiba, 5,1% des parts, en hausse de 14,8%. Le Gartner se concentre également sur les chiffres du 4ème trimestre. Avec 90 millions d'unités vendues et 22,1% de progression par rapport au même trimestre de 2008, ce trimestre autorise le Gartner à parler de « retournement » du marché des PCs. Cette croissance est due principalement aux prix bas des PC mobiles (notebooks et netbooks), « en période de crise les acheteurs sont extrêmement sensibles à la notion de prix » souligne le cabinet. En revanche, la sortie de Windows 7, lors de ce quatrième trimestre n'a pas entraîné de ventes supplémentaires. Le classement et les changements dans ce classement sont sensiblement les mêmes que sur l'ensemble de l'année, HP est en tête, Acer n°2 avec 41,5% de progression, Dell 3ème à +5,7%. Ce dernier n'a pas profité des ventes de Noël, il n'a pas non plus fourni les efforts consentis par ses concurrents en terme de prix. Acer en revanche s'est installé en leader sur les PC de moins de 500 dollars. La reprise est moins forte, et même beaucoup moins forte en Europe et sur l'ensemble de la région EMEA qu'aux Etats-Unis et en Asie Pacifique. La croissance est de seulement 3,6%. Acer est deuxième et progresse de 37,1%. Asus se glisse à la 4ème place en hausse de 18,4%. La surprise vient de HP, certes n°1 mais en baisse de 2,6%. Le Gartner note que HP s'est engagé dans une réorganisation en fusionnant ses équipes entreprises et grand public ce qui a pu impacter sa capacité à fournir le marché. Dell est 3ème avec 2,8% de hausse. Comme partout, les consommateurs compensent la baisse des ventes enregistrée dans les entreprises. Windows 7 n'a pas enregistré le succès escompté. Les ventes de notebooks ont là encore dopé la croissance. (...)
(13/01/2010 16:56:52)Springsource confie à Eclipse son dmServer
Bonne nouvelle pour les utilisateurs de dmServer, le serveur d'applications Java de Springsource : la version 2.0 est disponible depuis hier, et sa base installée pourrait bien s'accroître grâce à un changement de licence. L'éditeur, désormais filiale de VMWare, a en effet annoncé qu'il confiait le développement de dmServer à la communauté Eclipse, sous le nom de projet Virgo. Selon Springsource, cela répond à la volonté d'accélérer l'adoption des standards OSGi en entreprise (mis au point par un consortium d'éditeurs, OSGi vise à simplifier le développement modulaire et l'intégration dans le monde Java). Dans les faits, cela signifie aussi que le logiciel passera du système de la licence duale (Open Source GPL et commerciale, suivant l'exemple de MySQL) à la licence Open Source d'Eclipse, EPL. Cela met donc de côté les risques liés à la viralité de la GPL. Des développeurs d'applications qui souhaitaient s'appuyer sur dmServer et devaient acquérir une licence commerciale pour ne pas avoir à ouvrir leur propre code à cause des clauses de la GPL pourront désormais utiliser et redistribuer le code du logiciel libre. Au côté des produits largement utilisés de Springsource - le framework Spring, le conteneur Web Tomcat, le langage Groovy... - dmServer avait plus de difficulté à s'imposer sur un marché déjà bien occupé, même en Open Source (Jonas, GlasFish, Jboss...). Malgré ce qu'en dit Springsource, il n'est pas sûr que le changement de marque en faveur d'Eclipse accroisse vraiment son adoption. Le changement de licence le fera plus probablement, mais aux dépens du chiffre d'affaires de l'éditeur. On peut donc en conclure que la filiale de VMWare a fait une croix sur les revenus potentiels de la technologie avec l'espoir qu'elle devienne un standard de fait. Du côté d'Eclipse, Mike Milinkovich, président de la Fondation, se réjouit en pensant que cela décuplera les efforts de l'organisation pour mettre au point une plateforme d'exécution modulaire pour Java, ce qui est en tête des projets stratégiques en ce moment. (...)
(13/01/2010 15:07:03)L'Arcep s'intéresse aux clauses imposées par Apple pour vendre l'iPhone
Nouveau rebondissement dans l'affaire des pratiques supposées anti-concurrentielles autour de l'iPhone d'Apple. Alors que l'Autorité de la concurrence a validé mardi la fin de l'exclusivité d'Orange sur le smartphone d'Apple , plusieurs poids lourds du secteur, dont Orange, SFR et Samsung, ont fait savoir que l'obligation imposée par Apple de subventionner l'iPhone plus que les autres smartphones est susceptible d'être contraire au droit de la concurrence. Dans le document publié par l'Autorité de la concurrence, Orange indique qu'il existe un "certain nombre de clauses et de pratiques susceptibles d'être contraires au droit de la concurrence qu'Apple semble vouloir perpétuer dans ses nouveaux contrats opérateurs non exclusifs". L'opérateur historique met notamment en cause les clause de subventionnement, de contribution aux fonds de publicité pour l'iPhone, ou encore de distribution la plus favorable dans les points de vente de téléphonie mobile. Dans les témoignages recueillis par l'Autorité de la concurrence, il apparaît en effet que les opérateurs français doivent subventionner l'iPhone dans "une proportion supérieure de 20% à ce qui est pratiqué pour les autres terminaux, au détriment des constructeurs concurrents". La saisine de la part d'un opérateur ou d'un fabricant concurrent d'Apple pourrait conduire l'Autorité de la concurrence à se pencher sur le cas des subventions de l'iPhone. Si les aides négociées sur la vente de l'iPhone sont jugées anti-concurrentielles, elles pourraient être alors interdites, et provoquer une hausse du prix du téléphone à la pomme. (...)
(13/01/2010 12:06:49)Google engage un bras de fer tardif avec Pékin
Google vient de découvrir que la liberté d'expression est menacée en Chine. Dans un billet de blog indigné, David Drummond, vice-président senior de Google chargé du développement et des affaires juridiques, explique que suite aux attaques ayant visé des comptes d'utilisateurs chinois de Gmail, le moteur de recherche a décidé de ne plus censurer ses résultats sur Google et, s'il ne parvient pas à s'entendre avec le gouvernement chinois, il pourrait même fermer ses bureaux. Google s'était installé en Chine en janvier 2006, après avoir promis aux autorités chinoises de se plier à leur censure. Les dirigeants de Google, qui arborent un « Don't be evil » en devise ('ne sois pas méchant'), expliquaient alors qu'il valait mieux jouer selon ces règles pour donner plus d'information et d'ouverture aux Chinois, que de ne pas y être du tout. Une attitude qui faisait régulièrement débat ; ainsi, lors d'une assemblée générale en mai 2008, interpelé sur le sujet, Sergey Brin, cofondateur de Google, répétait cet argument en ajoutant qu'il n'était pas allé en Chine pour y faire de l'argent. « Nous pourrions abandonner notre site demain sans que cela n'ait aucun effet sur nos résultats », disait-il alors. Ce changement de politique vis-à-vis de la Chine intervient après une série d'attaques menées le mois dernier contre Google et « une vingtaine d'autres grandes entreprises ». Selon l'enquête du moteur de recherches, il apparaîtrait qu' « un des objectifs principaux des pirates était d'accéder aux comptes Gmail de militants chinois des droits de l'Homme ». Soucieux de rassurer tous ses utilisateurs à travers le monde - et de réaffirmer la sécurité du modèle cloud -, David Drummond ajoute : « Nous pensons que leur but n'a pas été atteint. Ils seraient parvenus à atteindre seulement deux comptes Gmail, et n'auraient eu accès qu'aux informations liées aux comptes (comme leur date de création) et aux sujets des courriels, et non à leur contenu. » Une excuse pour s'éclipser d'un marché où Google est à la peine ? David Drummond estime que la Chine a fait d'énormes efforts en matière de développement économique, mais que dans le même temps, les restrictions de la liberté d'expression se sont renforcées, conduisant le moteur de recherches à revoir sa position. Ces attaques, dont David Drummond prend bien soin de ne pas accuser directement les autorités chinoises tout en sous-entendant ses soupçons, seraient en quelque sorte la goutte d'eau ayant fait déborder le vase. Selon le New York Times, Google compterait aujourd'hui environ 700 employés en Chine, pour un chiffre d'affaires de 300 M$. Ce n'est pas négligeable, mais Google est là-bas loin derrière son concurrent principal, le Chinois Baidu, qui aurait deux tiers du marché, contre un tiers environ pour Google. Comme d'autres entreprises l'ont expérimenté avant, il faut, pour faire du business en Chine, accepter de coopérer avec les autorités et les entreprises locales. Il serait donc étonnant que le gouvernement chinois soit impressionné par cette nouvelle politique de Google. Pour beaucoup d'analystes, il est fort probable que Pékin (Beijing) voie cela comme une excuse du moteur de recherches pour sortir d'un marché où il est à la peine, et ne bloque tout simplement l'accès à Google.cn comme il l'a fait pour Google.com. (...)
(13/01/2010 09:33:28)Orange renonce à ses accords d'exclusivité avec Apple
L'Autorité de la concurrence a accepté mardi les engagements d'Apple et d'Orange concernant la vente de l'iPhone en France. L'opérateur s'est engagé, pour une durée de trois ans, à ne passer aucun accord d'exclusivité avec Apple pour la distribution de l'iPhone, tandis qu'Apple s'est engagé sur la même durée à ne pas consentir à des opérateurs français d'exclusivité portant sur les futurs modèles de l'iPhone (hors exclusivité exceptionnelle d'un maximum de 3 mois non renouvelable). Pour rappel, Orange avait décroché en 2007 une exclusivité sur la distribution de l'iPhone en France, mais cet accord avait été cassé un an plus tard par l'Autorité de la concurrence, autorisant ainsi SFR et Bouygues Telecom à commercialiser le smartphone d'Apple. L'Autorité attendait toutefois des engagements durables de la part de l'opérateur historique et de la société américaine. Engagements qu'elle a acceptés et rendus obligatoires. Site : www.autoritedelaconcurrence.fr (...)
(13/01/2010 09:29:32)Intergraphic 2010 : la plateforme de mise en page EMX couvre l'impression et le Web
Après avoir créé le logiciel Edition Manager pour modifier des documents QuarkXPress à partir d'un simple navigateur Web, la société française MG Production a développé une solution de mise en page entièrement accessible en mode hébergé. L'offre Edition Manager Xtend (EMX), que l'on peut voir en ce moment sur le salon Intergraphic 2010 (12-14 janvier, Palais des Congrès, Paris), est destinée à créer des contenus qui pourront être imprimés, publiés sur le Web ou adaptés aux téléphones mobiles (par le biais d'un export en XHTML). Elle a été conçue pour affranchir ses utilisateurs du recours à des logiciels de PAO qui s'installent sur les postes de travail (tels que XPress ou InDesign). L'éditeur s'adresse tout particulièrement aux départements marketing des grandes entreprises qui sont amenés à faire collaborer un grand nombre d'utilisateurs autour de documents et contenus (brochures, fiches techniques, catalogues...) à amender, enrichir ou localiser pour différents pays. Un module de workflow sert à contrôler les multiples contributions (service juridique, traducteur...) et à suivre l'avancée des documents. Néanmoins, le coût de la solution, entre 100 et 80 euros par utilisateur et par mois pour les cent premiers utilisateurs, la met également à la portée des PME.
Un fichier PDF ou Postscript pour l'imprimeur
Si le logiciel EMX ne couvre bien sûr pas la palette d'outils d'un QuarkXPress ou d'un InDesign, Philippe Traveilly, le directeur commercial associé de MG Production, considère qu'on y trouve « 70 à 80% des fonctionnalités majeures » utilisées dans ces solutions de PAO. Si nécessaire, ajoute-t-il, certains utilisateurs (l'infographiste, par exemple) feront appel en complément à leurs outils de dessin ou de retouche photo habituels. Philippe Traveilly insiste sur la facilité d'utilisation d'EMX, capable de gérer les contraintes de l'impression offset avec, à l'arrivée, le fichier PDF ou Postscript requis par l'imprimeur (les polices de caractères Open Type sont stockées sur le serveur). Selon cet ancien professionnel de l'imprimerie, la prise en main d'EMX, sans problème pour les familiers des logiciels de PAO, ne demandera que deux heures de formation aux novices.
Parmi les clients de l'éditeur figurent déjà le constructeur automobile PSA, avec 850 utilisateurs du logiciel, et Havas, qui compte entre 130 et 140 utilisateurs. [Au Canada, MG Production est par ailleurs en cours de négociation avec un groupe international qui prévoit le déploiement de quelque 3 600 utilisateurs.]
Partenaire de Sefas, spécialiste de l'éditique
EMX s'utilise à partir d'un navigateur Internet Explorer 6.7 ou Firefox 3.5.x pour Mac ou PC. Il stocke séparément la mise en page et les contenus. L'élaboration de gabarits, conservés dans la base de données documentaire, permet à tout utilisateur de créer un document en respectant les contraintes graphiques, tant de l'impression offset que de la publication Web. Le document s'élabore dans un mode Wysiwyg offrant à l'affichage une présentation identique à celle qui sera imprimée ou publiée.
La solution EMX comporte une médiathèque intégrée qui, sous peu, permettra de gérer aussi les vidéos. Si les clients ont déjà constitué une photothèque, elle pourra être récupérée dans EMX. Les documents peuvent être liés à des données (liste de prix, ou coordonnées de clients par exemple) gérées dans le système d'information de l'entreprise. « Nous sommes partenaires de spécialistes de l'éditique comme Sefas », précise d'ailleurs Philippe Traveilly.
Les serveurs sur lesquels EMX est installé sont gérés par MG Production et hébergés dans le datacenter français d'Equinix, situé à Saint-Denis. (...)
Forrester contredit les prévisions 2010 d'IDC
«Tout est en place pour un rebond dans la dépense IT en 2010 » lance le patron de l'étude Andrew Bartels, qui prévoit même 6 à 7 années de croissance continue. Andrew Bartels est bien conscient que sa prévision contredit celle des autres cabinets, particulièrement celle d'IDC parue il y a trois jours, pourtant, il persiste et signe. Dans son blog, il donne trois raisons principales à son optimisme. D'abord, la croissance économique sera modeste mais réelle dans tous les pays industrialisés avec une croissance du PIB de 2 à 4%, la Chine et l'Inde étant plus performantes que l'Europe, les Etats-Unis et le Japon. On devrait donc s'attendre à une croissance équivalente, au minimum comprise entre 2 et 4%, dans l'IT. En fait, ces chiffres seront dépassés. Le différentiel monétaire qui pénalisait le dollar devait se réduire, l'économie américaine devenant à nouveau une économie refuge et une économie dynamique. Les Etats-Unis et son dollar devaient ainsi entraîner l'ensemble de l'industrie mondiale au-delà de 4%, c'est le deuxième facteur. Les Etats-Unis reprendront leur marche en avant Surtout, un nouveau cycle d'innovation devrait se former et permettre aux secteurs IT de réaliser une croissance double de la croissance globale moyenne. Les gouvernements, observe le cabinet, consentent de gros investissements pour stimuler l'IT et les entreprises sont sensibilisées aux nouvelles avancées : cloud, stockage, communications unifiées. Cet essor du à l'innovation devrait se produire dans les pays que Forrester nomme les « Douze Tech » : États-Unis, Australie, Canada, Danemark, Finlande, Israël, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Singapour, Suède, Suisse et Royaume-Uni. Les « douze » conjugués au pays naturellement dynamiques, comme la Chine et l'Inde vont porter la croissance de la dépense IT à un niveau record. Derrière ces trois facteurs principaux, croissance générale, dollar, innovation, Andrew Bartels affine d'autres prédictions pour 2010. D'abord sa conviction que les Etats-Unis ressortiront plus forts encore de la crise que ce soit du fait de leur capacité d'innovation ou de fait du redressement du dollar. L'Europe sera pénalisée par cette monnaie. La Chine et l'Inde « auront la douceur » de surpasser le Japon et la Corée. [[page]] Les DSI affichent pour le moment des budgets très prudents, mais, selon Andrew Bartels, la dépense réelle sera beaucoup plus forte. Les DSI, selon le cabinet, obtiendront de leurs présidents des dépenses plus élevées que prévu. Il y va de la croissance de l'entreprise. Les grands comptes feront beaucoup mieux que les PME (trop dépendantes de leurs banques). Autre facteur de retournement : beaucoup de secteurs ont vu leurs dépenses retardées et non pas annulées note Andrew Bartels. C'est le cas dans le stockage, les ERP, le CRM. Ils vont se reprendre en 2010. D'autres secteurs vont amorcer une croissance forte, et pour plusieurs années : les téléphones intelligents, les systèmes embarqués, les solutions verticales, les ERP. Ceux que Forrester appelle les fournisseurs « larges » en tireront profit : IBM, Cisco, Oracle, et peut être Microsoft et SAP, voire GE ou Siemens. Par secteur d'activité, selon Forrester, les matériels devraient progresser de 8,2%, les équipements télécoms de 7,6%, les logiciels de 9,7%, le conseil de 6,8%, l'outsourcing de 7,%. Par région, Forrester prévoit une croissance forte en Europe de l'ouest et centrale : +11,2%. L'Asie-Pacifique devrait progresser de 7,8%, l'Amérique latine de 7,7, l'Europe de l'Est le Moyen Orient et l'Afrique de 2,4%. En revanche, le Brésil, la Russie et d'autres pays émergents devraient marquer le pas. (...)
(13/01/2010 09:29:25)Free proposera bientôt des Freebox Femtocell
Lors de l'émission Masse Critique sur France Culture, dimanche 10 janvier 2010 à 19 heures, Maxime Lombardini, directeur général de Free, a confirmé que l'opérateur allait proposer des FreeBox intégrant une antenne 3G, une technologie baptisée Femtocell. "On ne les mettra pas d'autorité dans les FreeBox, on les proposera" a souligné Maxime Lombardini. Le directeur général a également indiqué qu'il essaierait autant que possible d'utiliser les points hauts existants en France (au nombre de 50 000). Il a rappelé le coût de l'investissement prévu pour le réseau - soit 1 milliard d'euros - afin de couvrir 90% de la population, hors les 240 millions du prix de la licence. A la question sur le nombre d'antennes évalué à 13 000 pour couvrir 90% de la population, Maxime Lombardini a répondu : "Il en faut un peu moins, mais c'est l'ordre de grandeur." Photo : Maxime Lombardini, directeur général de Free (...)
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