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(06/01/2010 12:19:44)
Selon IDC, la Chine sera bientôt un acteur majeur de l'offshore
Selon une étude d'IDC, le Global Delivery Index 2009, parue mi-décembre 2009, Shanghai et Pékin deviennent plus attractifs que Bangalore et Delhi pour des prestations informatiques en offshore. Plusieurs raisons entrent en ligne de compte. Les donneurs d'ordre, remarque IDC, veulent à la fois atténuer les nouveaux risques apparus (par exemple le terrorisme) et faire face aux nouvelles pressions économiques nées de la crise. Les attentas à Mumbai et Djakarta, les épidémies de grippe H1 N1 rendent l'Inde moins attractive car plus risquée. Les donneurs d'ordre souhaitent ainsi diversifier leurs destinations et cherchent des alternatives à l'Inde. Ces donneurs d'ordre ont également besoin de capacités supplémentaires, pour des plans de continuité d'activité ou des plans de reprise après sinistre, ils veulent donc s'implanter sur plusieurs régions. Ce n'est donc pas forcément la Chine au détriment de l'Inde, mais en complément de celle-ci. Les villes qui comprennent cette mutation, investissent dans les universités, les infrastructures, les compétences linguistiques. Les villes chinoises, aidées par leur gouvernement semblent bien armées. Inversement, « les villes indiennes semblent glisser vers une spécialisation sur les coûts faibles, sans perspective à plus long terme dans les services à valeur ajoutée, elles se mettent à la traîne de la concurrence mondiale «, note Suchitra Narayan, auteur de l'étude. Un "top 10" bientôt bouleversé D'autres villes se livrent à une compétition dans le nearshore asiatique. C'est le cas de Brisbane en Australie ou de Kuala Lampur en Malaisie. Pour cette dernière, le gouvernement a mis au point le Multimedia Super Corridor, un programme d'incitation aux investissements étrangers, bâti à coup d'incitations fiscales et de dumping salarial (par rapport à Singapour). D'ici 2013, prévoit IDC le « top 10 » des destinations informatique en offshore devrait se modifier, Bengalore perdant des places au profit des villes chinoises Shenzhen et Chengdu. Le recours à l'offshore sera moins une décision liée aux coûts que dépendant de facteurs plus nombreux : compétences, stabilité politique et coûts. (...)
(05/01/2010 16:49:43)Tribune: le Google Phone vise plus Microsoft qu'Apple
Et si, plutôt qu'un 'iPhone killer', le smartphone lancé par Google sous sa propre marque n'était que la continuité de sa lutte contre Microsoft ? Fabriqué par HTC, animé par Android, le Nexus One présenté par Google n'a rien de vraiment révolutionnaire par rapport à tous les smartphones Android proposés par les fabricants jusque-là. D'où la remarque de Caroline Noublanche, présidente de Prylos et à ce titre experte du domaine. Dans une tribune publiée sur notre blog Experts, Caroline Noublanche explique que « l'enjeu sous-jacent de la sortie d'Android est d'étendre aux services mobiles la position de force de l'entreprise sur la recherche et la publicité ». Autrement dit, plutôt qu'un 'iPhone killer', cette ancienne de SFR et PhoneValley voit dans tout téléphone Android, ainsi que dans Chrome OS, « un cheval de Troie pour concurrencer Microsoft ». (...)
(05/01/2010 16:26:45)Gartner croque Burton Group un mois après avoir avalé AMR Research
Gartner a découvert qu'il existait une forme de vie en-dehors des CIO. La cabinet d'analystes a donc choisi de racheter un confrère s'adressant aux informaticiens d'en bas, Burton Group, qui compte une quarantaine d'analystes. Gene Hall, PDG de Gartner, explique dans un communiqué que l'acquisition de Burton « devrait permettre d'offrir une solution plus complète à chaque niveau au sein des organisations informatiques ». Burton anticipe un chiffre d'affaires pour son exercice fiscal 2009 d'environ 30 M$. Gartner - qui pèse 1,2 Md$ de chiffre d'affaires - procède au rachat pour 56 M$, en cash. Il y a un mois, l'incontournable cabinet prenait le contrôle d'AMR Research pour 64 M$. Là encore, il s'agissait de combler un manque, en l'occurrence l'expertise du domaine de la gestion de la chaîne logistique. (...)
(05/01/2010 15:46:27)EMC acquiert Archer Technologies pour ses outils de conformité
EMC fait un premier pas important vers une stratégie globale de GRC (Governance, risk & compliance - gouvernance, risque et conformité) avec l'annonce du rachat d'Archer Technologies. Petit éditeur privé, Archer Technologies propose une suite d'outils permettant d'évaluer les risques, de mettre en place des règles, de surveiller leur application, de rapporter les incidents, de réaliser des audits, etc. Ces fonctionnalités seront intégrées au sein des produits de la divisions RSA Security. Vice-président responsable de la stratégie produit de RSA, Sam Curry écrit sur le blog du spécialiste de la sécurité que la cible visée par ce rachat est de se rapprocher des gens du métier, sachant que jusqu'à présent, RSA s'est focalisé sur les solutions techniques ; au contraire, Archer fournit « un ensemble d'outils rapprochant la sécurité du business, la rendant plus simple à gérer ». Archer compterait aujourd'hui 6 millions d'utilisateurs enregistrés, et 25 clients parmi les entreprises du Fortune 100. (...)
(05/01/2010 12:07:20)Oracle acquiert Silver Creek Systems, spécialiste du nettoyage de données
La première emplette d'Oracle pour 2010 a lieu dans le domaine de la qualité des données : l'éditeur rachète Silver Creek Systems, un spécialiste du nettoyage de données produits, pour un montant non communiqué. L'éclosion du marché de la gestion des données de référence (MDM, Master Data Management), surtout représenté par le PIM (Product Information Management, gestion des données produits), son segment le plus porteur, a porté une attention particulière sur ces outils capables de nettoyer et réconcilier les données. De fait, sans cette étape visant à renforcer la qualité des données d'une base, son exploitation n'aura aucun intérêt. La plupart des outils de ce domaine savent ainsi comparer les identités entre deux systèmes, et détecter les doublons potentiels. Il s'agit de la fonction la plus simple, les identités étant déterminées par des champs précis et des noms se retrouvant facilement d'une base à l'autre. En revanche, pour ce qui est des produits, les appellations peuvent varier beaucoup plus considérablement. Dans un rapport écrit en mai dernier, Bloor Research indiquait que très peu d'acteurs savaient composer avec cette difficulté. Dans ce domaine, peut-on lire dans le document, Silver Creek Systems « dépasse le reste du marché de la tête et des épaules ». L'éditeur s'est en effet spécialisé dans ce domaine spécifique de la qualité des données, grâce à une technologie d'analyse sémantique. Son plus proche concurrent à cet égard est Zoomix, qui a été racheté il y a un an et demi par Microsoft, pour son offre MDM intégrée à SQL Server 2010. Oracle compte inclure le fruit de son acquisition, DataLens System, à son outil de PIM et quelques autres offres progicielles. Mais cela ne devrait pas changer grand chose pour ses clients, Oracle proposant déjà le logiciel de Silver Creek en OEM. (...)
(04/01/2010 16:47:00)Plus de 16 000 signatures pour la pétition « sauvez MySQL »
L'appel lancé par Monty Widenius, père de MySQL, pour empêcher Oracle de mettre la main sans conditions sur MySQL, porte ses fruits. En une semaine, en pleine trêve des confiseurs, le texte a recueilli plus de 14 000 signatures (en milieu de journée lundi, la pétition dépassait les 16 000 signatures). La pétition a été présentée aux régulateurs de la commission européenne, au ministère chinois du commerce (Mofcom), au service fédéral russe de lutte contre les monopoles (FAS) et auprès de la commission suisse (Weko). Elle sera ensuite représentée au rythme de une à deux fois par semaine, annoncent les organisateurs, au fur et à mesure des votes. La pétition conseille aux régulateurs de mettre en place des mesures que Monty Widenius juge à même de sauver MySQL et son écosystème, pour le bien des utilisateurs de la base de données Open Source. Trois solutions sont proposées (les signataires pouvant opter pour une ou plusieurs de ces solutions). La plus populaire (93,5% des votes) demande que MySQL soit confié à un éditeur tiers, qui continuerait le développement en GPL, comme le faisait MySQL AB. A 60,2%, les pétitionnaires proposent que les autorités de régulation imposent à Oracle, pour valider son rachat de Sun, de passer la base de données sous Apache, licence plus permissive. Enfin, à 58,7%, ils se contenteraient d'une exception, prévue par la licence GPL, qui permettrait de lier le code de la base avec du code sous une autre licence, sans que ce dernier passe automatiquement en GPL. A noter qu'indépendants et utilisateurs de la base à titre personnel constituent l'essentiel des signataires, avec respectivement 37,1% et 26,7%. Les utilisateurs professionnels de MySQL en entreprise représentent 24,8% des pétitionnaires. (...)
(30/12/2009 15:31:03)Couverture 3G, l'Arcep recule devant les opérateurs
( Source EuroTMT ) Est-ce le sentiment d'en avoir déjà beaucoup fait contre les trois opérateurs mobiles hexagonaux possédant leur réseau et qu'il n'était pas nécessaire d'en rajouter ? Toujours est-il que l'Arcep s'est contenté d'adresser une simple mise en garde aux deux opérateurs, Orange et SFR, qui ne respectaient pas leurs engagements de couverture 3G. Pour une autorité qui avait promis durant tout l'automne qu'elle ne fuirait pas ses responsabilités, cette simple mise en demeure décrédibilise l'action de l'Arcep. Car ce n'est pas la première fois que les deux opérateurs ne respectent pas leurs engagements. A l'origine du problème : le mode de sélection mis en place pour délivrer les licences 3G. Petit retour en arrière : pour se conformer à la décision européenne d'attribuer les licences UMTS avant le 1er janvier 2002, l'ART (l'ancêtre de l'Arcep) et le gouvernement avaient choisi la procédure de la sélection sur critères plutôt qu'une mise aux enchères, beaucoup plus rentable pour les finances publiques mais très coûteuse pour les trois opérateurs mobiles (qui ont la particularité d'être tous français, ce que ne manquent pas de souligner les concurrents européens qui n'ont jamais pu entrer sur le marché mobile tricolore). Un manque flagrant d'investissements S'ils n'ont été à l'époque que deux candidats à déposer un dossier, France Telecom et SFR, persuadés, comme tous les opérateurs mobiles européens, que l'UMTS serait encore plus rentable que le GSM, avaient surenchéri alors sur les critères d'attribution, notamment en matière de taux de couverture. SFR promettait ainsi de couvrir 75 % de la population deux ans après avoir obtenu la licence, puis 98,9 % après cinq ans et enfin 99,3 % au bout de huit ans. De son côté, France Télécom s'engageait sur un taux de couverture de 54 % deux ans après l'obtention de la licence, 94 % cinq ans plus tard, et 98 % huit ans plus tard. Les licences ayant été délivrées le 31 mai 2001, la première vérification que les engagements étaient bien tenus est donc intervenue à la mi 2003. Mais voilà, entre temps, la bulle boursière a explosé, et les finances des deux opérateurs sont exsangues. Comme, les équipements sont aussi en retard, SFR et Orange sont dans les choux. A l'époque, l'ART entérine la proposition des deux opérateurs de décaler de 28 mois les étapes du calendrier sans, toutefois, changer la dernière : France Télécom et SFR promettent d'atteindre respectivement 98 % et 99,3 % en août 2009. Or, à cette date-là, l'opérateur historique n'avait couvert que 83,7 % de la population, et SFR 74 % (ce qui signifie incidemment que la filiale de Vivendi a quasiment arrêté d'investir depuis deux ans). Et une nouvelle fois, l'autorité se contente d'entériner le nouvel échéancier proposé par les deux opérateurs. Pas de quoi répondre aux besoins des collectivités locales qui s'étaient inquiétées des problèmes de couverture durant tout le processus d'attribution de la quatrième licence 3G. (...)
(29/12/2009 15:55:04)Steve Jobs CEO le plus performant pour la Harvard Business Review
Voilà qui plaira aux thuriféraires de Steve Jobs : le patron prodigue d'Apple est bien le CEO le plus performant de la planète. La distinction a été décernée par la prestigieuse revue Harvard Business Review, qui a examiné à la loupe quelque 1 999 dirigeants d'entreprises cotées. Ces CEO devaient avoir pris leur poste au plus tard en décembre 2007, et l'avoir conservé au moins jusqu'en septembre 2009. Les professeurs d'économie et de management de UC Berkeley et de l'Insead ont ensuite évalué la performance financière des entreprises, par rapport à celle de l'économie globale, et noté la progression de la capitalisation boursière durant la présidence des CEO notés. A cette aune, Steve Jobs est donc numéro un, notamment grâce à la capitalisation boursière d'Apple qui a progressé, entre son retour en 1997 et septembre 2009, de 150 Md$ ! Globalement, le top 10 est squatté par une majorité de patrons de l'industrie high-tech : on trouve ainsi Yun Jong-Yong, CEO de Samsung Electronics (+127 Md$), à la 2e place, John Chambers, CEO de Cisco (+152 Md$) à la 4e place, Jeff Bezos, CEO d'Amazon (+37 Md$) à la 7e place, Margaret Whitman, CEO d'eBay (+20 Md$), première femme du classement, à la 8e place, et Eric Schmidt, CEO de Google (+101 Md$), à la 9e place. Bonnes performances des patrons des télécoms Chose étonnante, notent les auteurs de l'étude, ce classement n'a que peu de points communs avec celui des patrons les plus médiatiques et celui des CEO les mieux payés. Ainsi, le CEO d'Oracle Larry Ellison, patron le mieux payé des Etats-Unis en 2008, ne figure pas dans le top 100 établi par la Harvard Business Review. A dire vrai, en-dehors du top 10, la high-tech est moyennement représentée, et surtout au travers des opérateurs télécoms. Parmi les 40 suivants, John Thompson, CEO de Symantec, est 19e, Paul Chisholm, PDG de Colt Telecom, 26e, Tomeo Kanbayashi, CEO de NTT Data, 28e, Juan Villalonga Navarro, CEO de Telefonica, 33e, Fujio Mitarai, CEO de Canon, 38e, Wang Jianzhou, CEO de China Mobile, 41e, Adrianus Johannes Scheepbouwer, CEO de Royal KPN, 48e. Le patron de France Telecom de 2002 à 2005 Thierry Breton figure pour sa part en 62e position. Pour information, le premier patron français du classement, Antoine Zacharias, PDG de Vinci, est 32e. (...)
(29/12/2009 13:37:57)Monty Widenius lance une pétition pour « sauver MySQL »
« Sauvez MySQL ! » C'est un appel au monde entier que lance Monty Widenius. Le père de MySQL a en effet mis en place un site appelant les internautes à signer une pétition, dont une première version sera remise dès le 4 janvier prochain aux autorités de régulation de l'Union européenne. Plusieurs pages, traduites en français, expliquent pourquoi la base Open Source, et partant ses utilisateurs, auraient à souffrir si l'UE autorisait en l'état l'acquisition de Sun par Oracle. Michael 'Monty' Widenius prend d'ailleurs largement le temps de répondre à l'argument numéro un de Larry Ellison, le patron d'Oracle, qui soutient que puisque MySQL est Open Source, il n'y a aucune inquiétude à avoir. Chacun est libre de créer un 'fork' (une version dérivée), reconnaît le développeur et homme d'affaires finlandais, mais il ne pourrait bénéficier du nom (Monty Widenius a d'ailleurs lui-même repris le code de MySQL dans MariaDB) et donc de la notoriété de la marque, et serait condamné à gagner sa vie sur les services, alors que MySQL proposait aussi des outils associés vendus sous licence propriétaire. C'est pourquoi, explique-t-il, personne n'a concurrencé MySQL avec un 'fork', et pourquoi Sun a dépensé un milliard de dollars pour racheter un éditeur Open Source. « MySQL doit être cédé à une tierce partie ou publié sous licence Apache » A l'inverse, dit-il, une licence plus permissive que la GPL, telle qu'une licence Apache, permettrait vraiment à l'écosystème de se maintenir. On peut bien sûr objecter à Monty Widenius qu'il a lui-même choisi la GPL au départ. Mais les circonstances ont changé, dans la mesure où Oracle réalise la majeure partie de ses astronomiques bénéfices avec sa base de données. Quel intérêt aurait-il à promouvoir MySQL, interrogeait Monty Widenius dans un entretien publié le mois dernier sur LeMondeInformatique.fr. La pétition laisse les gens libres de choisir une ou plusieurs options permettant d'assurer un meilleur avenir à MySQL. Trois propositions sont formulées : « MySQL doit être cédé à une partie tierce appropriée qui pourra continuer son développement sous les termes de la GPL », ou « Oracle doit s'engager à permettre une exception de linkage pour les logiciels qui utilisent MySQL avec des librairies clientes (pour tous les langages de programmation), pour les greffons et libmysqld. MySQL en lui même reste sous licence GPL », ou encore « Oracle doit publier toutes les versions précédentes et futures de MySQL (jusqu'en décembre 2012) sous la licence Apache Software License 2.0 ou une licence permissive similaire afin que les développeurs de logiciels et de versions dérivées (forks) puissent avoir une flexibilité concernant leur code ». (...)
(28/12/2009 16:46:45)Tribune : la stratégie cloud d'EMC porterait le constructeur vers Cisco et Orange
Invité à la conférence analystes d'EMC le mois dernier, Bernard Dubs, fondateur du BIT Group, livre pour LeMondeInformatique.fr son point de vue sur la stratégie du constructeur. Pour l'analyste, l'avènement du cloud change totalement les perspectives. Alors qu'EMC se rapprochait doucement de HP, estime-t-il, sa stratégie actuelle le porterait plutôt du côté de Cisco. Et pour compléter le trio, la dimension opérateur serait apportée par Orange. A lire sur notre Blog experts. (...)
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