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(26/12/2011 14:17:38)
CES 2012 : Sony montrera une gamme de TV connectée à Internet
Sony a d'ores et déjà publié les bans de son mariage virtuel, le mercredi 11 janvier 2012, entre sa gamme de téléviseurs Bravia et son offre de divertissement Sony Entertainment Network sur un site dédié. Mais le constructeur japonais ne sera pas le seul à présenter ce type de solutions au prochain Consumer Electronics Show (à Las Vegas, du 10 au 13 janvier). Samsung, par exemple, annonce déjà « le futur de la télévision intelligente » tandis que, dans le plus grand secret, Apple travaille à sa propre vision de la TV connectée.
Derrière cette bataille marketing se cache un enjeu de taille, réussir à s'imposer sur un secteur encore naissant mais qui s'annonce comme l'avenir de la télévision, mélange de programmes à la demande et d'interaction entre téléspectateurs.
Une étude récente de Dotscreen et de CCM Benchmark laissait apparaitre une forte attente des consommateurs afin de pouvoir interagir, de manière synchronisée, aux programmes télévisés, par le biais des réseaux sociaux par exemple. Aux constructeurs de répondre maintenant à ces désirs.
Parallèlement, ce matin, Sony a annoncé qu'il se désengageait de S-LCD, la co-entreprise de fabrications d'écrans TV LCD qu'il avait créée en 2004 avec Samsung Electronics mais qu'il continuerait d'acheter des écrans TV à ce dernier.
Plus de stand ni de keynote Microsoft sur le CES après janvier 2012
Sur le programme du CES 2012, le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, figure en tête des dirigeants qui interviendront en session plénière lors du traditionnel salon électronique grand public qui se tient chaque année à Las Vegas en janvier (du 10 au 13 cette année). Mais ce devrait être la dernière fois. De même, l'éditeur a annoncé qu'il n'aurait plus de stand sur le Consumer Electronics Show (CES) après cette édition 2012. Dans un billet de blog, Frank Shaw, vice-président de Microsoft, responsable de la communication pour la société, explique que les annonces de produits du groupe américain sont en décalage avec les dates choisies pour le salon.
Compte tenu de tous les nouveaux canaux de présentation de ses produits grand public (annonces spécifiques, événements particuliers comme le récent Big Windows Phone, boutiques, site web, espaces Facebook et fil Twitter), l'éditeur de Windows a jugé que c'était le bon moment pour effectuer cette transition, peut-on lire sur blogs.technet.com.
Après presque vingt ans de collaboration avec la Consumer Electronics Association (CEA), Microsoft continuera à participer au CES, poursuit Frank Shaw, en considérant le salon comme un endroit important pour entrer en contact avec les partenaires et les clients des industries du PC, du téléphone et des loisirs. « Mais nous ne tiendrons plus de keynote ni de stand après cette année parce que les grandes étapes de nos nouveautés produits ne s'alignent généralement pas avec la programmation de l'événement en janvier ».
Sony revend à Samsung ses parts de leur co-entreprise S-LCD
Le groupe japonais Sony a annoncé aujourd'hui qu'il allait vendre l'ensemble des parts qu'il détient dans S-LCD, la co-entreprise de fabrication d'écrans LCD qu'il a créée avec le Sud-coréen Samsung Electronics. Ce dernier va racheter celles-ci pour 1,08 million de wons, soit environ 934 millions de dollars.
Les deux groupes ont signé un accord suivant lequel Samsung va transformer la société S-LCD en une filiale à 100% qui continuera à fournir des écrans pour l'activité TV de Sony. Cette co-entreprise, basée en Corée, avait été établie en 2004, Sony détenant un peu moins de 50% des parts. Cette décision intervient alors que le groupe japonais, installé à Tokyo, fait face à d'importantes pertes sur le marché des téléviseurs. En novembre, il a indiqué qu'il s'attendait à perdre plus d'un milliard de dollars sur son année fiscale en cours, d'ici avril (des prévisions actuellement recalculées en fonction des ventes).
Interconnecter smartphones, tablettes, notebooks et TV
« Cette transaction va permettre à Sony d'acquérir les dalles LCD auprès de Samsung Electronics sur une base stable en s'appuyant sur les prix du marché, sans avoir la responsabilité ni les coûts relatifs à l'exploitation d'une usine », a indiqué le groupe japonais dans un communiqué de presse.
Comme ses concurrents nationaux, Sony s'est longtemps démené pour faire de sa division TV une activité rentable face à la compétition internationale de rivaux tels que Samsung et Vizio (aux Etats-Unis), mais ses dirigeants ont régulièrement dit qu'ils n'abandonneraient pas le produit. Le dernier plan en date se concentre sur une rentabilité basée sur le nombre d'exemplaires vendus, les dalles étant acquises chez des fabricants à l'étranger.
Sony décrit en quatre pans sa stratégie en matière d'écrans, qui consiste à offrir du contenu et à interconnecter les smartphones, les ordinateurs portables, les tablettes numériques et les téléviseurs. La société a annoncé en octobre qu'elle allait racheter les 50% détenus par Ericsson dans leur co-entreprise engagée sur les téléphones mobiles, afin de mieux intégrer les smartphones dans ses lignes de produits.
Google+ aurait 150 millions d'utilisateurs selon GlobalWebIndex
Le cabinet GlobalWebIndex vient d'évaluer à plus de 150 millions le nombre d'utilisateurs actifs de Google+, six mois seulement après son lancement. Cela en ferait, dans la catégorie des médias sociaux, le troisième site le plus populaire au monde, après Facebook et le site de micro-blogging chinois Sina Weibo.
GlobalWebIndex a recoupé différents indices et estimations pour obtenir ce chiffre symbolique. Google+ serait avant tout un succès international, puisque seulement 10% de ses utilisateurs se trouveraient situés aux Etats-Unis.
Les efforts de Google pour gagner de nouveaux abonnés semblent donc payer. Le réseau social est désormais compatible avec l'ensemble des plateformes mobiles et dispose même d'une application dédiée sur l'App Store et l'Android Market. Il est aussi totalement intégré dans la majorité des services Google les plus populaires (Gmail, YouTube, Picasa, etc.).
(...)(23/12/2011 16:11:29)Google pourrait verser 300 M$ par an à Mozilla
Google versera à la fondation Mozilla près de 300 millions de dollars par an pour intégrer son moteur de recherche par défaut dans Firefox, a indiqué AllThingsD, un blog géré par l'éditeur du Wall Street Journal. Mardi dernier, les deux firmes avaient annoncé la reconduction de leur accord commercial pour que Google reste le moteur de recherche par défaut de Firefox pendant encore trois ans. À l'époque, Mozilla s'était réjoui d'avoir négocié « un accord significatif et mutuellement bénéfique en termes de revenus avec Google ». Les
deux protagonistes avaient refusé d'apporter des renseignements supplémentaires au sujet de leur partenariat, en invoquant des « exigences de confidentialité ».
Reste qu'aujourd'hui, Kara Swisher, rédactrice en chef adjointe d' AllThingsD, a déclaré, en citant une source anonyme, que selon l'accord, Google verserait un peu moins de 300 millions de dollars par an à Mozilla. Elle a également indiqué que Microsoft et Yahoo avaient fait monter les enchères.
Des revenus en nette hausse
Si les sources de Kara Swisher disent vrai, les, 300 millions de dollars représenteront presque le triple de ce que Google a versé à Mozilla en 2010.L'an dernier, les versements de firme de Moutain View ont représenté 84% du total des revenus de la Fondation soit 103 millions de dollars. En 2009, la fourchette se situait à 89 millions de dollars, ce qui représentait 86% des revenus de Mozilla,
La totalité des sommes allouées à Mozilla pendant les années 2008-2010 se sont montées à 260 millions de dollars, soit 40 millions de dollars de moins que ce que la Fondation recevra en un an, selon les termes du nouveau contrat. L'éditeur Open Source et la firme de Moutain View se sont refusés à tout commentaire et n'ont pas souhaité s'exprimer sur les détails de leur partenariat.
(...)
Free privé de licence mobile 4 G
L'Arcep a publié, jeudi 22 décembre, ses résultats concernant la procédure d'attribution des fréquences destinées au déploiement du réseau mobile à très haut débit (4G, pour "quatrième génération"). Des franchises seront attribuées à Bouygues Telecom, Orange et SFR. L'offre de Free n'a pas été retenue.
L'Autorité de régulation a conduit sa sélection sur la base des trois critères prévus par l'appel à candidatures : l'engagement d'aménagement du territoire, l'engagement d'accueil des opérateurs mobiles virtuels (MVNO) et le montant financier proposé pour les fréquences.
Elle procédera début janvier à la délivrance des autorisations d'utilisation de fréquences dans la bande 800 MHz aux lauréats de la procédure.
Free Mobile bénéficiera d'un droit à l'itinérance dans la bande 800 MHz en zone de déploiement prioritaire.
(...)
L'iPhone d'Apple perd des parts de marché en Europe
Le cabinet Kantar Worldpanel ComTech publie une étude sur les positions commerciales de l'iPhone. Le petit bijou d'Apple partage le monde en deux. D'un côté, les pays où il progresse. Les Etats-Unis (où il est passé de 25% à 36% entre la période septembre/novembre 2010 et la même période de 2011), la Grande-Bretagne (passé de 21 à 31% entre les deux mêmes périodes).
De l'autre côté, les pays où l'iPhone subit la concurrence, en particulier celle du Galaxy S II de Samsung. Là, se retrouvent la France (recul de 29 à 20%), l'Allemagne (de 27 à 22), l'Italie et l'Espagne enregistrent le même phénomène. « Le marché français montre des signes croissants de guerre des prix », note Dominic Sunnebo du cabinet Kantar. (...)
IDC prédit les grandes orientations IT 2012 pour le secteur public
Dans cette période de crise et de réduction drastique des budgets publics, chacun se demande si les budgets IT du secteur public survivront. Tous les gouvernements avaient engagé des programmes (santé, éducation, administration, haut débit) en vue de rendre leurs services plus performants et moins couteux. Qu'en restera-t-il en 2012 ? IDC a tenté sur le sujet, dix prédictions :
- L'augmentation spectaculaire de l'utilisation par les services gouvernementaux du cloud privé.- La perception d'un faible coût et une flexibilité accrue entraînera un intérêt plus élevés des gouvernements pour l'utilisation de logiciels Open Source.
- Avec l'austérité, il y aura une augmentation marquée de la mutualisation des services à travers toutes les organisations du secteur public et les ministères.- La virtualisation et la consolidation sont désormais considérées comme des clés pour l'utilisation optimisée des ressources et la réduction des coûts (réduction du nombre de serveurs et de centres de données).
- L'intérêt pour le BPO va augmenter au sein des gouvernements en Europe, en particulier s'il y a des économies évidentes à faire.- Les gouvernements continueront à revoir les règles de mise en service des TIC et des services associés, y compris leur mode de financement innovant.
- Finies les dépenses du secteur publique inappropriées, en 2012 on verra davantage de contrats basés sur des priorité et des résultats mesurables.- L'utilisation du cloud computing demandera de consacrer du temps à l'examen des termes et conditions de service, afin de s'assurer que ces services sont correctement couverts.
- Les volumes d'informations numériques vont continuer à croître, de telle manière que les investissements gouvernementaux devront se porter sur la gestion et la sécurisation de ces données.- Les gouvernements vont élaborer des plans permettant un accès facile et l'analyse des données et des contenus. (...)(23/12/2011 09:37:50)
Luc Damman devient directeur de HP Software France
Luc Dammann devient Directeur de HP Software pour la France. Il remplace Bruno Buffenoir, promu directeur général des ventes grands comptes.
Luc Dammann était déjà directeur commercial au sein de HP Software. Il fut également directeur des ventes alliances et channel. C'est un ancien de Peregrine Systems, rachetée par HP en 2006, d'ATG (directeur alliances), de People Soft (directeur channel), et... de HP, où il fut responsable de comptes en 1996.
Luc Dammann est diplômé d'Audencia, l'Ecole de Mangement de Nantes et titulaire d'un MBA, obtenu à l'université de Laval au Canada. (...)
Défi H : Tremplin accorde handicap et études supérieures
L'association Tremplin Entreprises a vocation à guider les étudiants handicapés vers leur insertion professionnelle. Elle est soutenue par un réseau de près de 180 partenaires et administrée par cinq d'entre eux, dont IBM et Capgemini (*). « Nous avons, en fait, un double rôle qui consiste à accompagner les étudiants vers les entreprises, mais aussi à aider celles-ci à accueillir les jeunes », explique Christian Grapin, directeur de Tremplin. L'objet de notre création, avant même de parler de l'intégration dans l'emploi, c'est l'accès aux études. Il faut que les personnes acquièrent les niveaux de qualification demandés ».
Pour que les entreprises puissent répondre à l'obligation d'emploi qui leur est faite, elles doivent pouvoir trouver les profils qu'elles recherchent, souligne le responsable. Or, le manque de qualification les pénalise et notamment dans le secteur IT, en quête de diplômés de niveau Bac+2 et au-delà. « Tremplin veut y remédier en encourageant les jeunes à aller vers les études supérieures », pointe Christian Grapin.
S'orienter, communiquer, se former
L'association Tremplin est, avec l'Adapt, partenaire du Défi H, élaboré par Sogeti avec Le Monde Informatique. Dans le cadre de ce 1er Trophée des Grandes Ecoles et Universités au service du handicap, sept équipes d'étudiants concourent autour d'innovations technologiques facilitant l'insertion professionnelle des personnes handicapées. Chaque groupe est accompagné par un coach Sogeti et par une association. Tremplin soutient le dossier SimpaH, présenté par l'équipe de la MIAGE de Grenoble (**). L'objectif est ici de développer une application pour tablette qui aidera les étudiants en situation de handicap moteur et visuel à disposer des informations pour s'orienter, communiquer et se former (supports de cours, suggestion d'itinéraires adaptés ...).
Dans ce projet, « il ne s'agit pas de maintien dans l'emploi mais d'accès aux études supérieures. Une solution informatisée pour le faciliter, c'est excessivement utile », apprécie Christian Grapin. « Les étudiants utilisent beaucoup l'ordinateur. Encore faut-il qu'ils aient accès aux discours du professeur, s'ils ont une déficience auditive par exemple, ou à ce qui est projeté, s'ils ont une déficience visuelle, ou encore aux bâtiments. »
Le déficit de qualifications parmi les personnes handicapées s'explique non seulement par la difficulté à disposer d'équipements adaptés (le coût des outils représente un obstacle majeur pour certains), mais aussi parce que les jeunes s'autocensurent. Il arrive également que leurs proches les découragent en craignant que les études supérieures ne représentent un parcours trop difficile à surmonter, regrette le directeur de Tremplin. Il rappelle qu'environ 80% des personnes handicapées en âge de travailler, en poste ou à la recherche d'un emploi, ont un niveau inférieur au baccalauréat.
Jusqu'au niveau Bac+5
Sur une année, Tremplin accompagne durablement de 300 à 350 jeunes dans leur cursus d'étude et suit leur entrée dans le monde professionnel. Cela se traduit par plus de 760 actions menées en entreprise : parfois de simples rencontres ou des stages, des jobs d'étudiants, de l'alternance et jusqu'au premier emploi. « Nous les aidons à développer leur niveau de qualification si un métier les intéresse et que leur handicap ne représente pas un obstacle rédhibitoire pour l'exercer. Il arrive que ce ne soit pas possible », indique Christian Grapin. Parmi les jeunes suivis par Tremplin ayant un bac ou allant le passer, « certains ressortent définitivement de l'accompagnement avec un niveau Bac+5 ». Le dirigeant évoque le cas récent d'un jeune homme, détenteur d'un bac S, qui a choisi les carrières de l'informatique à dominante scientifique, un handicap moteur l'empêchant, d'après ses expériences, de s'orienter vers des métiers en laboratoire. « Il s'agit là d'une stratégie professionnelle orientée par le handicap ».
Tremplin a un double rôle. Il lui faut aussi mobiliser les acteurs de l'entreprise (managers, tuteurs, équipes de travail) pour qu'ils accueillent les jeunes et mettent le handicap à sa juste place. Les métiers évoluent techniquement. Ce qui pouvait être pour les personnes handicapées une réelle limite à leur pratique ne l'est parfois plus grâce à l'avancée de la technologie, comme en médecine, avec les capacités d'intervention à distance et de visualisation avancées. Au passage, le dirigeant évoque aussi d'autres solutions informatiques adaptées au monde de l'entreprise, présentées notamment par IBM, telles qu'un clavier pour les personnes ne pouvant utiliser qu'une seule main. Ou encore la plateforme Tadeo qui met en relation collaborateurs sourds ou malentendants avec des interlocuteurs qui entendent, notamment par l'intermédiaire d'un opérateur connaissant le langage des signes.
Utiliser l'informatique pour les études supérieures, puis accéder au système d'information avec des outils adaptés, peut faire évoluer l'insertion professionnelle des personnes handicapées. « Souvent, s'intéresser à l'amont permet de régler, voire d'éliminer, les problèmes en aval », rappelle Christian Grapin.
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