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(23/12/2011 15:28:26)
Rhodia dématérialise ses factures entrantes avec ReadSoft
Le groupe chimique Rhodia, désormais membre du groupe Solvay, est présent dans plus de 30 pays. Il doit traiter chaque année 700 000 factures entrantes dans le monde. Cette activité ne génère en elle-même aucune valeur et doit donc être optimisée.
Rhodia a souhaité améliorer le partage de l'information comptable entre les différents collaborateurs concernés par chaque facture, disposer d'un suivi précis et temps réel des factures et intégrer plus aisément les factures papier à son PGI SAP. Une solution identifiée a été de mettre en place une dématérialisation des factures entrantes et leur intégration à un workflow.
Une solution compatible avec les exigences américaines
En 2007, Rhodia lance donc un appel d'offres pour se doter d'une solution adéquate aux Etats-Unis. Ce pays est en effet très demandeur de traçabilité des opérations, bénéfice collatéral d'une dématérialisation des factures. La solution mise en place a ensuite été déployée, avec quelques adaptations et en moins de cinq mois, en Europe (France, Allemagne, Italie, Espagne, Royaume-Uni).
En l'occurrence, Rhodia a choisi les solutions de Readsoft. Les factures sont tout d'abord scannées et injectées dans SAP via Invoices Cockpit qui extrait les informations pertinentes et en vérifie les éléments significatifs (SIRET...) avant d'assurer le rapprochement avec les bons de commande de SAP. Le cas échéant, les factures ne pouvant pas être rapprochées sont injectées dans un workflow d'approbation géré dans l'outil Web Cycle. Les fournisseurs peuvent suivre le traitement de leurs factures au travers du portail géré grâce à Web Board. Enfin, l'ensemble est supervisé grâce à Reporter.
Le coût du projet n'a pas été spécifié.
Akamai rachète Cotendo, spécialiste du CDN
Le marché du CDN (Content Delivery Network) se consolide avec l'annonce du rachat de Cotendo par Akamai pour un montant de 268 millions d'euros. Il s'agit de la confirmation d'une rumeur lancée à la fin du mois de novembre. Aujourd'hui, la plate-forme de mise en cache d'Akamai est utilisée pour accélérer de 15 à 30% du trafic web mondial. L'acquisition de Cotendo lui permettra d'offrir des services aux entreprises qui migrent vers le cloud et cherchent à rendre disponibles leurs applications sur les terminaux mobiles. Par exemple, la solution CDN mobile de Cotendo prend en compte les capacités des terminaux (y compris la taille de l'écran), l'évolution des conditions du réseau et des données de géolocalisation pour adapter aux mieux l'acheminement du trafic. La société propose également la plateforme Cloudlet, qui est utilisée pour optimiser le trafic cloud.
Akamai n'a pas fourni de détails sur la future intégration de la technologie Cotendo dans ses offres existantes, ni sur l'avenir des produits de Cotendo.
Cotendo a été fondée en 2008 et est basée à Sunnyvale, en Californie, avec un centre technologique en Israël. La société compte environ 100 employés, dont plus de 50 sont basés en Israël. L'acquisition devrait être finalisée au premier semestre de 2012.
Dassault Systèmes quitte le projet de cloud français Andromède
La création d'un cloud souverain français, baptisé Andromède, subit quelques turbulences. Le quotidien économique, La Tribune, a indiqué que Dassault Systèmes a décidé de se retirer du consortium en charge de la construction de ce cloud made in France. Un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et des partenaires privés FranceTelecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes avait été signé en août dernier. A l'époque, Cap Gemini s'était retiré du projet. Les causes du retrait de Dassault Systèmes porteraient selon le journal économique sur la durée d'une clause de non-concurrence que Dassault Systèmes souhaitait la plus longue possible. Orange préférait raccourcir au maximum cette durée pour promouvoir ses propres offres clouds. Le nom des futurs dirigeants et les tarifs proposés par Orange sur les contrats d'hébergement des salles blanches » ont été d'autres sujets d'achoppements.
A la recherche d'un autre partenaire
Avec le retrait de Dassault Systèmes, l'Etat et les autres partenaires privés Orange et Thalès vont être obligés de chercher un nouveau partenaire pour le projet Andromède. Sur le plan budgétaire, l'Etat via la Caisse des Dépôts apporte 135 millions d'euros au titre du Grand Emprunt, Thalès contribue à hauteur de 30 millions d'euros, Orange et Dassault Systèmes devaient y consacrer 60 millions d'euros chacun. L'Etat va tenter de jouer les médiateurs pour faire changer d'avis le fournisseur de services et chercher d'autres acteurs intéressés par le projet. La Tribune parle d'Atos ou de Cap Gemini. A suivre...
Imation acquiert la technologie de déduplication de Nine Technology
Imation, qui propose des bandes, de disques durs, de lecteurs flash, etc. a annoncé l'acquisition de propriétés intellectuelles et d'autres ressources de la société Nine Technology, spécialisée dans la sauvegarde. Celle-ci dispose d'une technologie brevetée de déduplication en deux étapes au niveau des blocs. La dédup élimine les données redondantes, ce qui permet des temps de sauvegarde plus courts, une restauration plus rapide et des coûts d'infrastructure plus faibles. Cette technologie a été à l'origine de quelques rachats ces dernières années comme Data Domain racheté en 2009 par EMC et Ocarina Networks acquis en 2010 par Dell.
Imation a déclaré que Nine Technology gardera son autonomie pour fournir des services de protection des données. . « L'acquisition par Imation de cette technologie de déduplication représente une étape majeure dans notre stratégie de croissance de stockage évolutive » évoque dans un communiqué Ian Williams, vice-président en charge de la gestion produits et marketing international chez Imation ».
Les conditions financières du contrat n'ont pas été divulguées
La régie publicitaire de Ouest-France passe au cloud avec SFR
Précom est la régie publicitaire et le gestionnaire de services web pour sa maison-mère, le groupe de presse Sipa / Ouest-France. Ce groupe souhaitait optimiser ses infrastructures web tout en bénéficiant d'un meilleur niveau de service et de pilotage.
Après consultation du marché, le groupe a choisi l'offre de IaaS (Infrastructure as a Service) de SFR Business Team pour une durée de trois ans. Ce IaaS hébergera les sites web de consultation et d'information, les services e-commerce, les sites d'échanges de données et la plate-forme de développement destinée aux informaticiens internes du groupe Ouest-France.
Maîtrise du budget et évolutivité
Précom a opté pour une trentaine de serveurs virtuels redondés dans le cadre d'une architecture sécurisée afin de valider le PRA. Il bénéficie d'un extranet lui permettant de suivre en temps réel les performances de l'infrastructure externalisée (réseau, serveurs, applications). Le choix du IaaS implique que le fournisseur assure la maîtrise d'oeuvre globale, la supervision technique et applicative, la sécurité et le pilotage du projet.
Parmi les critères de choix, Précom a apprécié, outre la maîtrise du budget, un accompagnement opérationnel constant dès la consultation et la mise à disposition d'un conseiller technique pour suivre sa plate-forme et conseiller le groupe dans son évolution.
Le montant du contrat et le coût de la migration n'ont pas été dévoilés.
Le Calvados et le Vaucluse s'engagent dans la fibre optique
Deux conseils généraux viennent de décider de déployer leur RIP : le Calvados et le Vaucluse. Le Calvados engage une DSP sur 25 ans pour déployer une fibre optique en très haut débit. Les travaux débuteront au 1er trimestre 2012. 40 000 prises seront installées en 2012. En 4 ans, 74% de la population sera couverte.
C'est la société Tutor qui va déployer ce réseau. Basée à Amiens, elle a déjà piloté les projets de la Somme, du Grand Nancy, du Cher et une partie de celui du Sipperec. Le budget du Calvados porte sur 169 millions d'euros, dont 65 venus du département, de la région, de l'Etat et du Feder. Le reste sera financé par les clients.
15ème RIP pour le duo ETDE / Axione
Le Vaucluse vient d'engager une DSP pour desservir en fibre optique les points stratégiques du département : 94 zones d'activité, 258 établissements scolaires ou de santé et 13 centraux téléphoniques. L'infrastructure sera déployée en 24 mois. Un autre plan permettra ensuite de raccorder 47 000 foyers.
C'est le duo ETDE / Axione (groupe Bouygues) qui assurera ce déploiement. C'est le 15ème RIP à leur actif.
Ces deux projets concernent l'infrastructure réseau et l'installation de DSP, ensuite des opérateurs de services viendront proposer leurs offres pour les abonnés, particuliers, professionnels ou entreprises.
Pas de crise pour le marché du logiciel de gestion de systèmes selon IDC
Ce marché compte lui-même plusieurs composantes. Pour IDC, deux segments ont manifesté une plus grande performance que les autres, celui du changement et de la gestion de configuration (CCM) et celui de l'ordonnancement de la charge de travail et son automatisation (WSA). Le marché de la gestion des événements s'est également très bien comporté, alimenté de manière significative par les Etats-Unis, le Japon et la région CEMA (europe centre et orientale).
Selon Tim Grieser, vice-président du programme Enterprise Management System chez IDC, « la croissance a été alimentée par l'augmentation des dépenses informatiques, en raison de la poursuite de la reprise économique, et le rafraîchissement des cycles de mise à niveau du matériel associé. De nouveaux investissements se sont produits dans la gestion des infrastructures virtualisées. L'automatisation opérée pour simplifier et optimiser les coûts opérationnels a été un facteur clé. »
Les leaders gardent leur spécificité
IBM, BMC et HP tiennent les trois premières places en termes de chiffre d'affaires au 1er semestre, mais aucun n'a été capable de générer une croissance dépassant la moyenne du marché. IBM et BMC ont affiché une croissance solide dans le marché WSA (ordonnancement de la charge de travail) tandis que HP a atteint ses meilleurs gains en CCM (changement et gestion de configuration).
En attendant, un certain nombre de fournisseurs, dont Microsoft, Hitachi, NEC, VMWare, Symantec et Dell, a connu une croissance supérieure à la moyenne au 1er semestre. Microsoft, NEC et VMware ont bien performé dans tous les marchés du logiciel de gestion du système où ils sont en concurrence. IDC a également observé qu'un total de 14 fournisseurs a réalisé un chiffre de plus de 100 millions de dollars au 1er semestre. Le nouveau venu étant Citrix, qui avait une forte croissance, en particulier dans le CCM, son principal marché.
Trimestriels Oracle : Une croissance plombée par les ventes de matériels
Le chiffre d'affaires augmente de 2% pour atteindre 8,8 milliards de dollars au deuxième trimestre (clos le 30 novembre). Le bénéfice opérationnel d'Oracle a progressé de 17% à 2,2 milliards de dollars avec des ventes de logiciels en hausse, mais la partie matérielle est en baisse.
Les revenus issus des licences logicielles d'Oracle, qui sont considérés comme un indicateur clé sur la croissance et le comportement d'achat des clients, ont augmenté de 2% pour atteindre 2 milliards de dollars. Les mises à jour de licence logicielle et de support produit ont augmenté de 9 % pour atteindre 4 milliards de dollars. L'activité matériels et systèmes a vu ses revenus chuter de 14 % à 953 millions de dollars. La firme de Redwood a pris le parti de favoriser le déploiement de systèmes tout en un comme Exadata couplant base de données et serveurs. Elle estime in fine que cela sera plus rentable à terme. « Les ventes de nos systèmes complets se sont accélérés au T2, » précise le PDG d'Oracle Larry Ellison et d'ajouter « la croissance a sur Exadata a été supérieure à 100% par rapport à l'année dernière et les ventes d'Exalogic ont augmenté de plus de 100% sur une base séquentielle. » Par contre il a abaissé ses prévisions de ventes de ces systèmes en ne parlant plus d'un triplement, mais d'une multiplication des ventes par 2,5. Les analystes financiers n'ont pas apprécié cette sous-estimation.
Selon, la co-présidente d'Oracle Safra Catz, les ventes de matériel au cours du trimestre ont été affectées par une transition vers des systèmes basés sur les puces SPARC T4, qui ont été lancés au cours du trimestre. « Les clients ont pris le temps d'évaluer les nouveaux systèmes, ce qui a considérablement ralenti les décisions d'achat » a -t-elle indiqué lors d'une conférence téléphonique.
(...)
Apple aurait bien acquis Anobit, spécialiste du stockage Flash
Les informations publiées la semaine dernière par Calcalist, quotidien économique hébreu, sur l'acquisition d'Anobit par Apple semble se concrétiser. Les employés de la société israelienne auraient été informés de la revente selon le journal. Ce dernier évoque toujours la somme de 400 à 500 millions de dollars pour l'opération, soit la plus grosse acquisition de la firme de Cupertino depuis le rachat en 1997 de NeXT fondée par Steve Jobs. Cette information serait corroborée par un tweet du Premier Ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui souhaite « la bienvenue à Apple pour sa première acquisition. Je suis certain que vous bénéficierez du savoir-faire israélien ». Selon le quotidien économique, l'acquisition d'Apple comprendrait également la création d'un centre de R&D en Israël. Il reste maintenant à attendre les communications officielles des deux protagonistes qui ne devraient plus tarder.
La mémoire flash un enjeu stratégique
Anobit, société israélienne, fondée en 2006, a inventé un circuit spécial, appelé Memory Signal Processor, qui renforce la fiabilité et la longévité des mémoires flash MLC Nand, à travers un algorithme de correction d'erreurs. Son produit s'adresse aux tablettes et aux smartphones pour améliorer la performance de la mémoire flash. Avec cette acquisition, Apple mettra aussi la main sur un portefeuille de 25 brevets validés (sur 91 au total). Anobit propose également des disques SSD baptisés Genesis.
La fiabilité et la performance des disques SSD vont devenir un enjeu important pour les prochaines années. Plusieurs cabinets d'analystes estiment que le prix de ces supports va baisser et que la demande en la matière va croître fortement, aussi bien pour un usage personnel que professionnel. Apple a donc tout intérêt à se positionner sur ce marché avec un acteur doté d'une bonne technologie.
Google et SAP prêts à coupler Apps et Business ByDesign
Le projet actuel de SAP est de livrer une version intégrée entre sa suite ERP (Enterprise Resource Planning) à la demande Business ByDesign et les Google Apps, dès le troisième trimestre 2012. « Cette intégration se fera en même temps que la mise à jour du pack de fonctionnalités de ByDesign, » a déclaré Bernd-Uwe Pagel, vice-président senior de l'externalisation et de l'écosystème des services à la demande chez SAP, lors d'une conférence téléphonique avec la presse et les analystes.
Business ByDesign est vendu par abonnement, comme le sont les Google Apps, et les clients auront besoin d'acheter une licence pour les deux produits afin de profiter de l'intégration. On ne sait pas très bien encore si les clients de ByDesign devront payer des frais supplémentaires pour l'activer. « Je ne prévois pas de surcoût, » a cependant laissé entendre Bernd-Uwe Page. « SAP a longtemps travaillé avec Microsoft pour intégrer Office avec ses applications ERP, et cela ne changera pas, » a précisé le vice-président. « Nous prenons en compte les demandes émanant de nos clients, et les Google Apps sont de très bonnes applications. Nous pensons donc qu'il y a lieu d'établir ici des règles du jeu équitables en matière de concurrence. »
Un travail d'intégration nécessaire
« Un certain nombre de clients travaillent déjà sur l'intégration avec SAP et Google, » a précisé Bernd-Uwe Pagel. Les API de Google pour la famille des Apps sont au point, mais SAP voudrait imbriquer le logiciel dans les flux de traitement de ByDesign, ce qui va demander un certain temps, » a t-il ajouté. « Par exemple, l'intégration pourrait permettre à un utilisateur de ByDesign de prendre rendez-vous dans le module de la suite CRM, et retrouver cette entrée dans Google Agenda, » a expliqué Bernd-Uwe Pagel.
SAP a également « élevé différentes plates-formes de Google au rang de standard, » à savoir l'OS mobile Android et l'offre PaaS App Engine, comme l'a indiqué le vice-président de SAP. Notamment, les développeurs pourront développer des applications avec l'App Engine et les relier à ByDesign, ce qui contribuera à élargir l'écosystème de l'ERP de SAP, qui repose pour l'instant sur le seul kit de développement (SDK) logiciel propre à l'éditeur.
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« La version intégrée des Apps et de ByDesign sera accessible en France, aux États-Unis et au Royaume-Uni pendant la phase de test, mais la formule sera ensuite étendue à d'autres pays, » a confié Bernd-Uwe Pagel. « SAP a également l'intention de généraliser cette intégration à la famille, toujours plus nombreuse, d'applications métiers à-la-demande de l'éditeur, » a-t-il ajouté.
Des précisions sur les revendeurs et sur l'exclusivité du partenariat
SAP et Google aimeraient également encourager leurs revendeurs respectifs à distribuer les produits de chaque éditeur. Mais tous les détails et la portée de ce projet restent encore à préciser. « Aujourd'hui, les nombreux revendeurs proposant les Google Apps, vendent, de fait, des systèmes ERP, » a déclaré Rahul Sood, directeur de la gestion des produits chez Google. « Nous espérons que les revendeurs de SAP sauront saisir cette occasion pour ajouter les Google Apps à leur portefeuille. » SAP espère travailler « avec 10 à 15 revendeurs Google dès le premier semestre 2012, » a encore indiqué le vice-président de SAP.
Le partenariat envisagé pourrait permettre un rapprochement entre Google et SAP, mais on ne sait pas très bien si leurs accords seront ou non exclusifs. D'une part, Google est déjà engagé dans un gros partenariat avec Salesforce.com, lui-même devenu dernièrement un concurrent de SAP. Par ailleurs, Salesforce.com, qui a récemment annoncé l'acquisition de la startup Rypple, pourrait développer un département de logiciels dédiés aux ressources humaines. Cette acquisition est intervenue peu après l'achat par SAP du fournisseur de solutions RH SuccessFactors pour 3,4 milliards de dollars.
Reste que le rapprochement entre SAP et Google n'est pas incongru, compte tenu des fortes possibilités de ventes croisées qu'il laisse entrevoir. Selon SAP, son portefeuille client compte près de 88 000 PME, et selon Google, 4 millions d'entreprises utilisent ses Apps.
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