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(12/10/2009 16:21:50)

Bill Gates et Larry Ellison toujours dans le trio de tête des plus grandes fortunes américaines, selon Forbes

La fortune de Bill Gates a fondu de 7 Md$, celle de Larry Ellison stagne... La crise frappe tout le monde. Mais le classement des plus grandes fortunes américaines réalisé par le magazine Forbes apporte un élément rassurant : le fondateur de Microsoft (qui pèse 50 Md$) et le fondateur d'Oracle (27 Md$) restent respectivement à la première et la troisième place. Dans l'ensemble, les grands patrons de l'informatique se maintiennent à un niveau plus qu'honorable : ils sont 7 dans le top 20. Sergey Brin et Larry Page, les fondateurs de Google, se classent 11e ex-aequo avec 15,3 Md$. Michael Dell, Steve Ballmer et Paul Allen, qui précédaient les deux jeunes hommes, sont un peu descendus dans le classement. Le fondateur de Dell est désormais 13e, avec 14,5 Md$, le patron de Microsoft est en 14e place (13,3 Md$) et le cofondateur de Microsoft est passé de la 12e à la 17e place (11,5 Md$). Steve Jobs et Eric Schmidt dépassent à peine les 5 milliards de dollars Parmi le top 50, on trouve aussi Jeff Bezos, fondateur d'Amazon 28e (8,8 Md$), James Goodnight, fondateur de SAS Institute, 33e (6,8 Md$), Pierre Omidyar, fondateur d'eBay, 40e ex-aequo avec Eric Schmidt, patron de Google (5,5 Md$) et Steve Jobs 43e (5,1 Md$). Au-delà, arrivent deux figures quasi-légendaires : Gordon Moore, cofondateur d'Intel, 80e (3,7 Md$), et Ross Perot, fondateur d'EDS et de Perot Systems, 85e (3,5 Md$). De la centième place à la deux-centième place, on trouve encore les cofondateurs de Kingston Technology, David Sun et John Tu, 123es ex-aequo (2,5 Md$), la famille des fondateurs du distributeur Ingram, 158e (2 Md$), ex-aequo avec le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg. Du côté des financiers, si Warren Buffet reste deuxième du classement avec ses 40 Md$, on pourra aussi noter que Carl Icahn (l'actionnaire qui a fait parler de lui dans le rachat de BEA par Oracle, ou pendant les négociations Yahoo/Microsoft) est 22e (10,5 Md$), et que le fondateur d'IDG (entreprise qui a lancé Le Monde Informatique, et qui en détient encore 25%) et capital-risqueur Pat McGovern pèse 2,6 Md$, ce qui le place en 118e position du classement. L'année dernière, il pesait 4,1 Md$, et arrivait 89e. (...)

(12/10/2009 15:52:40)

Prodware et Microsoft proposent un ERP en ligne aux TPE/PME, via la P-Box

L'intégrateur de logiciels de gestion Prodware vient de lancer officiellement, sur le salon ERP'2009 (6-8 au Cnit), l'offre hébergée P-box qu'il a réalisée en partenariat avec Microsoft. Une solution à exploiter en ligne, 'comme un service', que les deux partenaires avaient pré-annoncée en juillet dernier. Cette offre s'adresse à des entreprises de 5 à 100 collaborateurs, sans engagement de durée. Elle se décline sur différents domaines fonctionnels, de la suite collaborative à l'ERP en passant par le CRM, en s'appuyant sur les logiciels de Microsoft : la base de données SQL Server, le client léger TSE, la messagerie Exchange, la bureautique Office, les outils de collaboration Communicator, le portail SharePoint Services, l'ERP Dynamics NAV 2009 et la gestion de la relation client Dynamics CRM 4.0. L'une des particularités intéressantes de la P-box, et qui constitue d'ailleurs l'un des paris financiers de Prodware sur cette initiative, est d'inclure le coût du service (mise en route des applications, formation des utilisateurs) dans l'abonnement mensuel proposé. L'ERP est disponible à partir de 1 090 euros pour cinq utilisateurs, le CRM à partir de 890 euros et les outils de collaboration à partir de 590 euros. « Nous visons là un marché complémentaire à notre marché traditionnel », explique Isabelle Saint-Martin, chef produit Microsoft Dynamics de Microsoft France, qui précise que cet engagement au forfait est pré-paramétré pour quatre métiers : le négoce, l'industrie, le service et le BTP. Pour l'instant, seule la version négoce est livrée. Elle s'appuie sur le Pack Trade développé par Prodware. L'offre Industrie est prévue pour octobre, avec une gestion de production pré-paramétrée. En fin d'année, la P-Box Service comportera deux variantes : l'une sera adaptée aux bureaux d'études, à la gestion de projet (ou à l'affaire), l'autre conviendra plutôt aux sociétés de services qui placent des ressources en régie. Quant à la version BTP, elle est prévue pour le premier trimestre 2010. 90% des PME de moins de 50 personnes sont éligibles L'ERP Microsoft Dynamics NAV accessible avec l'offre P-Box est enrichi de bonnes pratiques par métier et il n'est pas bridé, explique-t-on chez Prodware. Mais toutes les problématiques ne sont pas couvertes. Il n'y a pas d'outils de consolidation, ni d'EDI normalisé par exemple. L'intégrateur estime toutefois que 90% des PME de moins de cinquante personnes sont éligibles à son utilisation. Sur le site de la P-box, un questionnaire permet aux PME de vérifier si elles sont concernées par l'offre, suivant leur type d'activité et leur taille. Si c'est le cas, l'entreprise sélectionne ensuite, par modules, les fonctions qu'elle souhaite mettre en marche, créant ainsi, en quelque sorte, son cahier des charges. « Nous livrons les modules préparamétrés », rappelle l'intégrateur. Une première TPE s'est déjà lancée, la tout jeune société française Ultima Displays, créée en juillet 2009. En huit jours, explique Prodware, elle a déployé les fonctions de comptabilité, d'achat/vente, de gestion des stocks et de gestion des emplacements dans le module magasin. Le tout, pour 1 290 euros par mois incluant l'accès à l'ERP Dynamics NAV, aux outils Office et au portail SharePoint. Il convient néanmoins de rappeler qu'il est toujours plus rapide d'installer un progiciel de gestion quand on démarre une activité et qu'il n'y a pas encore d'historique à récupérer. Outre les ventes qu'il effectuera en direct, Prodware compte aussi s'appuyer sur des partenaires qui seront considérés comme des apporteurs d'affaires et toucheront un pourcentage du loyer payé. Ils pourront même proposer des questionnaires à leur nom. Le client pourra rapatrier régulièrement la sauvegarde des données qu'il gère à distance sur un FTP sécurisé. S'il souhaite interrompre son abonnement et récupérer l'historique de ses données sur média, il lui en coûtera le prix d'un loyer. (...)

(12/10/2009 11:53:48)

Google et Bing pourraient exploiter les Tweets des internautes

Selon AllThingsD, le blog technologique du Wall Street Journal, le site de microblogging Twitter serait en négociations séparées avec Google d'une part, et Microsoft d'autre part. Il s'agirait de permettre aux moteurs de recherche Google et Bing des deux éditeurs de remonter les « tweets » (messages de 140 caractères publiés via Twitter) dans les réponses aux requêtes des internautes. Différents scénarios de rémunération du site de microblogging - quelque 54 millions de visiteurs par mois-, sont envisagés, si l'on en croit AllThingsD : un paiement de plusieurs millions de dollars à Twitter et diverses solutions de partage des revenus obtenus grâce aux informations issues de ses Twitts. Reste quelques obstacles de taille, devenus familiers dans le monde du Web 2.0. Pour commencer, ni Twitter, ni Google, ni Microsoft ne semblent s'être interrogés quant à un possible refus des utilisateurs du microblogging de voir leurs publications ainsi exploitées. Et même dans le cas extraordinaire où ils accepteraient d'un même élan, Twitter ne semble aucunement avoir prévu de partager ses gains avec eux. (...)

(09/10/2009 17:04:16)

Visite en photos du nouveau siège de Microsoft France

A l'occasion de l'inauguration du nouveau siège social de Microsoft France, un immeuble design de 34 000 mètres carrés à Issy-les-Moulineaux, LeMondeInformatique.fr vous propose une visite des lieux en images. Bureaux, salles de réunions, datacenter, Microsoft a ouvert ses portes aux appareils photo de la rédaction. Les premières photographies sont disponibles sur le blog, d'autres suivront bientôt. (...)

(09/10/2009 12:40:58)

Tribune : Le patron de Kwaga raconte son Seedcamp, vu de l'intérieur

Du 21 au 25 septembre dernier, s'est tenue à Londres la Seedcamp Week, une semaine qui permet à une vingtaine de start-up de rencontrer des professionnels expérimentés du marché des TIC. « C'est un peu la Star Academy des startups, » plaisante Philippe Laval, PDG et fondateur de Kwaga, qui partage avec LeMondeInformatique.fr, dans une tribune , l'ambiance bouillonnante de la manifestation. En remportant le mini-seedcamp de Paris en février 2009, la jeune pousse avait justement gagné le droit de participer à la grande semaine de Londres. Pour sa troisième édition, cette Seedcamp Week a accueilli 22 jeunes pousses dans la capitale britannique. Près de 400 experts les ont reçus, écoutés, conseillé, etc durant ces journées. Et c'est de l'intérieur que Philippe Laval nous raconte son parcours dans ce chaudron d'innovation. Kwaga ne fait pas partie des sept entreprises gagnantes. Et pourtant... A lire l'enthousiasme et la passion de son patron, on aurait envie de se souvenir que la plupart du temps, l'essentiel est vraiment de participer. Lire la tribune de Philippe Laval (...)

(09/10/2009 12:03:31)

SAP France veut rallier de nouveaux partenaires autour de l'ERP Business ByDesign

Deux ans après son lancement, l'ERP en mode hébergé Business ByDesign de SAP ne compte qu'une dizaine de clients en France. Etonnant, lorsque l'on sait que ce progiciel de gestion intégré destiné aux sociétés de 100 à 500 postes devait représenter de 15 à 20% du chiffre d'affaires réalisée auprès des PME par SAP France en 2008. « Nous avons volontairement limité le nombre d'entreprises qui souscrivent jusqu'ici à notre offre, justifie Ludovic Lapeyre, le responsable de l'offre SAP Business ByDesign pour la filiale française. Cela nous a permis de constituer une base de belles références clients, avec, certes, des ventes réalisées en direct, mais auxquelles nous avons associé des partenaires ». Aujourd'hui, l'éditeur pense avoir suffisamment trouvé ses marques. Il se prépare à entrer dans une nouvelle phase de son offensive commerciale début 2010 en déployant une stratégie de « volume » dans laquelle les partenaires vont jouer un rôle central. Le logiciel fourni « comme un service » ouvre de nouvelles filières de partenaires «Notre objectif est de compter sur un réseau de plusieurs dizaines de prestataires. Nous ne pouvons pas adresser les PME sans leur proposer un réseau de proximité composé d'acteurs locaux ou nationaux présents en région », explique Ludovic Lapeyre. Rien n'empêche évidemment l'éditeur de les trouver dans son réseau de distribution existant. Toutefois, l'absence de prestation d'intégration à réaliser autour de la mise à disposition de son offre en mode SaaS (software as a service) lui ouvre de nouvelles perspectives en terme de cible de revendeurs. « Nous pourrions typiquement nous appuyer sur les experts comptables, indique Ludovic Lapeyre. Ils peuvent parfaitement assurer le paramétrage de l'application et, surtout, mener la conduite du changement qui sont les deux grandes interventions à pratiquer autour de Business ByDesign ». Les éditeurs indépendants constituent une autre des populations visées par SAP pour l'aider à augmenter les souscriptions à son offre hébergée. Par les applications spécifiques qu'ils proposent, ces derniers peuvent permettre à SAP de toucher les clients en misant sur une approche métier. Comme cela semble devenir la règle dans le monde du SaaS, le mode de rétribution que SAP devrait proposer autour de Business ByDesign relève du principe de l'apport d'affaires. Les partenaires devraient percevoir un pourcentage supérieur à 5% pour une souscription annuelle signée par un client, et toucher une nouvelle commission, inférieure à la première, en cas de renouvellement de contrat. (...)

(08/10/2009 17:09:41)

Concours d'innovation : 24 heures chrono pour concrétiser un projet à l'Estia

Il reste quelques jours encore pour s'inscrire au « 24 h de l'Innovation 2009 », troisième édition d'un concours organisé par l'école d'ingénieurs Estia (école supérieure des technologies industrielles avancées, créée en 1985 à l'initiative de la CCI de Bayonne Pays Basque). L'épreuve se déroulera du vendredi 23 octobre à 14 h jusqu'au lendemain à 14 h. En 24 heures 'chrono', des équipes pluridisciplinaires d'élèves ingénieurs et d'étudiants d'écoles de commerce et de designers, mais aussi de professionnels, devront apporter une solution concrète sous forme de produits, logiciels ou services, à des projets qui ont été préalablement soumis par des entreprises, des laboratoires et des inventeurs. Un appel à projets a été lancé à cet effet auprès d'universités, d'associations, de PME et de grands groupes. « De nombreuses idées ont déjà été déposées, confie Jérémy Legardeur, enseignant-chercheur à l'Estia engagé dans l'organisation du concours. Nous devrons sans doute procéder à des arbitrages pour être certain que chaque proposition ait une chance d'avoir une équipe. » Il est encore possible, néanmoins, de soumettre d'autres idées. Quant aux participants, ils peuvent s'inscrire jusqu'au 20 octobre 2009. Un projet en cours d'industrialisation chez Quicksilver Tout étudiant suivant une formation impliquée dans le développement de produits logiciel, mécanique ou électronique est concerné. Les équipes participantes pourront ainsi rassembler des compétences qui couvrent l'informatique, la conception mécanique, l'électronique et l'automatique, tout autant que le design, l'ergonomie, le marketing, la communication, les questions juridiques ou, encore, la protection industrielle. A l'issue des 24 heures imparties pour plancher sur les idées déposées auprès de l'Estia, chaque équipe disposera de trois minutes pour présenter le résultat de sa réflexion devant un jury. Des prix seront attribués aux dix meilleurs dossiers. Les trois premiers pourront être ensuite financièrement soutenus par Oseo, « pour le compte d'une entreprise qui aura déposé un projet », précise Jérémy Legardeur, afin de pouvoir lancer la phase de pré-développement du projet. A la suite des précédentes éditions, un produit est en cours d'industrialisation pour le fabricant de sportwear Quicksilver et le groupe pétrolier Total étudie la possibilité d'un dépôt de brevet. Les organisateurs des « 24 h de l'Innovation » attendent quelque 250 participants pour constituer les équipes accueillies sur le site de l'Estia(*). S'y joindront, par l'intermédiaire d'un système de multivisioconférence, plusieurs écoles en France (notamment l'Ensam d'Aix-en-Provence et l'Institut polytechnique de Grenoble), mais aussi en Espagne et au Canada. (*) Le campus de l'ESTIA est situé sur la technopole "Izarbel" de la Côte Basque, à Bidart, près de Biarritz. (...)

(08/10/2009 15:32:04)

L'accord Microsoft-Red Hat sur la virtualisation donne ses premiers fruits

Huit mois après leur annonce concernant l'interopérabilité de leurs environnements de virtualisation respectifs, Microsoft et Red Hat ont livré aujourd'hui les premiers résultats de leur collaboration. Les deux entreprises annoncent qu'elles ont mené à bien les tests et la validation de ces systèmes et qu'elles supportent désormais les environnements de virtualisation qui combinent Windows Server 2008 et Red Hat Enterprise Linux 5.4. « C'est une annonce d'importance que nous avons faite en février, insiste Mike Evans, vice-président corporate development de Red Hat. Il n'y avait jamais eu d'accord d'interopérabilité entre nos deux sociétés. Il rappelle par ailleurs qu'il n'y a pas d'arrangement financier, de propriété intelelctuelle ou autre. "Il s'agit d'un test d'interopérabilité pur," ajoute-t-il en faisant référence à d'autres partenariats noués par Microsoft avec Sun ou Novell. Les travaux du duo consistent à étendre le support de la virtualisation sur les deux plateformes. Red Hat accepte déjà les environnements de VMware alors que Microsoft supporte les plateformes associées au Suse Linux de Novell. En juillet, par ailleurs, Microsoft avait annoncé sa contribution au développement de pilotes de périphériques pour la virtualisation au sein du noyau Linux. Dans le détail, les deux entreprises ont validé l'accueil de Windows Server 2003, 2008 et Windows Server 2008 R2 par RHEL 5.4 avec l'hyperviseur Kernel Virtual Machine (KVM) de Red Hat. De la même façon, Red Hat Enterprise Linux 5.2, 5.3 and 5.4 pourra tourner sur des plateformes hôtes sous Windows Server 2008 et Windows Server 2008 R2 avec Hyper-V. Mike Neil, directeur général de Windows Server et de la virtualisation serveur chez Microsoft, a précisé dans un billet de blog que cette coopération allait au-delà de l'OS et que les deux parties prenantes « ont sélectionné des applications Microsoft qui recevront un support technique spécifique dans le cas où elles tournent sur "un logiciel de virtualisation certifié. » Il s'agit de BizTalk Server, Exchange Server, SharePoint Server et quelques autres. Red Hat a fait le même type d'effort pour JBoss Enterprise sur Hyper-V. Pour l'instant, Red Hat n'évoque pas le support de Windows Server 2008 avec ses outils d'administration. Il devrait fournir des precisions en fin d'année quand il rendra disponible Red Hat Enterprise Virtualization Manager, ensemble d'outils d'administration pour les postes de travail et les serveurs. Il proposera aussi Red Hat Enterprise Virtualization Hypervisor qui pourra accueillir des instances Windows. Microsoft, lui, supporte Red Hat Enterprise Linux 4.x et 5.x sur son System Center Operations Manager 2007 R2 mais va devoir procéder à une mise à jour de Virtual Machine Manager pour les instances Red Hat dans Hyper-V. (...)

(08/10/2009 14:31:06)

Internet Explorer : Bruxelles soumet les propositions de Microsoft au public

Dans le dossier qui oppose la Commission européenne à Microsoft, au sujet de l'intégration systématique du navigateur Internet Explorer avec Windows sur les postes de travail, Bruxelles s'apprête à soumettre aux commentaires du public les dernières propositions faites par l'éditeur de Redmond. Demain, vendredi 9 octobre, la Commission invitera formellement les utilisateurs, les éditeurs de logiciels, les constructeurs d'ordinateurs et les autres acteurs concernés à s'exprimer sur les derniers engagements de Microsoft (formalisés en juillet) de proposer un choix plus important de navigateurs. Il y est question, notamment, de fournir davantage d'informations aux consommateurs sur différents navigateurs Web et sur leurs fonctionnalités respectives. Les personnes intéressées pourront apporter leurs commentaires pendant un mois. La Commission Européenne statuera ensuite sur la décision à adopter en s'appuyant sur l'article 9 (1) du règlement 1/2003. Bruxelles reconnaît les avancées positives réalisées par Microsoft dans la dernière version de ses propositions. (...)

(08/10/2009 12:18:46)

Dell ferme une autre de ses usines américaines

Une nouvelle fois, Dell annonce la fermeture d'une de ses usines. Aujourd'hui, c'est au tour de l'unité de fabrication d'ordinateurs de bureau située à Winston-Salem en Caroline du Nord. Cette fermeture fait partie des initiatives en cours depuis plusieurs mois pour « simplifier les opérations et améliorer l'efficacité », selon le constructeur. Celui-ci compte ainsi diminuer ses coûts de 4Md$ d'ici à la fin de son année fiscale 2011. La disparition de cette unité de production devrait être effective en janvier prochain. 905 employés seront licenciés dont 600 dès le mois prochain. Selon l'agence de presse AP, Dell avait reçu des subventions d'un montant d'environ 300 M$ pour ouvrir ce site en échange desquelles il aurait promis d'investir 100M$ et de créer 1700 emplois d'ici à septembre 2010, maintenus pendant 10 ans. Le Texan pourrait donc être contraint de rembourses ces aides. En début d'année, Dell avait déjà annoncé le transfert de sa production européenne depuis Limerick en Irlande vers la Pologne. En juin, il avait fermé un de ses sites du Tennessee. Malgré tout, le géant texan s'est offert Perot Systems fin septembre pour près de 4 Md$ en cash pour en faire sa branche services. Selon ses dirigeants, il aurait même prévu de procéder prochainement à d'autres acquisitions dans ce domaine. (...)

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