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(08/10/2009 11:55:27)

Coheris cède son activité de SSII et se recentre sur son métier d'éditeur

Le Français Coheris se concentre sur son activité d'éditeur, ciblée sur les solutions de CRM et le décisionnel et qui pèse 78% de son chiffre d'affaires. Il vient en revanche de vendre son activité de SSII à trois sociétés. Cette cession était prévue depuis quelques mois. Sur son exercice 2008, Coheris a réalisé un chiffre d'affaires de 32,2 millions d'euros, en baisse de 1% par rapport à 2007. La partie SSII, dite 'Global Services' (CA de 7,85 M€) était moins rentable que la partie édition (24,33 M€). La décision fut prise d'en adapter les structures pour la rendre plus performante. Une autre hypothèse avait également été envisagée. En communiquant leurs résultats en début d'année, les dirigeants de Coheris avaient en effet indiqué qu'une opération de restructuration restait toujours possible, même si le contexte économique et financier ne s'y prêtait pas. Au 1er octobre dernier, c'est donc cette hypothèse qui s'est concrétisée puisque Coheris a cédé son activité « global services » à la SSII Sikia, en Ile-de-France, et à Aldheris, à Lyon. Une autre activité de services, dite de « support nomade » pour l'assistance et le dépannage des utilisateurs en mobilité, est vendue à la société DS-Line. 24e au classement EuroSoftware 2008 des éditeurs français Marc Stanciu, directeur général délégué de l'activité « global services » et membre du comité de direction quitte Coheris. La société se concentre donc sur son activité d'éditeur « où une partie du chiffre d'affaires est récurrent, contrairement à l'activité de SSII, plus variable, surtout en ce moment », nous explique le directeur financier de Coheris, Jean-François Ménager. L'éditeur s'est spécialisé depuis sa création en 1994 sur les solutions de centres d'appels et de gestion de la relation client (CRM), avant d'étendre ensuite son champ d'action aux logiciels d'analyse décisionnelle (Business Intelligence), par le rachat de Harry Software fin 2004, et au datamining, avec l'acquisition de Spad en mars 2007. La société figure à la 24e place au classement EuroSoftware 2008 des éditeurs français de logiciels. Elle développe en ce moment la commercialisation de ses produits en mode indirect. (...)

(07/10/2009 12:36:08)

Microsoft et l'Inria renouvellent leur partenariat autour de la recherche

Hier, mardi 6 octobre, le géant Microsoft et l'Institut national de recherche en informatique et automatique (Inria) ont renouvelé pour quatre ans leur partenariat autour de la recherche en logiciel. Steve Ballmer en personne, Président et CEO de Microsoft, a consacré plus d'une heure de son emploi du temps très chargé de la journée, à parrainer cette signature. Valérie Pécresse, Ministre de la Recherche et de l'Enseignement supérieur a également tenu à être présente. Les deux VIP entouraient Michel Cosnard, PDG de l'Inria et Andrew Herbert, directeur général de Microsoft Research à Cambridge au Royaume-Uni. Cette collaboration, officialisée il y a quatre ans entre le géant du logiciel et l'institut de recherche français, s'est focalisée sur deux domaines de travail que sont les méthodes formelles pour la qualité et la sécurité logicielle, et les outils et méthodes informatiques au service des sciences. Dans un entretien accordé au MondeInformatique.fr, Michel Cosnard et Andrew Herbert, ont évoqué entre autres l'intention des deux partenaires de poursuivre prochainement une troisième voie : les environnements pour les architectures multicoeurs. Ballmer : « j'ai rencontré certains de mes héros dans ce laboratoire ! » Pour Steve Ballmer, ce partenariat est « bon pour Microsoft, bon pour l'Inria, mais aussi bon pour l'avancée des sciences informatiques et pour l'innovation. » Il a souhaité rappeler combien la recherche était essentielle chez Microsoft. « C'est la raison pour laquelle nous investissons 9 Md$ annuels en R&D - et 600 M$ rien qu'en Europe. Ce qui peut paraître beaucoup en ces temps difficiles, mais est indispensable. C'est la preuve de notre engagement vis à vis de la recherche, mais aussi de l'innovation. » Puis le successeur de Bill Gates a évoqué l'émotion très personnelle qu'il avait éprouvée à la création de ce centre de recherche : « Les mathématiques ont été mon sujet d'études à l'université. Et dans ce laboratoire commun, j'ai rencontré certains de mes héros ! » Quant à Valérie Pécresse, elle a rappelé sans complexe au patron du numéro un mondial du logiciel qu'il devenait de plus en plus intéressant d'investir dans la recherche en France puisque le crédit impôt recherche avait triplé depuis la création du centre commun. « Il est encore plus intéressant d'investir dans l'Inria qu'il y a 4 ans, et je voulais vous le dire. » Mais la ministre a aussi ajouté qu'une telle « politique fiscale n'aurait pas de sens, si la France n'avait pas aussi un environnement de recherche du plus haut niveau. « Vous avez choisi un pays dynamique où l'informatique est une des trois priorités de la recherche. » Comme prévu, tous les résultats sont à la disposition de la communauté scientifique Sans surprise, les protagonistes se sont félicités de la réussite de leur partenariat. Plusieurs projets se sont déjà concrétisés parmi lesquels le dictionnaire numérique DDMF de fonctions mathématiques et un système de vérification des preuves pour les programmes TLA+ en environnements distribués. 118 articles ont déjà été publiés sur les deux thématiques traitées par le centre Inria/Microsoft durant ces quatre dernières années. « Les six projets sur lesquels des résultats ont déjà été obtenus ont tous été publiés et mis à la disposition de la communauté scientifique, comme prévu », a aussi tenu à préciser Michel Cosnard. Enfin, comme l'a ajouté Andrew Herbert dans son discours précédant la signature officielle, de nombreux jeunes chercheurs ont été formés dans le cadre de cette collaboration. Le centre commun réunit une vingtaine de chercheurs de Microsoft et de l'Inria qui travaillent avec une cinquantaine d'autres chercheurs issus du CNRS, de l'Ecole Normale Supérieure, de Polytechnique, de l'Université Paris Sud, etc. En revanche, ni Microsoft ni l'Inria n'ont précisé les montants qui seraient investis dans cette seconde période de leur partenariat. (...)

(06/10/2009 11:13:32)

Adobe Max : Shantanu Narayen évoque la transformation continue d'Adobe

Cloud, optimisation, supervision, monétisation... certains mots ont fait très récemment leur apparition dans le vocabulaire d'Adobe. Au cours du discours d'introduction de la conférence utilisateurs de l'éditeur à Los Angeles (du 4 au 7 octobre), Shantanu Narayen, CEO d'Adobe, a brièvement évoqué la transformation continue de la société qu'il dirige, de l'éditeur ayant inventé le PDF à un acteur accompagnant aujourd'hui les entreprises dans la mise en place de sites et de contenus Web et leur monétisation. « Mais la vision de ce que doit être notre entreprise reste la même, il s'agit d'aider les gens à délivrer du contenu de façon attractive », a ensuite expliqué Shantanu Narayen. Les dernières emplettes d'Adobe montrent néanmoins que ce qu'il y a autour du contenu lui importe également beaucoup. L'éditeur a ainsi racheté Business Catalyst puis Omniture avec l'idée d'aider les entreprises à concevoir non seulement les sites, mais aussi les moyens de les optimiser en fonction du comportement du public, et de les superviser de façon à pouvoir suivre l'usage du contenu et le rentabiliser. Des pages différentes en fonction des profils d'internautes Josh James, président et CEO d'Omniture, est ainsi monté sur scène quelques minutes pour expliquer son métier, et les avantages que les entreprises pourront tirer de son acquisition par Adobe. Il a évoqué par exemple MTV, qui suit l'usage qui est fait de ses vidéos, même quand celles-ci sont diffusées sur Facebook. Il a aussi donné l'exemple d'eBay, qui était réticent à l'idée de changer sa page d'accueil, et a fini, grâce aux outils d'Omniture, par concevoir des pages différentes en fonction des profils de ses utilisateurs pour les inciter à vendre et acheter davantage. Dans une conférence de presse suivant cette première session d'Adobe Max, Shantanu Narayen a en revanche mis de côté toute volonté de fournir des applications métier. Adobe continuera de fournir des outils comme AIR, ou Mosaic, le nouveau framework pour assembler des services (un compositeur de mash-up, en quelque sorte), « pour donner aux entreprises les moyens de créer des expériences enthousiasmantes d'interaction avec leurs données ». L'application boursière de Morgan Stanley ou le module décisionnel de Cisco donnés en exemple démontrent en effet combien ces applications d'habitude rébarbatives peuvent devenir avenantes. (photo : Shantanu Narayen sur la scène du Nokia LA Live, la grande salle de spectacle de Los Angeles) (...)

(05/10/2009 17:07:27)

THD Seine, la fibre optique en déploiement dans les Hauts de Seine

Lancé en 2004 par un certain Nicolas Sarkozy, le projet pilote THD Seine, réseau très haut débit en fibre optique des Hauts-de-Seine pour les entreprises et les particuliers, va entrer dans sa phase de déploiement. Lors d'une conférence de presse à l'Hôtel du département, Patrick Devedjian, Ministre de la relance et Président du Conseil général des Hauts-de-Seine, a détaillé un ambitieux programme : "827 000 prises optiques seront installées en 6 ans sur le territoire. Plus de 51% de la couverture sera assurée dans les trois prochaines années." Piloté par la société Sequalum, une filiale de Numéricable (80%), d'Eiffage (15%) et de LD Collectivités (5%) qui a remporté la concession de service public pour une durée de 25 ans, ce programme était en attente de validation auprès de la Commission Européenne. "Un verrou juridique qui a été levé il y a 15 jours, a précisé Patrick Devedjian. J'ai rencontré deux fois la commissaire européenne en charge de la concurrence, Madame Neelie Kroes, pour défendre ce projet et autoriser un financement public partiel pour équiper les zones non rentables comme les zones concentrant pavillons et immeubles de petite taille, soit 47% de la superficie du département...Les collectivités savent désormais comment avancer dans ce domaine dans le respect de la concurrence... ll s'agira d'une infrastructure réseau neutre, ouverte à l'ensemble des opérateurs." Si le Conseil général apporte 59 millions d'euros au projet, les partenaires privés abondent à hauteur de 363 millions d'euros jusqu'en 2015. A cette date, 100% des foyers, des entreprises et des institutions publiques du département seront raccordés en fibre optique FTTH (Fiber To The Home) à des tarifs proches de l'ADSL pour les particuliers et proche du SDSL pour les professionnels et les collectivités territoriales. le catalogue des prix opérateurs sera très bientôt fixé La Sequalum qui fait office d'opérateur fibre optique pour tous les autres opérateurs, discute toujours des prix de la prise avec Free, Orange, SFR, Numéricable ou Bouygues Télécom. Pierre Danon, PDG de Numéricable, explique que "le catalogue des prix opérateurs sera très bientôt fixé. Nous sommes pour l'instant sur un jeu provisoire qui sera affiné dans les semaines qui viennent". Si la filiale de Numéricable est bien en charge du réseau passif (horizontal), le raccordement des immeubles (vertical) en surnuméraire (4 fibres par foyer) est à la charge de l'opérateur qui devient dès lors maître d'oeuvre. Ainsi Free pourra installer sa solution point à point et Orange rester fidèle à sa technologie de réseaux GPON, une liaison fibre jusqu'à l'immeuble, puis la division d'un accès (2,5 Gbit/s dans le sens descendant et 1,25 Gbits/s dans le sens montant) entre plusieurs abonnés (64 maximum). Pour déployer son réseau de fibre dans les Hauts-de-Seine, Sequalum compte bien profiter des infrastructures de France Télécom et de Colt qui maillent déjà une partie du département. Pour le reste et pour éviter de multiplier les travaux de génie civil, la filiale de Numéricable tirera sa fibre optique dans les canalisations souterraines existantes et exploitera les travaux en cours. A Bois-Colombes par exemple, c'est la réfection du réseau électrique de l'éclairage public qui sera mise à profit. Fin 2009, les ZAC (Zone d'activité commerciale) du Trapèze à Boulogne-Billancourt et des Bruyères à Bois Colombes seront complètement aménagées. Et début 2010, ce sera le tour des villes de Clichy, Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine et Boulogne-Billancourt puis Antony, Chaville et Clamart. Dès la phase 1, de 2010 à 2013, toutes les villes du département seront en partie équipées. Et à la fin de la phase 2 qui se terminera fin 2015, 100 %du territoire sera couvert. "Avec ce programme pilote, nous entamons à la fois une révolution numérique mais également juridique puisque nous ouvrons la voie, avec l'accord de la Commission Européenne, au financement public d'infrastructures réseaux. Tous les pays européens attendaient l'issue cette décision pour lever les incertitudes juridiques. Désormais les collectivités savent comment avancer dans le respect du droit de la concurrence", a conclu Patrick Devedjian.

(...)

(05/10/2009 16:47:56)

Brocade serait en vente et intéresserait HP et Oracle

Selon le Wall Street Journal, Brocade Communications Systems, spécialiste des réseaux de stockage en Fibre Channel, est à vendre. Et deux géants du marché des TIC, Oracle et Hewlett-Packard, seraient déjà sur les rangs. Le numéro un des SGBD représente une hypothèse surprenante puisqu'il est déjà en passe d'acquérir Sun Microsystems pour 7,4 Md$. Il n'attend plus que l'aval des autorités européennes pour concrétiser l'opération et décider de la sauce à laquelle il accommodera Java, MySQL, les serveurs Sparc, et autres technologies de Sun. En ce qui concerne HP, le rachat d'EDS date de mai 2008, mais la digestion de ce morceau à près de 14Md$ est encore en cours. Néanmoins, l'acquisition de Brocade permettrait à HP d'ajouter une brique à ses équipements serveurs et de stockage pour les datacenters, voire pour s'imposer. En juillet 2008, Brocade avait lui-aussi procédé à une acquisition de poids en avalant le constructeur de commutateurs Ethernet Foundry Networks afin de se positionner face à Cisco en particulier dans le FCoE (Fiber Channel over Ethernet). La capitalisation de Brocade est d'environ 3,2 Md$. L'an dernier, la société avait affiché un chiffre d'affaires de 1,5 Md$ et un bénéfice net de 167 M$. Ce matin, après 'annonce de la mise en vente, l'action du constructeur avait déjà grimpé de 11% à 8,46$. Reste néanmoins que selon le Wall Street Journal, Brocade aurait précisé qu'aucun accord ne serait imminent et qu'il pourrait même décider de ne plus être racheté... (...)

(05/10/2009 11:59:33)

Le patron de l'Open Source Microsoft part dans une start-up du cloud

L'ancien responsable Open Source de Microsoft, Sam Ramji, vient de rejoindre la start-up Sonoa Systems. Il prendra en charge la stratégie produit et le développement de l'activité de la jeune pousse de Santa Clara en Californie. Le CEO de Sonoa est un ancien cadre de BEA, Chet Kapoor. Sonoa propose une technologie appelée ServiceNet d'administration de services de cloud. Elle fonctionne comme un serveur proxy entre les fournisseurs et les consommateurs de services. Selon son site Web, Sonoa fournit aussi des outils de gestion et de gouvernance pour que les services cloud et les API qui s'y connectent soient aussi robustes que dans des configurations 'sur site'. Enfin la start-up dispose également d'Apigee un outil d'analyse des accès vers les API en cloud, pour les développeurs de ces interfaces. Chez Microsoft, en tant que directeur du groupe 'Platform Strategy', Sam Ramji était responsable de l'interopérabilité et de la collaboration avec la communauté du Libre. Il était aussi depuis le mois dernier président de la fondation Open Source CodePlex, issue de son travail chez le géant de Redmond. Mais à peine cette nomination avait-elle été officialisée qu'il annonçait son départ le 25 septembre. (...)

(05/10/2009 11:19:39)

France Télécom : Louis-Pierre Wenes remplacé par le futur successeur de Didier Lombard

Ce n'est pas vraiment une surprise. C'est finalement Louis-Pierre Wenes, directeur général adjoint de France Telecom qui quitte son poste suite à la vague de suicides vécu par l'opérateur depuis 18 mois. "Louis-Pierre Wenes, actuel directeur général adjoint en charge des opérations France, a demandé à Didier Lombard de le décharger de ses responsabilités, ce que Didier Lombard a accepté. Le Président le remercie pour l'action accomplie depuis décembre 2002 et pour sa contribution majeure au redressement et à la performance du Groupe. ", indique sans plus de commentaires l'opérateur dans un communiqué. Alors que la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, Christine Lagarde, a renouvelé sa confiance au PDG Didier Lombard la semaine dernière, le nom de son adjoint était sur toutes les lèvres. Arrivé il y a près de 7 ans dans l'entreprise, il a été à l'origine des nouvelles méthodes de management remises en cause par les salariés, les syndicats et pour partie aussi, par les pouvoirs publics. C'est Stéphane Richard, ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, qui remplace dès aujourd'hui Louis-Pierre Wenes. Il a été désigné au printemps dernier pour succéder à Didier Lombard en 2011 et a intégré France Telecom le 1er septembre. (...)

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