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(07/09/2009 16:47:13)

Les ventes de serveurs EMEA plongent de 36% au 2e trimestre

Les résultats des ventes de serveurs en EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) au second trimestre 2009 sont pires que ceux enregistrés pour l'ensemble du marché mondial. Selon IDC, le marché a reculé de 35,8% en valeur pour atteindre 2,9 Md$. Le nombre de systèmes écoulés a plafonné quant à lui a moins d'un demi million, traduisant une baisse en volume de 33,9%. En comparaison, les ventes mondiales n'ont reculé « que » de 30,1% en valeur et de 30,4% en volume entre avril et juin derniers. Comme on s'y est habitué, l'une des raisons de cette situation difficile tient à la limitation des dépenses des entreprises au minimum nécessaires pour conserver leurs systèmes d'information en état de fonctionnement. Dans ce marasme, IDC note toutefois des signes de stabilisation avec une légère hausse des prix de vente moyens et une quasi stabilité dans la baisse des revenus entre les premiers et second trimestres 2009. Lorsque ça va mal, on se satisfait de peu. L'analyse du marché par segment confirme, quant à elle, l'orientation de plus en plus marquée des clients vers les plateformes X86. Elles ont représenté 52,3% des ventes totales au deuxième trimestre. Ces serveurs doivent leur succès croissant notamment à la progression du marché de la virtualisation dont ils deviennent un support privilégié en raison de leur bon rapport coût / puissance. Ce qui n'empêche pas leurs revenus de reculer, de 33% à 1,5 Md$. Ils font toutefois mieux que les autres serveurs dont les ventes ont baissé de 38,6% au deuxième trimestre. Aucun fournisseur épargné Dans les rangs des fournisseurs, aucun n'a été épargné. La plus forte baisse de revenus revient à Fujitsu (-39,7% pour 5,8% de parts de marché), suivi par Sun (-37,8% à 12,3% de PDM) et HP (-37,1% à 33,9% de PDM). Ce dernier conserve sa position de numéro un pour le sixième trimestre consécutif. Il doit notamment cette stabilité aux ventes de sa gamme Proliant (x86) qui ont représenté 700 M$ de chiffre d'affaires au second trimestre 2009, soit 72% de ses revenus totaux sur le segment des serveurs. Le fabricant n'a cependant pas vu ses parts de marché progresser, à l'opposé de Dell et d'IBM, seuls à afficher une croissance sur le secteur. (...)

(07/09/2009 16:37:51)

SAP étend, avec SAF, son offre adaptée au secteur de la distribution

SAP a annoncé avoir acquis 63,12% du capital de la société SAF (Simulation, Analysis and Forecasting) à laquelle il a fait une offre amicale de rachat fin juillet, à hauteur de 11,50 euros par action. Cet éditeur suisse, qui existe depuis 1996 et compte une centaine de collaborateurs, s'est spécialisé dans les solutions de planification de la chaîne logistique et de réapprovisionnement, principalement destinées au secteur de la distribution. La société a été fondée par Gerhard Arminger et Andreas von Beringe, son actuel PDG. Alors que de nombreux éditeurs ont accusé ces derniers mois une baisse sur leurs revenus, en particulier sur leurs ventes de licences, SAF a vu les siennes grimper de 171% au premier trimestre et de 148% au deuxième trimestre. Sur les six premiers mois de 2009, son chiffre d'affaires global a progressé de 62,4% à 9 M€ (en 2008, il a réalisé un chiffre d'affaires de 13,4 M€). Pour les acteurs de la distribution, SAF édite deux suites logicielles : SAF RetailSuite Store, pour automatiser les processus de réapprovisionnement dans les magasins, et SAF RetailSuite Warehouse, qui couvre la prévision de la demande. Son troisième produit, SuperForecast, est une application de prévision de la demande qui peut être utilisée plus largement par différents secteurs industriels. SAP connaît bien ces offres. L'éditeur allemand précise que les composants de base des applications SAF sont intégrés depuis 2002 à son offre verticale SAP for Retail destinée au secteur de la distribution. Les actionnaires de SAF n'ayant pas encore souscrit à l'offre de SAP à 11,50 euros l'action peuvent le faire jusqu'au 18 septembre. (...)

(04/09/2009 16:56:51)

Microsoft obtient un répit et continue de vendre Word

Microsoft pourra bel et bien continuer de vendre Word en octobre. Après la décision d'un tribunal texan le 11 août dernier, l'éditeur s'était vu imposer un délai de 60 jours pour stopper la commercialisation de son traitement de texte aux Etats-Unis. La raison ? Le non-respect du brevet que la société i4i détient sur certaines fonctions XML. Sans se prononcer sur le fond, la cour d'appel du District fédéral a accepté de lever l'injonction qui interdisait à Microsoft - et à des tiers comme HP ou Dell - de commercialise Word. I4I a jusqu'à mardi prochain pour répondre à l'appel engagé par Microsoft. Le cas échéant, l'éditeur devra alors déposer ses propres conclusions avant le 14 septembre avant une audience finale le 23 septembre. (...)

(04/09/2009 16:42:06)

Carnegie Mellon et l'OMG lancent un consortium pour la qualité logicielle

L'Institut de l'ingénierie logicielle de l'université de Carnegie Mellon (SEI) et l'OMG (Object management group) créent ensemble un consortium de la qualité logicielle. Les constats sur le sujet sont simples. D'une part, les logiciels sont de plus en plus complexes. Ils sont multi-tiers (multi-niveaux) et s'appuient sur plusieurs langages. D'autre part, le moindre problème sur un logiciel fait courir un risque important à des entreprises dont l'économie repose de plus en plus fortement sur leur système d'information. Le Consortium of IT Software Quality (CISQ) sera constitué de membres issus des 2 000 plus grands industriels de l'IT (classement Forbes Global 2000), d'intégrateurs, de SSII et d'éditeurs. Ils travailleront ensemble sur des standards de mesure de la qualité logicielle ainsi que sur la promotion d'un écosystème pour les déployer qui s'appuie sur les acteurs du secteur. La raison d'être principale du CISQ consiste à mettre au point ce standard de façon suffisamment détaillée pour permettre une mesure automatisée de la qualité, seule façon de le rendre viable économiquement pour les parties prenantes, selon les deux fondateurs. Un standard pour les applications multi-tiers, multi-langages Au total, le SEI et l'OMG ont identifié cinq objectifs essentiels pour leur projet. Le consortium devra répandre la bonne parole et convaincre l'industrie IT de l'importance que revêt la qualité logicielle. Les outils de mesure standards de la qualité et du risque devront être mis au point pour des applications multi-tiers et multi-langages. Des méthodes permettront d'utiliser aussi ces outils pour négocier l'achat et la maintenance d'applications. Des licences professionnelles donneront aux fournisseurs de services les moyens de garantir la qualité de leur production. Enfin, le consortium mettra en place un forum de discussion en ligne autour de toutes ces questions. Deux réunions inaugurales du consortium se tiendront le 6 octobre dans les locaux du SEI à Arlington, en Virginie, puis le 12 novembre à Francfort, en Allemagne. La première version provisoire du standard est prévue pour le 4e trimestre 2010. La vente de services conformes à la norme devrait démarrer début 2011. (...)

(04/09/2009 12:15:58)

Atos Origin s'intéresserait à un prestataire italien de solutions de paiement

Selon La Tribune, la SSII Atos Origin dirigée par Thierry Breton, serait en négociations avancées pour acheter SIA SSB, un prestataire italien de services de paiement. Le quotidien économique précise que le Français -ainsi que d'autres candidats- avait déjà étudié ce dossier, sans succès, face aux exigences des actionnaires de SIA SSB. L'entreprise italienne propose des solutions et des services pour le paiement par carte, pour les systèmes d'information bancaires et financiers ainsi que des solutions de connectivité et de messagerie. Fin 2007, SIA SSB comptait 7 filiales et 1 800 employés, et affichait un chiffre d'affaires de 378,6 M€ pour un bénéfice net de 11,6 M€. Comme la plupart des autres SSII françaises, Atos Origin a, de son côté, enregistré une baisse de 2,4% sur son chiffre d'affaires au premier semestre, à 2,589 Md€, avec un bénéfice stable par rapport à 2008 de 75 M€. Sur son exercice 2008, la SSII avait réalisé un chiffre d'affaires de 5,48 Md€ (+ 5,6% en organique) et un bénéfice net de 23 M€ (-52%). (...)

(03/09/2009 16:23:46)

Salesforce.com lance une gestion de contacts pour TPE

Salesforce.com vient d'ouvrir l'accès à une application de gestion de contacts réservée cette fois aux très petites entreprises, comptant une ou deux personnes. L'abonnement à ce logiciel en ligne, qui porte le nom de Contact Manager Edition, est tarifé 7 euros par utilisateur et par mois. L'offre vise les petits entrepreneurs qui viennent de lancer leur activité. Ils pourront stocker en ligne les informations sur leurs contacts, en incluant les rendez-vous prévus, les documents partagés et des liens vers les flux Twitter et profils LinkedIn de ces contacts. Dans un récent rapport, le cabinet Gartner mettait la création de communautés d'utilisateurs (via Twitter ou via un réseau social) au nombre des stratégies permettant de valoriser la gestion de la relation client (CRM). En lien avec Outlook et les Google Apps L'application Contact Manager Edition permet de suivre les échanges réalisés à partir de diverses messageries (Microsoft Outlook, Gmail, Yahoo...). Elle est également intégrée avec la suite bureautique en ligne Google Apps qui fournit calendrier, traitement de texte, tableur, outil de présentation et messagerie instantanée. Elle propose par ailleurs des rapports préparamétrés pour faire le point sur les interactions réalisées. Pour faciliter la prise en main du logiciel, Salesforce.com met à disposition différents outils de formation et des listes de questions/réponses (FAQ). Il y a quinze jours, l'éditeur californien spécialisé dans les applications de CRM en ligne se montrait plutôt satisfait de l'évolution de son activité et revoyait à la hausse ses prévisions de chiffre d'affaires sur son exercice fiscal en cours (clôture fin janvier 2010). (...)

(03/09/2009 16:09:27)

VMware lance un service Web pour les PME

Pour convaincre les PME (moins de 1 000 salariés en Europe) des avantages de la virtualisation, VMWare a lancé un nouveau service Web : VMWare Go. Accessible depuis le 31 août aux États-Unis, et disponible mondialement durant le quatrième trimestre 2009, ce service permet d'avoir gratuitement une licence de l'hyperviseur maison ESXi 4.0, puis de l'installer et de le configurer en ligne et en quelques clics sur le web. Le tout sans intervention d'un service informatique dédié, la seule obligation étant d'avoir des serveurs 64-bits connectés au Web et dont l'adresse IP est connue. En proposant gratuitement une partie de ses services, VMWare espère à terme séduire les PME pour aller plus loin et les convaincre d'utiliser ses nouveaux services vCloud Express. (...)

(03/09/2009 15:35:28)

Oracle-Sun : L'Europe ne rend pas d'avis et prolonge ses investigations sur MySQL

Oracle va devoir attendre encore plusieurs semaines avant de savoir s'il est autorisé à acheter Sun (pour un montant de 7,4 Md$). La Commission Européenne, qui devait donner un avis sur le sujet ce mois-ci, après un mois d'enquête préliminaire, a finalement décidé, aujourd'hui, jeudi 3 septembre, de prolonger son investigation. Dans un communiqué, elle explique qu'elle a constaté que «l'opération envisagée soulève des doutes sérieux quant à sa compatibilité avec le marché unique, en raison de problèmes de concurrence sur le marché des bases de données.» La commission cherche à savoir si « l'opération de concentration entrave ou non de manière significative le jeu d'une concurrence effective dans l'Espace économique européen (EEE) ou une partie substantielle de celui-ci. » Ni réduction du choix des consommateurs, ni hausse des prix Les inquiétudes de l'Europe concernent l'absorption par le leader mondial des bases de données, de MySQL, le SGBD libre racheté par Sun en janvier 2008. « La Commission se doit tout particulièrement de veiller à ce que ce rachat ne réduise pas le choix des consommateurs ou n'entraîne pas de hausses de prix, insiste Neelie Kroes, membre de la Commission, responsable de la concurrence, citée dans le communiqué officiel. Les bases de données sont une composante essentielle des systèmes informatiques des entreprises. Dans le contexte économique actuel, toutes les entreprises recherchent des solutions informatiques offrant un bon rapport qualité-prix et les systèmes reposant sur des logiciels ouverts apparaissent de plus en plus comme une alternative viable aux solutions «propriétaires». La Commission rappelle par ailleurs que le marché des bases de données est déjà particulièrement concentré puisqu'Oracle, IBM et Microsoft contrôlent près de 85% des parts de marché en valeur. Qui plus est, Oracle est le maître incontesté des bases propriétaires et pourrait mettre la main sur MySQL qui domine celui des SGBD libres. L'enquête préliminaire de la Commission a révélé que les deux logiciels sont en concurrence directe sur de nombreux segments de marché et que, de l'avis général, MySQL devrait exercer une pression concurrentielle plus forte à mesure qu'il s'améliore. Pour la Commission, par ailleurs, « le fait que MySQL soit une base de données ouverte pourrait ne pas éliminer totalement les risques d'effets anticoncurrentiels. » Elle compte donc en particulier vérifier l'opportunité, pour Oracle, de continuer à développer MySQL en tant que base de données ouverte. Avant de rendre un avis, les Etats-Unis avaient eux-aussi réclamé un délai, mais à cause d'interrogations autour de la propriété de Java. Ils ont finalement approuvé le rachat le 21août. La Commission Européenne dispose désormais d'un délai de 90 jours ouvrables pour prendre sa décision. Oracle pourrait donc devoir attendre jusqu'au 19 janvier 2010 pour savoir sur quel pied danser. (...)

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