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(09/09/2009 14:25:46)

Lenovo s'éloigne de l'influence du gouvernement chinois

Le lien entre le 4e fabricant mondial de PC, Lenovo, et le gouvernement chinois tend à se relâcher de plus en plus. Un fonds d'investissement privé, China Oceanwide Holding Group, vient ainsi d'acquérir 29 % du capital de la maison mère du constructeur, Legend, pour la somme de 2,76 milliards de yuan (soit 279 millions d'euros). Avec 36 % de parts dans le capital de la société, l'Académie des Sciences chinoise reste le plus gros actionnaire de Legend, mais elle compte passer sous la barre de 35 % (et donc la minorité de blocage) d'ici à la fin 2010. « Plusieurs de nos clients à l'étranger pourraient penser que Lenovo est une compagnie nationalisée », explique Liu Chanzhi, président de Lenovo et récemment nommé président de Legend, « l'entrée de China Ocenwide rend encore plus clair le fait que Lenovo est bel et bien une entreprise privée. » (...)

(09/09/2009 11:58:45)

22 anciens brevets Microsoft renforcent le bouclier pour Linux érigé par l'OIN

L'Open Invention Network (OIN) continue de renforcer le bouclier protecteur qu'il forge autour de Linux avec le rachat de 22 brevets originaires de Microsoft. Les droits de propriété intellectuelle avaient été rachetés à la firme de Redmond par Allied Security Trust (AST), une organisation à but non lucratif dont le but est de mettre les brevets hors de portée des « patent trolls », ces sociétés qui n'achètent des brevets qu'afin de multiplier les injonctions et les procès. L'OIN a acquis ces brevets auprès d'AST en expliquant qu'ils « pourraient concerner Linux ». Le but de l'OIN, présidé par Keith Bergelt (que nous avons interviewé il y a un an), est d'accumuler, par donation ou acquisition, des brevets ayant trait à l'Open Source en général, et à Linux en particulier, afin de mettre les développeurs et éditeurs de logiciels libres à l'abri des menaces judiciaires. (...)

(09/09/2009 09:29:46)

Les services autour de SAP dominent les services applicatifs

Selon le cabinet PAC, la TMA et l'intégration liées à SAP représentent 27,4 milliards d'euros dans le monde en 2008. Ce montant représente 9% du total des services informatiques (hors hébergement) et constitue ainsi le premier marché autour d'une application. Géographiquement, l'Europe reste en tête avec 50% du marché (Allemagne : 17% ; Grande Bretagne : 7% ; France : 5%; Reste de l'Europe : 21%) tandis que le Continent américain compte pour 38% et la zone Asie-Pacifique pour 12%. Si on excepte certains pays émergents comme le Brésil (+5,3%) et la Chine (14,4%), les ventes de licences sont en chute libre. Mais l'éditeur compense avec les services de maintenance pour continuer sa croissance. Selon PAC, il continue d'exister malgré tout dans les entreprises de grands projets de transformation basés sur SAP et le marché du secteur public (projet Chorus, Noyau Commun de Paye, etc.) est en pleine effervescence. Malgré la forte augmentation du nombre de modules disponibles (la gestion de la relation fournisseur et le contrôle de la conformité ont le vent en poupe), la comptabilité-finance domine toujours les déploiements avec 25% tandis que le décisionnel représente 20%. Face à la complexité grandissante des projets, les entreprises préfèrent découper les implémentations en étapes claires pour limiter les risques et voir le début des retours le plus tôt possible. La TMA sur la pente ascendante La migration vers ECC 6.0 constitue une autre source de ventes de licences comme de services d'intégration. En 2008, entre 10 et 15% des entreprises avaient procédé à cette évolution. Un taux qui devrait atteindre entre 25 et 30% en 2009. Mais il reste à justifier sur le plan économique une telle opération qui, d'ailleurs, pour limiter les risques, est en général purement technique et iso-fonctionnelle. Conseil et intégration dominent encore le marché des services autour de SAP face à la TMA mais cette dernière voit ses parts croitre. En 2008, elle représentait 28% contre 72% pour le conseil et l'intégration. En 2013, selon PAC, ces proportions devraient atteindre respectivement 34% et 66%. « Le problème de la TMA classique est la gestion dans la durée du patrimoine applicatif mais ce sujet est désormais, en général, intégré au contrat, tout comme les déploiements de nouveaux sites » explique Eang Ang Ong, consultant intégrateur SAP chez IBM Global Business Services. Pour lui, « la TMA est même intégrée dans le plan du projet dès l'origine et on passe ainsi directement de la phase projet à celle où la maintenance est externalisée, sans phase de gestion interne de la maintenance ». Une maintenance toujours trop chère [[page]]La TMA coûte en général de 10 à 25% du coût global de mise en oeuvre initiale du projet. Mais il convient de ne pas oublier les 22% de la maintenance directement liée à l'éditeur SAP. Ce taux s'applique sur le seul coût des licences qui représente en moyenne de 20 à 50% du coût total du projet. Mais Eang Ang Ong refuse d'établir un ratio global, même sous forme de fourchette, car les situations sont trop variables. Si on prend les extrêmes cités, il est vrai que le coût récurrent annuel va de 14% (10% du coût total du projet + 22% du cinquième de celui-ci) à 36% (25% + 22% de la moitié) du coût initial du projet, ce qui est très large... « Les PME exigent des solutions pré-configurées, très packagées, qui tirent les leçons des implémentations depuis l'origine de l'éditeur, mais le coût de licence leur semble tellement élevé qu'elles ne comprennent pas le coût élevé de la maintenance, y compris la seule maintenance corrective » admet Eang Ang Ong. (...)

(08/09/2009 16:15:06)

Le cloud computing modifiera radicalement les applications pour mobiles, selon ABI Research

Les utilisateurs de téléphones mobiles abonnés à des applications en ligne (modèle Saas, software as a service, avec des applications hébergées dans le cloud) vont passer, dans le monde, de 42,8 millions en 2008 à 998 millions en 2012, selon le cabinet d'études américain ABI Research. Aujourd'hui, ils ne pèsent que 1,1% de l'ensemble des abonnés mobiles ; dans cinq ans, ils en représenteront presque 19%. Dans son étude « Mobile Cloud Computing », récemment publiée, ABI Research détaille les applications et les modèles qui devraient entraîner le développement de ce marché. Pour l'auteur de l'étude, Mark Beccue, ce sont les services de géolocalisation qui vont tirer la demande d'ici à 2010, notamment les solutions de navigation et de cartographie. Selon lui, 60% des abonnés mobiles à une application cloud accéderont à des fonctions de géolocalisation. Mais l'analyste voit apparaître d'autres catégories, plus originales. Il cite le fabricant de serrures Schlage dont le service LiNK permet à ses abonnés de vérifier à distance le verrouillage de leur porte d'entrée, de contrôler leur système de chauffage, leurs caméras de sécurité et leur éclairage à partir d'un PC ou de leur téléphone portable. Un marché d'applications hébergées pour mobiles de 20 Md$ en 2014 ABI Research s'attend à ce que les principaux opérateurs de PaaS -platform as a service- que sont Amazon (avec AWS), Google et Salesforce.com (avec Force.com), commercialisent leur offre de façon beaucoup plus agressive à partir de 2010. Pour Mark Beccue, le développement des services en ligne pour mobiles devrait supplanter le téléchargement d'applications. L'analyste note que l'engouement suscité par l'iPhone a favorisé l'ouverture de boutiques en ligne offrant des applications à télécharger. Mais ces logiciels requièrent souvent des terminaux dotés de solides capacités, ce qui limite le marché potentiel. Dans cette perspective, une architecture reposant sur des logiciels hébergés en cloud changera radicalement la façon dont les applications mobiles vont être développées, achetées et utilisées. ABI Research estime que l'actuel modèle pourrait être remplacé d'ici cinq ans, créant un marché que le cabinet évalue à quelque 20 Md$ d'ici à fin 2014. Pour l'instant, les développeurs d'applications mobiles doivent choisir entre différents systèmes d'exploitation, souligne Mark Beccue : « Ils écrivent pour un seul OS ou doivent créer plusieurs versions de leurs logiciels pour les diverses plateformes. En développant pour le cloud, leurs applications ne s'exécuteront plus sur le terminal mais sur le serveur et une seule version suffira. » (...)

(08/09/2009 16:05:42)

Les ventes au détail sur Internet en nette hausse en France

Les ventes sur Internet ont augmenté de 21% en juillet dernier par rapport à la même période en 2008, selon une étude comScore, publiée lundi 7 septembre. Avec 26,7 millions d'internautes s'étant rendus sur la Toile, la France enregistre un score supérieur à la moyenne européenne de 5%. Ce sont les sites du groupe PPR, tels que La Redoute et La Fnac, qui ont accueilli le plus grand nombre de visiteurs en juillet, 12,4 millions précisément. Le classement établi par comScore fait ensuite apparaître le groupe PriceMinister à la deuxième place avec 12,3 millions de visiteurs. Le groupe Otto (8,9 millions), les sites Amazon (7,6 millions) et CDiscount.com (7,3 millions) ferment respectivement le haut de ce palmarès. A noter : la plus forte progression du nombre de visiteurs est enregistrée par le site Internet de Kiabi, qui passe de 2 640 visiteurs en juillet 2008 à 6 158 visiteurs en juillet dernier (133%). Selon comScore, ce sont les sites d'habillement qui ont le plus de succès auprès des internautes français. Dans ce palmarès, La Redoute se trouve en tête, avec 38 146 visiteurs en juillet dernier. Kiabi (6 158) et Les 3 Suisses (4 668) ferment respectivement le trio de tête. (...)

(08/09/2009 13:08:10)

Microsoft affiche un optimisme prudent pour les lancements de Windows 7 et Office 2010

Microsoft n'avait (presque) aucune annonce à faire, mais quelque 120 journalistes se sont tout de même rendus à sa désormais traditionnelle conférence de presse de rentrée, hier, lundi 7 septembre. Il faut dire que ce rendez-vous de l'éditeur est devenu incontournable, tant il donne le pouls de l'année à venir : les sorties de produits Microsoft vont en effet rythmer le calendrier de toute l'industrie. Que ce soit du côté des offres purement professionnelles comme Windows 2008 Server R2, SQL Server 2010 ou Visual Studio 2010, ou des offres à la fois pour les entreprises et le grand public, comme Windows 7 ou Office 2010. Microsoft dégainera l'artillerie lourde le 6 octobre, avec la venue en France de Steve Ballmer pour le lancement de Windows Phone, la nouvelle dénomination des appareils mobiles sous Windows Mobile 6.5. L'éditeur, qui a beaucoup de retard à rattraper dans ce domaine, accompagnera son système d'une place de marché ouverte aux développeurs tiers, et d'un intéressant service, 'MyPhone', de synchronisation et de sauvegarde automatique en ligne des données du mobile. « Les problèmes de Vista sont aujourd'hui résolus » Néanmoins, le plus important pour Microsoft reste le lancement de Windows 7, disponible en version finale depuis quelques jours pour les entreprises, et qui sera officiellement commercialisé auprès du grand public le 22 octobre. Echaudé par l'échec commercial de Vista à ses débuts, Microsoft dit se montrer prudent, mais « très confiant ». Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, explique cet optimisme prudent de plusieurs façons. D'abord, les « problèmes de Vista au début par rapport au poids du système et à la compatibilité des applications » seraient « aujourd'hui résolus ». Il est vrai que « pour la première fois de son histoire », un système d'exploitation de Microsoft sera moins gourmand en ressources que son prédécesseur. Les machines ayant continué d'évoluer entre temps, les migrations ne devraient pas poser de souci en termes de performances. En revanche, Seven étant basé sur le même noyau que Vista, il ne faut pas s'attendre à des miracles : les matériels anciens utilisés avec XP et non supportés par Vista ne le seront pas non plus par Windows 7. D'après Marc Jalabert, cela concernerait seulement 5% des périphériques. Autre raison d'espérer pour Microsoft, « on a de bons signaux pour la mise à jour ». Les retours sur les versions bêta et RC sont très bons, le public s'est rué sur les précommandes à tarif réduit, et Marc Jalabert ne doute pas que les entreprises passeront directement de XP à Seven. Mais il se refuse à donner un objectif, arguant que « les migrations en entreprises prennent du temps ». Le système de mise à jour proposé aux entreprises devrait faciliter les choses, de même que le mode XP pour Windows 7, qui permet d'exécuter des applications conçues pour XP dans une machine virtuelle apparaissant comme une simple fenêtre sur l'écran. Pour le grand public, beaucoup d'efforts sont prévus en matière de tarification (un pack Famille proposera le système d'exploitation à 150 euros pour trois ordinateurs) et de pédagogie : 1400 journées d'animation seront organisées dans les magasins, et un « Windows Café » sera même ouvert dans Paris. Office 2010 complétée par une version en ligne, Office Web Apps [[page]] La question de la migration en entreprise se reposera au printemps 2010 avec la sortie de la nouvelle version d'Office. Qui s'accompagne enfin d'un système collaboratif, et sera complétée par une offre bureautique en ligne, Office Web Apps. Similaire, dans le concept, aux Google Apps, ces Office Web Apps, accessibles aux utilisateurs disposant d'un compte Live et d'un espace de stockage SkyDrive, reproduisent dans le navigateur l'interface à base de rubans apparue dans Office 2007. « On le fera mieux que Google » Brique de la stratégie Software plus Services (S+S) de Microsoft, Office Web Apps est bien positionné comme un complément et non comme un outil de remplacement d'Office. Aucun système n'est d'ailleurs prévu pour gérer un stockage en local en cas de déconnexion du Web, par exemple - quand bien même Microsoft dispose d'outils comme Mesh, pour synchroniser les données. Il reste donc un peu de chemin à parcourir, alors que Google dispose de Gears, et prépare son offre Wave. Cela n'entame pas l'optimisme de Marc Jalabert : « On y va, et on le fera mieux que Google. » Côté serveur, Microsoft insiste aussi sur le choix offert aux entreprises, avec d'un côté des logiciels à installer comme Windows Server 2008 R2 ou Exchange 2010, et de l'autre des offres en ligne commercialisées directement par Microsoft (comme Azure) ou vendues par ses partenaires, comme la messagerie hébergée. « Dans tous les cas, explique Marc Jalabert, l'important est le fait d'utiliser Exchange, pas la façon dont on y accède ». Un tout nouveau bâtiment de 35 000 m² pour les 1700 collaborateurs français de Microsoft En conclusion de ces présentations, Eric Boustouller, président de Microsoft France, a rappelé l'enracinement de Microsoft dans la société française et toutes les raisons qui le poussent à être optimiste. Après 25 ans de présence, Microsoft compte aujourd'hui 1 700 collaborateurs en France, épargnés par le plan de licenciement mis en place par l'éditeur au niveau mondial. Microsoft France, désigné meilleure filiale à l'issue du dernier exercice fiscal, vient d'ailleurs d'inaugurer ses tout nouveaux locaux en bord de Seine à Issy, 35 000 mètres carrés à proximité de HP France, Cisco France, Steria... La plus grosse ombre au tableau pour Microsoft pourrait être la performance de la division grand public et services en ligne. Après 1,33 Md$ perdus au niveau mondial en 2007/2008 dans les services en ligne, Microsoft y a englouti 2,2 Md$ l'année dernière. Fort de ses 27 millions d'utilisateurs de ses services Live, l'éditeur a confirmé qu'il n'entendait pas abandonner ses efforts dans ce domaine, comme le prouvent le lancement de Bing (dont la version française doit bientôt être finalisée) et l'accord conclu avec Yahoo. C'est, explique Olivier Marcheteau, responsable de la division pour la France, « une stratégie qui portera ses fruits ». (...)

(08/09/2009 12:10:02)

Orange et T-Mobile fusionnent leurs activités en Grande-Bretagne

Les opérateurs France Telecom et Deutsche Telekom fusionnent leurs activités mobiles en Grande Bretagne. Le nouvel opérateur ainsi formé devient un "solide numéro 1" comme l'a décrit Gervais Pélissier, directeur financier d'Orange, sur les ondes de BFM Radio, ce mardi matin. Cet opérateur sera une co-entreprise détenue à 50/50 par Orange et Deutsche Telekom. Son conseil d'administration sera composé à parité de représentants des deux groupes. Tom Alexander, actuellement Président d'Orange UK, prendra la tête de cette co-entreprise comme PDG, tandis que Richard Moat, actuel président de T-Mobile UK, prendra le poste de directeur des opérations. 37% des abonnés mobiles du Royaume-Uni Sur la base des informations de fin 2008, la co-entreprise dispose d'environ 28,4 millions de clients au Royaume-Uni, soit 37% des abonnés mobiles du pays. Orange y ajoute ses activités haut débit, de quoi proposer des services de convergence. L'évaluation du poids du nouvel ensemble est de 9,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Les services proposés comprendront de la mobilité 2G et 3G. Cette fusion est justifiée par la difficulté de maintenir les niveaux d'investissements nécessaires dans les réseaux mobiles et de dégager une rentabilité suffisante, dans un contexte concurrentiel important puisqu'il y a cinq opérateurs mobiles disposant de leur propre réseau en Grande Bretagne. "Nous réduisons ainsi le nombre d'opérateurs de cinq à quatre, ce qui risque d'être encore trop", a ajouté Gervais Pélissier, toujours sur BFM. Cette remarque sur le nombre d'opérateurs trop important rappelle qu'en France, l'arrivée d'un 4ème opérateur mobile 3G soulève l'hostilité des trois opérateurs déjà installés dont Orange. Des économies de 4 milliards d'euros attendues France Telecom et Deutsche Telekom annoncent que la fusion devrait amener des économies de l'ordre de 4 milliards d'euros. Celles-ci concerneront les coûts d'exploitation du réseau et la rationalisation des sites, de leur coût de location et de la maintenance des réseaux. Elles se feront aussi par la réduction des coûts de distribution via l'augmentation des ventes réalisées par le réseau de magasins, ainsi que par la réduction des coûts de marketing grâce au déploiement d'une nouvelle stratégie de marque. Enfin, il devrait y avoir une réduction des frais généraux et administratifs, de même qu'une rationalisation des fonctions de support et une optimisation des effectifs dans le service à la clientèle, l'exploitation des réseaux et des services généraux et administratifs. Côté investissements, la fusion devrait amener une économie de 600 millions de £ entre 2010 et 2014 (nette du coût d'intégration des réseaux estimé pour sa part à 600 à 800 millions de £). (...)

(07/09/2009 16:52:52)

Réduction des coûts au programme de la R2 d'Oracle 11g

Oracle 11g R2, deuxième version majeure de la base de données du Californien, est désormais disponible sur OTN (Oracle Technology Network). Cette mouture arrive plus de deux ans après la première sortie de 11g en juillet 2007. L'éditeur rappelle que, durant tout ce temps, la nouvelle version a été mise au point par quelque 1 500 développeurs et a fait l'objet de près de 15 millions d'heures de test. Pour commencer, Oracle a fait évoluer l'option RAC (Real Application Clusters) du SGBD qui permet d'exécuter les applications sur des clusters, et surtout d'augmenter dynamiquement l'infrastructure disponible en fonction des besoins. Le système de réservation de ressources fonctionne à la manière du grid computing. Oracle annonce une amélioration de 40% des performances de RAC dans la version 2 de 11g. Enfin, parmi les nouveautés de la R2, on trouve aussi la déclinaison RAC One Node qui permet aux entreprises de bénéficier, pour des bases peu critiques, des fonctions de haute disponibilité de RAC sur un petit nombre de serveurs (voire sur un seul). Des coûts de stockage réduits 10 à 12 fois Désormais, la base Oracle dispose aussi d'une technologie permettant un stockage différencié suivant l'importance des données et de la fréquence d'accès à celles-ci. Les informations que l'entreprise va le plus souvent chercher sont enregistrées sur des supports rapides, alors que les données d'archive vont sur des disques plus lents et moins chers. Selon Andrew Mendelsohn, senior VP Oracle Database Server, cela permettrait de « réduire entre 10 et 12 fois le coût du stockage associé à la base de données ». A noter qu'Oracle 11g R2 a aussi optimisé la compression de données déjà présente dans la R1 pour réduire de 2 à 4 fois la taille initiale de la base. Pour répondre au besoin exprimé par de nombreux clients, l'environnement d'administration automatique du stockage (Automatic Storage Management, ASM) a été étendu aux fichiers gérés par le système de gestion des fichiers clusterisé de l'OS. Jusque-là, ASM était réservé aux seules informations stockées dans la base de données Oracle. Toujours pour optimiser les ressources et réduire les coûts, le trio ASM, RAC et Active Data Guard (qui décharge les bases de production, en cas de surplus d'activité, vers des bases de secours) équilibrera à la fois la charge de travail de production et la fonction de tolérance aux pannes entre les ressources serveurs et de stockage. Objectif : faire en sorte qu'un minimum d'éléments de l'infrastructure restent inactifs. A l'occasion de cette annonce, Andrew Mendelsohn a également rappelé que pour certains clusters, équipés d'un To de mémoire vive par exemple, dans lesquels une base complète peut être chargée, il sera possible de gérer les requêtes directement en mémoire (in memory parallel query). (...)

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